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Entre hommes pervers, avec des chiens

Chapitre 1

Gay
Suite à ma folle après midi avec Alex (voir mon histoire précédente) je me retrouve chez moi avec le numéro de téléphone d’un inconnu. Il m’a promis de me casser le cul et de me faire monter par ses chiens, et qu’il me suffisait de l’appeler si j’en avais envie.J’ai déjà fantasmé sur la zoophilie, chiens, chevaux, sachant que je n’irais pas jusque là. Et voila qu’une occasion m’est offerte, me faire prendre par des chiens, en réel. Je suis excité, comme un fou, et je me branle en pensant à de beaux clebs bien montés qui me montent comme une chienne. Je m’astique le manche jusqu’à jouir, et une fois l’adrénaline retombée je me dis que je peux pas tomber aussi bas, et je déchire le papier et le jette.Je dine, regarde la télé, puis me couche. Je me réveille dans la nuit avec une trique béton. Je pense à nouveau à cet inconnu, sa grosse queue, ses chiens. Je me lève pour retrouver les bouts de papier dans la poubelle, reconstituer son numéro. Je sais qu’une fois m’être bien branlé et fait gicler la sauce je le jetterais à nouveau, et j’ai l’idée de l’apprendre par cœur, le retenir bien ancré dans ma tête. Les jours s’écoulent, je décroche plusieurs fois mon téléphone puis le raccroche, jusqu’à cette fois où je me décide enfin.Il répond, me dit que je ne suis qu’un putain d’enculé et qu’il était sûr que j’allais l’appeler. Il me dit ensuite qu’il n’a pas de chien, mais qu’il rend visite une fois par semaine, le samedi, à un mec aussi pute que moi, un mec qui le suce puis qui se fait sodomiser. C’est ce mec qui a des chiens, deux, super bien montés, et qui baise avec. Il me propose, ou plutôt m’ordonne, de l’accompagner lors de sa prochaine visite. J’accepte sans même réfléchir à quoi je m’engage.
Il passe me prendre devant chez moi et on discute durant le trajet Il a trente-six ans, se prénomme Francis, et le mec chez qui l’on va a soixante-trois ans (trois de plus que moi) et s’appelle Jean-Jacques. On arrive, notre hôte nous accueille et ferme le portail à clé pour ne pas être dérangé. Il a une barbe courte, fat sensiblement ma taille mais doit peser quelques dizaines de kilos de plus que moi. Il nous conduit à la chambre où le lit défait nous attend. On se met vite à poil tous les trois et Francis s’installe au bord du lit, adossé à la tête de lit. Jean-Jacques s’allonge au milieu du lit, tourné vers lui, et embouche la bite qui lui est offerte sans perdre de temps. Je regarde son corps avec intérêt: il est gros et ça déborde de partout, une bedaine imposante, des poignées d’amour, une poitrine bien développée. Il me plait, mais ce que j’aime le plus c’est sa pilosité impressionnante: il est poilu de partout, un vrai ours. Je m’assieds derrière lui, pose ma main sur lui et entreprend de le caresser. Sans cesser de sucer il retourne son bassin et écarte ses jambes pour m’offrir son intimité. Je lui met la main au paquet et n’en reviens pas de ce que j’ai entre les mains, des couilles énormes, bien lourdes, et sans doute bien pleines. Je m’installe la gueule entre ses cuisses et je me jette sur ces boules comme un affamé pour les embrasser, les lécher, les gober, une à la fois vu la grosseur. J’abandonne sa paire pour avaler sa bite. Je m’applique à le sucer, il a du mal à bander, mais ça vient petit à petit. Elle est maintenant en pleine forme, pas très longue, quinze centimètres, mais bien large et avec un gland de toute beauté, gros comme un œuf. Je savoure ce gros bonbon avec des gémissements de bonheur.Pendant ce temps il continue de pomper Francis qui ne cesse de s’émerveiller, de le féliciter, l’encourager:— Oh mon salaud, c’est bon.................tu suces trop bien....................tu es le meilleur de tous, meilleur que toutes les putes du monde.....................oui, prend la toute dans ta gorge profonde...........................quel enculé tu es, tu as dû en bouffer des kilomètres de queue pour être aussi doué..............................tu vas me faire jouir, prépare toi à recevoir ta récompense....................Il jouit effectivement et Jean-Jacques jouit à son tour en même temps qu’il avale tout. Je reçois un long filet de sperme en continu, il n’éjacule pas, il pisse du foutre. Je bois tout jusqu’à la dernière goutte en faisant gaffe de ne pas m’étouffer.
