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Entre tata et la prof de maths : Un plaisir sans limites

Chapitre 1

A chaque femme, son odeur.

Avec plusieurs femmes
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A la manière de la plus performante des agences de presse, ma mère informe le monde entier que son rejeton (comprendre mon honorable personne) a décroché son bac, avec mention très bien (elle insiste bien dessus), et qu’il va partir à la capitale, à la fin de l’été, pour suivre des études supérieures, et revenir avec un diplôme d’ingénieur.«Tata», une lointaine cousine de ma mère, installée dans la capitale, depuis son mariage avec son professeur à l’université, a téléphoné, en premier pour exprimer avec une joie insoupçonnable ses félicitations, ainsi que celles de son mari, à ce «petit» qui est devenu un brave homme. Aussi, elle a juré par tous les saints, que je résiderai chez elle. Pas besoin alors, de postuler pour une chambre au foyer universitaire, ou encore louer un quelconque exigu appartement, très cher et surtout miteux. Sans oublier les loyers exorbitants.Elle a conclu, pour couper net à tout éventuel refus, qu’un jeune comme moi, ne doit pas perdre son temps à laver ses vêtements, ou à se préparer à manger, sachant (ma mère est pleinement de son avis) que les garçons de cette génération ne savent ni laver une chaussette, ni cuire un œuf.Le Secrétaire des Nations-Unies, entouré d’une batterie de conseillers, ne peut apporter plus d’arguments. Surtout que Tata a conclu, qu’elle habite à cinq minutes de l’université… Mais aussi et essentiellement, que mari, professeur dans cette même université, est non seulement heureux de me recevoir, mais surtout suivra mes études. Elle a rappelé en guise de mise en garde, qu’un garçon comme moi, même avec une mention très bien, risque d’être détourné de ses études par une des tentations, dont regorge la capitale.De ce fait, mon séjour à la capitale, chez Tata et son mari, n’est plus un choix, ni pour moi, et encore moins pour ma famille, mais une obligation. Ma mère en voit toujours un «miracle».Une semaine après, Tata téléphone à ma mère, pour l’informer avec tout le sérieux du monde que son mari, veut me parler. Ne me trouvant pas à la maison, ma mère a sonné l’alerte générale : Le mari de Tata (Tonton) va m’appeler à neuf heures du soir.Ma mère dans son souci de tout parfaire, me retient à côté d’elle, dès sept heures du soir. Le téléphone sonne au moment, où la grande pendule du salon résonne neuf fois.Tonton du haut de son habituel ton autoritaire, mais toujours calme et serein, me somme de rejoindre la capitale le plus tôt possible, car il compte lancer un club scientifique à l’université, et il veut que je sois le premier inscrit. Il faut savoir le «vouloir» de ce docteur est plutôt compris, comme toujours en «diktat» indiscutable. «Le premier inscrit», veut dire pour ma mère «un départ sur le champ», par le moyen le plus rapide : Le premier train pour la capitale, qui part, le lendemain.En un millionième de secondes après la clôture de la communication, ma mère court vers la chambre à coucher, A la vitesse de Tom & Jerry, elle vide deux valises, se dirige vers ma chambre, emballe mes affaires, et respire un moment. Puis elle téléphone à la femme du chef de gare, une de ses amies les plus proches, pour lui demander l’heure du départ du premier train pour la capitale, et l’heure de l’arrivée, et surtout dire à son mari, comme il le fait souvent, de me prendre un billet. Ensuite, elle téléphone à Tata, pour l’informer de mon départ, et surtout, pour bien préciser l’heure d’arrivée.Après ce marathon, elle me fait l’habituelle leçon, de n’accorder d’importance autre, qu’à mes études. 
