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L'envers du décor

Chapitre 2

Erotique
Je la regardais ramener un plateau de verres vers la cuisine. Son corps dégageait une sensualité qui mettait tous mes sens de prédateur sexuel en alerte.
De retour, elle me sourit, et après une pause pendant laquelle nous nous observions, indécis pour ma part, elle me dit avec un sourire coquin qu’elle danserait bien un dernier slow…
Difficile de refuser…
Je m’empressais donc de trouver un truc adéquate, et tombais sur Barry White. Dès les premières notes, elle approuva mon choix, et nous nous enlaçâmes étroitement, reprenant tout naturellement notre précédente étreinte.
Seuls dans la pénombre du salon, nous oscillions doucement, j’avoue que j’étais plus attentif au contact de son corps qu’au rythme de la musique. Mes mains reprirent le chemin de ses fesses, pressant fermement son bassin contre le mien comme pour bien lui faire comprendre si besoin était qu’elle me faisait bander grave.
Elle leva son beau visage vers le mien, les yeux mi-clos, les lèvres brillantes et entre-ouvertes. Je l’embrassais, doucement. Comme si elle n’attendait que ce signal, elle transforma ce baiser presque chaste en un roulage de pelle d’anthologie. Nous nous dévorions la bouche, goûtant nos langues, mélangeant nos salives, nos corps se frottant l’un contre l’autre au risque de perdre l’équilibre. Après un temps que je ne saurais définir, nous nous sommes retrouvés sur le canapé, continuant à nous embrasser comme des collégiens. Ma main trouva sa poitrine au mamelon dressé et dur que je pinçais doucement, avant d’empaumer le tout fermement. Elle gémissait, et moi je grognais d’excitation comme un animal en rut. Quittant sa poitrine, je descendis vers son ventre, épousant au passage le contour de son mon de vénus, et descendis plus bas. Je m’arrêtais sur sa cuisse gainée de nylon. Ne sentant aucune résistance, bien décidé à profiter de cet avantage, je remontais vers l’intérieur de ses cuisses, entraînant au passage le bas de sa robe.Dominique ondulait, tentait d’ouvrir ses cuisses au maximum des possibilités que lui laissait sa petite robe. Arrivé à la lisière de son bas, sa peau était chaude, et douce. Je remontais impérieusement vers son entrejambe et j’atteins sans difficulté le rempart de dentelle de son string. C’était tropical : chaud, humide, mais aussi hyper sensible : Dominique sursauta à ce contact et refermant les cuisses d’un coup, emprisonna ma main dans sa fournaise. Je laissais en suspend mon geste.Je ne l’avais jamais vu ainsi : les yeux brillants, ses lèvres semblaient avoir doublé de volume, elle haletait. Reprenant ses esprits, elle attrapa mon avant bras, mais sans pour autant le repousser.— Ce n’est pas bien…souffla-t-elle— Mais c’est si bon, lui rétorquais-je en retirant de moi-même ma main baladeuse pour diriger la sienne vers mon érection qu’elle agrippa instantanément.Elle me pressa doucement, j’étais au bord de l’explosion.
J’allais me jeter sur elle pour assouvir mes instincts les plus bas, lorsqu’elle sursauta brusquement. Je m’aperçu qu’elle regardait dans mon dos, et me retournant je vis par l’entrebâillement de la porte du salon une fine silhouette descendre les escaliers . C’était sa fille Guillemette, en tee-shirt, jambes nues qui allait à la cuisine pour boire. Dominique se releva vivement le visage en feu tirant sur sa robe, et passa précipitamment devant sa fille lui souhaitant bonne nuit avant de monter les escaliers vers sa chambre.
En l’espace de quelques secondes je passais du paradis au purgatoire, me retrouvant seul sur mon canapé, un peu con, légèrement sonné et surtout très frustré…
Guillemette de retour de la cuisine un verre d’eau à la main, vint se planter devant moi, un sourire au coin des lèvres. Jetant un coup d’œil sans équivoque vers mon bas ventre encore déformé par mon sexe tendu, elle ne semblait absolument pas décidée à bouger, me laissant regarder son corps de jeune fille déjà formé comme il fallait, là où il fallait. Son tee-shirt, court, ne cachait absolument pas sa culotte blanche, mon regard se perdit sur le renflement de son sexe…
Guillemette était le portrait de sa mère : fine, racée, et ne paraissant pas se soucier de son sex-appeal. A cet instant je réalisais que ma nièce n’était plus une enfant. Je n’avais pas spécialement fantasmé sur elle jusqu’à présent, la voyant toujours comme une petite fille, mais ce soir, les circonstances éclairaient sous un nouveau jour l’image qu’elle m’offrait.
Cette situation inédite, son petit cul enrobé d’une culotte blanche qui n’arrivait pas à être sage compte tenu de ses formes parfaites, et la frustration dans laquelle m’avait laissé sa mère, n’allaient pas faciliter ma débandaison…
Assis sur le canapé, je fumais une cigarette essayant de me donner une contenance et me sortir de la tête tout un tas d’idées salaces où Dominique et Guillemette étaient les victimes consentantes de mes désirs.
Légèrement déhanchée, ses deux petits seins se dressant arrogants, elle me considérait souriante comme un ange, un ange lubrique.— Tu sais, je vous ai vu tous les deux…— Tu as vu quoi ? Demandais-je le plus innocemment possible.— Je m’en fiche, ce sont vos affaires, et comme papa ne touche plus maman depuis un moment, on va dire que c’est inévitable. Je préférais m’abstenir de tout commentaire, la laissant continuer :— Tant qu’à faire j’aime autant que ce soit toi, tu vois… Elle est encore jeune, elle a des besoins je le sais. Le gode ça va un moment, et je comprends qu’elle préfère se faire secouer par un vrai mâle…C’est quand même plus fun…
Cette petite salope me clouait ! Elle venait dans la même phrase de m’apprendre qu’elle n’étais plus vraiment une petite fille modèle, qu’elle connaissait, et appréciait, les mecs plutôt virils, et qu’elle ne voyait aucun inconvénient à ce que je saute sa mère !
Comme si elle venait de m’annoncer que demain il allait faire beau, elle me lança un bonsoir enjoué, ajoutant un « et sois sage » qui, l’air de rien, acheva de me scotcher.
A 16 ans Guillemette était déjà bien délurée, et cette coquine avait l’air de très bien connaître les mecs…
Après son départ, reprenant mes esprits, je regagnais ma chambre avec des envies de viol.
En montant à mon tour les escaliers, j’hésitais entre aller directement dans la chambre de Dominique pour la baiser dans son lit conjugal, à côté de son mari ronflant, ou bien dans celle de Guillemette pour vérifier si mes déductions étaient justes.
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