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Entrevue au presbytère.

Chapitre 1

Le sourire de Noémie.

Gay
Entrevue au presbytère.

                                          Le sourire de Noémie.  

                                  
C’était Benoist, que tout le monde appelait Nonoïst, toujours impliqué dans les affaires et les activités de la paroisse, "catho" à fond qui me l’avait fait rencontrer.
Benoist et moi n’étions pas particulièrement copains, mais il savait que je jouais de la guitare depuis plusieurs années et m’avait approché dans la cour du Lycée.
— Salut, t’es guitariste, pas vrai? Écoute, je voudrais te parler d’un truc...Euh! Ben voilà ! Ça te dirait de jouer le dimanche pour la messe de 11 heures ? L’Abbé Cathue cherche des musiciens pour accompagner les cantiques.


 Tu parles que ça me disait! Tout ce qui touchait à la musique me passionnait et jouer devant des dizaines de personnes, un vrai public, m’enthousiasmait.

— Ça t’intéresse, alors? Extra! Bah, écoute, euh! Je lui en parle dès que je le vois, d’accord ?

C’est ainsi que trois jours plus tard, j’étais à cinq heures sur la place face à l’église, à la porte du presbytère où j’avais rendez-vous, un peu tendu, avec Monsieur l’Abbé Cathue.
J’avais parfois croisé l’Abbé qui avait remplacé le Père Olivier mais je ne le connaissais pas. 

Le type m’impressionnait. La soixante bien sonnée, des cheveux courts d’un blond grisonnant il était grand, très charpenté, dans son visage sanguin taillé à la serpe brillait un regard gris qui lui donnait un air sévère que démentait la large bouche toujours souriante. Progressiste dans sa manière d’organiser le culte il n’en était pas moins un farouche partisan du retour à la messe en latin et était écouté de ses fidèles et avait aussi, disait on, l’attention de l’archevêché. Il avait un air d’autorité naturelle qui en imposait. Je ne l’avais jamais vu habillé autrement que de sa soutane, hiver comme été et chaussé de ses seules sandales.
J’étais en avance et patientai quelques minutes puis, me dirigeai vers la grande porte cochère et sonnai. Au bout de quelques secondes, l’interphone grésilla : « Oui ? » Une voix de femme. Sûrement celle de Noémie, une belle femme d’une quarantaine d’années qu’ avec un petit air entendu certains appelaient la « Bobonne du curé »
— Bonsoir, madame. J’ai rendez-vous avec monsieur l’Abbé.
— Ah! Très bien. Je vous ouvre.
La porte s’ouvrit avec un claquement métallique.
C’était bien Noémie, une belle blonde que j’avais déjà remarquée.
— Entrez, jeune homme, Monsieur l’Abbé va vous recevoir...
Elle me considérait avec un drôle de regard. J’avais l’impression qu’elle me jaugeait avec un petit sourire moqueur.
— Si vous voulez bien patienter, je vais vous annoncer.
Et elle disparut dans le corridor après m’avoir glissé à nouveau son drôle de regard et son petit sourire.
Elle revint bientôt .
— Monsieur l’Abbé va vous recevoir. Avancez vous, je vous prie.
Et de sourire à nouveau à mon passage.
L’Abbé Cathue m’accueillit à la porte de son bureau.
Une odeur de tabac blond, Monsieur l’Abbé fumait.
— Bonjour, mon fils. Content que tu sois venu ! Tu permets que je te tutoies ?— Bien sûr mon Père.
— Tu n’es pas bien vieux. Quel âge as-tu?
— Je viens d’avoir dix-huit ans mon père.
— À la bonheur !
Il me fit asseoir dans un des fauteuils qui faisaient face à son bureau pendant que lui s’y installait. 
— Donc, tu es guitariste...
Nous nous mîmes alors à discuter de l’affaire qui nous intéressait.

Je le détaillai. Légèrement dégarni, il portait ses cheveux gris coupés courts sur le côté, son long visage osseux portait deux profonds sillons qui encadraient une bouche longue et mince. Les yeux, au regard acéré étaient surmontés d’épais sourcils qui se teintaient de gris, le nez fort et busqué était chaussé de lunettes rondes, finement cerclées d’acier. Il croisait et décroisait les doigts de ses grandes mains osseuses pendant qu’il parlait et dégageait une impression de sérieux et de dureté presque brutale que tempérait le sourire qu’il arborait en permanence. Quand il m’observait, dans son regard s’allumait et vacillait parfois une lueur étrange pour disparaître dans un battement de paupières.
  
