Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 175 J'aime
  • 13 Commentaires

Entretiens d’embauche approfondis.

Chapitre 1

Divers
Premier entretien.
J’ai une trente-deux ans, j’habite dans la banlieue sud-est de Toulouse, je suis mariée, j’ai deux enfants. Je suis en recherche d’emploi et je viens d’être convoquée pour un entretien dans une grosse société.J’attends depuis quelques minutes, je suis heureuse d’avoir obtenu cet entretien. J’ai déjà postulé pour plusieurs emplois d’assistante de direction dans différentes entreprises mais aucune demande n’a aboutie.Bien que voulant être recrutée uniquement pour mes compétences, j’ai essayé de mettre toutes les chances de mon côté en soignant ma présentation, je suis passée hier chez le coiffeur, maquillée juste ce qu’il faut, mes cheveux mi-longs tombent sur mes épaules, j’ai mis un petit tailleur bleu marine dont la jupe arrive juste au dessus des genoux, un chemisier rose pâle, des chaussures noires à talons hauts, des bas couleur chair. Bien qu’habillée sobrement, je suis élégante et sexy. J’ai remarqué dans la rue que beaucoup d’hommes se retournent sur mon passage.J’attends donc dans cet espace salon, situé dans le hall d’accueil, où l’hôtesse m’a faite asseoir que le DRH me reçoive. Je me suis installée dans un fauteuil et je feuillette un magazine trouvé sur la table basse. Je préserve mon image, je suis assise sur le bord du fauteuil, les genoux sagement joints. J’entends des pas, c’est l’hôtesse, elle me dit :— Madame D., Monsieur H. va vous recevoir, suivez-moi je vous prie. Nous montons au premier étage par un grand escalier, l’hôtesse me précède, c’est une belle jeune femme blonde aux cheveux longs, elle porte une veste couleur paille, ornée au niveau du sein gauche du logo du groupe, une jupe courte rouge vif met en valeur ses jambes et sa chute de reins, un foulard, style hôtesse de l’air, entoure son cou, des bas noirs, ou bien des collants, je ne sais pas et des chaussures rouges à talons hauts complètent l’ensemble. Le groupe habille ses hôtesses de manière très sexy. Nous empruntons un long couloir au fond duquel se trouve une porte capitonnée. Nous allons entrer au secrétariat du DRH, quand la porte s’ouvre. Un homme de bonne taille, bronzé, cheveux légèrement grisonnants, dont le sourire révèle la blancheur des dents, apparait. C’est un bel homme, d’une cinquantaine d’années, d’allure soignée, le genre d’homme auquel je ne parviens pas à résister, mais je ne suis pas là pour ça.— Bonjour Vanessa, je ne vous ai pas vue aujourd’hui, vous amenez Mme D., dit-il. Et, il me serre la main,— Oui, Monsieur le Directeur, répond Vanessa.— Entrez Mme D. et asseyez-vous, je vous rejoins. Il entre deux minutes plus tard, je suis assise face à son bureau, je me lève et il dit :— Restez assise Mme D., je reprends ma place, ma jupe découvre mes genoux sur lesquels s’est immédiatement porté son regard, j’essaye de la tirer, en vain. Il dit en souriant :— Si vous ne vouliez pas montrer vos jambes, il fallait mettre une jupe plus longue. Je me mets à rougir et il continue :— En même temps c’eût été dommage, j’aime les femmes qui ont de belles jambes. Mais je m’égare, parlez-moi plutôt des raisons pour lesquelles vous désirez intégrer notre groupe. Pendant que je lui expose ma motivation, j’ai l’impression qu’il me déshabille du regard, je suis un peu gênée, surtout lorsque ses yeux s’arrêtent sur mes genoux. Drôle d’idée d’avoir mis une jupe aussi courte. Il s’aperçoit de mon trouble.