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Entreprenante à la piscine

Chapitre 1

Hétéro
J’en ai marre de Paris. Les gens sont grossiers. Ils ne font attention à rien ni à personne. Je ne suis pas certaine qu’ils remarquent une personne se faisant poignarder. Ce soir, je quitte mon école d’art pour traverser Paris et me rendre à la piscine Molitor. Elle vient juste de rouvrir après plusieurs années de travaux de restauration et de modernisation. Il y a une piscine intérieure et une extérieure.
Quand j’arrive, je paye mon entrée en tant qu’invitée et non cliente de l’hôtel qui surplombe le bassin extérieur. Je me dirige vers la cabine qui m’est attribuée. Je pousse cette porte bleue qui tranche avec le jaune des mûrs. Mon espace est décoré avec un style street art. Je fais un peu tache avec mon maillot de bain deux pièces avec un motif à carreaux bleu et blanc. Cela me permet de mettre en valeur ma poitrine sans accentuer le volume déjà important. Je vérifie qu’aucun poil ne sort de mon bas. Tout semble en ordre. Ne me reste qu’à attacher mes cheveux et je pourrais sortir.
Ma cabine est au deuxième balcon. J’ai une vue parfaite sur le bassin. J’adore le bassin extérieur qui est toujours à 38°C. Ce que j’adore ici, c’est que le bassin est divisé entre un coin ludique avec des bancs et un coin pour faire des longueurs. Comme toujours, il y a un groupe de retraités qui est arrêté au milieu des lignes de nage. Ils sont tous d’anciens directeurs ou patrons devenus de gros actionnaires. Ces dames restent généralement à faire bronzette sur les transats. Il n’y a que quelques personnes de moins de cinquante ans. Il faut dire qu’avec l’hôtel, les gens cherchent du calme, surtout que les fenêtres de certaines chambres donnent sur le bassin. N’imaginez pas que personne ne vous verra remettre votre sein en place ou vous sortir le maillot des fesses. Il y a donc toujours quelqu’un pour vous observer.
Je suis venue pour me détendre, faire quelques longueurs et rentrer chez moi. Alors je descends les marches menant au bassin. Un petit passage sous la douche et je plonge tête la première dans cette eau tentatrice. Elle m’entoure. Elle assourdit les bruits du monde. Je suis dans ma bulle. Je multiplie les longueurs dépassant habilement les tortues et les anciens. Je fais une traversée en crawl quand je me fais percuter. L’obstacle n’est autre qu’un homme entre vingt et trente ans. Pour ne pas couler, il s’accroche à moi. Sans savoir comment, il semble que je lui aie donné un coup dans les parties intimes. Cela semble très douloureux. Je n’arrive pas à comprendre comment l’accident est arrivé. J’en viens presque à croire qu’il l’a fait exprès. Après de rapides excuses, je reprends mes longueurs.
J’ai l’impression d’être vraiment observé, par quelqu’un de près. A chaque fin de longueur, je laisse mon regard parcourir les fenêtres de l’hôtel ou les autres nageurs. Celui qui me donne cette sensation est l’homme qui m’a percutée.
Je me permets de le détailler quand il passe sur le bord. Il est brun avec des reflets roux. Pas particulièrement d’une grande beauté. Il fait peut-être 1m70, soit quelque vingt centimètres de plus que moi. Ce n’est certainement pas un sportif. Il a une brioche au niveau de ses hanches et de son ventre. Peut-être est-il un bon vivant ? Ou va-t-il trop au restaurant ?
Sa main va souvent toucher son maillot de bain. Il semble vouloir cacher quelque chose qui pourtant est bien visible et arrive souvent aux hommes à la piscine. Il est en érection. Cette bosse est déjà de belle taille. Je suis curieuse de savoir quelle taille peut avoir cette partie de son anatomie.

Je continue mes longueurs tout en gardant un œil sur cet homme.
Je profite de chaque occasion où il est assez proche pour le frôler, le caresser, et même le toucher à cet endroit que je convoite. Il ne s’enfuit pas. Il semble même très réceptif à chacune de mes actions. Je ne doute pas qu’une personne observe mon jeu du chat et de la souris. Mais j’ai dû être trop entreprenante, car je le vois sortir du bassin pour retourner vers les cabines. Quitte à me faire prendre par la sécurité pour harcèlement d’un client, je décide de la suivre.
Son derrière se balance à chaque pas. J’ai envie de le pétrir.
Il arrive à sa cabine. Il sait que je le suis. Il ne me regarde pas. Son visage est baissé. Je vois la rougeur de ses joues. Est-il timide ? Il ne ferme pas totalement la porte. Je crois bien qu’il m’invite par ce geste. Je m’approche sans agrandir l’ouverture.
J’aime ce que je vois. Il se sèche les cheveux. Ils sont tous ébouriffés. Cela lui donne un air très tentateur. Des gouttes d’eau coulent encore sur sa peau. Il s’essuie. Sa serviette vient enlever les traces de liquide. Il me tourne le dos quand il abaisse ce maillot de bain qui cache tout ce qui m’intéresse. Deux globes de chair pâle sont exposés sous mes yeux. Ils sont petits et assez plats comparés à sa brioche. J’attends qu’il ait rangé son bout de tissu mouillé. Il reprend sa serviette pour continuer à se sécher. J’en profite pour entrer dans l’espace exigu. Je prends la peine de fermer le loquet pour préserver notre intimité.
Il se retourne vers moi. Il semble légèrement surpris que je sois réellement là. Sa serviette cache sa dignité. Il rougit. Le rouge se répand sur son torse. Il a une peau si blanche.
Je le détaille. Il n’est pas très poilu. Une fine ligne de poils part vers son érection cachée. Vu qu’il ne semble pas prêt de prendre une initiative, je le pousse sur le petit banc. Il se laisse totalement faire. Il ne lâche pas sa serviette. C’est frustrant de voir qu’il n’ose pas s’exposer à mon regard.
Je m’agenouille entre ses jambes que j’écarte. Je tire d’un coup sur le tissu pour découvrir un membre dressé. Il est tellement excité qu’un liquide préséminal est déjà sur son gland. Je souffle dessus. Il se contracte. Je crois que je vais bien m’amuser avec ce jouet. Un coup de langue taquin sur le bout fait déjà haleter cet homme. J’en profite pour le lécher sur toute sa longueur.

