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Entretien tondeuse.

Chapitre unique

Visite inattendue.

Hétéro
Mars, la période des premières tontes, j’avais complètement zappé la venue du type pour réviser la tondeuse de monsieur. Il me l’avait dit quelques jours auparavant, mais ce n’est pas le genre de chose qui me marque l’esprit. De plus, me sachant seule cette fin de semaine, j’avais plus en tête de profiter de cette liberté pour faire les boutiques que la tondeuse de monsieur ; vous me comprendrez.
Bref, j’étais en train de me préparer dans la salle de bains, avec un petit esprit coquin. Soleil, petite jupe assez ample et bas chair, petit chemisier blanc, je me parfumais tout en me disant que j’allais me faire mater dans une telle tenue, j’en souriais toute seule ; j’adore sentir les regards de ces hommes se poser sur moi, c’est un réel plaisir ! Maquillée, toute belle, je me dandinais devant le grand miroir inspectant ma tenue sous tous les angles. Il m’arrive souvent de m’exciter un peu en me regardant de la sorte, je me mate les fesses, me penche pour voir si la jupe n’est pas trop courte, etc. C’est à ce moment-là que l’on sonne à la porte. C’est lui, le type qui entretient la tondeuse. Comme si je n’avais que cela à faire. Je tombe des nues, me rappelant brièvement les propos de mon mari.Dans la foulée, je repense également à sa visite, la saison précédente. Le type était passé devant moi, accompagné de mon mari. Tandis que je lézardais sur la terrasse, son regard soutenu m’avait marquée.
Je l’invite donc à entrer, tout en lui demandant combien de temps cela allait prendre... L’homme a bien compris que je l’avais oublié ! Il sourit en me disant qu’il ne peut répondre sans voir la machine... ajoutant «ma petite dame» en bout de phrase ! J’ouvre la baie vitrée derrière, tout en souriant à la perception de son regard ! Quel vieux cochon ! Mal rasé, le ventre en avant dans une salopette bleu foncé. Ayant tout de suite capté ce regard de vieux pervers, je m’en amuse, loin d’imaginer ce qui allait suivre. Le type m’emboîte le pas sur les plaques de béton menant au chalet, au fond du jardin, où est rangée la tondeuse de mon mari... Sans même me retourner, je suis certaine qu’il me mate les fesses, ce goujat ! J’adore cette sensation et je me laisse aller dans une démarche quelque peu sexy, disons provocante, tout en pensant à son regard baveux sur mes jambes.
Il y a des hommes comme cela, qui vous troublent, vous répugnent et en même temps vous attirent... Enfin, attirée est un grand mot, disons qu’il m’inspirait ! Déjà, cette première fois, il m’avait quelque peu glacé le sang, ne se souciant pas de mon mari pour me mater avec insistance. Son allure bedonnante, ses grosses mains marquées par le travail... ses joues rouges et son regard de gros vicieux m’avaient fait sentir gamine, et une bouffée de chaleur m’avait envahie face à ce regard lubrique. Là, en plus, avec une barbe de trois jours, cela finissait le personnage. Un vieux vicieux bavant devant une glace dégoulinante.Comme bien souvent, lorsque je sens un homme me regarder, instinctivement, je me sens excitée et j’abuse dans mes comportements. Je me sentais, dès le matin, déjà en forme ; alors il n’en fallait pas plus que ce regard de gros pervers pour activer ma libido.
Trente mètres environ séparent la maison dudit chalet. C’est peu et beaucoup en même temps, surtout sur des talons hauts en évitant les plaques sales et humides. Si, en plus, un type me mate les fesses, forcément je n’active pas le pas. Je me bats un instant avec la porte du chalet, qui est dure à ouvrir... Sa grosse paluche se pose sur la mienne et, en un geste, il ouvre cette satanée porte en souriant. Je le laisse alors passer devant moi. Le chalet n’est pas bien grand et assez encombré par divers outils, que mon cher mari range bien mal. Il lève le capot de la machine pendant que je m’efforce de dégager le passage tout en m’excusant du manque de place. Le type sourit, ne me lâchant pas des yeux ; le bougre parvient doucement à m’exciter sans même s’en rendre compte. Je m’appuie deux fois au moins sur le tracteur pour saisir des morceaux de bois sur le sol et les poser contre la paroi sous l’œil aiguisé de mon vieux pervers.En réalité, la situation m’amuse, je prends plaisir à l’allumer, certaine qu’il ne loupe pas une miette de mes moindres gestes, qui me mettent dans une position plus ou moins délicate.
