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L'entrepôt

Chapitre 2

Trash
Je m’appelle Margaux et j’ai 42 ans. Pour me décrire, je suis de taille moyenne dans un corps proportionné, cheveux blonds tombant sur mes épaules et des yeux bleus, le cliché, mais je née ainsi. Je suis mariée à Mathieu mon ainé de 8 ans, et ce qu’il a tout de suite aimé en moi, comme beaucoup d’hommes qui se retournent sur mon passage, c’est ma poitrine, je porte des bonnets D pour contenir mes seins lourds et laiteux, je dis lourd et non pas retombant, j’y tiens !
Mathieu roulait lentement dans la zone désaffectée tout en laissant le plafonnier allumé. Ma poitrine découverte empestait le sperme me laissant dans un hébètement d’amoralité. Où allait-on ? Je me décidais à lui demander : - Tu m’as dit ne pas être rassasié. Rassasié de quoi ? - Rassasié de te voir jouir, dit-il posément, tu es ma femme, je t’aime et je sais que tu m’aimes, alors quoi de plus naturel de faire de moi un heureux homme quand je te vois être heureuse. Dans la vie il y a le sexe et l’amour, pour ce dernier il est exclusif et nous nous le donnons, pour le sexe, je, et tu m’en donnes, mais il faut être tolérant et ne pas rentrer dans la routine. C’est pour ça que j’essaye de nous trouver de nouvelles opportunités.
- Et ça ne te rend pas jaloux ? - Jaloux de qui de quoi ? Je ne pourrais être jaloux que de ton plaisir, les mecs qui te possèdent ne le font qu’une fois, ensuite ils n’auront plus que du regret de ne pouvoir te revoir et de se branler en pensant à toi. Donc je n’ai pas à être jaloux, mais plutôt heureux !
Nous repassions devant la ruelle en impasse, notre voiture s’y engagea lentement pour s’arrêter à quelques mètres du véhicule où nous avions assistés aux ébats d’une femme devant son compagnon. Mathieu éteignit les phares. Face à leur voiture éclairée de l’intérieur on distinguait un homme et sans doute sa femme assise à ses côtés. Mathieu sortit pour aller à leur rencontre, me laissant seule dans cette atmosphère assez glauque.
Il discuta un long moment accoudé à la portière du conducteur. J’étais dans l’obscurité de l’habitacle, épiant de temps à autre dans le miroir de courtoisie si quelqu’un ne venait. Je recouvrais mes seins ballants avec les pans de ma veste, non par pudeur de les monter à un étranger, mais plus qu’à lui dévoiler la catin dévoyée à qui je devais ressembler. Ainsi, je prenais conscience de ce que mon mari faisait de moi, une femme de joie, de luxure. Puis je m’interrogeais sur qui j’étais, ce à quoi j’aspirais. Puis les paroles de Mathieu prononcées avant notre arrivée ressurgirent. J’aime le sexe, la jouissance, et je me consolais en me disant que toutes les femmes, enfin presque, étaient comme moi, mais que peu franchissaient le pas, surtout avec l’assentiment de leur conjoint, et j’avais cette chance. Chance qui contrastait avec l’infirmière que je suis, repoussant les avances que j’avais dans mon milieu professionnel, et de cette femme que mes amies qui me surnomme « la bourge » et me considère comme une épouse modèle et bien rangée, ne se doutent que je suis une femme dissolue.
De penser à ce qui j’étais, me fit passer le temps. Mathieu revint vers notre voiture, tandis que l’inconnu sortit de la sienne en se calant contre le capot. Ouvrant ma portière Mathieu me lança : - Vient, on va les voir. - Qu’est-ce que vous vous êtes dit ? - Tu verras.
On arrivait face à l’homme qui paraissait avoir une petite vingtaine d’années. Il jeta sa cigarette d’une pichenette en soufflant la fumée vers mon visage, ne me considérant certainement comme une vulgaire « pute ». Je le regardais droit dans les yeux en ignorant son mépris. La femme sortit à son tour, cuissarde, mini jupe et chemisier sans rien en dessous apparemment. Elle contrastait avec le jeunot et son physique dévoilait une femme approchant la cinquantaine. Elle se tint debout à ses côtés sans rien dire tout en regardant mon mari. Le type m’examina de la tête aux pieds avant d’écarter ma veste d’un geste désinvolte. D’une main ferme il jaugea la fermeté de mon sein. - Ok, dit-il à l’encontre de mon mari, tu baises ma pute et moi j’m’occupe de la tienne. Comment ça ? Il demandait en contrepartie à Mathieu pour aller avec lui qu’il baise sa femme?
Mathieu se plia à sa demande. Aussitôt le type me prit par le bras et m’entraina dans l’embrasure d’une porte défoncée où je faillis trébucher sur les débris qui jonchaient le sol. De sa main ferme il me fit faire face au mur. - Penches-toi et appuies toi au mur.