Il fut convenu que j’intégrerais le petit orchestre paroissial, un orgue et un saxophone, et commencerais les répétitions dès jeudi soir. Alors, quittant son bureau, il vint s’asseoir dans le fauteuil qui se trouvait près de moi et nous nous mîmes à bavarder de choses et d’autres. 

Qu’il me garde dans son bureau alors que tout était réglé m’intrigua... je repensai au sourire de Noémie.

Au cours de la conversation, tout à trac, il eut cette question qui me confirma dans ce que je soupçonnais:
— Tu es vraiment beau garçon, tu dois avoir du succès avec les filles, non?
Je ris pour essayer de cacher ma gêne et lui répondis que de ce côté là je n’avais pas trop à me plaindre...
— Tu sais il n’y a pas de péché à parler de ces choses là, je suis prêtre mais n’en suis pas moins homme. J’ai fait vœu de célibat mais pas celui de refuser tout plaisir charnel.
Je repensai alors à la jolie blonde qui m’accueillit et à son sourire. Elle devait en savoir quelque chose!

Il s’était levé et marchait à pas lents pendant qu’il me parlait, croisant et décroisant ses longs doigts. Je remarquai le même regard flou que tout à l’heure.
Il s’approcha de mon fauteuil et me posa une main sur l’épaule.
Et me revint le sourire de Noémie. 
Je sentis une appréhension en même temps qu’une excitation fébrile me gagner. Mon rythme cardiaque s’accéléra et je dus faire effort pour maîtriser ma respiration.
— As tu déjà fait l’amour à une fille?
— Oui, mon Père, ça m’est arrivé quelques fois... pas très souvent.
— Et avec un homme ? As tu déjà eu ce genre d’expérience?
Devant mon silence il posa sa main sur ma nuque et se mit à me caresser les cheveux, je tournai la tête et le regardai. 
— Oui, mon Père.
Le sourire de Noémie.
— Et là, tu as envie ?
Je hochai la tête en signe d’assentiment.
— Oui, mon Père... très !
À partir de ce moment, l’abbé changea radicalement d’attitude. C’en était fini de l’attitude bienveillante et du sourire chaleureux, il se montra alors abrupt et impérieux.
— Lève-toi! Viens ici et déshabille-toi ! J’ai envie de te baiser là, maintenant ! Viens! Je n’y tiens plus ! Attends, je vais t’aider...
Son souffle précipité se faisait rauque. Il s’approcha et m’agrippant par les bras, m’embrassa brutalement. 

Je me sentais m’abandonner alors qu’il me déboutonnait avec des gestes nerveux, débouclait fiévreusement ma ceinture, tirait sur ma chemise. Dans un tourbillon d’impatience et d’émoi, je me retrouvai bientôt nu, dans ses bras. Il gardait sa soutane et me serrait contre lui, m’embrassant violemment. je sentais sur sa langue, son haleine de tabac. 

 Il s’assit dans le fauteuil, soutane relevée, c’est là que je vis qu’il était fort bien pourvu. Sur les plis noirs de l’austère vêtement, sa grosse mentule se dressait, épaisse et très longue, sous laquelle pesaient de lourds testicules presque glabres. Il se caressait à gestes lents, me fixant avec un rictus obscène. 

— Allonge-toi sur le tapis ! Voilà. C’est ça... ! Prends des poses comme si je te prenais en photo. Tu voudras que je te prenne en photo, hein, ma salope ? Tu voudras ! Oui, bouge, là ! Tu es magnifique. Oh, ton cul ! Mets-toi à genoux, salope ! Oui ! mets-toi à quatre pattes maintenant ! Cambre-toi ! Écarte les fesses ! Superbe ! Oui !

— Viens chéri, viens dans le fauteuil et mets-toi de dos, jambes écartées ! Oui ! C’est ça ! Je veux voir ta petite rondelle ! Montre-la ! Montre-la ! Mieux que ça ! Aah ! 

 Il s’approcha de ma rosette offerte à son regard, et écartant mes fesses y posa sa bouche. Il m’embrassa furieusement enfonça sa langue à plusieurs reprises dans mon antre, y déposa sa salive puis se redressa. Je le sentis s’approcher et me tenant la taille d’une main, il aboucha son gland turgescent à mon anneau. J’entendais ses ahanements de contentement pendant ces préparatifs. Il me saisit la taille des deux mains et dans un râle prolongé, lentement, m’enfonça d’un coup son long et gros chibre jusqu’aux couilles que je sentis peser sur les miennes. Cette pénétration brutale fit exploser en moi un orgasme aussi soudain qu’intense. Je restai empalé sur sa mentule, tétanisé de jouissance. Il restait enfoncé dans mon ventre sans bouger, grognant seulement de temps à autre: « Oh ! Que tu es douce ! C’est bon ! Oh, salope ! Tu es bonne ! » prolongeant mon orgasme.