J’ai débarrassé le plus gros et dégagé l’accès à l’engin. Je lui demande si je peux le laisser seul et là, surprise, le type me rétorque qu’il va avoir besoin de moi cinq minutes. Il plonge le nez dans le moteur et je patiente donc à l’entrée du chalet tout en l’observant. J’ai très vite été persuadée qu’il avait une idée derrière la tête, à sa façon de me lorgner dessus, tête baissée dans le moteur. J’observe ses gros cils bouger au rythme de ses regards.Ma curiosité l’emporte et je patiente sagement, me demandant en quoi il peut avoir besoin de moi.
J’ai la réponse à ma question, le vicieux... j’en souris encore ! Le malin me demande d’enfoncer la pédale d’embrayage de la machine. Lui, toujours penché dans le moteur, je me positionne sur le flan du tracteur, levant la jambe pour poser le pied sur cette pédale qui, comble de malchance, ou chance ? ne s’enfonce pas malgré mes efforts. Évidemment, il ne rate rien de mon geste : lever la jambe à 40 centimètres du sol en petite jupe crème avec un string rouge, vous imaginez la scène !Pire, puisque d’un ton goguenard, il se moque de moi en me disant que si je n’ai pas la force, il faut monter sur le tracteur. Là, j’ai dû rougir devant son sourire narquois! Il a sûrement bien préparé son coup ! Ce fameux sourire de vicieux m’a quelque peu vexée ! J’ai enjambé la machine, m’asseyant sur le siège et enfonçant cette fameuse pédale ! Le bougre est aux anges, il lorgne sans scrupule mes jambes, amplement dénudées par la position. À cheval sur le tracteur, en petite jupe et talons hauts, j’ai beau tenter de serrer les cuisses et tirer sur le tissu, de sa position préférentielle il se rince l’œil.Il se penche vers le moteur, souriant et lorgnant sans gêne par alternance sur mes cuisses. Certainement que je suis rouge de gêne. Heureusement, je me dis qu’il le cherche, que je ne fais que lui offrir ce qu’il attend !
La gêne doit se lire sur mon visage, je dois rougir tel une tomate au soleil. Cela a dû avoir pour effet de le mettre en confiance. Après cinq bonnes minutes à me dire d’enfoncer et de relâcher, il m’a enfin dit que c’était bon, du moins je l’ai pensé ! Je n’ai pas eu le temps ni la possibilité de me sortir de là. Assise sur le siège, tout en me disant cela, il est venu sur le côté gauche, à ma hauteur. Le côté droit étant complètement bouché par de nombreux outils, je n’ai d’autre choix que de patienter qu’il me libère le passage ; or, ce n’est pas son intention. Une fois à ma hauteur, il s’est penché sur le volant, a trifouillé en dessous sur des câbles, m’obligeant dans le geste à écarter légèrement les cuisses. Oups, quel instant ! Quasiment appuyé sur ma jambe gauche, je sens son odeur de sueur quelque peu repoussante. Je suis comme paralysée et incapable de bouger. Alors que je songe à ce que je peux faire pour me sortir de là, le type pose la main sur ma jambe, sur l’intérieur plus précisément, à quelques centimètres au dessus du genou. Quel regard de fou il m’a alors lancé ! Plus rouge que moi, impossible, j’ai cette fâcheuse tendance à rougir très fort devant des situations imprévues et quelque peu gênantes.
Un silence glaçant, le bruissement de sa grosse main sur le nylon de mon bas, un regard lourd et vicieux, ce léger sourire aux lèvres, comme s’il était sûr de ses gestes.Puis, tout en remontant le long de ma cuisse, et alors que je le freine en posant ma main sur la sienne... sans perdre son sourire, il me sort que je suis une sacrée petite allumeuse... Sans répondre, je tente toujours de freiner sa main qui, malgré tout, gagne du terrain !
– Vous êtes super bien foutue, une dame comme vous doit donner plaisir... Laissez-vous aller, je vidange votre tracteur et me vidange en même temps et je vous fais cadeau de l’entretien...