— Détendez-vous, je ne vais pas vous manger, dit-il avec un grand sourire. Je me dis que je suis vraiment bête et je continue l’entretien plus détendue. Il plaisante, me fait parler de mes pôles d’intérêts, me parle de ses passions. Je suis beaucoup plus à l’aise qu’à l’arrivée, j’en oublie mes bonnes résolutions et je croise les jambes. Immédiatement, je reprends ma position initiale, genoux serrés mais c’est trop tard, cela a eu pour effet de faire remonter ma jupe jusqu’au milieu de mes cuisses. Une nouvelle fois je deviens toute rouge. Il rit et dit :— Vous avez vraiment de très belles jambes, il ne faut pas hésiter à les montrer. Puis il m’expose ce qu’il attend de moi si je suis retenue pour le poste. A la fin de l’entretien, il se lève pour venir me raccompagner à la porte et me dit doucement, près de l’oreille :— J’adore les femmes qui portent des bas, vous avez donc toutes vos chances, puis plus fort : à propos, j’appelle mes collaboratrices par leur prénom, j’espère que ça ne vous gênera pas. A bientôt Anne-Laure. Je ne sais plus où me mettre, je suis encore une fois rouge comme une pivoine et je balbutie :— Non ça ne me gêne pas, au revoir Monsieur le Directeur. Comment a-t-il deviné que je porte des bas ? J’ai honte. Je descends et au passage Vanessa l’hôtesse me dit :— Alors, ça s’est bien passé ? Il est gentil Mr H. n’est-ce-pas ? Je crois que vous avez toutes vos chances.— Pourquoi ?— Parce que vous êtes exactement comme Mr H. aime voir ses collaboratrices, en tailleur, jupe courte, talons hauts et bas, et aussi, bien roulée bien sûr, puis elle reprend : — En plus, vos cheveux sont auburn, ici il n’y en a pas encore, il y a des brunes, des blondes, des rousses, des châtains mais pas d’auburn, m’est avis que ça ne va pas tarder.— Mais comment savez vous que je porte des bas ?— Aux marques que font vos jarretelles à travers votre jupe lorsque vous êtes assise les genoux serrés, on les voit très bien, et on met rarement des jarretelles lorsque l’on porte des collants, regardez-moi, elle s’assoit, serre les genoux et je vois parfaitement le dessin que font ses jarretelles sous sa jupe moulante. Quelle conne je suis, moi qui ne voulais pas être recrutée pour mon cul ! La prochaine fois je mettrais une jupe longue et des bas autofixant.
Le soir, mon mari me demande comment l’entretien s’est déroulé. Je lui en brosse rapidement un résumé, en omettant bien sûr l’épisode des bas !


Deuxième entretien.
La semaine suivante, la secrétaire de Mr H. m’appelle pour convenir d’un nouveau rendez-vous, ça n’a pas tardé. Après tout, si ça ne tiens qu’à ma tenue, je serais bien bête de ne pas en profiter. Le jeu en vaut la chandelle, d’autant que la rémunération est très intéressante et en plus j’exercerai mon métier. Depuis la fin de mes études, je navigue de boites en boites, de CDD en CDD, à faire des jobs qui la plupart du temps ne m’intéressent pas du tout. Je décide donc de jouer le tout pour le tout, Mr H. va être content. Il faut que je trouve quelque chose de chic et élégant, qui mette en valeur mon anatomie. Je fais plusieurs magasins, achetant là une petite jupe, là un chemisier, là un pull. Je trouve par hasard une petite robe blanche, courte et décolletée. Je décide de l’essayer, elle me va parfaitement et met bien en valeur mes atouts, fesses, cuisses et seins. La vendeuse me dit qu’elle semble faite pour moi et que je dois la porter avec une ceinture, qui aura pour effet d’accentuer la minceur de ma taille et de faire ressortir encore un peu plus mes appâts.Si avec ça Mr H. ne craque pas …..Je me rends ensuite dans mon magasin de lingerie habituel où mon choix se porte sur un ensemble soutien-gorge, porte-jarretelles, string en dentelle blanche, avec une particularité, le soutien-gorge soutient les seins tout en laissant les mamelons nus, ce qui permettra aux tétons de rester apparents à travers le tissus de la robe.Le jour J, je mets ma petite robe et mes nouveaux dessous avec des bas couture couleur chaire, des chaussures rouges à talons hauts, un collier fin pour habiller mon cou et une veste légère rouge. Je me regarde dans le miroir, je suis à croquer, je