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Entre VRP

Chapitre unique

Gay
Entre V. R. P
—’ Ce qu’on ne désire pas pour soi, ne le fais pas à autrui.’’ Confucius.
Salut, je m’appelle John, je suis représentant de commerce dans une grande boîte de cosmétique. J’ai quarante ans, belle gueule de mec viril et un corps finement musclé par la pratique du sport.
Divorcé depuis peu, je vis maritalement avec Chloé, une jeunette de vingt-cinq ans, super chaude au lit.
Mais mon jardin secret, ce sont les mecs. Les très beaux mecs... Les inaccessibles, comme moi. Je suis le chasseur, jamais le chassé. Ceux qui cherchent à me draguer en sont toujours pour leurs frais. En amour comme en affaire, c’est moi et moi seul qui dicte les règles.
Ce que j’aime par-dessus tout, ce qui me fait kiffer à mort, c’est de me lever un jeune hétéro dans le cadre de mon travail. Je les repère de loin. Ce sont soit des V. R. P comme moi, soit des clients qui finissent sur le bout de ma queue quand leur femme n’est pas là.
Ce soir, j’en ai repéré un. Un type autour de la trentaine, grand, brun, bien foutu comme je les aime. Une belle barbe de trois jours encadre son visage bronzé et sa bouche boudeuse n’attend qu’une chose: qu’on s’occupe d’elle. Il porte une chemise blanche négligemment ouverte sur un torse velu.
Il sirote un whisky au bar de l’hôtel. Ça se voit qu’il est en déplacement depuis plusieurs jours. Il a le regard vide, il s’ennuie... Sa femme lui manque, à coup sûr.
Je m’approche et lui offre un verre. On discute au comptoir. Effectivement, il est marié. Je devine à son regard inquisiteur qu’il est intéressé par une aventure d’un soir, peu importe qui sera son partenaire. Par contre, c’est un dominant. Et comme j’en suis un aussi, la bataille risque d’être rude.
Je lui propose de finir la soirée dans ma chambre. Il refuse et m’ordonne de le suivre. En temps normal, je l’aurais envoyé balader. Personne ne me parle sur ce ton, mais ce soir, j’ai envie de voir jusqu’où peut mener notre rivalité. Lequel de nous deux prendra le dessus ? Qui sortira vainqueur de ce combat de coqs ?
Je décide de lui laisser un premier avantage et me plie de bonne grâce à son injonction.
Juste histoire de voir...
Il se dirige vers les toilettes. Je lui emboîte le pas. Dès que la porte de la cabine se referme sur nous, il me colle contre le mur et me roule un patin d’enfer.

Bon sang, d’habitude c’est moi qui dirige la manœuvre...
Sa langue râpeuse prend possession de ma bouche et m’oblige à subir sa fougue. C’est un baiser viril, un roulage de pelle entre mecs. C’est lui qui mène la danse, qui impose sa loi. Je n’ai aucun mot à dire.
Il déboucle ma ceinture, abaisse ma braguette et me branle à travers le shorty. Il m’ordonne d’ôter ma chemise. Ce type ne manque pas d’air. Faut pas me la faire à l’envers, nous sommes deux dominants ici, et ce n’est pas lui qui va me dicter ses ordres.
Il me fixe durement, le regard froid, autoritaire. L’attitude est sans équivoque. Je sens bien que quelque chose se joue entre nous deux et que peu à peu, je perds pied. Lui, c’est la patience qu’il commence à perdre.
Il me bouscule un peu et réitère sa demande.
J’obéis en baissant les yeux. J’essaie de me convaincre que c’est uniquement pour tester mes limites et voir jusqu’où tout cela nous mènera. Il me retourne contre la paroi. Ma peau frémit au contact de la faïence. Ses mains me pelotent le cul et un doigt s’insère dans ma raie. Je devine ce qui va suivre...
