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Entre tata et la prof de maths : Un plaisir sans limites

Chapitre 3

Retrouvaille plus que délicieuse…

Avec plusieurs femmes
La lumière matinale, même atténuée par un rideau de toile, me pique aux yeux, tant j’ai toujours dormi dans l’obscurité.Situation qui me rappelle que je viens de passer la nuit à faire l’amour avec Tata, qui n’est plus à côté de moi. Je me sens doublement intrigué. En premier, à savoir sortir, ou attendre. En second plan, je suis en érection, tant mon sexe l’est toujours au réveil. Il est vrai que Tonton m’a demandé d’une manière explicite de coucher avec sa femme, je me demande quel sens va prendre notre premier regard.Je me sens pris d’une excitation que je n’ai jamais sentie. À savoir faire l’amour à une femme chaude, tendre et surtout amoureuse, tout en prenant son temps, sans inventer des alibis, comme je faisais, pour passer de temps en temps une nuit, avec la professeur de mathématiques.
— Tu t’es réveillé ?
La voix de Tata a l’effet d’une bombe, qui me rappelle la réalité.
— Je t’apporte un jogging et des sous-vêtements.
Elle n’a pas attendu ma réponse, pour me rappeler que Tonton nous attend pour le petit-déjeuner.J’enfile les sous-vêtements, et le jogging, mon érection est apparente. Tata m’embrasse, et me dit avec tendresse qu’elle va s’occuper de moi, après le petit-déjeuner.Je fais de mon mieux, pour camoufler mon érection. Tata me dit d’un ton moqueur que personne ne peut m’en vouloir...Tonton me reçoit avec un grand sourire, et me demande si j’ai bien dormi. Tata éclate de rire, et dit qu’on n’a dormi qu’au petit matin.Il affiche un air faussement sérieux, et m’informe que je suis libre de passer les nuits à ma guise, mais je ne dois jamais oublier que les études sont de 9 heures à 16 heures, avec une pause d’une demi-heure pour le repas.
D’un air réellement sérieux, il ajoute qu’en dehors de cet engagement, je suis libre de mon temps et de mon corps.Tata me sert un grand bol de lait, avec des tartines, du beurre et du miel.Tonton me dit, comme un avertissement, que je dois manger comme quatre, car – selon lui – la bibliothèque et la chambre à coucher nécessitent un grand effort. Il marque un temps, pour respirer, me regarde d’un ton plus que sérieux, et m’informe que je dois étudier et présenter d’excellents résultats pour bénéficier du droit de dormir dans la chambre à coucher.
Il se calme et me souhaite en riant, bon appétit.Par réflexe, j’avale la tartine. Sans en demander, Tata m’en prépare quatre autres. Tonton me tend un verre de jus d’orange, que j’avale, tant je me sens apte à avaler des dizaines de tartines et des litres de jus d’orange.
— Je t’attends dans la bibliothèque.
Je vide le grand verre de jus d’orange, et je suis Tonton.À l’intérieur de cette grande chambre, qui contient une table avec trois chaises, un fauteuil au fond, et des livres qui couvrent les murs totalement, Tonton, d’un air solennel, m’informe, qu’il croit en mes compétences. Il me tend un livre sur la mécanique de Newton, et me demande de le lire, et surtout de noter sur un papier, toutes mes questions et mes remarques.Je me mets sur une chaise, et je commence à lire. Tonton s’est mis sur son fauteuil. Un silence de cathédrale pèse sur le lieu, sauf le bruit de Tonton, qui sirote son café.A midi, Tonton est venu jeter un regard sur mes remarques. Il paraît plus que satisfait.Soudain, la porte s’ouvre, avec Tata qui s’adresse à moi :
— Notre cousine, la professeur de mathématiques, est arrivée.
Elle marque un temps d’arrêt, et ajoute :
— Elle veut vous dire bonjour.
Tonton paraît plus que contrarié, et répond, avec une colère qu’il essaie de maîtriser, qu’elle peut attendre. Il me regarde, je confirme en disant que je suis pris par ce livre plus qu’intéressant.A sa sortie, Tonton me sourit, et m’informe que mes remarques sont plus que pertinentes, et qu’on va les discuter après le repas.En quittant la bibliothèque, ma cousine se précipite pour faire la bise à Tonton, puis me prend dans ses bras, en demandant de mes nouvelles. Tonton me dit qu’exceptionnellement, il m’accorde l’après-midi, je réponds que je préfère discuter des remarques que j’ai notées.Je reste seul avec les deux femmes, Tata me demande de passer à la chambre à coucher, pour discuter à l’aise.La porte fermée, ma cousine me saute au cou, et me dit qu’elle a follement envie de moi. Je la repousse avec détermination, et je l’informe que je suis l’homme de Tata, uniquement, et je ne ferai rien sans son consentement.