Francis me demande de venir le sucer, lui montrer ce que je sais faire, et demande à Jean-Jacques de s’occuper de ma queue disant que je l’ai bien mérité. Puis il me parle tandis que je le turlutte— Humm, c’est bon, tu suces bien toi aussi, pas aussi bien que ce gros porc, mais tu te débrouilles très bien. Fais moi bien bander salaud, et dépêches de jouir, on va passer à autre chose. Je suis excité et je décharge rapidement dans la bouche experte qui ne demandait que ça.
On se lève et Jean-Jacques va chercher un chien. Il le branle pour le faire bander tandis que Francis lui fouille le cul. Ils sont prêts tous les deux et notre hôte s’agenouille au pied du lit prenant appui dessus. Il donne un ordre à son chien qui vient dessus lui pour le monter. Sa bite frappe à l’aveugle et finit par trouver l’entrée. Il est bien à l’intérieur, bien ancré dans le cul de son maître, et d’après Francis il y en a pour un moment. Il me fait mettre à quatre pattes au bord du lit, en face Jean-Jacques, et reste debout derrière moi:— Regarde bien ce qu’il se prend cet enfoiré et dis toi que tu ne perds rien pour attendre. On te garde le deuxième, encore mieux monté. Mais en attendant c’est moi qui vais le farcir ton putain de trou à bites, je vais te faire mouiller comme une chienne, sa chienne que tu vas être.Il me fouille le cul sans ménagement, puis je sens son manche s’engager tout entier, et il se met en mouvement, me lime, me ramone:— Il est bon ton cul, et tu as l’air de l’aimer ma grosse queue, enculé, ça te plait mon vingt centimètres dans le fion. Il m’enfile longuement, s’amuse aussi à sortir sa queue et à la remettre lentement pour se reposer un peu, jusqu’à ce que le chien se retire. Il lèche le cul ouvert de son maître, bouffe son sperme qui s’écoule, puis Jean-Jacques le ramène et revient avec le deuxième chien. Il le branle pour le préparer, Francis se retire, et je me mets en place. Ils me font monter par l’animal et guide sa bite dans mon trou. Je sens très vite une première giclée bien chaude, puis les giclées s’enchainent toutes les une ou deux minutes. Je sens aussi cette bite qui grossit en moi, qui gonfle pour se coller à ma paroi comme une ventouse. Il ne peux plus bouger, ni avancer, ne reculer, ni se retirer. Il reste coincé en moi, on ne fait plus qu’un, et je sens son foutre qui continue à s’écouler entre mes reins.Pendant ce temps mes deux compagnons s’occupent eux aussi. Jean-Jacques est à quatre pattes et se fait sodomiser par notre amant viril à souhait. Mon chien dégonfle enfin et se dégage pour me lécher. Son maître le ramène et je me mets en place pour accueillir la bite à Francis, toujours en forme olympique:— C’est bon ton cul fourré au jus de chien, il est chaud son foutre, c’est bon d’y tremper ma queue.
Jean-Jacques est revenu et se met lui aussi à quatre pattes. Notre étalon va nous baiser tous les deux à tour de rôle, passer de l’un à l’autre rapidement. On le suce ensuite tous les deux, on nettoie sa bite recouverte du sperme des chiens, et il décide de finir dans ma bouche, me faire l’honneur de goûter à sa semence.
La séance est fini, il doit partir et me dis de me préparer. Jean-Jacques me propose alors de rester et de terminer le week-end avec lui. J’accepte sans hésiter.Notre amant s’en va et mon nouveau copain enfile un peignoir pour l’accompagner et refermer le portail à clé.