J’obéissais anxieuse, l’euphorie de la soirée s’estompait par les moments précédents. Peu rassurée de l’endroit et surtout de la faune qui le fréquentait, je me penchais comme une délinquante qu’on allait fouiller. - Cambres-toi plus ! Siffla le type.
Il retroussa ma jupe haut sur mes reins, offrant plus que ne dévoilant dans cette obscurité la chair de mes rondeurs. Aussitôt une main remonta entre mes cuisses et se plaqua contre mes lèvres, les frictionnant énergiquement du tranchant de sa paume. Puis ses doigts s’insinuèrent ensemble dans mon vagin et mon anus dans un même rythme. - Tu vas mouiller pute !Ou tu préfère que j’te défonce à sec !
Une claque sèche et cinglante s’abattit sur ma fesse. Il continua de sonder mes intimités jusqu’à ce que ses doigts se souillent de mes humeurs de femme dévergondée. Il se retira et enfila un préservatif. Ses mains se posèrent sur mes hanches et sa verge tendue s’introduisit violemment dans mon sexe. Je n’entendais que l’halètement saccadé de sa respiration à chaque coup de ses reins et du « clac » de ses testicules qui venaient battre mes cuisses. Nous ne faisions pas l’amour, il était là pour me défoncer et conclure le deal qu’il avait fait avec mon mari. Cette relation sauvage ne me déplut pas, au contraire, de sentir cet homme disposer et abuser de moi bestialement m’excita. Je me rendis compte, qu’instinctivement je m’étais cambré davantage pour mieux le recevoir, et je m’entendis gémir au rythme de ses assauts. Les claques sur mes fesses redoublèrent. - Tu aimes te faire péter le cul, petite pute ?!
Il se dégagea de mon entre jambes et écarta mes fesses. Deux ou trois jets de glaire s’écrasèrent sur mon œillet. Me reprenant par les hanches je sentis sa verge coulisser dans le sillon de mes fesses. Après que son gland eut buté contre mon anus, un coup de rein vint engloutir son sexe de toute sa longueur mes entrailles. Sous la brulure soudaine je poussais un cri, m’habituant peu à peu à cette sodomie sauvage. Je retrouvais enfin mes esprits pour gouter ce membre qui arpentait mes chairs, tout en me remettant à gémir de plaisir. Il se pencha sur mon dos pour enserrer mes seins qui ballotaient sous l’agression répétée de son ventre. Il se mit à les pétrir méchamment et à les gifler. - T’es une bonne salope, tu pourrais me faire des couilles en or.
J’étais partagée entre la tourmente mammaire et le ravissement de ce membre dans mon rectum. Mais la fièvre de possession de ce type l’emporta sur l’affliction de mes seins, la jouissance commença à secouer mon ventre, je ne pus retenir mes sanglots d’impudicité et je sentis la quintessence de ma vulve avide de luxure s’écouler sur mes cuisses. Dans mes sanglots je lui murmurais des « encore ».
Se retirant précipitamment, il jeta son préservatif et m’appuya sur les épaules. Je m’égratignais les genoux sur le sol gravillonneux. - Ouvres ta bouche, m’ordonna-t-il. Tout en me tenant fermement par les cheveux. Le jet de son sperme gicla contre ma gorge. Puis une seconde fois. Le prenant par les fesses, je l’attirais vers moi. Je m’étanchais de sa verge jusqu’à lui procurer une douleur d’une jouissance trop intense. Je me relevais, souillée, mais apaisée d’avoir joui.
Nous retournions à la voiture où Mathieu assit sur la capot nous attendait, la femme était dans la véhicule à tapoter sur son portable. - Tu me laisses tes coordonnées ? Demanda l’homme à Mathieu.
Mon mari lui tendit une carte de visite et nous repartîmes à notre voiture. - Qu’est-ce que vous avez fabriqué, demandais-je à Mathieu sur le chemin du retour. - C’est un gigolo, il voulait te tester. En contre partie je devais me payer sa ou une de ses putes. Apparemment tu dois faire l’affaire puisqu’il ma demandé tes coordonnées. - Et tu lui as donné ! Criais-je presque l’air apeuré. - Il a rien vu, mais c’est la carte de visite de l’un de mes fournisseurs.
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