La deuxième candidate se présenta comme convenu à quinze heures. En ouvrant la porte pour l’accueillir, je fus surpris d’avoir devant moi une si jolie fille, mais tellement petite. Elle devait faire un mètre quarante. Comme avec la précédente, nous traversâmes la maison et je lui pointai les pièces de la maison. Elle portait une jupe plutôt courte jaune et une chemise blanche assez transparente laissant voir son soutien-gorge noir. Elle portait des souliers à talons pas très hauts, mais qui rehaussaient bien son petit cul lorsqu’elle marchait. Les yeux de Marco semblèrent sortir de leurs orbites lorsqu’elle prit place sur la chaise : on put pas apercevoir sa culotte rose lorsqu’elle croisa les jambes. Je n’avais pas fait attention à sa taille sur son CV, mais en l’ayant sous les yeux, cela était bien mentionné. Je relus rapidement son curriculum : elle avait déjà travaillé un an dans un hôtel et un autre à faire des ménages à contrat dans des tours de bureaux. — Tu es vraiment très petite. As-tu vraiment dix-neuf ans comme indiqué sur ton offre de service ? Mary n’est-ce pas ?— Oui, j’ai mes papiers d’identité avec moi. Je vais vous les montrer. Elle me présenta sa carte d’identité et une carte étudiante. J’examinai les deux cartes. Il s’agissait bien d’elle. Je la remerciai et lui rendis les deux cartes qu’elle rangea dans son sac à main. Elle semblait à l’aise et me regardait en attendant mes questions. — Je vois que tu as une bonne expérience professionnelle. Peux-tu m’en parler un peu ?— Ma tante et moi faisions le ménage pour des compagnies installées dans des bureaux du centre. Nous devions vider les poubelles, enlever les poussières et nettoyer les planchers, enfin rendre le bureau impeccable pour le lendemain. Le travail se faisait le soir et une partie de la nuit.— Et pourquoi tu n’y travailles plus ?— Les contrats n’ont pas été renouvelés, il y a trois mois de cela.— Le travail ici est des plus simples. Garder une propreté impeccable, s’occuper de la piscine et du jardin. Tu sais jardiner ? Tu auras aussi à faire des courses, et parfois cuisiner, surtout les petits-déjeuners, mais c’est moi qui cuisinerai la plupart du temps. Tu seras bien entendu logée et nourrie, il n’était pas spécifié dans l’annonce, mais la personne choisie habitera ici dans la villa, dans l’un des ces deux bungalows.— Oh ! Je devrai demander à ma mère alors ! Mais je crois qu’elle acceptera.— Maintenant, tu as inscrit deux cent vingt-cinq dollars pour le salaire. Je donne un jour de congé par semaine le lundi ou le mardi au choix.— Est-ce que le jour de congé pourrait être le dimanche ? Je vais à la messe chaque dimanche avec mes parents.— Tu pourras t’absenter le temps d’aller à la messe si tu es choisie. Ce ne devrait pas être un souci. Je jetai un coup d’œil à Marco qui ne disait rien. Il me regarda. — Qu’en penses-tu ? ça m’étonne que tu n’aies pas dit un mot !— Eh bien, je crois qu’elle mériterait possiblement un essai après avoir rencontré toutes les autres candidates ! Il lui demanda de se lever et de s’approcher. Il la saisit par les hanches, puis la fit tourner, nous montrant son dos et ses petites fesses rebondies. Elle était docile et obéissait à ses gestes. Il la fit tournoyer à nouveau et s’exclama qu’elle était jolie. Elle sourit et reprit place sur sa chaise. Il lui demanda comme à la précédente si elle savait faire des massages. Elle répondit timidement que oui avec un sourire.