Il est glacial, comme le carrelage de cette cabine. Pas de bisous dans le cou, pas de caresses superflues. Rien ! Juste son souffle court, chargé d’alcool et sa grosse barre qui se presse contre mes fesses.
Il est encore temps d’arrêter. De stopper cette mascarade. Je ne vais quand même pas me faire sauter dans les chiottes d’un hôtel... Ce serait le bouquet !
Lui n’a rien à faire de mes préoccupations, il va droit au but. Pas de temps à perdre en parlotes ou en câlins. Tout ce qui l’importe, c’est se vider les couilles au plus vite et passer à autre chose.
Il m’arrache presque le boxer et se colle à moi. Je voudrais faire machine arrière que je ne pourrais pas. Il me tient à sa merci. Je sens sa barre d’acier se frayer un passage à travers les poils humides de ma raie. Mon cerveau m’inonde de signaux étranges, comme des flashs lumineux qui irradient mon cortex et m’envoient des ondes de liesse.
Je commence progressivement à baisser ma garde. Cette situation nouvelle m’émoustille...
Je pousse mon cul en arrière pour bien le sentir. Je ne me reconnais plus. J’ai envie de sa queue, tout à coup. Ce sera ma première fois et sans doute la dernière, mais l’insolite du lieu et l’aura de ce mec me font perdre la tête.
Il vient de pousser d’un coup sec. Il m’a perforé l’œillet et commence sa progression. Je le sens bien, le fumier. Il ne se préoccupe pas de mon bien-être. Il s’en fout royalement. Il me rend la monnaie de ma pièce. J’ai tellement agi de même avec mes amants d’un soir ou des filles faciles levées à Boulogne que c’est un juste retour des choses.
Je ferme les yeux et pose mon front contre le mur glacé. Putain, que c’est bon de se faire enculer par un inconnu. Surtout que mon partenaire est un pro de la baise.
Il commence à me pilonner à la dure et contre toute attente, j’aime ça. Je tends ma croupe le plus loin possible pour une meilleure prise. Il me traite de tarlouze, de vide-couilles, de garage à bites... mais je m’en fous. Tout ce que je veux, c’est qu’il me bourre le cul comme la dernière des catins.
Si Cloé me voyait...
Il a les mains rivées sur mes tétons qu’il pince méchamment. Je suis écrasé contre son buste puissant et seule sa queue s’active au fond de mes boyaux. Elle m’éclate la rondelle. Je suis démonté par les grands coups de reins qu’il m’inflige pour me pénétrer au maximum. Il vient de me briser. Pourtant, à force d’être secoué de la sorte, je sens peu à peu monter l’orgasme. C’est le moment qu’il choisit pour me tirer violemment la tête en arrière. Je grogne autant de douleur que de frustration. J’ai tellement envie de jouir que j’ondule du bassin et me masturbe contre la cloison comme un jeune collégien. Je crois rêver ! J’en suis réduit à quémander sa queue pour pouvoir me satisfaire.
Cette pensée m’arrache un cri d’effroi et de colère. Mais il est bien trop tard pour reculer. Mon jeune amant me pistonne comme un forcené. Il me fait vivre une expérience unique. Se faire déboîter le fion par un illustre inconnu, un soir de semaine, dans un hôtel de luxe... Putain, quel pied !
Mes gémissements de plus en plus sonores trahissent mon envie. Il voit bien que j’ai abdiqué et que maintenant, ce sont mes fesses qui s’empalent d’elles-mêmes sur son monstre de chair. Il n’a plus à bouger, c’est moi qui fais tout le travail. Je gueule mon envie de me faire ramoner plus fort, je l’adjure de me féconder comme le ferait un mâle dominant avec sa femelle en manque.
Je l’implore, le supplie... Mes reins mendient sa queue. Chaque pilonnage me fait perdre un peu plus la raison...