Les deux femmes affichent deux réactions complètement opposées. Tata plus que satisfaire, affiche un bonheur total. Ma cousine, plus que déçue, laisse apparaître la plus forte des déceptions.Tata prend ma cousine par la main, la porte au bord du lit, l’incline dessus, lève sa robe, baisse son slip jusqu’aux genoux, et me demande de la baiser. Je m’approche de ma cousine, je frotte ma bosse sur ses fesses, et je dis d’un ton ferme à Tata :
— Lève ta robe, et enlève ton slip.
Elle paraît surprise, mais sous l’insistance de mon regard, a fini par obéir. Je lui ordonne d’offrir son sexe à notre cousine.La cousine proteste en disant qu’elle n’a jamais sucé une femme. Je lui réponds avec fermeté, qu’elle a le choix entre obéir ou chercher une autre bite.Elle marque un temps d’arrêt, avant de s’adresser à Tata, et dire qu’elle accepte de la sucer. J’ordonne à la cousine de se mettre sur le dos, et à Tata de se mettre dessus.Au premier contact de la bouche de la cousine avec le sexe de Tata, j’enfonce mon sexe au fond. Un gémissement vient m’apprendre que la bite a fait son effet.Tata affiche son sourire habituel, puis semble sous l’effet de cette bouche qui manœuvre entre ses cuisses. Je suis plus pris par ce visage qui affiche mille expressions, l’une après l’autre, que par ce sexe humide que j’ai déjà pénétré plusieurs fois.
Doucement, Tata prend l’initiative, ne se laisse pas sucer uniquement, mais commence à balancer son bassin sur la bouche de notre cousine commune, qui, elle aussi commence à balancer son bassin, mais sous l’effet d’une bite qu’elle aime bien.
Telle une mécanique bien huilée, mon pilonnage se transforme en ondulation par notre cousine, qui le transmet à Tata. Celle-ci le convertit en ondulation sur la bouche qui lui bouffe la chatte.Il m’a suffi d’ajouter une caresse du sexe humide et chaud de ma cousine, et tirailler son clitoris, qui est d’une taille plus que respectable, avec douceur au début, puis avec force, pour que je sens un Tsunami traverser ce corps que je suis en train de prendre. Une vague tellement forte, qui n’est autre que l’avant-garde d’un orgasme qui sait prendre son temps, pour couvrir les deux femmes d’une jouissance qu’elles méritent si bien.
Le sexe de ma cousine se crispe sous le mien. Je laisse passer la vague. Je me tire, et j’ordonne aux deux femmes de venir prendre mon sperme dans la bouche. Les deux accourent comme deux affamées. Je distribue mon sperme, entre les deux bouches. Tata avale, et me suce pour nettoyer mon sexe. Je leur ordonne de s’embrasser.
Je lève mon boxer et mon jogging, et je quitte la chambre.Le repas se passe dans un silence total, les deux femmes se regardent avec sourire, puis me regardent.Tonton se dirige vers notre cousine en lui disant qu’elle a l’air plus calme qu’à son arrivée. Tata avec son rire habituel répond qu’elle lui a donné un calmant. La cousine, confuse, baisse la tête.
— On prend le dessert et le café à la bibliothèque.
J’ai passé l’après-midi à discuter avec Tonton de la mécanique de Newton. À la sortie, Tonton nous informe qu’il va dîner chez son cousin, et y passer la nuit. Avant de fermer la porte, il me dit qu’il compte sur moi, car – à ses dires – je suis l’homme de la maison, avec deux femmes à protéger.
A sa sortie, Tata m’embrasse et me dit qu’on va baiser comme des fous. Je l’embrasse tendrement, et je lui dis en regardant notre cousine que cette « salope » doit être obéissante, servile, et même esclave. Sinon, elle peut rentrer chez elle. Tata m’embrasse tendrement, et m’informe que notre cousine sera plus qu’obéissante.
Au regard de la cousine, elle confirme, et se dit qu’elle ne va rien refuser.Je l’embrasse tendrement, et je lui dis que tant qu’elle est notre esclave, elle sera la bienvenue. Je lui demande si elle a aimé le goût du sexe de Tata, elle exprime sa joie et son plaisir, et qu’elle est toujours prête à offrir ce plaisir à Tata, tant elle aussi, y trouve son bonheur.Je prends Tata entre mes bras, et je lui demande si elle ose sucer le sexe de notre cousine, elle me répond d’un ton plus que sérieux qu’elle adore exécuter mes ordres.Je guide les deux femmes vers la chambre à coucher, je les place au bord du lit. Je m’éloigne, et je leur demande de faire l’amour à deux, uniquement.Les deux paraissent plus qu’étonnées. J’ajoute que celle qui sera plus généreuse à offrir du plaisir à l’autre fera l’amour avec moi, toute seule.Les deux paraissent désemparées. Je leur dis que chacune doit offrir à l’autre, ce qu’elle attend de ma part. Elle doit s’imaginer à ma place, et faire jouir l’autre, comme elle adore jouir elle-même.