Je l’attends allongé sur le lit, il revient, enlève son peignoir et vient se coucher contre moi. On se repose un peu et on parle des heures écoulées. Il me remercie pour l’avoir sucé en précisant que cela faisait près de vingt ans que ça ne lui était plus arrivé. Je lui dis que tout le plaisir était pour moi, lui vante ses couilles en même temps que je les lui pelote. On est sur le côté, face à face, et on se caresse; je lui demande s’il embrasse et il acquiesce. On se roule une longue et chaude pelle. Il me dit que c’est bon, m’appelle chéri, me demande si je lui permet ce mot Je lui dis que oui, mon chéri, mon amour, j’accepte tout mais il faut que cela reste juste des mots, il ne faut qu’il s’attache, je ne veux que du sexe, sans sentiments. Il est entièrement d’accord et je rajoute que j’adore les insultes, il peut me traiter de salaud ou salope, de chien ou de chienne, de pute, tout ce qu’il veut. Il adore se faire injurier lui aussi, au féminin comme au masculin, et on ne va pas s’en priver. On parle des chiens, je n’en ai jamais sucé et il me propose de me faire essayer. Je veux bien, mais pas de suite:— Ok, mais j’aimerais bien que l’on se suce tous les deux avant.— Oui, on va se faire un bon petit 69.— Pourquoi un petit, j’en veux un gros bien vorace, on va tout se bouffer, la bite, les couilles, le cul.— Tu m’excites, tu es aussi salope que moi.— Oui, on est des grosses cochonnes toutes les deux.— Des putes à mecs, des putes à chien. Mets toi en place, je te veux.On s’installe, il me suce, et je joue avec ses boules:— Elles sont trop belles tes couilles, dommage que tu aies tous ces poils. Tu ne rases jamais?— Non je n’ai personne à qui en faire cadeau, et puis je vois mal comment je ferais.— Tu veux bien que je te rase, j’ai envie de les bouffer.Il va chercher le nécessaire, des serviettes pour protéger le lit, et je m’applique à lui faire le maillot. Il est parfaitement rasé, le pubis, ses grosses prunes et tout autour, et je suis content de moi: — Tu es magnifique mon chéri, tu as une glace pour te voir?Il m’emmène dans une deuxième chambre, plus petite, avec une armoire à glace, trois portes avec un grand miroir chacune où l’on peut se voir de la tête aux pieds. Je soulève ses couilles pour les mettre en valeur, lui dit de regarder comme il est beau, puis je me colle à lui, de travers, mon bas ventre se frotte contre sa hanche. Je le branle d’une main, caresse son cul de l’autre, et lui demande de m’embrasser. Il m’offre sa bouche et on se roule à nouveau de chaudes pelles, on se regarde dans les glaces, je sens et je vois son énorme bourgeon grossir dans ma main:— Tu m’excites salaud, il est trop beau ton gland, j’ai envie de le prendre dans le fion, encules moi.Il voudrait me satisfaire mais est doublement gêné, par sa corpulence, son gros ventre, sa queue moyenne en longueur, qui lui semble un obstacle, et aussi par une confidence qu’il me fait: il n’a jamais sodomisé qui que ce soit, ni femme, ni homme, ni animal. Ca m’excite davantage et je l’assure que tout va bien se passer. Je suis sur lui en 69, pour maintenir sa grosse trique bien dure tandis qu’il me bouffe le cul et que je l’encourage à me le fouiller sans ménagement. On est prêt, je suis à quatre pattes le cul au bord du lit, il est debout derrière moi, il passe ses bras sous son ventre pour le soulever, le compresser, et je m’empare de sa bite pour me le planter dans l’anus. Son gland force l’entrée et parvient à s’introduire, suivi de sa hampe. Il relâche son bide sur mes reins et me maintient fermement par les hanches pour rester enfoui. Il fait de petits va et vient, d’une courte longueur mais largement compensés par le diamètre de son chibre qui me fait un bien infini. Il est endurant ce salaud et je ne cesse de gémir, mon cul de faire de l’huile, jusqu’à sa délivrance. Il se vide dans mes entrailles, reste encore quelques secondes puis se retire. Il s’allonge sur le lit, de façon à bien se voir dans les glaces, et me fait venir sur lui pour un nouveau 69; je nettoie sa queue, il nettoie mon cul, bouffe son sperme comme le font les chiens.Cette séance est finie, il me remercie pour son dépucelage, et on s’embrasse encore, on se bouffe la poire, des pelles au goût de foutre, et il me demande de le baiser à mon tour.