vais attirer tous les regards.Une hôtesse, que je ne connais pas m’accueille, elle est brune avec des cheveux longs ondulés, type espagnole. Elle porte une veste rouge ornée du logo du groupe, jupe courte noire, bas noirs et bottes à hauts talons. Elle est magnifique, super sexy.Elle me dit que Mr H. est sorti faire une course, qu’il ne va pas tarder et qu’elle va lui faire part de mon arrivée. Je lui dis que j’ai le temps.Mon attente est de courte durée, Mr H. entre dans le hall et marche vers moi. Il porte un costume clair qui fait ressortir son teint halé. Je lui dis :— Bonjour Mr le Directeur, il me serre la main et dit :– Bonjour Anne-Laure, vous êtes ponctuelle, j’aime ça. Il m’invite à passer devant lui pour rejoindre son bureau. Au passage il adresse un sourire à l’hôtesse, c’est un homme charmant. Il me suit dans les escaliers, à 2 ou 3 marches de distance et je pense que ma petite robe doit déjà faire son effet.Nous entrons dans son bureau, il y fait chaud, il me dit : — Je suis désolé, la climatisation est en panne, j’espère que ça ne vas pas durer, en attendant mettez-vous à l’aise, et lui-même enlève sa veste. Je retire la mienne. J’ai les bras nus, ma robe comporte de fines bretelles qui ne suffisent pas pour couvrir celles de mon soutien-gorge. Comme la première fois, en discutant il me détaille des pieds à la tête, en s’attardant sur certains endroits, mes seins dont on voit parfaitement les tétons à travers le tissu de ma robe, mes genoux et mes cuisses largement découvertes. Cette fois, volontairement, je croise et décroise plusieurs fois mes jambes, il n’en perd pas une miette, il doit apercevoir mes jarretelles et la lisière de mes bas. Nous discutons un bon moment, il s’enquiert de ma date de disponibilité et me dit que si je suis toujours d’accord nous signerons le contrat la semaine suivante, il fixe même la date et l’heure du rendez-vous. Puis il me dit : — Il faut fêter ça, il ouvre une porte et m’invite à entrer dans un petit salon équipé d’une table basse et de gros fauteuils en cuir. Il me prend la main et me fait tourner sur moi-même, il dit : - Vous êtes magnifique Anne-Laure, très féminine ! Vous réussissez à être énormément sexy sans être provocante, en un mot, vous êtes parfaite et cette petite robe vous va à ravir ! Asseyez-vous. Je m’assois et m’enfonce dans le fauteuil, dans le mouvement, ma robe est remontée jusqu’en haut de mes cuisses, je fais un geste pour la tirer et j’entends : — Ne touchez à rien, restez ainsi. Je reste donc les jambes totalement dénudées, mes bas, mes jarretelles et mon string largement à sa vue. Il ouvre une bouteille de champagne, en sert deux coupes et vient s’asseoir près de moi, il dit : — Puis-je ? En posant sa main sur ma cuisse, je m’entends répondre : — Bien sûr Mr le Directeur. Alors, il me caresse les jambes, faisant crisser mes bas, ses caresses sont pleines de douceur, je le laisse faire, ses doigts se rapprochent de mon sexe, ils effleurent la dentelle de mon string, je ne dis rien, nous buvons le champagne, il se lève et m’invite à en faire autant, il me dit : — Ma chère Anne-Laure, nous sommes entre adultes, regardez dans quel état vous me mettez, vous ne pouvez pas me laisser ainsi ! Effectivement, j’ai remarqué depuis un moment une distension importante de son pantalon, au niveau de la braguette. Il me prend par les épaules, me retourne, retire la ceinture de ma robe puis descend la fermeture éclair, fait glisser les bretelles et la robe tombe à mes pieds, il la ramasse et la pose sur un fauteuil : — Il est préférable de ne pas la froisser. Je suis debout devant lui, en talons hauts, bas, porte-jarretelles, string et soutien-gorge seins nus. Il dit : — Vous êtes magnifique, j’aime beaucoup votre soutien-gorge. Il embrasse mes seins, en lèche les tétons, ce qui me fait frissonner. Je