 Il se retira doucement pour venir se planter devant moi, sa grosse queue à la main, dressée et tressautant d’excitation.

— Maintenant, tu vas me sucer, petite traînée ! 

 Je le regardai dans les yeux, le défiant, et sans une hésitation, je m’emparai de sa mentule et l’enfouis avec un gémissement dans ma bouche. Je l’entendis pousser un râle lubrique quand il me vit faire. Il jouissait ! 

 Je commençai à le branler avec douceur et force, enserrant la hampe fermement, la serrant plus fortement en remontant. Je tétai le gland volumineux, y faisant affluer par ces deux actions combinées le sang en quantité, le rendant encore plus sensible. Je commençai ensuite de lents et doux mouvements de succion que j’alternais avec des mordillements de plus en plus intenses. Le prêtre soufflait et ahanait, je sentais la tension d’un plaisir grandissant s’emparer de lui. Il avait saisi mon visage de ses mains et me serrait de plus en plus fort, de manière convulsive. Les balancements qu’ il imprimait à son bassin, essayant par là de rester maître de la situation, se faisaient plus violents et plus désordonnés. Il se tendait, il montait, montait encore, se raidissait. Ses ahanements se faisaient plus furieux. Il eut deux brusques hoquets et dans un long feulement, fit gicler dans ma bouche un geyser de foutre lourd et âcre.

 Les jets abondants de sperme visqueux à l’âcre fragrance jaillissaient semblant ne jamais pouvoir s’arrêter, et même si j’en avalai la plus grande quantité, son éjaculation était si abondante qu’une partie de son sperme s’échappait en flots épais de ma bouche inondée, gouttant sur mon menton trempant mon cou. 
Je lâchai alors le gros sexe qui redevenait flaccide.

— Aahh... ! Ma salope ! Ah ! C’était bon ! Tu suces vraiment bien, petit pédé ! Ah ! j’ai bien eu raison de te faire venir ! Maintenant, viens ici... ! Allez ! Viens, chienne !

 Je me levai et marchai à lui.

 Il me prit dans ses bras et m’embrassa d’abord doucement puis avec véhémence. 

— Aah !... ! Maintenant, je vais t’enculer, petite pute ! Je vais te prendre le cul et t’enfoncer ma grosse queue à fond... ! Je vais te faire jouir, je vais te faire gueuler, moi ! Remets-toi sur le fauteuil ! Comme tout à l’heure ! Reste comme ça, chéri, je vais prendre de la vaseline dans le bureau. 

Il alla au bureau,en ouvrit le tiroir y prit un étui de carton bleu, qu’il agita alors qu’il revenait près de moi.

— Je vais préparer ton petit cul ! Montre ta rondelle, salope ! Écarte tes jolies fesses !

 Il se plaça derrière moi et déposant une petite quantité de vaseline, la fit pénétrer de deux doigts qu’il introduisit dans mon œillet. A nouveau excité, il s’était remis à bander et enduisait son chibre de liniment, il vint se placer derrière moi, m’écarta les fesses, plaça son gros gland sur ma rosette poussa et le fit entrer pour le ressortir aussitôt avec un « Oohh ! » de satisfaction. 

— Tu la sens, ma grosse queue dans ton petit cul de tapette, hein ?

 Il réitéra, encore et encore, enfonçant à chaque fois son gland plus profondément. 

— Oh ! Que tu es douce !

Bientôt, il engloutit entièrement son gourdin au fond de mon ventre et se mit à me limer lentement. 

— Tiens... ! Tiens encore... ! Prends-la, salope ! haletait-il.

 Je gémissais, le fondement irradié par les ondes de la lente et puissante pénétration, tordu de volupté. J’étais emporté par un torrent de folie lubrique. La bouche ouverte sur un souffle que je cherchais, les yeux révulsés derrière mes paupières closes, je râlai et gémissais mon plaisir. Ce salaud me faisait jouir ! 

Il y eut un bruit de porte qu’on ouvrait dans mon dos suivi de bruits de pas. Noémie apparut devant moi... avec son sourire goguenard elle se mit à me caresser. 
L’abbé était toujours planté en moi...
— Noémie, ma chérie... !
— Oui, Monsieur l’Abbé?
— Embrassez le!
Noémie se pencha vers moi... avec son sourire, me caressant le visage:
— Tu aimes ça, hein, quand il t’encule!
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