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Entre tata et la prof de maths : Un plaisir sans limites

Chapitre 2

Une femme qui a toujours faim.

Avec plusieurs femmes
Tata respire très fort, et me dit avec douceur :
— Tu es mon homme...— Je peux poser une question ?— Toutes les questions du monde.— Je veux savoir pourquoi tonton...— Je comprends : pourquoi il t’a demandé de coucher avec moi ?
Elle respire très fort, et me dit avec tristesse :
— Il n’a jamais été très porté sur le sexe. Ces dernières années, on n’a presque rien fait.
Elle m’embrasse tendrement, et me dit :
— Il m’a dit que je peux trouver un homme pour satisfaire mon désir.
Elle s’étend sur le lit, et m’invite à faire de même. A la place de la femme joyeuse et toujours de bonne humeur, je constate une triste, et même qu’elle est au bord des larmes. Je la console, en la prenant dans mes bras.Elle prend quelques minutes pour se calmer, et me dit qu’elle n’a jamais eu le courage de le faire, et même ne peut pas s’imaginer dans les bras de quelqu’un qui puisse penser, même une fois, qu’elle est la « pute » femme d’un « cocu ».Elle me dit que notre cousine commune, celle qui enseigne les mathématiques, est passée au début de l’année, et a raconté à Tata notre secret, et comment je suis déjà un homme viril, bien membré, et entreprenant. Surtout, comment je suis plus que discret, et pas le genre à se vanter, et étaler mes conquêtes devant les jeunes de mon âge. Elle se relève un peu, frotte ses yeux, et ajoute qu’elle a parlé à son mari, qui a trouvé l’idée géniale. Elle respire fort, et me dit :
— Voilà, tu sais tout.
Je l’embrasse tendrement, et je la prends dans mes bras. Elle se fond et me dit en toute douceur, qu’elle fera toute, pour mon bonheur, ma réussite, et pour faire de moi un homme dont elle sera fière.Ma main se balade sur ses cuisses, je la sens excitée. Son bassin recule et ses jambes s’écartent, pour m’offrir son intimité. Sa respiration dénote une excitation plus que foudroyante.

