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Entre Limoges et Clermont-Ferrand

Chapitre 1

Divers
Nous venions de quitter Limoges où nous avions déposé un cousin éloigné de ma femme Elodie. Nous revenions en effet des obsèques d?un membre de sa famille et elle s?était sentie obligée de lui proposer de le raccompagner chez lui bien que cela rallongeait notre route. Après avoir refusé de prendre quelque chose chez lui, elle l?avait salué en lui promettant de donner de nos nouvelles rapidement. Ni lui, ni Elodie n?en croyait un traître mot. Epuisée, Elodie s?était endormie au bout de quelques minutes et je roulais en direction de Clermont-Ferrand depuis une bonne heure, à la moyenne d?un escargot léthargique à cause des camions, tracteurs et autres véhicules agricoles qui encombraient cet axe transversal.    Avisant un bar dans un village dont c?était le seul signe visible de vie, je pris un double café noir. Lorsque je revins à la voiture, Elodie s?étirait, visiblement tout juste réveillée. Après m?être assuré que tout allait bien, je lui proposais de prendre une boisson chaude mais elle refusa, bu un peu d?eau d?une bouteille qui traînait dans l?habitacle et nous reprîmes la route. Malgré mes efforts pour discuter et lui changer les idées, je sentais Elodie très soucieuse et préférai la laisser tranquille pour le moment. Au bout d?un petit moment, elle me demanda de m?arrêter et sorti dès que j?arrêtais la voiture sur le premier chemin forestier que j?avais trouvé. Je fis quelques pas en l?attendant et elle me rejoignit. Elle proposa de marcher un peu et nous nous engageâmes sur le chemin pour nous retrouver très vite dans une ambiance propre aux forêts à la fois sonore et feutrée, colorée et neutre car le ciel qu?on apercevait à peine était gris. Nous cheminions silencieusement l?un à côté de l?autre, lorsque elle me dit :    - Viens ! Fais moi l?amour maintenant !    - Ici ? répondis je stupidement,    - Evidemment ici ! dit elle sur un ton qui coupait court à toute discussion.    Elle prit appui sur un énorme tronc d?arbre qui gisait sur le sol. J?étais totalement interdit devant la situation ! Ma femme m?avait intimé l?ordre de la prendre alors que nos rapports conjugaux étaient dénués de toute fantaisie, et tenaient plus d?une pratique hygiénique que de corps à corps passionnés et physiques. De plus, j?en étais toujours l?initiateur et nous nous contentions de quelques sages caresses avant que je lui fasse l?amour, la plupart du temps en missionnaire. Même si elle m?affirmait le contraire, je n?étais pas sur qu?elle atteignait l?orgasme à chaque fois. Dès le début de notre vie conjugale, mes phantasmes de jeune adulte avaient été refoulés au plus profond de mon esprit et les quelques films pornographiques vus ou sites pour adulte visités n?avaient pas vraiment suscité de désir de changement. Peut être étais je trop lâche ?    Comme je lui relevais sa jupe, je me rendis compte que son intimité était protégée par un double rempart, qui aurait annihilé tout espoir de conquête en temps normal, constitué d?un collant et d?une immonde culotte blanche ? ventre plat - remonte fesses. ? Doutant fortement de ma capacité à les déchirer manuellement, je m?empressais de sortir le couteau suisse qui ne me quittait jamais et dégageais ainsi l?accès au conduit chaud et humide qui allait m?accueillir. Les lambeaux de son collant retenaient sa culotte mise en pièce par mes coups de canifs désordonnés et je les fis glisser jusqu?à mi cuisse, constituant ainsi une sorte de bas. Je ne pu m?empêcher de caresser tendrement la croupe qui s?offrait à moi. Ma main glissa entre les deux globes fessiers et atteignit le sexe de ma belle dont j?apercevait à peine les lèvres à cause d?une toison qu?elle avait noire et drue. Malgré ce qu?elle répétait à longueur de journée, je trouvais le corps de ma femme encore très appétissant. Je sortis mon sexe de sa prison dans laquelle il commençait à se sentir franchement à l?étroit, en laissant tomber pantalon et boxer sur mes chevilles et pointait mon gland à l?entrée de son antre. Très lubrifié, son vagin n?opposa aucune résistance à ma pénétration et j?engageais immédiatement un lent va et vient, agrippé fermement aux hanches de ma femme.    - Ah les salauds ! Ils ont voulu me baiser ! Y?a que mon mari qui en a le droit ! marmonna t-elle entre ses dents    - ?????    - Ils vont voir de quel bois je me chauffe,    - ?????    Tout en continuant à aller et venir en ma femme et encouragé par des halètements que je ne lui connaissais pas, je m?interrogeais sur le sens mystérieux de ces propos. Les prémisses de mon plaisir me sortirent de mes réflexions et j?accélèrerai mes mouvements jusqu?