m’enhardis et caresse la bosse, il me sourit, je me mets à genoux, dégrafe son pantalon qui tombe sur ses chevilles, baisse son slip et prends son sexe dans ma main, c’est un bel engin de près de vingt centimètres et au moins quatre de diamètre. J’ouvre la bouche, approche mes lèvres et enfourne l’engin délicatement en serrant les lèvres. Il parait apprécier la caresse. Je commence de longs et lents aller/retour sur la hampe, tout en titillant le méat avec ma langue, ce qui a l’air de lui plaire puisque son sexe grossit dans ma bouche. Il me tient la tête avec une main tout en me caressant les seins avec l’autre. Il se laisse faire pendant un long moment, puis dit : — C’est excellent, non seulement vous êtes magnifique mais vous sucez comme une déesse. Et délicatement, il repousse ma tête et m’aide à me relever. Lui-même se met à genoux et me retire mon string, il me regarde et dit : — J’en fais collection, je peux le garder ? Il le porte à son visage, le sent et dit : — Humm, j’aime beaucoup votre odeur ! – Je vous l’offre, lui réponds-je. Il approche son visage de mon sexe, y insinue sa langue et remonte vers mon clitoris, il le titille un moment en me caressant les fesses et les jambes, puis me prie de m’asseoir sur le fauteuil, cuisses écartées. Tout en continuant à me sucer, il me met un, puis deux, puis trois doigts dans le vagin. Je sens le plaisir monter en moi, tout à coup j’ai un orgasme puissant qui me fait lâcher un cri de plaisir, je suis toute mouillée. Son sexe est toujours dressé, il me tend un préservatif que je place sur sa queue en m’aidant avec la bouche, je me mets à quatre pattes sur l’épaisse moquette et il me prend en levrette, me pénétrant lentement, au plus profond du vagin. Quand il est entièrement en moi, il commence de longs va et vient, accélérant par moment, puis reprenant ses mouvements lents, je pense qu’il se retient pour venir avec moi. C’est bon, je voudrais qu’il ne s’arrête jamais. Il me caresse les seins, le ventre, les cuisses et les fesses. Tout à coup je sens l’orgasme arriver et je lui dis :— Ca y est, je viens, il dit : — Attends-moi ! En accélérant ses coups de reins. C’est la première fois qu’il me tutoie. Je me mets à jouir longuement en lâchant des petits cris, lui aussi vient, en jouissant il pousse une sorte de rugissement. Je me dis que dans le bureau à côté ils doivent bien s’amuser. Comme s’il avait entendu, il dit : — Ne vous inquiétez pas, la pièce est insonorisée. Il retire son sexe et dit : — Vous êtes vraiment formidable, je sens que nous allons bien nous entendre. Il ouvre une autre porte, c’est un cabinet de toilette avec douche. Il me propose d’y passer pour quelques ablutions, lui-même se nettoie avant de se rhabiller, je fais de même. Nous sommes de nouveau comme au début de l’entretien, à part que je n’ai plus de culotte.Mr H. me raccompagne à la porte de son bureau en me disant : — Vous présentez d’excellentes dispositions et vous réunissez l’ensemble des qualités nécessaires pour tenir le poste, Anne-Laure, je vous attends donc la semaine prochaine pour signer le contrat, puis, plus bas : — Vous avez une jupe en cuir ? – Oui, Mr le Directeur ! – Mettez-la, j’aime aussi les sous-vêtements rouges et noirs, — Bien Mr le Directeur, merci beaucoup et à la semaine prochaine.En passant devant l’accueil, Vanessa est là, elle me dit :— Bonjour Madame D., quelle belle robe, Mr H. a du être très content ! Je pense qu’elle a compris, je suis arrivée à 10h00 et il est 13h15, l’entretien a duré bien longtemps ! Pourvu qu’il n’y ai pas de vent dehors !
Le soir j’explique à mon mari que je suis retenue pour le poste et que je dois signer le contrat la semaine suivante. Sans parler, bien sûr, de la petite récréation que nous nous sommes offerte et qui ne présente aucun intérêt !

Signature du contrat.