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Avant même de fouler la terre de la capitale, j’entends mon prénom. Je tourne la tête, pour voir ma Tata me faire signe. Je me dirige vers elle, et je découvre son mari un peu en retrait. Elle me saute au cou, me serre très fort, avec une rafale de bises sur les joues. Le salut de son mari est cordial, mais moins physique.Dans le voiture, Tata me fait subir un interrogatoire à la Gestapo…. Avec des mises en garde très claires et absolument nettes. En premier, que je suis à la capitale pour décrocher un diplôme avec la plus prestigieuse des mentions.En conclusion, une autre mise en garde, non moins sévère que la première, contre les filles de capitale, qui sont toutes dévergondées. Elle se tourne à son mari, comme pour lui demander son avis. Il confirme d’un mouvement de la tête. 
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Une précision concernant ma Tata : Elle avoisine la cinquantaine, femme de teint clair, cheveux châtains. Toujours maquillée d’une manière légère, de quoi offrir à son visage un éclat unique. Elle est de taille moyenne. Avec quelques kilos en plus.Elle fut la première fille de la famille à rejoindre l’université. Uniquement, pour un semestre, car elle a épousé son professeur, qui a préféré la mettre à la maison, aux premières signes de grossesse.
Le couple a un fils unique, qui après avoir décroché tous les diplômes possibles, a préféré immigrer aux Etats-Unis. Et ne plus revenir. 
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Tata a exploité le repas pour poursuivre son interrogatoire, et le pousser aux dimensions intimes. Pour savoir surtout si j’ai une amoureuse. Mes réponses évasives, enrobées d’une timidité flagrante, déclenchent un rire fou de Tata, et un sourire complaisant de son mari.J’ai passé l’après-midi dans l’immense bibliothèque du mari, accompagné du maitre des lieux, qui a trouvé mes questions plus qu’intéressantes, au point de chasser sa femme, par deux fois, qui propose une sortie, tant le temps est beau, avec un ciel bleu, et une température plus que modérée.Après un dîner léger, Tata me guide vers la salle de bain, où elle me montre des sous-vêtements et un pyjama, neufs, et m’ordonne dans son rire habitue :
-       Tu te laves bien et partout.
Je réponds par un «oui» timide.
-       Sinon, je peux t’aider à le faire.-       Pas la peine.
Elle quitte la salle de bain avec son éternel rire.Je prends mon temps pour bien me nettoyer. Je me présente après au salon…. 
-       Oh….
Dans un étonnement total, Tata se dirige vers moi, me caresse la joue tendrement, et s’adresse à son mari pour dire :
-       Tu vois combien il est beau.
Le mari confirme d’un geste de la tête, et ajoute :
-       Viril surtout.-       Je le pense aussi.-       Il a la tête pleine.-       Et un beau corps.
Le mari se lève et dit :
-       Je vais dormir.
En quittant le salon, il ne dirige pas vers la chambre à coucher, me regardes dans les yeux et dit dans un ton plus que solennel :
-       De ce jour, je t’offre toute ma bibliothèque.
Il regarde sa femme et me regarde et dit dans le même ton :
-       C’est toi, qui va coucher avec Tata.
Avant de constater ou d’attendre ma réaction, et encore moins ma réponse, il tourne, et file vers la chambre d’amis, y entre, et ferme doucement la porte.Un silence pesant s’installe sur les lieux. Un regard interrogatif de ma part. Tata, d’habitude souriante et joyeuse, semble dans un l’embarras total. Elle me tire par la main vers la chambre à coucher, et ferme la porte.Elle se met sur le bord du lit, me prend la main, et semble plus que confuse. Puis, me regarde dans les yeux, et me dit très tendrement :
-       Tu es très beau… Tu es devenu un homme.-       …..
Elle s’approche de moi, me prend la tête entre ses mains, et me regarde dans les yeux, prend tendrement ma lèvre inférieure entre ses lèvres, la suce affectueusement, et la relâche. Mon érection est immédiate, et surtout très forte, avec des battements de cœur, que je pense audibles à des dizaines de mètres.Elle continue à me regarder avec une tendresse grandissante. Son regard se dirige vers la bosse entre les cuisses, paraît confuse, et me dit :
-       Tu es devenu un bel homme.
