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Entre réalité et fantasme ?

Chapitre 1

Point de départ

Divers
Un an d’échanges. Je ne sais pas à quoi m’attendre. Dingue, je suis dingue. Il y a tellement de gens barrés. Moi-même je le suis... Je me suis posée en terrasse, j’ai une heure devant moi. Je me demande pourquoi... La curiosité ? L’envie ? Le vice ?Tout a commencé pendant ce confinement, cette assignation à résidence... L’ennui ? Sûrement. L’oisiveté ? On dit que c’est la mère de tous les vices. Bref, un compte bidon sur un site de discussion en ligne, pour voir à quoi ça ressemble. J’allais couper court, c’était lassant... Des échanges sans intérêt, donner mon tour de poitrine et dire comment je suis habillée ou pas, au bout d’un moment, c’est lassant. Et puis non, je ne suis pas « coquine »... ça c’est le mot que je dis à ma nièce de 3 ans quand elle a fait une connerie. Si j’aime le sexe ? Bah oui comme tout le monde non ? Une fois que tu sais ça, tu sais quoi ? Bref...Et puis un nouvel onglet s’est allumé.
— Bonjour, tu fais quoi ici ? — Je tue le temps, et toi ?— Pareil... à la base c’est pour tromper l’ennui, mais pas facile de le leurrer vu le niveau des discussions !— Ah ouais j’avoue... Tu crois que tu peux le relever ce niveau ? Sinon je vais dormir hein...
Et il l’a relevé. Quatre heures... on a parlé de tout un tas de sujets, ça coulait tout seul, c’était passionnant. Et puis le lendemain aussi, et puis les jours qui ont suivi...Littérature, art, musique, ciné, politique et puis bah sexe aussi évidemment, mais là aussi le niveau était tout autre, zéro tabou et pas de clichés. Des clichés justement sont arrivés... photographiques. Ceux glanés sur le Net au départ, ceux qui nous procuraient personnellement un effet... et pourquoi...
Le cerveau est le premier organe sexuel, on était d’accord là-dessus. Une photo... et la petite histoire qu’on imaginait derrière. Nouveau point commun, des scénarios souvent trash... les caresses tremblantes et hésitantes très peu pour moi, il était précis dans ses descriptions, ça devenait de plus en plus excitant. Les photos du net ont fait place aux miennes. D’abord ma bouche, il se voyait bien la baiser, je lui ai demandé comment, il m’a répondu « à fond jusqu’à ce qu’elle dégouline de mon foutre ». C’est la première fois que je me suis doigtée sous ses mots, quand je les ai lus, j’ai senti ma chatte s’ouvrir comme un gouffre, il fallait que je soulage cette excitation soudaine. J’ai glissé ma main entre mes cuisses, la dentelle était déjà trempée, j’ai enfilé trois doigts direct et je me suis fait jouir. Je lui ai renvoyé ma bouche en photo, ma langue léchant mes doigts pleins de cyprine. Il m’a dit que je le faisais bander, je lui ai dit de me montrer.
Premier cliché de sa queue, beau format, circoncis, gland magnifique, folle envie d’enrouler ma langue autour et de le téter comme une affamée. Sentir ma bouche se remplir de salive, une bouche avide est comme une chatte, elle coule, se répand et s’ouvre plus encore pour accueillir jusqu’à la gorge. Quand je lui ai fait part de ma pensée, il m’a dit que quand même j’avais l’air d’être une sacrée salope, je lui ai dit « oui je peux l’être, uniquement avec ceux qui le méritent ». Nos discussions ont continué, toujours plus imagées, mes seins l’ont remué, enfin plutôt mes tétons, il avait envie de les lécher, de les pincer, de les mordre, je mourrais d’envie qu’il le fasse. On est passé aux échanges téléphoniques, sa voix me faisait un effet phénoménal, je ne compte plus les fois où je me suis fait jouir sous ses mots. J’avais fini par utiliser mon gode ventouse tellement j’avais besoin d’être remplie à l’évocation de ce qu’il disait avoir envie de me faire.
C’est justement une photo de ce gode dans ma main nous a fait passer un nouveau cap...On discutait au téléphone et il m’a dit qu’il voulait me voir jouir en direct. Étape vidéo, toujours pas visage, déjà 9 mois, il avait une vision de mon corps et moi du sien, mais toujours pas de visage. J’ai vu apparaître son image sur l’écran, un corps sans tête uniquement vêtu d’un jean, il était assis dans un fauteuil de bureau face à son écran d’ordinateur, tout comme moi. J’ai suivi toutes ses consignes, je voulais voir où ça m’emmènerait... je suis partie loin !