à jouir au plus profond d?elle.     Elle tourna son buste légèrement vers moi et, malgré cette posture acrobatique et bancale, put enfoncer ses ongles dans ma fesse pour que je n?arrête pas. A mesure que son plaisir augmentait, ses ongles s?incrustaient dans ma chair provoquant une douleur qui décuplait la violence de mes coups de bassin. Elodie criait maintenant à chaque fois que mon pubis heurtait ses fesses et j?allais arrêter là nos ébats de peur de lui faire mal, lorsqu?un cri plus profond me signifia un plaisir intense. Pendant que nous reprenions notre souffle, je sentais encore son sexe palpiter autour du mien. Après m?être dégagé de cette étreinte, j?eus enfin conscience du tableau que nous formions, Elodie et moi. Nous étions tous les deux, fesses et sexes nus au milieu des bois, moi, mon pantalon sur les chevilles, elle, sa jupe retroussée sur ses hanches, mon sexe à moitié débandé, le sien laissant échapper ma semence qui coulait le long de ses cuisses, nos corps entourés de volutes de vapeur. Etonnés nous-mêmes de la situation, nous nous sommes rhabillés rapidement, Elodie sacrifiant ce qui restait de son collant et de sa culotte pour essuyer les traces indubitables de mon orgasme.    Dès que nous sommes remontés dans la voiture, Elodie me fit part des tensions et dissensions qui étaient apparues au sein de sa famille pendant les quelques heures où nous avions été sur place. Elle me rassura quant au mot ? baiser ? qu?elle avait employé à maintes reprises qu?il fallait que je comprenne au second degré, certains membres de sa famille ayant cherché à la violer mais pas à abuser d?elle. J?avais effectivement remarqué que certaines discussions avaient été tendues mais je m?étais volontairement tenu à l?écart de sujets qui ne me concernaient pas. Elodie était très déçue de leur attitude dans la mesure où sa conduite au quotidien était essentiellement basée sur des principes issus de son éducation et que ces mêmes principes avaient été largement bafoués pour de vulgaires raisons d?intérêts personnels. Je sentais que l?abcès était crevé et j?en étais ravi.     Nous décidâmes de nous arrêter dîner dans une charmante auberge tenue par un jeune couple qui travaillait dur pour ne pas quitter leur région natale. N?ayant pas le courage de reprendre le volant, je proposais à ma femme d?y passer la nuit. Elle accepta d?autant plus volontiers qu?elle avait du mal à garder les yeux ouverts et nous sommes montés dans notre chambre. Sur place, je me rendis immédiatement compte que nous n?avions pas emporté de nécessaire de toilette, ni quoi que se soit pour passer la nuit et je me dépêchais de redescendre pour trouver au moins une brosse à dents. L?aubergiste dénicha deux mini sets de toilette et un tee shirt, reliquat de l?organisation d?une fête médiévale. Lorsque je suis remonté avec le secret espoir d?explorer une nouvelle face cachée de notre sexualité, Elodie dormait déjà à poings fermés. En la déshabillant, je caressais légèrement sa poitrine épanouie que j?avais libérée de son carcan à armature. Ses mamelons se dressèrent vivement en m?invitant à plus, mais je me contentais de lui passer le tee shirt et de la couvrir.    Comme d?habitude, je me réveillais de bonne heure et profitais que ma femme dorme encore pour me préparer dans la salle de bain. Lorsque rasé de frais et propre comme un sou neuf, je sorti de la salle de bain, Elodie s?étirait comme un chat. Elle avait rejeté la couverture à ses pieds et son ersatz de chemise de nuit était remonté, dévoilant ainsi son sexe fourni. Je m?assis sur le bord du lit et laissait ma main innocemment traîner sur sa cuisse. Nous nous embrassâmes tendrement et mes mains auraient été volontiers plus baladeuses si la sonnerie du téléphone qui faisait également office de réveil, n?avait pas brisé le charme. Pendant qu?Elodie finissait de se préparer dans la salle de bain, je descendis où était servi le petit déjeuner. Après avoir commandé, je commençai à lire le journal local lorsque j?aperçus Elodie qui me cherchait du regard à l?entrée de la salle du restaurant. Elle se dirigea vers moi dès qu?elle me vit et j?eu tout le loisir de l?admirer.     - Tu sais quoi, me dit t-elle d?un air amusé    - Non,    - Je ne porte rien sous ma jupe !    Je me rappelais alors notre escapade forestière et j?eus immédiatement un début d?érection. Je profitais que ma serviette de table soit tombée pour vérifier ses dires et j?en eu la confirmation, aidé en cela par le fait qu?elle écarta très légèrement les jambes pendant que j?étais penché sous la table.    - Il faut absolument que nous allions dans un magasin de lingerie, continua elle sur sa lancée, je ne peux pas rester comme cela toute la journée    - Veux tu dire que tu souhaites que je t?accompagne ? Ce serait bien la première fois !    - Tu as très bien compris, me répondit elle avec un sourire    Aussitôt dit, aussitôt fait. Nous avons quittés l?Auberge et sommes arrêtés dans la première bourgade digne de ce nom, que nous avons rencontrée. J?avais bien essayé de caresser les jambes de ma femme et de relever sa jupe pendant que je conduisais mais les virages et la pluie m?obligeaient à tenir le volant des deux mains. A peine, avions nous identifié une boutique spécialisée qu?elle sauta de la voiture et me laissa en plan pour se précipiter fouiner dans les rayons. J?y pénétrais quelques instants plus tard et y trouvait Elodie en train de rentrer dans une cabine d?essayage, les bras chargés de dessous dont je ne pouvais pas voir grand-chose de là où j?étais mais je m?attendais, par habitude, au pire. En l?attendant, je restais béat devant une parure d?une marque bien connue pour ses ? leçons ? lorsqu?une vendeuse me demanda si j?avais besoin d?un renseignement. Son haut à fines bretelles laissait largement déborder la dentelle écrue d?un soutien gorge que remplissait une poitrine déjà très acceptable. Je répondis à sa question par la négative et la regardait s?éloigner, son pantalon taille basse ne laissant aucune incertitude sur les dessous qu?elle portait, à savoir un string assorti. Je fus détourné de mes pensées à tendance franchement érotique par Elodie qui me hélait depuis une sa cabine. Seule sa tête dépassait car elle se servait du rideau comme d?une toge pour se protéger d?éventuels regards.     - Comment tu me trouves ? me dit elle en se reculant afin que je puisse la regarder,    - Magnifique, dis-je complètement estomaqué devant le spectacle de ma femme parée d?un ensemble parme,    - Tu ne crois pas que mes fesses sont trop grosses ? me lança t-elle avec une pointe d?inquiétude dans la voix et en se retournant,    - Pas du tout ! Il n?y a que toi qui puisses penser cela à cause de tes stupides magazines féminins ! répondis je au tac au tac lorsque je vis son adorable postérieur revêtu d?un slip brésilien qui le mettait particulièrement en valeur    - Sors immédiatement de cette cabine avant que je devienne toute rouge ! me dit elle à la fois rassurée et ravie de mes compliments.    Je sortis du cagibi abasourdi par le brusque changement d?attitude de ma femme, elle qui était passé des culottes petit bateau aux gaines de maintien. Pendant ce court moment, je ne m?étais pas aperçu que la charmante vendeuse que j?avais vu tout à l?heure, nous avait observé. Elle détourna brusquement les yeux lorsque nos regards se croisèrent. Ma femme passa ensuite un ensemble blanc composé d?un soutient gorge à balconnet de dentelle blanc et d?un shorty assorti qui ne laissait aucun doute sur la densité de sa pilosité pubienne. Intérieurement, je pensais que je devrais lui suggérer de la raser, au moins en partie. Puis j?eus droit à des dessous minimalistes de soie rouge et un ensemble composé d?un bustier et d?un tanga noir auquel Elodie adjoint des bas auto fixant. Chaque essayage était ponctué d?un conciliabule entre nous deux pendant lequel nous débattions de l?effet produit par ces dessous. Je ne manquais pas de remettre une bretelle en place, replacer un sein ou bien vérifier que les élastiques des slips ne meurtrissaient pas la tendre chair du ventre de mon épouse. Je n?hésitais pas non plus à lui faire part qu?on était espionné et Elodie écarta très légèrement plus le rideau afin de faciliter la tâche de notre jeune voyeuse. Ma femme se décida enfin pour les dessous de dentelle blanc et commença à ôter la parure noire qu?elle jugeait peu confortable pour être portée le reste de notre trajet. Une fois nue, les bouts de sa poitrine érigés trahissaient une émotion certaine et Elodie gratifia la vendeuse d?un sourire appuyé en exhibant sa plastique avant de me jeter hors du réduit, de fermer le rideau et ainsi terminer cette première étape dans l?affranchissement de tous les interdits qui l?empêchaient même de porter des décolletés un tant soit peu plongeant ou de s?exposer seins nus sur la plage.    Nous étions silencieux depuis que nous avions pris l?autoroute qui nous ramenait chez nous. Me remémorant les minutes passées dans le magasin, mon esprit vagabondait entre images de lingerie fine, de sexes rasés et de pratiques exhibitionnistes. Je dois avouer que j?avais été excité par la nouveauté de la situation et ma verge turgescente témoignait de mon état. Mes vêtements la comprimaient et je bougeais sur mon siège afin de trouver une position plus confortable. Mes mouvements sortirent ma femme de sa demie torpeur et je lui fis part à la fois de mon étonnement et de ma joie concernant notre expérience matinale. Je ne lui cachais pas non plus que l?