Ces propos ne m’ont pas décoincée le moins du monde, rouge écarlate, ma main serre la sienne sans parvenir à l’empêcher d’atteindre son but. Dans de pareilles situations, je suis vraiment gourde, ne trouvant que peu d’arguments, sans doute prise entre l’excitation et le raisonnable, qui aurait voulu que je gifle ce porc en m’enfuyant à la maison. En même temps, je n’ai pas l’espace nécessaire pour m’enfuir, puis en ai-je seulement envie ?
Ses doigts me massent la vulve malgré ma main sur la sienne, son regard lourd me renvoie à l’état de gamine n’osant répondre ou refuser... De sa main libre, il se met à me remonter la jupe sans que je ne puisse intervenir... Puis, c’est le coup de grâce lorsqu’il me saisit un sein, le malaxant d’une main lourde et puissante. Je n’ai ni la force, ni la volonté de l’en empêcher malgré le dégoût qu’il m’inspire ; allez comprendre !
Lorsque ses doigts ont investi ma culotte, je me suis sentie fondre. J’étais définitivement à sa merci et j’ai lâché prise, laissant choir sa main, lui indiquant sans nul doute possible qu’il pouvait faire de moi ce qu’il voulait. Ses gros doigts jouant sur mes lèvres, j’ai écarté juste ce qu’il fallait les cuisses, lui offrant un passage plus adéquat ! Je me surprends même à gémir doucement, fermant les yeux sous son emprise. Il s’est alors exclamé sur ma poitrine ayant remarqué que je ne porte pas de soutien-gorge. En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, il dégrafe un à un les boutons de mon chemisier, et le contact de sa main rugueuse m’arrache de petits soupirs qui en disent long. Instinctivement, je bombe le torse, le laissant me malaxer selon ses envies, sans oublier mon entrecuisse qu’il fourre d’un doigt ravageur ; il me mordille un téton tout en grognant de satisfaction. J’ouvre et ferme les yeux voguant sur ce nuage de plaisir, reprenant parfois conscience de la situation, sa barbe m’irrite les seins mais je suis sous son emprise totale. Je laisse l’instinct parler et c’est ainsi que je me suis rendu compte que j’avais ouvert les cuisses, que mes gémissements doivent l’exciter encore davantage...
Enhardi, je l’ai vu lever la fermeture Éclair de sa salopette. Curieuse, je ne perds pas une miette de ses mouvements. Le type enjambe le tracteur à l’envers ! En dix secondes, je me retrouve avec sa queue face à moi, au dessus du volant. Seule, sa queue dépasse de son bleu de travail avec, certes, une touffe de poils noirs. J’ose à peine imaginer ce qu’il attendait ! Je n’ai toutefois pas douté longtemps ! Debout, juste à bonne hauteur, il me saisit derrière la tête en me disant de le sucer.
– Montre-moi comment une belle allumeuse suce, ma belle dame !
J’ai un mouvement de recul, posant les mains sur ses hanches et refusant d’avancer malgré ses mains qui me tirent a lui !
– Allez, ne fais pas ta pimbêche, suce-moi la bite !
Il joint à ses mots les gestes, me forçant plus fort, au point que je ne peux résister. J’ai juste le temps et la force de tourner le visage en m’écrasant sur cette queue épaisse et très veinée. Comme vert de rage à mon refus, il me saisit par les cheveux en tenant sa queue d’une main, grognant qu’une belle garce comme moi doit être une bonne suceuse. J’ai alors pris cette queue en bouche avec une grimace certaine compte tenu du goût âcre de sa verge. Il s’est alors mis à me pilonner la bouche, les mains dans mes cheveux, posant les fesses sur le volant et grognant diverses insultes, compliments qui ne font, en fait, qu’attiser mon excitation. Le gland découvert et les premières pénétrations de ma bouche passées, je me mets à le sucer goulûment et avec plaisir, me mettant même à me toucher en même temps. Sa queue est bien dure et de très belle taille, plus épaisse que longue et je prends maintenant plaisir à l’entendre grogner, gémir et me complimenter sur mes talents de bouche.
Le vieux bougre s’est alors cru tout permis, se dégageant de sa position tout en me prenant le bras. J’ai failli trébucher tellement il me tire ! Je n’ai d’autre choix que me laisser guider et, en quelques secondes, je me retrouve les fesses sur le capot du tracteur. Il m’a levé les jambes tout en m’écartant et grognant qu’il allait me calmer. Je n’ai pas résisté, les jambes autour de sa taille, maintenues par ses avant-bras, il est entré en moi avec force, m’arrachant un gémissement court mais très intense. Je me suis alors accrochée en saisissant le volant au dessus de ma tête et j’ai subi ainsi ses assauts durant au moins dix minutes.
