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L'envers du décor...

Chapitre 2

Hétéro
J’avais passé une bonne soirée, mais dans mon lit, les remords commençaient à m’envahir. Finalement, peut-être que le face à face avec Peter que j’avais réussi à éviter aurait résolu certains de mes problèmes de conscience. Et puis, je ne pouvais pas nier qu’il s’était passé quelque chose, Bethany m’avait fait une remarque que Nicolas s’était empressé de reprendre. “Tu en as encore dans les cheveux.” Mise à part moi, tout le monde en avait ri. Pour moi, la soirée s’était arrêtée peu de temps après, laissant les autres s’amuser pendant que j’allais me coucher, fatiguée, mais heureuse.
Pourtant, une heure après l’extinction des feux, je ne dormais toujours pas. Je peinais d’autant plus à trouver le sommeil qu’Aiden était resté pour la nuit et avec Bethany, ils n’étaient pas très discrets. Je m’en suis plainte et la seule réponse que j’ai eue de ma correspondante m’a à peine surprise. “Do you want to join us ?” J’avais eu ma dose de nouveauté pour la soirée. Et puis, il était inutile de rajouter des remords aux remords. Alors, je me suis levée, un peu excédée, et j’ai été prendre un verre d’eau à la cuisine. J’étais dans mes pensées, le regard vers ce canapé où tout s’était passé. Un moment agréable, malgré la sensation de brûlure au départ, et une douleur sur la fin. J’avais d’ailleurs encore un peu mal. Un constat s’est imposé à moi, j’étais trop crispée, malgré mon bel orgasme et mon envie.
Je n’ai pas entendu arriver Peter et j’ai été surprise quand il m’a embrassée à l’arrière de l’épaule. J’ai sursauté et il s’est excusé de m’avoir fait peur. Comme moi, il n’arrivait pas à dormir. Il avait bien compris que j’étais perturbée par ce que nous avions fait. Il m’a fait m’asseoir à la table pour que nous puissions discuter un peu. Il le souhaitait dès la fin de nos ébats, mais j’avais réussi à l’esquiver. En fait, je l’ai écouté parler tant j’avais du mal à m’exprimer. Il me disait qu’il avait passé une excellente soirée avec moi. Il en avait rêvé depuis que j’étais arrivée et il ne m’en voulait pas de ma volonté de vouloir absolument me protéger. Pour lui, en cas d’accident, il n’y aurait pas forcément de suite. Pour moi, les conséquences seraient toutes autres. Expliquer à Julien comment je suis tombée enceinte par exemple ! L’Immaculée Conception ? Je ne suis pas certaine qu’il m’aurait crue. J’ai gardé mes interrogations pour moi. De toute façon, je n’étais pas enceinte.
Je n’écoutais plus vraiment Peter quand j’ai interrompu son monologue.
— Thanks, Peter.
— What? Why do you...
— Thanks for this evening. Thanks for... for making me love...
Devant son incompréhension, j’ai dit ouvertement à mon amant que je n’avais jamais pris autant de plaisir avec mon copain. Peter en était heureux, et, quand je me suis mise à pleurer, il prit mes mains dans les siennes en me demandant pourquoi ces larmes. Je pleurais parce que je l’aimais et que malgré cet amour, j’allais être contrainte de retourner vivre en France. A cet instant, je ne m’imaginais pas encore, à quel point j’étais amoureuse de lui. Cet amour était-il réciproque ? Je me suis posé la question alors qu’il évoquait mon retour en France de retrouver mes ami (e)s, ma famille, mes études...
Il avait une réponse à chacune de mes interrogations. Ainsi, quand je lui ai dit que je voulais rester avec lui, que je voulais vivre avec lui, il a eu cette question “And your...boyfriend ?” Je n’ai pu répondre que béatement “Oh ! You know I have a boyfriend ?” Oui, il savait que j’avais un petit ami. Bien que Peter m’aime, bien que nous ayons fait l’amour, j’avais un petit ami. “A fucking boyfriend”, ajouta-t-il un peu agacé. J’espérais qu’il m’aime assez pour me retenir de partir et je le lui ai dit avant de me remettre à pleurer. Peter voulait-il que je quitte Julien ? Il ne l’a pas demandé ouvertement. Cependant, il eut une phrase qui ranima mon espoir. Un peu sous le coup de l’émotion, j’ai eu du mal à comprendre exactement ce qu’il voulait me dire. J’ai compris qu’il évoquait nos 2 prochains jours, peut-être les 2 derniers. 2 jours pour être ensemble, même si nous ne faisions pas l’amour. Après cela, je rentrerais chez moi et je vivrais ma vie.
Dans peu de temps, nous saurons si nous nous aimons vraiment ou s’il s’agit simplement d’une histoire d’un soir...une belle passion avec...la fille la plus merveilleuse du monde ! J’étais touché par ces derniers mots. Il avait eu ce qu’il voulait, il n’était plus obligé de me dire ces choses-là. Alors, j’ai dit à Peter qu’il était un ange. Et puis, il a eu cette promesse que j’ai cru comprendre. « Je suis... un ange qui ne veut pas seulement une relation d’un soir et qui viendra te chercher quand il sera sûr que tu l’aimes ! » J’étais sûre ! Je ne sais pas ni comment ni pourquoi, mais je savais. J’étais amoureuse de lui. « Alors, je t’attendrais ! »
Je me suis levée, j’ai fait le tour de la table et je l’ai embrassé sur la joue. Puis, je suis retournée près du plan de travail pour me resservir un peu d’eau. J’avais envie que Peter vienne derrière moi, et qu’il m’embrasse dans le cou, qu’il me serre dans ses bras, qu’il me caresse les seins, les fesses...j’avais envie qu’il me fasse oublier cette raison qui me retenait de lui sauter dans les bras...
Mais je n’avais qu’un T-shirt long et difforme faisant office de chemise de nuit et une culotte en coton blanc. En moi, je commençais à me maudire de ne pas avoir mis la nuisette sexy offerte par Julien peu avant mon départ, au moment où j’ai senti un premier baiser dans mon cou, puis un deuxième...
J’ai senti les mains de Peter se poser sur mes épaules avant de me caresser les bras. Je frissonnais de bonheur en fermant les yeux. Peter posa sa main droite sur ma hanche et m’attira un peu plus contre lui. Il n’avait qu’un caleçon et je pouvais clairement sentir son érection contre mes fesses. Puis, il a déposé un truc brillant sur le plan de travail en précisant que si je n’avais pas envie de dormir seule, je pouvais le rejoindre.