Puis se colle à moi, me serre très fort, et me dit :
-       Mon homme à moi.
Cette position décuple mon excitation. Je l’embrasse tendrement sur la bouche d’une manière très douce, elle gémit avec douceur :
-       Ouiiiiiiiiiiiiiiiii. Je suis à toi.
Nos corps se frottent. Elle m’immobilise, en mettent sa cuisse entre les jambes. Elle sent mon érection :
-       Oh….
Je la tire doucement vers le lit, on s’étend, et commence alors un tendre échange de baisers. Nos corps, tels deux aimants, se rapprochent, et se collent…. Habillée d’un pyjama comme le mien, Tata se frotte contre moi, sa poitrine en premier. Des seins ronds et bien proportionnés m’offrent à la fois de la tendresse et de l’excitation.Je suce sa lèvre inférieure, exactement à sa manière…. Elle gémit, recule sa tête et m’offre son cou. Je commence par balader ma langue, très tendrement, au point de repasser sur les mêmes lieux. Elle gémit, et ses mains cherchent à me caresser le dos, pour me garder le plus près d’elle.Je suis très excité, en érection folle au contact de ce corps, qui se tortille entre mes mains. Une autre source d’excitation non moins importante, à savoir son odeur. Depuis ma jeunesse, en faisant la bise à Tata, ou même en passant à côté d’elle, je n’ai jamais raté cette odeur particulière. Une odeur qu’aucune autre femme ne possède. Une sorte de sueur, qu’aucun parfum ne peut supplanter. Toute une mémoire se réveille, pour quadrupler ou même plus mon excitation.A cette odeur qui se réveille, ou plutôt réveille en moi une excitation autre, se mêle une autre odeur, inconnue aux archives de mon système olfactif, mais à la fois très forte, et surtout porte mon excitation à un niveau inconnu, mais aussi indéfinissable. Je me sens autre. Je ne suis pas à ma première expérience sexuelle, ou encore à passer une nuit entière avec une femme. Avant cette nuit, j’étais toujours à la recherche d’un orgasme, d’un plaisir, d’une éjaculation, qui doit conclure l’acte, et sentir cet extraordinaire soulagement.  
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Mon premier rapport sexuel, comprendre ma première éjaculation dans une femme, fut rapide, même très rapide. Une cousine professeur de mathématiques, divorcée, s’est portée volontaire, pour me donner l’année de mon bac, des cours particuliers, chez elle.A la première leçon, elle a mis une robe tablier, et en position assise, l’espace entre les boutons, laissait voir des pans de son corps, tant elle ne portait, au-dessous, qu’un soutien-gorge et un slip. Elle a remarqué la bosse entre mes cuisses. Sa surprise fut grande, et elle m’a demandé, si elle est la cause. Je baisse la tête. Sous son insistance, je confirme d’un mouvement de ma tête. Elle m’a ordonné de baisser mon pantalon. Sans attendre mon autorisation, sa main a défait les boutons de mon pantalon, et a baissé mon slip. Je ne peux oublier son étonnement, et son cri que je suis un homme, et même mieux loti que beaucoup.Sa première réaction a été d’ouvrir les boutons de sa robe pour faire découvrir ses cuisses, puis a enlevé son slip. Tout en restant assise, elle m’a demandé de m’approcher. J’ai senti sa main guider mon sexe. Si je dois garder en mémoire une chose de cette première pénétration, la chaleur du lieu, sera l’unique souvenir que je garde encore. Par sa main, elle me fait comprendre que je dois opérer des va-et-vient. Cinq secondes, et mon jet de sperme a rempli le sexe de cette enseignante de mathématiques, qui n’a pu cacher ni sa surprise, ni sa déception. Elle m’a demandé, si je suis à mon premier rapport avec une femme. J’ai confirmé d’un mouvement de ma tête timidement. Sa réponse fut claire, à savoir que la taille de mon sexe, mais aussi mon éjaculation, font de moi un homme. Mais me dit avec douceur qu’on va