Chaque butée au plus profond de mon antre m’arrache un cri incontrôlable. Son ventre claque sur mes fesses et il s’en donne à cœur joie de me fourrer comme je le mérite, selon lui. Les yeux mi-clos, la bouche ouverte, je subis ses coups de reins, mes seins montent et descendent au rythme de ses assauts. Je me sens partir, la chatte écartelée par cette queue pour le moins plaisante... lorsqu’il se retire en grognant de plus belle qu’il veut me prendre en levrette. Je dois être au bord de la rupture car, lorsqu’il lâche mes jambes, je me cogne la cheville, ne pouvant me retenir... Les pieds au sol, je vais me redresser lorsqu’il s’agenouille en se mettant à m’embrasser l’aine, le pubis, puis m’écartant à nouveau. Le contact de sa barbe irritante, mais aussi sa langue sur mes lèvres en feu, ont raison de mes derniers moments de conscience.
C’est alors moi qui lève les cuisses. Me prêtant avec plaisir à cette nouvelle caresse, j’écarte les cuisses et lui pousse la tête pour le forcer à se frotter encore plus. Je ne suis plus moi-même, explosant de plaisir, appuyée sur le coude à lui brosser le crâne, gémissant sans cesse du bonheur qui a pris possession de mon corps.
Lorsqu’il se redresse, je me délecte même du bruit de ses suçons baveux... Il a parfaitement compris que j’en redemande. À sa demande de me retourner, je me redresse sur mes talons, faisant une volte-face en lui tournant le dos. Les deux mains sur le capot, je creuse les reins lui offrant mes fesses bien rebondies tout en me tortillant d’impatience. Ses mots raisonnent encore en moi !
– Hé bien, petite salope, tu en veux de ma bite ?
Et moi qui lui réponds :
– Oui, baise-moi fort !
Pourtant, ce n’est pas dans mes habitudes, mais je ne suis plus moi-même, j’ai envie d’être salope, envie qu’il me baise comme un fou… envie de l’entendre grogner et m’injurier...Ses pouces dans mes hanches, il a vite fait de me coucher sur la tondeuse. Ses derniers mots sont qu’il va m’en mettre plein les fesses...J’ai, une fois de plus, crié sous son emprise. En quelques secondes, je me suis retrouvée le ventre sur le capot tellement ses coups de reins sont puissants et sa pression sur mes hanches insurmontable.Quasiment à cheval sur le tracteur, mes pieds ne touchent plus le sol et ma chatte, baveuse de plaisir, est juste à portée de son calibre bien dur. Il m’écrase le bas du dos comme pour me maintenir dans cette position et me fourre comme jamais je ne l’ai été. Toutes barrières, limites sont tombées, plus rien ne peut m’empêcher de hurler mon plaisir. Écrasée contre le capot, il me maintient sur le bord tout en me possédant en profondeur et d’une puissance inouïe. Mes hurlements traduisent une jouissance absolue... Lorsqu’il se lâche en moi, c’est le 14 juillet et feux d’artifice. Allongée sur le ventre, les pieds en l’air, cuisses grandes ouvertes,… je reçois son foutre dans mon ventre comme une décharge électrique. Accrochée au volant, je hurle comme la belle salope que je suis... Je sens son foutre m’envahir et me brûler les entrailles...
Lorsque je lâche le volant, j’en ai mal aux doigts, engourdis par tant de pression. Le type me complimente en me disant que mon mari ne doit pas s’ennuyer avec une petite salope comme moi. Redressée, je sens son jus s’échapper de mon bas-ventre...Je demande juste si je peux le laisser maintenant et, d’un air ironique, il me répond qu’il a encore la machine à vidanger.
Sortant du chalet, je scrute un peu partout, songeant que si un voisin est dehors…Hou la la... En marchant vers la maison, je sens son sperme me couler entre les cuisses au point d’attraper un torchon en passant dans la cuisine, et me le glisser entre les fesses pour ne pas en mettre partout.
Le temps de son entretien, qui dure une trentaine de minutes, je me lave devant mon lavabo, observant l’intérieur de mes cuisses rougies par sa barbe.Je me regarde dans le miroir, les joues encore marquées et les cheveux défaits en me disant que je suis tout de même une sacrée salope !
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