état de mon sexe témoignait de mon appétit à goûter à d?autres fruits défendus. Attentive à cette invitation muette, Elodie me confia qu?elle souhaitait continuer à s?initier à de nouveaux plaisirs, ayant été frustrée pendant de trop longues années de ne pouvoir explorer ses propres phantasmes à cause des limites fixée par une pseudo morale à laquelle elle croyait dur comme fer. Elle me demanda si je m?étais masturbé dans ma jeunesse. Je lui répondis par l?affirmative en rougissant un peu et lui expliquais que ces plaisirs solitaires avaient été pendant bien longtemps ma seule pratique sexuelle avant que je sois déniaisé par une professionnelle pendant mon service militaire. Elle anticipa la question qui me brûlait les lèvres en partageant ses propres expériences masturbatoires d?adolescente et me fis part de son phantasme de se caresser devant autrui. Sans attendre une quelconque approbation, elle souleva légèrement les fesses de son siège et fit glisser sa jupe à ses pieds. Elle glissa une main dans l?écrin de dentelle qui couvrait sans masquer son sexe et commença à se caresser frénétiquement. Ne pouvant pas quitter les yeux de la route, je jetais des coups d?oeil de temps en temps pour regarder Elodie se donner du plaisir. Pour être dans une position plus confortable, Elodie avait posé sa jambe droite au dessus de la boîte à gant de telle sorte que son sexe était complément ouvert. Elle n?avait pas ôté son sous-vêtement mais écarté le tissu afin d?avoir un accès libre à sa vulve.    Ses doigts s?activaient maintenant autour de son clitoris après avoir parcouru la fente séparant son Mont de Vénus. Elle avait écarté ses lèvres et introduit sans aucune pudeur, un puis deux doigts dans l?orifice que mon sexe avait l?habitude d?emprunter. Tout en se caressant son bouton d?amour, elle entreprit un mouvement de va-et-vient. Ses dix doigts semblaient jouer une partition apprise il y a longtemps et retrouvait graduellement leurs automatismes. Les yeux mi clos, elle faisait abstraction de son environnement et se concentrait sur l?orgasme à venir. Une brusque accélération de sa respiration et quelques stigmates de tension sur son visage trahirent le moment où Elodie jouit intensément. Lorsqu?elle enleva ses doigts de son vagin, un filet de secrétions vaginales reliait encore son index et sa vulve. Une fois apaisée, elle me demanda quel phantasme j?avais la concernant et lui avouait que je gardais des souvenirs émus des deux ou trois fellations maladroites qu?elle m?avait prodiguées au début de notre mariage. C?est une pratique que nous avions abandonnée depuis longtemps. Sans plus de préambules, elle s?agenouilla sur son siège, son fessier rebondi collé contre sa vitre étant susceptible d?offrir un spectacle apprécié par les conducteurs des véhicules nombreux à cette heure, et entreprit d?ouvrir ma braguette pour atteindre mon sexe. Ce dernier jaillit une fois qu?elle eut réussit à baisser suffisamment la ceinture de mon boxer mais il restait collé contre mon ventre. Faisant fi de ce relatif inconfort, elle déposa un baiser sur mon gland et le lapa avec sa langue, un peu comme on commence une glace pour en apprécier le parfum. Avisant une aire de repos, je m?engageais immédiatement sur la bretelle d?accès et rangeait ma voiture sur une place relativement abritée des regards indiscrets. Après avoir reconnu chaque centimètre carré de ma verge avec sa langue, elle la happa, ses lèvres oeuvrant comme un fourreau souple et chaud. Je m?étais mis à l?aise en baissant pantalon et caleçon et me caressait les bourses pendant qu?Elodie me faisait littéralement l?amour avec sa bouche. Prévoyant mon éjaculation proche, j?éloignais le visage d?Elodie de mon sexe et l?encourageais à me branler. Des jets de foutre jaillirent alors et souillèrent le chemisier de ma femme de tâches dont l?odeur caractéristique du sperme commençait à envahir l?habitacle. Nous nous embrassâmes passionnément en nous déclarant notre amour réciproque.    Elodie jeta son chemisier sali sur la banquette pour ne garder que sa veste dont le décolleté laissait largement voir le galbe de sa poitrine et deviner la dentelle de sa lingerie pendant que je me rhabillais. Nous continuâmes la route sans autre pause pour retrouver nos enfants. Un peu moins de 24 heures étaient passées depuis avoir quitté Limoges. Nous avions cependant retrouvé une seconde jeunesse et comptions bien en profiter dans un avenir proche.
E-mail: amontour44@free.fr
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