— Continuons cette entrevue. J’aimerais que tu me dises avec tes mots pourquoi tu as postulé et pourquoi tu aimerais ce travail. Et dernière chose, combien de temps comptes-tu occuper ce poste ?— Je crois que j’aimerais ce travail. J’ai besoin de gagner de l’argent pour aider mes parents. Si vous êtes satisfait de mon travail, je pourrai travailler longtemps pour vous.— C’est très bien, je te remercie d’être venue et je suis très satisfait de cette première entrevue. J’ai d’autres candidates à voir, alors je ne te promets rien, mais il est toutefois possible que nous ayons une deuxième rencontre. Tu me donnes une très bonne impression. Je me levai pour la raccompagner à la porte, et je lui donnai quelques billets pour le taxi de retour. Elle me remercia, m’assurant être disponible à tout moment pour un deuxième entretien. J’osai lui demander si la deuxième rencontre pourrait être en soirée pour un dîner et la suite. Elle me regarda d’un œil coquin, un sourire en coin. — Oui, pourquoi pas !— Est-ce que tu pourrais t’habiller très sexy ?— Oui, me répondit-elle avec ce même sourire.— Je te rappelle dans la semaine alors !— Nous pourrions faire cette entrevue maintenant, dit-elle en pointant la bosse dans mon pantalon. Je la saisis par les hanches. Elle passa ses bras autour de mon cou, m’attirant vers elle pour l’embrasser. Elle me prit la main, me demandant quelle chambre était la mienne. Je décidai de freiner tout ça : si j’acceptai de la baiser maintenant, elle pourrait penser obtenir le poste de facto. Je devais lui préciser ma pensée. — Attends un peu ma chérie. N’allons pas trop vite ! J’ai d’autres candidates à voir avant de faire un choix. Une autre doit venir dans moins d’une heure, donc j’ai peu de temps là tout de suite. Remettons cela à une éventuelle rencontre ! Elle sembla déçue, elle me regarda avec un sourire en coin. — Mais j’aurais pu vous donner un aperçu... même rapide ! Mon instinct de mâle prit le dessus et je l’entraînai dans la chambre. Elle retira sa robe en quelques secondes pour se retrouver en sous-vêtements et se mit à genoux au pied du lit en dégrafant mon pantalon qu’elle fit tomber à mes pieds. Elle palpa ma bite au travers mon boxer pour en définir les contours et extirpa mon sexe qui pointait vers son visage. Elle me prit en bouche sans attendre en me branlant doucement. Ma bite grossit dans sa bouche. Elle suçait divinement, tournant sa langue et sa tête de droite à gauche, aspirant le gland plus profondément. J’admirai la manière dont elle s’y prenait pour me donner plaisir. Marco se tenait à la porte de la chambre, tenant son téléphone pour filmer la scène. Elle se releva et enleva sa culotte. Elle se mit à quatre pattes sur le lit, m’offrant une vue de son magnifique cul. Je dégageai mon pantalon de mes pieds qui me gênait dans mes mouvements. Je m’agenouillai derrière elle et présentai ma bite à sa chatte. Je la frottai pour bien l’humecter de sa mouille. Je la saisis par les hanches pour la rapprocher du bord du lit, moi toujours debout, j’enfonçais mon sexe dans le sien, la faisant gémir. Marco s’était rapproché et filmait toujours en rigolant. — Elle est bien motivée cette petite ! Elle tourna la tête et vit Marco qui filmait la scène pendant que je la pénétrais de toute la longueur de ma bite, la sortant de sa chatte pour l’insérer d’un seul coup en entier la faisant gémir plus fort. Son plaisir n’était pas feint. Elle aimait ça cette petite ! Marco filmait maintenant son visage qui grimaçait sous mes profonds coups de boutoir. Il posa son téléphone en position horizontale sur l’oreiller, sortit sa bite et la présenta à sa bouche. À ma surprise, elle s’en saisit immédiatement sans hésiter et la suça de bon gré. — Motivée et elle fait bonne impression, hein ? Après quelques minutes, Marco me fit signe de prendre sa place. Je n’étais pas loin de jouir. J’étais très excité et pris confortablement place à la tête du lit. Elle me suivit en s’avançant vers ma bite. Je saisis le téléphone et la filmai en train de s’activer sur mon membre, l’encourageant à ne pas s’arrêter. Marco la baisait sauvagement par moments et elle gémissait sans arrêt, ses cris étouffés par ma bite dans sa bouche. Marco se retira de sa chatte pour éjaculer sur son cul. Dans la minute suivante, ce fut à mon tour de jouir entièrement dans sa bouche et elle recracha sur mon gland tout mon jus et elle me reprit en bouche et lécha en alternance. Elle me regarda pour observer ma réaction. Je l’encourageai à bien nettoyer, lui pointant de mes doigts le sperme qu’elle avait recraché. Elle obéissait au doigt et à l’œil comme on dit. — Eh bien ma chérie, tu nous as donné une sacrée bonne impression. Elle s’agenouilla en souriant. Je palpai ses seins que j’avais à peine remarqués jusque-là. J’en appréciai la fermeté. Étant donné sa stature, sa poitrine était plutôt petite, mais ses seins étaient en parfaite harmonie avec son petit corps. N’importe quel homme aurait désiré le caresser. Elle semblait parfaitement à l’aise et amena ma main à lui caresser son sein puis l’autre. Elle se blottit contre moi, puis m’embrassa doucement en sortant sa langue qui, une minute plus tôt, m’avait donné tant plaisir. Nous nous rhabillâmes tous les trois. Je la reconduisis à la porte et elle me demanda si elle allait revenir comme je lui avais dit plus tôt. — Mais bien sûr ma jolie, on se revoit un soir dans un jour ou deux, tu viendras dîner. Habille-toi sexy pour l’occasion ! De retour sur la terrasse, Marco me dit qu’il lui avait trouvé de belles qualités. Je me mis à rire, me disant parfaitement en accord avec ses qualités exceptionnelles. Il regarda son téléphone pour visionner la vidéo. — Et en plus, elle est photogénique, une vraie star de porno !— Tu m’envoies ce film et que ça ne sorte pas d’ici !
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