Je suis convoquée pour la signature du contrat mercredi à 10h00. La secrétaire de Mr H. m’appelle mardi soir pour me dire que le rendez-vous est reporté au vendredi à 14h00.Le vendredi matin, je prépare mes affaires : jupe courte en cuir noire, bas noirs à fine couture rouge, chaussures rouges à talons, chemisier blanc en dentelle, ensemble en satin rouge et dentelle noire comprenant le soutien-gorge, le porte-jarretelles et le string, tout ceci complété par une veste rouge. Si j’ouvre la veste on voie parfaitement mon soutien-gorge à travers la dentelle transparente du chemisier. La jupe me colle à la peau, elle est vraiment très étroite, et bien qu’elle soit courte, je ne peux pas faire de grands pas.J’arrive à 13h50, Vanessa est à l’accueil, elle me dit : — Vous êtes en avance Madame D, Mr H. n’est pas rentré de déjeuner, — Ce n’est pas grave, je vais l’attendre, au fait, mon prénom est Anne-Laure, je connais déjà le vôtre Vanessa, — Très bien Anne-Laure, vous êtes habillée hyper sexy, vous allez encore passer à la casserole.– Pourquoi dites-vous encore ? — Vous n’allez pas me dire qu’il ne s’est rien passé la semaine dernière et que vous êtes rentrée chez vous avec votre petite culotte ! — Eh bien, en fait … euh …— Ne vous inquiétez pas, il le fait avec toutes les filles, vous n’êtes pas la seule ! De plus, je connais Mr H., lorsqu’il convoque une jolie jeune femme un jour où le Directeur Général est absent, c’est qu’il va la sauter ! – Ah bon et pourquoi quand le Directeur Général est absent ? – Parce qu’il n’y a que le Directeur Général qui se permet d’appeler Mr H. à n’importe quel moment et qu’il a horreur d’attendre. Et cette après-midi, le Directeur Général n’est pas là, par contre mercredi il était là, il avait annulé son déplacement au dernier moment, vous comprenez maintenant ?Je comprends que tout le personnel des ressources humaines doit savoir que Mr H. m’a sautée.Mr H. entre, grand sourire, salutations habituelles, il m’invite aussitôt à rejoindre son bureau, et me suit trois marches plus bas, pour profiter de la vue. J’ai du mal à monter les marches à cause de l’étroitesse de ma jupe, je suis obligée de la retrousser légèrement, ce qui fait lâcher un : — Ah, quelle vue magnifique ! à Mr H. En bas, Vanessa a vu la scène et éclate de rire. Dès l’entrée dans son bureau, il me met la main aux fesses en disant : — J’adore la douceur du cuir. Je pense que s’il n’y avait pas mes fesses dessous il aimerait moins.– Retirez votre veste et retroussez lentement votre jupe. Je me dis ça y est, on est dans le vif du sujet ! Je retire lentement ma veste et il découvre mon chemisier transparent et mon soutien-gorge, — Magnifique, j’adore, vous avez beaucoup de goût Anne-Laure et vous êtes très sexy, super bandante comme l’on dit ! Il ouvre les deux boutons du haut, écarte un peu le tissus et caresse mes lobes à travers le satin, je sens mes tétons qui durcissent, lui aussi. – Remontez lentement votre jupe et laissez-moi découvrir le haut de vos bas et vos dessous. Je remonte ma jupe avec beaucoup de mal, puis je ne peux plus, c’est mes fesses qui ne passent pas.– Enlevez là alors ! Je baisse la fermeture éclair et elle tombe à mes pieds. Il se met à genoux, la ramasse et la porte à son visage, je me dis pourvu qu’il en fasse pas collection, car dans ce cas je repars cul nu. Il la pose délicatement sur le bureau. Il commence à me caresser les cuisses et le sexe à travers mon string, il est doux, c’est agréable, puis il passe derrière moi et m’embrasse les fesses. Il se relève, se met face à moi et me donne quelques longs baisers fougueux en pétrissant mes fesses. Il m’embrasse dans le cou en disant : — Vous avez un cul magnifique, véritable aimant pour ma bite, il faudra que je vous sodomise Anne-Laure, j’espère que vous acceptez la sodomie ! Otez votre string ! J’exécute et le lui tends : — Cadeau ! – Merci ! Il le porte à son visage : — J’aime votre odeur ! Je vous en offrirai d’autres.Il s’assoit sur son fauteuil et dit : — Rhabillez-vous Anne-Laure, vous ne pouvez pas signer votre contrat dans cette tenue ! Je remets ma jupe et ajuste mon chemisier, puis je m’approche