Je me recule pour le manipuler avec une main. Je sors son gland de sa peau protectrice. Je le prends en bouche. Ma langue vient le parcourir. J’en profite pour appuyer sur le petit sillon d’où provient sa liqueur. Une main vient caresser mes cheveux mouillés. Je suis hypersensible. Je sens chaque goutte qui coule sur ma peau. Je l’enfonce plus profondément dans ma bouche. J’aime son goût, moins cette odeur de chlore venant de la piscine. Je m’active. Je resserre mes joues pour le pomper. Il réagit. Je laisse mes dents le frôler pour évaluer son état. Il est fin prêt.
Je le retire de ma bouche pour le caresser de mes mains.
Je regarde cet homme à qui je viens de faire une fellation. Il a la tête renversée en arrière. Ses yeux sont mi-clos. Il semble dans un autre monde, pourtant il me caresse toujours la tête. Je me lève, l’empêchant de continuer. Un pied sur le banc. Je m’abaisse sur ses cuisses. Je le regarde en présentant son sexe au mien. D’un mouvement de hanche, je le frotte sur mes lèvres à travers mon maillot de bain mouillé.

La froideur de l’eau le fait se contracter. J’appuie plus fortement. Le tissu est forcé entre mes lèvres vers ma chaleur intérieure. Il grogne. Je suis peut-être un peu dure avec son petit membre sensible.Je tire sur le côté mon maillot, libérant ma fente. Je reprends mon frottement appuyé. Cette fois, je m’empale légèrement. Il entre un peu, avant que je le sorte. Ses mains sont sur mes hanches et pourtant il me laisse totalement contrôler la situation. Je pose mes mains sur le mur. Je me laisse totalement descendre sur son érection. C’est tellement bon de me sentir m’écarter pour l’accueillir. Un gémissement quitte le barrage de mes lèvres, comme les siennes.
Toute personne passant devant notre cabine ou occupant celles à proximité ne peut avoir aucun doute sur nos activités. Il nous faut tout de même faire attention à ne pas crier, car ce sera alors toute la piscine qui nous entendra.
Mon inconnu se laisse faire. Je monte donc totalement sur le banc pour mieux l’insérer en moi. Plus profondément. Il palpite. J’aime l’avoir aussi loin que possible. Seuls son souffle et son sexe me disent qu’il aime ce que je fais. Je veux qu’il soit plus actif dans ce rapport. J’ai donc pris sa tête pour l’enfouir dans ma poitrine plus que généreuse.
C’est le déclic.
Il me suce, me mord, me lèche. Il bouge les hanches avec ardeur. Il est brutal. C’est tellement bon. Je m’oublie. Il sort presque entièrement puis se pousse avec force. Il me touche à des endroits... J’ai du mal à respirer. Je gémis. Je me contracte autour de lui. Je le griffe. Il me pilonne. Je perds la notion du temps et du lieu. Nos sueurs se mêlent.
Il nous soulève. Je suis perdue dans mon plaisir, alors qu’il me prend contre le mur. Il trouve l’angle parfait pour me faire crier. Il me martèle. Je sens ses dents à la jonction de mon cou et de mon épaule. Je jouis. Du liquide transparent s’écoule de mon corps et se répand sur le sien. Il se répand en moi par vagues chaudes.
Ses genoux cèdent. Nous nous retrouvons sur le sol. Nos respirations sont rapides. Il sort de mon intimité. Mon sexe est chaud et gonflé. Je crois n’avoir jamais été baisée aussi violemment, aussi fougueusement. Je le regarde. Il est de nouveau passif, pourtant, il me caresse le dos. Cet homme doux en apparence se transforme en une formidable bête sexuelle. Mon corps garde quelques marques de notre relation. Je suis si heureuse d’avoir été entreprenante à la piscine.
Après quelques minutes de repos, je me redresse. Personne n’est venu nous interrompre, mais beaucoup ont dû nous entendre. Je remets mon maillot de bain en place. Il vient se coller à moi. Il embrasse mes épaules. Je suis particulièrement sensible lorsqu’il passe sur sa marque de morsure. Je sens son membre qui est semi-dressé. Je ne suis pas en état pour remettre le couvert. J’ai envie de me coucher dans mon lit.
Je lui chuchote : “Merci !”
Je me dégage doucement pour ouvrir le loquet de la porte. Quand je commence à l’ouvrir, il me dit : “J’espère vous revoir. Je suis Yann.”
Je me retourne pour l’embrasser sur ses lèvres tentatrices. Lui disant “Solange et avec plaisir.” Sans un mot de plus, je le quitte pour aller à ma propre cabine, me changer et rentrer chez moi, sans faire attention aux regards qui se posent sur moi.
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