aller dans sa chambre, et que je dois me contrôler. Car elle aussi veut sa part du plaisir.Dans son lit, et les jours qui ont suivi, j’ai appris à me contrôler, et à me soucier surtout du plaisir de ma partenaire. Je suis devenu accro au sexe au point de demander à ma cousine au moins deux rapports par jour. Sa proposition de faire appel à une collègue à elle, pour me soulager, n’a eu aucun effet sur moi. Satisfaire mon besoin est de loin plus important que l’identité de la partenaire. Le seul problème qu’on a fini par résoudre, est la manière de convaincre ma mère, aussi bien de passer la plupart du temps chez cette cousine «bénévole», que passer, quelques fois, la nuit chez elle.Aucune différence entre les deux corps. Le rapport sexuel est un besoin indépendant de l’identité de la femme : Toutes sont pareilles, tant je peux jouir et faire jouir.Aussi, je n’avais aucune conscience des autres combinaisons du plaisir, à savoir la fellation, le cunnilingus, ou le sexe à trois. Le sujet n’a jamais été évoqué ni par moi, ni par mes deux partenaires, avant que la collègue de ma cousine ne rapporte une revue pornographique, riche en photos montrant toutes ces combinaisons. La lecture des textes qui accompagnent ces photos, a été plus qu’utile, pour nous lancer, timidement de la part de mes deux femmes dans la fellation, et avec beaucoup plus d’audace de ma part dans le cunnilingus. Concernant le sexe à trois, l’idée fut refusée, même si mes deux complices acceptent que je prenne l’une devant l’autre, qui attend son tour, avec tous les commentaires et suggestions, possibles et pensables. Le refus concerne le trio ensemble sur le même lit, et encore plus les attouchements entre femmes. 
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Cette nuit, avec Tata, je ne peux nier cette quête de plaisir, d’orgasme, et cette envie d’éjaculer. Reste une sensation nouvelle : L’acte en soi est un plaisir, indépendant totalement de la jouissance finale.Une sensation inédite : L’identité de la partenaire est déterminante de l’intensité du plaisir. Le corps de Tata, ses deux odeurs, et sa manière d’embrasser, ou de me rendre les baisers, constituent la preuve que je vais recevoir ce que je ne peux recevoir ailleurs.Après un ratissage au long et au large d’un cou tellement offert, j’opte pour une migration, ou plutôt un saut à l’oreille. Je suce le lope très délicatement, ma Tata adorable, sursaute et gémit :
-       Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Je change d’arme. De la douceur de mes lèvres, je passe à ma langue tendue et pointue, qui attaque le fond de l’oreille. Ma partenaire sursaute. Je la bloque, et je continue à pousser ma langue à fond. Elle est entrée en rébellion :
-       S’il te plait, tu me tues.
Sans répondre, je glisse ma langue qui a repris sa fonction douce, vers son cou, et delà, en direction de cette poitrine, qui s’offre en terre fertile mais avide d’une langue qui commence à peine sa balade.La surface disponible devant ma langue, est exiguë. J’ai beau fait des va-et-vient, toujours avec un plaisir inlassable, mais l’envie de progresser est encore plus forte. Tata sent ce besoin en elle d’offrir plus de terrain devant ma langue, et ce besoin en moi de défricher ce terrain encore inconnu pour moi. Elle déboutonne le haut de son pyjama. Je l’aide à l’enlever. Elle me regarde dans les yeux, puis regarde sa poitrine, comme pour me dire qu’elle s’offre à moi.Je commence par balader ma langue pointue, ou plutôt tracer la frontière entre la partie couverte par le soutien-gorge et la partie fraichement mise à nu.Elle sursaute, gonfle sa poitrine en haussant son buste. Je refais ce même traçage plusieurs fois. Ma Tata devient folle, elle gémit très fort :
-       Enlève le.-       Pas encore.