du bureau : — Passez de mon côté s’il vous plait, venez à côté de moi. Je m’approche, il me désigne un parapheur ouvert et m’indique où je dois signer. Je suis debout, légèrement penchée en avant sur le bureau, pendant qu’il me parle, je sens une main qui remonte entre mes cuisses que j’écarte autant que ma jupe le permet, pour faciliter la progression, deux doigts écartent mes grandes lèvres et s’insinuent dans mon vagin : — Vous êtes toute mouillée. Il se lève : — Restez dans cette position, je vous prie. Je suis penchée sur son bureau, jambes légèrement écartées, il se met derrière moi, sort son sexe et le frotte sur ma jupe puis, ne pouvant la remonter plus haut, il la fait tomber sur mes pieds. Il frotte son sexe sur mes fesses, écarte un peu plus mes jambes :— Penchez-vous bien sur mon bureau. Je sens son sexe s’insinuer entre mes fesses et pénétrer mon vagin, il s’enfonce d’un seul coup de reins, il faut dire que je suis déjà bien mouillée, je pousse un râle de bonheur, il me prend avec vigueur et délicatesse, toujours la même méthode, alternant les mouvements lents et ceux rapides. Il me dit :— Voilà, signez votre contrat maintenant, ainsi vous vous en rappellerez ! Et je signe pendant qu’il me ramone consciencieusement. Prise en levrette, je viens en général assez rapidement. En atteignant l’orgasme, je pousse des petits cris. J’essaie de me retenir mais c’est impossible. Tant pis pour les secrétaires à côté, de toute façon, elles doivent être habituées. Il se dégage en disant : — C’était bon ? – Oh, oui, très bon ! Il retire mon chemisier : — J’aime beaucoup, vous avez beaucoup de goût ! Il est assis dans son fauteuil, je suis debout devant lui. Il sort mes seins de leur cocon et se met à les caresser et les embrasser longuement, puis c’est au tour de mes fesses. Je m’agenouille, prends son gland dans ma bouche et le titille avec ma langue. Apparemment, il apprécie. Je commence à le pomper d’un lent et profond mouvement de va et vient sur sa hampe érigée, titillant son méat avec ma langue, un long moment passe, mon rythme est très lent afin qu’il en profite à fond, il soupire de plaisir. Il cesse de me caresser et je sens les soubresauts de son gland qui ne trompent pas, il est sur le point de jouir. Il le sent aussi et veut se retirer, au même moment je baisse la tête et enfourne sa verge à fond, il décharge dans ma bouche en longues giclées puissantes, jusqu’au fond de ma gorge. Il râle très fort, son sperme est épais, je le maintiens dans ma bouche jusqu’à ce que son sexe reprenne sa taille normale. J’avale sa semence et lui nettoie la bite avec ma langue. Il semble totalement anéanti, il dit : — Quel pied, j’en peux plus, tu es vraiment formidable, comment ai-je pu me passer de toi aussi longtemps ? Nous réajustons nos vêtements, il me prend dans ses bras et m’embrasse goulument : — Merci, il y a longtemps que je n’avais pas jouis aussi fort ! – Moi aussi ! Puis il me raccompagne à la porte en me tenant la main : — Vous commencez dans deux semaines, deux semaines sans vous ça va être long ! – On se rattrapera à mon arrivée !En redescendant, je dois à nouveau retrousser ma jupe, heureusement Vanessa est seule. Je regarde la pendule, il est 16h30, deux heures et demi pour signer quelques papiers, ça fait beaucoup. Vanessa me regarde avec un grand sourire : — Alors, je n’avais pas raison ? C’était bon ? — Oui, merveilleux ! – C’est toujours bon avec Mr H., vous verrez, en plus il est très prévenant, il a beaucoup d’éducation et il est si gentil. Elle y passe aussi, peut-être que toutes les filles y passent. Enfin je suis embauchée et c’est le principal. — Vous voulez dire que c’est moins bon avec d’autres ? – Je n’ai rien dit, vous verrez par vous-même car je suppose que vous êtes embauchée, n’est-ce pas ? – Oui, tout à fait Vanessa, je commence dans deux semaines. J’en profite pour lui poser quelques questions sur les habitudes de la maison.
Le soir, je raconte à mon mari comment s’est déroulée la cérémonie de la signature du contrat, sans entrer, bien entendu, dans des détails inutiles et on arrose ça au champagne !
Diffuse en direct !
Regarder son live