— Joli débardeur blanc, je vois tes seins qui pointent, mouille-le que je les vois mieux... Bien... Pince-moi ces putains de tétons, fort, fais-les bander... ils sont magnifiques, vire le débardeur et masse tes seins ! J’ai envie de mettre ma queue entre, tu me fais bander !
Il a déboutonné son jean et a sorti sa bite, effectivement il bandait à mort. Il a commencé à se caresser doucement, j’étais dans un état d’excitation déjà très avancé, mais cette vision m’a allumée plus encore.
— Tes seins bandent dur, ça doit être tout mouillé en bas. Montre-moi.
J’ai recadré légèrement vers le bas, j’ai viré mon shorty et j’ai écarté mes cuisses.
— Hum intéressant, ton clito pointe... joue avec et imagine que c’est la pointe de ma langue.
J’ai joué comme il me l’ordonnait, je matais sa main qui continuait de branler doucement son chibre et j’imaginais que c’était sa langue qui me torturait le bouton. J’ai senti ma chatte s’ouvrir et la cyprine qui commençait à couler.
— Tu mouilles, t’aimes ça petite pute. T’as un problème avec le fait que je t’appelle petite pute ou ça t’excite ?
Pour toute réponse, j’ai descendu mon majeur vers ma fente, j’ai commencé à étaler ma mouille un peu partout avant de l’enfiler et de le faire aller et venir. Le rythme de ses va-et-vient sur sa bite s’est accéléré.
— OK... ça t’excite donc ! Tu peux mettre combien de doigts dans cette chatte ? Deux, trois ?
J’étais déjà tellement ouverte, deux, trois et puis même quatre, j’ai giclé un peu. Ma main était trempée, le siège aussi.
— J’adore ça ! Ecarte-moi ça avec tes deux mains, je veux être sûr qu’il y a assez de place pour ton gode... Putain tu es à un de ces niveaux d’excitation là, j’aimerai tellement pouvoir te baiser en vrai ! OK... t’es profonde, je crois de ce côté-là aussi, je suis ravi de voir que ta chatte est en parfaite harmonie avec ton cerveau. Baise-toi avec le gode, je veux voir ce monstre entrer et sortir, je veux voir ta mouille couler dessus. Fais-toi jouir, je veux te voir et t’entendre jouir petite pute !
J’ai attrapé mon gode, j’ai joué à faire entrer et sortir juste le gland tout en excitant mon clito »
— Alors... t’imagines le bout de ta queue qui pénètre là ? Imagine, c’est chaud, glissant, ça ne demande qu’à aller plus loin. Tu veux que j’aille plus loin ?
Il se branlait comme un fou...
— Ah t’aimes jouer salope... Enfonce-le ! Je veux voir ta chatte remplie, je veux que tu te fasses jouir comme la petite pute que tu es, je veux gicler en te voyant jouir !
J’ai ventousé le gode à mon siège et je me suis empalée dessus comme si c’était une vraie bite. J’ai baisé ce bout de plastique comme si c’était la queue que je voyais devant mes yeux et je me suis mise à jouir, on aurait dit les râles d’animal en rut... ici, et derrière l’écran aussi... et là j’ai vu en direct son foutre gicler, je l’ai pris comme une offrande. Mon premier orgasme virtuel synchrone.
— Putain... J’ai presque cru que je te baisais en vraie petite pute. Tu me faisais déjà jouir avec tes mots et maintenant ça... mais t’étais où avant ?
On a renouvelé l’expérience souvent... Un jour il m’a demandé si je pourrais me mettre ce gode dans le cul. Trop gros j’ai dit. Je n’ai jamais pris autre chose que deux ou trois doigts à cet endroit.
— OK... alors je crois qu’il est temps qu’on se rencontre. Je veux te pénétrer par tous les orifices. Je vais dépuceler ton cul et te baiser comme une petite chienne. Je veux qu’on se voie, qu’on joue ensemble, qu’on explore nos fantasmes tordus, qu’on repousse nos limites.
Et voilà, je suis installée à cette terrasse, j’ai fini mon café et je suis à dix minutes de cette rencontre. Je flippe... et je suis excitée aussi, il faut bien l’avouer.
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