Je baisse les bretelles du soutien au maximum, de quoi faire baisser un peu le soutien, et m’offrir une surface inconnue de cette poitrine. Une surface tendre aussi, tant je commence à lécher le début des deux seins. Il est temps de ranger la langue, pour laisser la place à mes dents, qui trouvent un plaisir fou à mordiller cette chair tendre et surtout sensible. Aussi, sauter sur le soutien, et mordre la bouche grande ouverte chacun des seins, à travers le soutien, qui joue le rôle d’amortisseur, tant je mords de toutes mes forces, ou presque :
-       Salop, tu me tues.
Ma réponse vient à travers des morsures plus fortes. Elle commence à crier. Elle tente de glisser le soutien vers son ventre. Je glisse ma main derrière son dos, elle m’aide en soulevant son buste, pour que je puisse dégrever le soutien, qu’elle tire avec force, et le jette très loin, comme se débarrasse un prisonnier des menottes qu’il n’a pas enlevées depuis des années.Elle s’empare de ma tête, qu’elle dirige vers un sein, et dit :
-       Mords moi très fort.
Je commence par des morsures résonnées. Elle m’ordonne dans une voix plus qu’autoritaire :
-       Encore… Encore… Encore….
Je plante mes dents encore plus fort :
-       S’il te plait, fais moi très mal…. J’ai follement envie.
Je n’ai pas le courage de succomber dans un jeu sadomasochiste. Mes morsures altèrent les deux seins, et elle crie entre joie et douleurs.Je sens le besoin d’une «opération déversoir», je tape entre ses cuisses en essayant la pénétrer à travers le bas du pyjama et le string, avec mes doigts. Elle sursaute comme une folle, et comme par réflexe, ouvre grandes ses cuisses :
-       Oui mon adorable homme.
Mes doigts ont poussé le pyjama et le string dans son sexe assez tellement fort, pour sentir sur mes doigts son liquide en forte quantité.Sans diminuer l’intensité des morsures, je fais glisser, le pyjama pour l’enlever. Tata s’empresse de se débarrasser aussi bien du pyjama que du string, que je retiens.La voilà en string uniquement. Je saute brusquement, pour me placer entre ses cuisses, me mettre à genoux, et enfoncer ma tête entre ses cuisses. Le string mouillé, ne cache rien. Ma langue se balade à l’aise entre un clitoris plus que sensible, et un fond plus qu’ouvert à toutes les propositions.Je trouve enfin une réponse à la question concernant la deuxième odeur, que je suis en train de prendre dans ma bouche.Je fais intervenir mes doigts dans cette opération «conjointe», qui s’offrent une pénétration dans un fond chaud et doux, à la fois.Les forces engagées dans cette opération spéciale, arrivent à conjuguer leurs efforts, et les varier aussi. Les doigts assurent une pénétration, mais se permettent de caresser le clitoris, aussi. Les dents mordillent le clitoris mais se permettent aussi d’offrir ce service aux lèvres gonflées. Les lèvres passent du clitoris aux lèvres, mais aussi aspirent le sexe en entier.La coordination est plus que parfaite. Tata me tient la tête et commence à gémir :
-       Fais jouir ta Tata… Ta pute… Ta chienne….
Même si j’ai de plus en plus mal, à dominer l’ondulation de ce bassin qui passe à des sursauts, j’arrive à conduire tout ce corps, vers une résonnance totale. Elle crie tellement fort, se crispe, et ferme ses cuisses pour emprisonner ma tête.J’ordonne aux forces engagées dans le combat, de tout stopper, pour permettre à ce corps pour se réveiller à l’aise.Tata commence par se relâcher et libérer ma tête, puis à gémir tendrement, jusqu’à me dire :
-       Je viens de recevoir un plaisir inconnu.
Elle m’embrasse sur la bouche tendrement :
-       Un premier cunnilingus…
Elle me regarde avec calme :
-       Oui… Mon premier cunnilingus.
Soudain, elle redevient la Tata joyeuse :
-       Il ne sera pas le dernier, j’en suis plus que certaine. 
 
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A suivre….
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