— Pénètre-moi.
Elle se couche sur le lit, ouvre ses bras, écarte encore plus ses jambes, et me fait signe de la prendre. A ce moment, je sens une femelle avide d’une reconnaissance de sa féminité. Se sentir désirée, et essentiellement être prise par son « mâle », qui résume à lui seul, tous les désirs du monde.Je me place à genoux devant elle, et elle lève son bassin au maximum, pour assurer la jonction magique entre un sexe en manque depuis une dizaine d’années, et le mien, qui, pour la première fois, satisfait une envie sexuelle, avec des sentiments certains, pour la femme avec qui il partage, beaucoup plus que la satisfaction de l’instinct sexuel.En ces moments, une approche simpliste et directe est certainement la meilleure. Je place le gland au bord de son sexe, et je m’enfonce en laissant mon corps balancer sur le sien. Elle écarte encore ses cuisses, et me serre très fort dans ses bras :
— Ne bouge pas, s’il te plaît.
Je reste immobile, avec un silence qui laisse nos deux respirations dominer les lieux. Sa main commence à caresser mes cuisses. Doucement, la bête du sexe se réveille, et nos deux bouches se cherchent, se collent, entre amour et désir, et, sensualité et envie charnelle, mais surtout une complémentarité qui s’annonce totale, entre une femme en quête de bonheur, et un jeune qui trouve enfin une jonction entre sentiment et sexe.
L’ondulation de son bassin augmente d’amplitude, et mon va-et-vient de force. L’harmonie est absolue entre deux corps, qui se sont emboîtés l’un dans l’autre, par la plus enchantante des magies.Nos deux corps transpirent, de quoi lubrifier nos mouvements. Je suce les lèvres, je les mordille aussi, puis je dégage mon buste pour m’occuper de ses seins. Sa respiration laisse la place à des gémissements, qui dénotent un plaisir grandissant. Je mords les tétons, tout en glissant ma main pour chercher son clito. Le passage est difficile entre deux corps qui se frottent, mais cette peine en vaut son sursaut. Elle entre dans un mouvement de transe.
— Salopard, tu me tues.
Ses mots m’excitent encore. Mon pilonnage augmente de fréquence. Elle crie plus fort encore, et cherche à me serrer dans ses bras. Même si j’ai des difficultés à exciter son clitoris, et assurer un pilonnage très fort, je sens ma partenaire onduler à l’extrême son bassin, au gré des gémissements qui deviennent de plus en plus forts.
— Salopard, tu m’as tuée.
Elle se crispe et se colle à moi. Mon sperme est au rendez-vous. Le jet décuple sa vibration, pour s’effondrer totalement. Je me sens vide, et incapable de bouger. Je ne peux préciser le temps qu’on a passé, jusqu’à ce que Tata commence à me caresser le dos.
— Envie de prendre une douche.— On va le prendre à deux.
Je m’étends sur le dos, sa main cherche la mienne, pour passer son petit doigt autour du mien, et me serrer très fort.
— Je suis plus qu’heureuse.
Elle tourne sa tête et m’envoie un baiser, puis se lève. Mon sperme commence à couler sur ses cuisses.
— On s’habille avant...— Non, pourquoi ?
Elle redevient cette Tata joyeuse et bruyante. Dans la salle de bain, elle laisse la porte ouverte, je la ferme. Elle me dit tendrement, en entrant sous la douche, que je dois être à mon aise, et ne pas me gêner.L’eau tiède commence à couler, pour me réveiller un peu, et me faire rappeler tout le parcours que je viens d’effectuer en quelques heures. Un passage d’une petite ville, de ce bachelier rêveur, à un homme accompli qui va vivre pleinement sa sexualité avec une femme plus qu’avide, et surtout un couple singulier.Elle me passe le savon, et me frotte le corps, et me dit :
— Je veux être toujours avec toi sous la douche.
Tata savonne mon sexe et me masturbe avec force. Mon érection est immédiate. Elle me sourit et me dit qu’elle ne peut que répondre à l’appel. A genoux, une fellation commence sous l’eau qui coule. Je tiens sa tête avec force, et je la force à prendre mon sexe au fond de sa gorge. Elle ne refuse pas, et semble aimer. Je la prends par la main, debout, je l’embrasse tendrement, puis je la tourne et je mordille son cou, elle se tortille, et laisse exprimer un gémissement fort.
— Je t’aime mon adorable étalon.— Je t’aime mon adorable jument.
Elle frotte ses fesses contre mon sexe. Je l’incline un peu. Comprenant mon intention, et mon sexe est déjà au fond de son vagin encore tiède. Elle gémit, et me traite de tous les mots. Je pilonne très fort en la tenant par les hanches.
— Tu aimes salope ?— Ta salope adore tout de mon salopard.
L’eau coule sur son dos et finit entre ses cuisses pour lubrifier une pénétration qui augmente de cadence. Elle s’incline encore plus, et se laisse guider. Je diminue brusquement le rythme, pour un ralenti très doux.
— Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii...
Je garde ce rythme, elle gémit avec douceur, et exprime sa satisfaction. Par moments, j’accélère, pour revenir à une vitesse moindre.Ce changement de vitesse semble plaire à ma partenaire, qui change au gré du rythme ses gémissements.Je prends la décision de porter la vitesse à son maximum. Elle semble aimer, et me demander de continuer. L’accélération est à son point fort. L’eau ne peut refroidir l’ardeur de ce corps chaud. Elle se bloque, et s’incline totalement.
Elle se met à genoux devant moi, prend mon sexe, et le masturbe, et accélère son mouvement. L’engouement que je remarque dans les yeux de cette femme qui compte rattraper le temps perdu.Elle me regarde dans les yeux, et ne détourne sa vue, qu’au moment de l’éjaculation. Une série de jets. Le premier atteint sa poitrine. Elle avance sa tête pour recevoir le reste sur son visage. Tata semble en communion totale, les yeux fermés. L’eau a emporté le sperme sans réduire en rien la dimension magique du moment.Elle ouvre les yeux, se met debout, et m’embrasse tendrement.En sortant de la douche, elle me tend une grande serviette, et commence à essuyer avec une autre. En sortant de la salle de bain, je lui dis que j’ai faim. Avec un baiser tendre, elle me demande de l’attendre dans la chambre à coucher.
