Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 83 J'aime
  • 0 Commentaire

Entre réalité et fantasme ?

Chapitre 2

Tellement fluide

Divers
Mon téléphone vibre, un message... « Bonjour ! » et là un mec s’assoit à ma table. C’est lui.
— Désolé, je ne te laisse pas le choix de t’enfuir par mon approche ! Tu vas bien ?
M’enfuir ? Pourquoi ? Il me plaît immédiatement. Regard franc, joli sourire, visage très agréable... et le corps je sais déjà qu’il m’attire.
— Oui je vais bien... et je n’ai pas l’intention de fuir. Comment tu as su que c’était moi ?
Il rit.
— Sérieusement, tu ne peux pas être la femme là, trop vulgaire dans son accoutrement. Ni celle assise près de l’entrée, trop stricte. Quant à la brune là, elle a le charisme d’une huître ! Les autres ne sont pas seules... et puis en vrai aucune ne retiendrait mon attention. — Et t’as vu ça en deux minutes ou tu as exploré l’espace avant ?— Je te mate depuis dix bonnes minutes, j’ai beaucoup aimé ça ! T’avais l’air très concentrée dans tes pensées, j’essayais d’imaginer ce qui pouvait bien trotter dans ta tête. Je sens mon visage rougir, il me trouble et ça m’énerve un peu qu’il puisse le voir.— Je me disais que j’étais dingue. Je repensais à tout ce qui m’a amenée ici.— Ah... et qu’est-ce qui t’a amenée ici ?— L’envie de te rencontrer en chair et en os... Voir un peu ce qui pouvait ressortir de cet étrange rapport que nous entretenons.— Nickel, encore une fois on a les mêmes objectifs ! Moi aussi je suis curieux de voir ce que ça peut donner toi et moi. J’adore discuter avec toi, c’est toujours passionnant, je ne m’ennuie jamais avec toi et c’est assez rare pour explorer ça. Et puis je meurs d’envie de te baiser depuis tout ce temps, on va pas se mentir !— Alors comme tu dis c’est nickel, on a les mêmes objectifs.
Le serveur nous interrompt, je reprends un café, il fait de même. On reste là une bonne heure. Il me dit s’appeler Damien, moi Eve, jusque-là on ne se nommait pas... je crois que déjà on sait l’un comme l’autre que c’est faux, mais ce n’est pas un problème. Si les prénoms sont faux, notre discussion est vraie, drôle, passionnée, d’une fluidité incroyable. Moi qui craignais d’être mal à l’aise je suis ravie. On décide de partir en quête d’un hôtel, après tout nous sommes tous les deux touristes ici. Notre choix se porte sur un établissement pas très loin de la gare, la chambre sera disponible d’ici deux heures, on peut déposer nos bagages en attendant. Deux heures à tuer... ça tombe bien, tuer le temps c’est ce qui nous a connectés. Déjà 13h, on se prend un sandwich et on se balade dans la ville, il fait chaud, on décide de profiter de la morsure du soleil, posés sur l’herbe dans un parc. Il se cale derrière moi, je sens qu’il bande.
Ses bras autour de mon cou, sa main droite glisse discrètement dans l’échancrure de ma robe et ses doigts commencent à triturer mon téton gauche qui durcit quasi instantanément.
— Hum, pas de soutif...— Non j’aime pas, ça m’emprisonne et puis il fait chaud. Inutile de s’encombrer de tissu inutile.
— Donc à part cette longue robe, il n’y a rien ?— Non, rien.— Il faut que je vérifie ça, non ? Tu en penses quoi ?
Il resserre son étreinte, me pince le téton très fort et défait deux boutons de ma robe avec son autre main qu’il glisse dans l’ouverture. J’écarte légèrement les cuisses.
— Ah... tu as choisi l’option triangle à ce que je vois ! C’est un truc qui m’intrigue chez toi... Tout lisse entre les cuisses, mais quand même ça.
Il passe ses doigts doucement sur mes lèvres lisses, elles s’ouvrent naturellement, il étale la cyprine qui affleure jusqu’à mon clitoris et joue un peu avec et brusquement, il remonte sa main et il tire les poils de mon pubis. Délicieux !
— C’est pour ça que tu les gardes ? Tu aimes qu’on les agrippe ? — Oui tu as tout compris... Et puis en règle générale, j’aime pas ce qui est lisse !— Je trouve ça intéressant, ça change un peu. Mais un jour, je te raserai complètement la chatte !
Je ne trouve rien à répondre, je suis sidérée par la facilité avec laquelle on bascule au sexe dans le réel. Il vient de m’enfiler deux doigts, je suis concentrée sur les sensations que ça me procure et sur le fait que nous sommes en public. Apparemment, la situation l’amuse beaucoup.
— Tu aimes ça hein ? Tu voudrais t’ouvrir plus, mais là c’est pas possible, tous ces gens qui se promènent... ça t’excite de te faire fouiller là en public, t’es toute mouillée, tu sens ? Hum... trois doigts, facile !
J’ai du mal à garder une contenance, j’avoue, la situation me chauffe au moins tout autant que ses doigts qui me pénètrent et le fait d’être obligée de faire comme si de rien n’était accentue mon trouble. Je décide d’essayer de reprendre un peu le dessus, je cherche sa bouche, j’enroule ma langue autour de la sienne et puis je l’aspire. Il relâche légèrement la pression, je lui tète la langue avec avidité. Il retire sa main et vient la poser près de nos lèvres pour me faire lâcher ma succion, il fourre ses doigts dans ma bouche et y met des petits coups de langue.