Lui, rigole devant tant de soumission et me rabaisse encore un peu plus en me disant que mon trou est juste bon à se faire défoncer et qu’en effet, il va me maquer comme toutes les putes qu’il a baisées auparavant.
Bon sang, on croirait m’entendre quand je prends plaisir à humilier mes soumises d’un soir.
Je vais jouir, mes couilles sont pleines, prêtes à exploser. Lui aussi est au bout. Il me retourne brusquement et me fout à genoux devant lui pour le final. Je n’ai plus la force de résister. J’ai capitulé.
Il m’ordonne de le faire jouir.
Je le branle devant mon visage. Sa queue est vraiment démesurée. Je me rends compte que je me suis fait dépuceler par un monstre. Quelque part, je suis fier d’avoir pris ça en moi. Il ne me regarde même pas pendant que je le masturbe. Pour lui, je ne suis rien de plus qu’un énième vide-couilles qu’il a vaincu par la seule force de sa queue.
Je m’applique à bien l’astiquer. J’ai envie de son jus...
— Pas les mains !
Je comprends où il veut en venir. J’ouvre timidement la bouche et pose mes lèvres sur le gland que je commence par lécher. Mais il ne semble pas satisfait et me saisit la nuque pour me fourrer d’autorité son manche au fond du gosier. J’ai un haut-le-cœur, c’est une première pour moi. D’habitude, mon rôle se résume à me faire pomper, mais là, je n’arrive plus à lutter. Il a réussi à transformer un domi en bonne chienne soumise.
Ma bouche est grande ouverte et il y introduit brutalement sa bite. La manœuvre est tellement rude que le gland vient cogner contre ma glotte. Je suffoque, mais lui ne faiblit pas. Il commence à me pilonner le fond de gorge comme il le ferait pour une chatte de meuf et me claque de temps à autre la joue pour me remettre sur le droit chemin. Je m’applique du mieux que je peux en concentrant mes succions sur le dard luisant de jus. Je l’aspire à fond, creuse les joues jusqu’à sentir les prémisses d’une jouissance proche.
Il se retire et me demande de lui bouffer les couilles. J’ai une seconde d’hésitation, mais une soufflante derrière l’oreille me convainc d’obéir. Je soulève sa queue et lèche d’abord ses bourses poilues avant de les gober une à une et de m’imprégner de leur odeur musquée. J’y vais à l’instinct, mais à force de coups de langue voraces, il finit par aimer ça. Il plaque ses mains sur le haut de mon crâne et appuie fort pour que je les prenne bien à fond. Mes léchouilles le font grimper aux rideaux. Ma langue passe de l’une à l’autre, les faisant bien reluire avant l’explosion finale. Je le sens proche de la rupture. Il souffle fort, se raidit puis m’arrose le visage. C’est une vraie douche poisseuse. Le temps que j’ouvre les yeux, ses boules ont glissé de mes lèvres et il est sorti de la cabine.
Je reste con, la bite entre mes doigts. Je me branle comme un malade. Jamais je n’aurais cru avoir besoin de mon poignet pour jouir.
Je rejoins ma chambre, totalement anéanti. Je sais que désormais, même si je reprends ma vie de quêteur, il y aura un avant et un après. Cette expérience laissera des traces indélébiles, c’est certain.
Je mets un temps fou à m’endormir. Le lendemain matin, je rejoins la salle des petits-déjeuners. C’est alors que je le vois. Il ne me calcule même pas. Je suis invisible à ses yeux. Il boit tranquillement son café tout en lisant la gazette locale.
Je le vois se lever et s’avancer dans ma direction, sans le moindre regard à mon encontre. Arrivé à ma hauteur, il ralentit le pas, frôle mon épaule de sa main droite puis se dirige vers les toilettes. Le message est on ne peut plus clair. Je viens tout juste de commencer à manger. J’ai la gorge qui se noue. Je ne vais quand même pas...
Bordel, non !!! JE NE VAIS QUAND MÊME PAS...
FIN
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