Elle tarde quelques minutes, et amène un plat garni :
— Je t’ai vidé...
Elle rit et me dit :
— Je vais te nourrir.
Elle commence à me nourrir, et me demande si elle peut appeler notre cousine pour lui faire part de son bonheur. Elle téléphone, notre cousine lui répond qu’elle était certaine de cet appel, car elle porte une confiance totale en son poulain. Tata lui répond en riant, que le poulain est devenu un étalon plus que performant. La cousine demande des détails. Tata lui répond en riant, qu’après trois ou quatre orgasmes, elle ne dispose plus de toute sa tête pour compter. A l’étonnement de son interlocutrice, elle annonce en prenant un air sérieux que je suis encore en érection, et qu’elle ne peut que répondre à cet appel.
Notre cousine demande à me parler. Tata me passe le téléphone. Je reçois les compliments, et surtout la fierté de m’avoir initié.Tata me caresse le sexe avec douceur, je me sens dans un autre monde. Notre cousine me demande les raisons de mon silence. Elle insiste, et Tata lui répond avec son rire habituel, qu’elle est train de me branler...
Un fort gémissement, et elle demande ce que je compte faire en réponse. Tata me fait un clin d’œil, et prend une banane du plateau qu’elle a porté, et annonce avec une lumière éblouissante dans ses yeux, qu’elle vient me faire manger le plat principal, et pour le dessert, je dois manger une banane qu’elle va s’enfoncer dans sa partie intime.
Elle rit et commence à éplucher la banane, tout en me regardant avec toutes les envies de ce monde. Je prends la banane, et il a suffi d’un regard entre ses cuisses, pour qu’elle comprenne que je prends son jeu avec tout le sérieux nécessaire.
La serviette saute comme par enchantement. La voilà, à mordre sa lèvre inférieure, mais surtout prendre position pour s’offrir ce fantasme qu’elle vient d’exprimer.Elle répond à notre cousine avec colère que je vais enfoncer la banane, et qu’elle ne peut plus parler, et met en garde son interlocutrice, de ne plus poser des questions, parce qu’elle ne va pas répondre. Et même à la première question, elle va raccrocher.
Aux gémissements de Tata au contact avec la banane, répond la cousine par un autre, et annonce furtivement qu’elle va se masturber. La banane s’enfonce doucement, et les yeux de Tata semblent comme devenir plus grands, et pleins de larmes.Elle gémit d’une manière forte, mais très courte, au moment de recevoir la banane dans sa totalité. Je ne sais pas laquelle des deux femmes excite plus l’autre, par des gémissements très différents, mais tellement complémentaires.La cousine penche plus vers des phrases complètes, à savoir demander qu’on la baise, tandis que Tata est plutôt dans des cris de plaisirs, sans paroles, ou plutôt rarement. Je m’allonge sur le ventre, pour me lancer dans cette consommation spéciale. Je sais que je dois faire très attention, car la banane peut au contact de la mouille de Tata, et sous l’effet de la chaleur du lieu, se ramollir.
Heureusement que la banane n’est pas mûre. A-t-elle prémédité son coup, et acheté la banane pour cet usage en particulier, ou l’envie est venue sur le moment ?Je dois aussi, chercher à établir un équilibre, entre l’usage de ce fruit comme outil d’excitation, et l’utiliser pour opérer des va-et-vient dans ce lieu magique, mais aussi consommer, et déguster de la sorte une banane induite de la cyprine de mon adorable partenaire.
Tati semble dans les nuages. Le téléphone nous apporte toujours les gémissements, et surtout les divagations de notre cousine, qui annonce ave joie, qu’elle vient de trouver une banane, qu’elle va aussi s’enfoncer.
Pour ma part, induire un mouvement de va-et-vient à une banane enfouie dans le sexe chaud et humide, sans faire usage de mes mains. Uniquement, avec les dents sans couper cette banane, est une prouesse qui doit figurer parmi ces exploits qu’on monte à travers certaines émissions de télévision.
A écouter les gémissements de Tata, que j’ai appris à décoder, et surtout à voir sa manière de se caresser les seins, j’en déduis qu’elle est au septième ciel de tous les plaisirs de ce bas monde.Du téléphone, je perçois toujours la folie verbale de notre cousine, qui exprime sa colère, car la banane s’est brisée dans son sexe. Elle décide selon ses dires d’enfoncer ses doigts au fond, et ensuite sucer.
Tata semble loin, très loin, même à des années-lumière de ce « Fauville » que présente notre complice au téléphone. La banane engloutie, avec un plaisir à la fois sexuel de pouvoir satisfaire cette partenaire, que les délices de goût qu’apporte la cyprine de Tata.Je bouffe ce sexe dans ma bouche, et je fonce à fond avec ma langue. Tata me prend la tête, et la colle avec force à son triangle. Ma langue va encore plus loin, mais en bougeant dans tous les sens :
— Fais-moi jouir avec ta bite...
Je la mets sur le ventre, elle obéit et se place selon ma volonté. Allongée, je me mets sur elle, et ma bite sexe glisse sans besoin de guidage dans son sexe.Les gémissements téléphoniques augmentent d’amplitude. Elle doit jouir, surtout qu’elle m’insulte et implore Tata à lui rendre son étalon.Je ne sais pas si Tata entend ces tirades, mais elle aussi, entame son crescendo. Son bassin ondule, et se bloque pour assurer une pénétration plus profonde. Elle jouit brusquement. Son orgasme et la chaleur de sa source me portent à mon Zénith, j’éjacule et je me couche sur elle.
— J’ai envie de dormir.— Moi aussi.
La voix du téléphone demande de nos nouvelles, et informe qu’elle sera à la capitale demain, et elle veut baiser des jours et des nuits.Je ne pense pas que Tata puisse dans cette situation de transe orgasmique, entendre ou comprendre n’importe quoi.

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A suivre...
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