— Hum, tu as bon goût... Regarde le mec là-bas derrière le buisson, il donnerait sûrement cher pour être à ma place !
En effet, un gars est posé à quelques mètres de nous et il nous mate tranquillement, je crois distinguer son bras droit qui s’agite légèrement, mais le buisson masque le bas de son corps.Damien éclate de rire.
— Il se branle ce con ! Désolé mon gars, c’est moi qui vais profiter ! Allez viens, il est 15h passé, notre chambre doit être prête, on va pouvoir passer aux choses sérieuses.
Je remets vite fait les boutons de ma robe et on se lève. Vicieux, il nous fait passer juste devant le mec et lui claque qu’il sait pas ce qu’il rate parce que je suis grave bonne. Je suis toute rouge et le type me lance un regard concupiscent.On arrive rapidement à l’hôtel, on récupère la carte et nos bagages. La chambre est au quatrième étage. Dans l’ascenseur, il se colle derrière moi face au miroir, déboutonne le haut de ma robe et prend mes seins dans ses mains, il pince les tétons avec le pouce et l’index et les remonte vers ma bouche.
— Hum, c’est dingue comme ils bandent, lèche-les pour voir ! Mate-moi comme tu as l’air vicieuse comme ça la langue pendue ! On va bien s’amuser toi et moi ! Mais je préfère te prévenir, là je vais te baiser direct ! J’ai déjà trop attendu ! On jouera après, là faut juste que je te baise !
Je sens son sexe dur contre mon cul, ma chatte ouverte comme un gouffre et tout ce que je veux c’est qu’on arrive vite au 4e.Il tient sa parole, on sort de l’ascenseur, heureusement qu’il n’y a personne, j’ai les seins à moitié à l’air. La chambre est au bout du couloir, il ouvre la porte, met la plaquette « ne pas déranger », prend mes bagages et les jette sur le lit avec les siens. Il me colle au mur et achève d’enlever les boutons de ma robe, j’ouvre son jean, sa bite est enfin libérée, elle est dressée prête à l’usage. Il fait glisser ma robe au sol, me lèche les seins à son tour, les mord et fourre ses doigts dans ma chatte. Sa fouille frénétique a pour effet de me faire gicler presque immédiatement.
— Oh putain ! J’adore ça, c’est énorme ! Ah je vais te niquer tellement fort !
Il me retourne contre le mur, voit qu’il y a un miroir un peu plus loin. Il m’attrape par les cheveux et m’amène devant. Je suis comme un pantin, j’ai juste envie qu’il me prenne. Je me retrouve face au miroir, mon regard me choque, il a une drôle de lueur, on dirait une dépravée. Il me cambre brutalement et m’enfonce son chibre d’un seul coup, il m’agrippe toujours les cheveux et m’oblige à nous regarder, à me regarder.
— T’as vu comme tu es bandante ! Enfin je te possède ! T’aimes ça hein sentir ma queue te posséder !?! Je le vois dans tes yeux ! Petite pute, t’es bonne, je vais te défoncer !
Je n’ai pas de mot, la bouche ouverte et les yeux écarquillés, je suis submergée par le plaisir. Il me pilonne brutalement, je sens chaque coup tout au fond de moi, j’ai comme des décharges électriques dans la colonne vertébrale. D’un seul coup, il ralentit, me fait mettre à quatre pattes et reprend sa cadence effrénée.
— Regarde-toi ! Une vraie femelle en chaleur ! Tout à l’heure, je te la mettrais là...
Pendant qu’il me défonce la chatte, il m’enfonce un doigt dans le cul, puis deux. Il ralentit, mais je suis affamée, c’est moi qui reprends le rythme. Je m’empale de toutes mes forces sur sa bite pendant que ses doigts continuent d’aller et venir dans mon cul et je ne peux plus retenir mes râles. Je nous vois dans le miroir, je ne me reconnais pas tout à fait et en même temps j’ai l’impression de voir enfin la garce que j’ai toujours su que j’étais au fond de moi, drôle de sensation en vérité...
— Je vais bientôt venir... Je veux gicler sur tes seins. Tes seins me font tellement bander depuis tout ce temps ! Je veux gicler dessus et je veux que tu étales mon foutre dessus en me regardant dans les yeux. Tu peux faire ça tu crois ?
Je n’ai pas répondu, je l’ai juste regardé et j’ai souri. Il a quitté mon con, s’est levé, m’a attrapé les cheveux pour me redresser, il s’est branlé vite fait et il a craché son jus sur mes seins. C’était chaud, j’ai étalé le fluide avec application, mes yeux plantés dans les siens, puis j’ai porté mes doigts à ma bouche. J’ai vu son regard tressaillir.
— Mais quelle salope quand même... je te l’ai déjà dit souvent, mais encore une fois, t’étais où avant ?
J’ai souri et puis j’ai léché le sperme qui était sur sa queue, doucement, en prenant soin de bien déglutir entre chaque coup de langue, pour qu’elle soit bien râpeuse, pour bien l’assécher. Quand j’ai eu fini, il m’a relevée et on s’est embrassé.— Viens on va se doucher et puis on sort manger un truc, tout ça m’a donné faim.
Diffuse en direct !
Regarder son live