On répète la séance en changeant les rôles, un 69 de préparation, une bonne sodomie, et un double nettoyage. Une mini pause et on reprend une autre activité. On est aussi salopes l’un que l’autre, on a les mêmes goûts pour la perversité, et pour notre premier week-end on décide de la passer à poil, de forniquer le plus possible, de faire des orgies.Il va chercher un chien pour me l’offrir à sucer. Il met une couverture pleine de poils sur le lit, et son compagnon monte dessus, s’allonge sur le dos, les pattes écartées. Il me dit qu’il n’y a craindre, que ses chiens sont très biens dressés, soumis. Il le suce le premier pour le mettre en confiance, le fait un peu bander, et je prends le relais. Il me regarde faire et il me dit qu’il adore s’amuser avec ses chiens dans cette chambre, se regarder sucer et se faire mettre. Je me vois moi aussi dans les miroirs, je prends encore plus conscience d’être un gros porc vicieux, mais je m’en fous, c’est trop bon. Je reçois une première giclée que je déguste avant d’avaler, puis une deuxième, je repense à tout ce que j’ai reçu lorsqu’il m’a pris et je sais que je vais encore en avoir de nombreuses à engloutir. Pendant ce temps Jean-Jacques me caresse, m’embrasse, je sens ses mains, ses lèvres, sa langue partout sur mon corps. Il me dit des mots gentils, que je suis beau, que je suis bien, me balance du mon chéri, et ne cesse de se féliciter de notre rencontre. Le chien continue à éjaculer à petits intervalles jusqu’à épuisement et m’avoir offert une bonne ventrée de sa semence.
Mon pote est prêt à le ramener:— Tu veux l’autre chien?— Non tu peux le prendre, je ne veux pas t’en priver.— Ne t’inquiètes par pour ça, je les ai tous jours.— Tout à l’heure, je n’ai plus soif.— Mais tu n’es pas obligé de le pomper, tu peux lui offrir ton cul. Il ne l’a pas eu celui-là.— Salope, ça te plairait de me regarder me faire remplir. — Oui, j’aurais l’impression de me voir, mieux que dans la glace. Tu es une grosse salope, comme moi. Bon je vais le chercher?— Ok, tu vas voir la grosse pute que je suis, un enculé de première classe.Le chien est en pleine action, et son maitre s’installe pour assister au spectacle, encourager sa bête, et me traiter de tous les noms, suivis de "comme moi", comme pour s’insulter lui même. Il connait son chien par cœur, et sait qu’il va se retirer. Il se lève pour le retenir, l’empêcher de récupérer son don, et il l’emmène en me demandant de ne pas bouger. Il revient, s’agenouille devant moi et me fait écarter ses fesses. Il me reluque en salivant:— Humm, il es beau ton cul mon chéri, c’est magnifique le foutre de mon chien prêt à sortir, redresse toi, à peine un peu, je veux le voir dégouliner lentement puis je vais te nettoyer avec ma langue de grosse salope.Je sens cette crème bien chaude couler doucement sur mes couilles, et puis sa bouche me les sucer, les gober. Il m’annonce maintenant qu’il va me bouffer la raie, m’aspirer le trou, et veut que je le regarde dans la glace et que je l’insulte. Je sens sa langue parcourir ma raie, fouiller mon œillet, et je me laisse aller:— Salope, tu es pire que tes chiens, tu es un porc, une grosse truie...................régale toi putasse, sac à foutre.......Puis je lui demande de ne pas tout avaler, dans garder en bouche pour que l’on se roule une pelle. Mon idée le ravit, et il se lève aussitôt et moi aussi. On s’embrasse chaudement, on se bouffe la poire à perdre souffle. Je sens du sperme s’écouler entre mes fesses et je me torche le cul avec les doigts pour le récupérer et ravitailler nos bouches assoiffées. On a tout avalé, et on repart s’allonger dans sa chambre.
On se caresse distraitement, et on parle de nos fantasmes.On se découvre un nouveau point commun: le goût pour la pisse.
A suivre...
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