Après quelques secondes d’hésitation, les deux femmes se jettent l’une dans le bras de l’autre. Maladroitement, les deux bouches se recherchent et se lancent dans un baiser ardent et fougueux.Elles paraissent comme deux catcheuses sur un ring, que deux femmes qui s’embrassent et font l’amour. Tata a pris la direction, jette notre cousine sur le lit, et se met sur elle, en continuant à l’embrasser.
Ma cousine, tout en savourant ce baiser très fort, lance ses mains vers les fesses de sa partenaire. Elle lève la robe, et fait découvrir des fesses blanches entrecoupées par un slip d’un rose très clair.
— On se déshabille avant.
La proposition de Tata trouve un écho favorable chez sa partenaire. Les deux femmes se lèvent. Tata se débarrasse d’un coup, de sa robe, et cherche à enlever son soutien-gorge.
— Restez en sous-vêtements.
Tata obéit et ma cousine enlève sa chemise et sa jupe. Sur le lit, les deux femmes se cherchent de nouveau.
— Avec tendresse et sensualité.
Je marque un temps d’arrêt, et j’ajoute :
— Rappelez-vous, on offre à l’autre. On ne prend pas.
Les deux femmes apparaissent d’une douceur extrême, se perdent l’une dans les bras de l’autre, avec amour et tendresse, et se lancent dans un baiser tendre et sensuel.Tata est plus méthodique, elle prend le dessus, et commence à embrasser ma cousine au cou et à lui lécher les oreilles. Cette dernière excitée, gémit et lance un cri fort. Chose qui excite sa partenaire, qui lance sa main caresser les seins de ma cousine.
Le rapport de force s’est établi. Tata est la dominatrice dans ce duo. Elle m’imite en tout, tant sa main passe d’un sein à un autre.Au moment de porter sa bouche vers la poitrine qu’elle caresse, elle fait sortir les seins volumineux, et plonge sa tête, pour sauter de l’un à l’autre. Ma cousine a compris son retard, lance sa main pour abaisser les bretelles du soutien de Tata, et glisser le tout au niveau du ventre.
Elle malaxe les seins de celle qui mordille les siens. Par un geste de générosité extrême, Tata se met sur le dos, et serre ses seins entre ses mains. Sa partenaire n’a pas besoin de plus de détails, lance sa tête entre les deux lobes, en sautant entre les deux.
Tata se lève, et se couche dans le sens opposé. Chacune des deux femmes est en train de sentir le sexe mouillé de l’autre. Les deux visages avancent pour renifler l’odeur, puis cherchent à introduire le nez aussi loin que possible.
Ma cousine, en premier, porte sa main pour toucher le slip de sa partenaire, l’écarter un peu, et introduire un doigt. Tata, excitée, ne peut rester loin derrière sa complice. Elle aussi, lance sa main pour découvrir ce puits gluant, puis écarte les cuisses, lève un peu sa tête, et introduit sa langue, et même semble la faire bouger.
Ma cousine, folle de plaisir, enlève son slip, ou plutôt l’arrache. Tata ne demande pas mieux, enfonce sa tête, semble engloutie dans cette source envoûtante. Elle passe du clitoris aux lèvres, puis introduit sa langue aussi loin que sa langue peut arriver. Ma cousine semble prise par le plaisir que lui offre Tata, que le plaisir d’offrir à sa partenaire du plaisir.Tata comprend qu’elle ne peut compter sur notre cousine pour lui offrir du plaisir, décide de s’investir pleinement à offrir. Elle met sa partenaire sur le dos, se met entre ses cuisses, place deux oreilles sous les fesses, et s’allonge sur le ventre, et entame un cunnilingus dans les règles de l’art.
À ce niveau, mon excitation change de nature. Au début, le plaisir d’un voyeur, qui de plein gré, considère que sa position hors du jeu sexuel peut pour une fois lui apporter une satisfaction autre.À voir le déroulement des événements, j’ai plutôt envie de compenser Tata, et surtout, la récompenser pour sa générosité.À poil, j’avance doucement, je caresse les fesses de la suceuse, pour lui signifier ma présence. Je monte sur le lit, je soulève son bassin. À l’image d’une table pliable, elle obéit. Sans que sa bouche ne quitte la source qu’elle allume, je la place en levrette. Je mets derrière elle.
Étant certain qu’elle est mouillée, j’introduis mon sexe d’une manière brusque et brutale, par un coup sec et rapide. Je m’immobilise au fond d’elle, en poussant de toutes mes forces. J’entame ensuite un va-et-vient très doux, et je le maintiens. Tata ondule ses fesses, tout en activant plus fort encore sa langue. Les deux femmes semblent excitées à l’extrême. Ma cousine jouit la première, en dégageant son sexe et fermant ses cuisses brutalement. Ma cousine ondule de plus fort son bassin. Elle s’immobilise dans une position de prosternation, pour jouir et recevoir mon sperme.
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A suivre...
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