Un peu étonnée, je lui ai demandé où il avait trouvé ce préservatif. J’avais cru comprendre qu’il n’en avait pas. Peter m’avoua qu’il l’avait pris dans la valise de Nicolas. Je lui ai demandé s’il lui avait volé. Peter me certifia que non, il le lui avait demandé. Le message était clair. Il avait envie de moi tout comme j’avais envie de lui. J’ai laissé mes remords de côté et je me suis retournée en le retenant par le bras alors qu’il était sur le point de partir. Nous nous sommes embrassés langoureusement. Peter passa ses mains sous ma chemise de nuit pour me caresser le dos, alors que je passais ma main sur son caleçon. Il avait déjà une belle érection. Etait-ce les gémissements qui s’échappaient de la chambre d’Helen qui augmentaient mon excitation ? Je n’en sais rien, mais j’étais dans une sorte d’état second. “Make me love, Peter. Make me love, now !”
Peter releva mon T-shirt et embrassa ma poitrine qui pointait déjà sous ses baisers “You want... here ?” Peu importe le lieu, j’avais envie qu’il me fasse l’amour. D’un coup, j’assumais totalement de l’aimer plus fort que Julien. J’assumais totalement mes envies et leurs conséquences potentielles.
Peter me souleva et me fit m’asseoir sur le plan de travail. Je le serrais dans mes bras, écartant déjà les jambes pour l’enlacer. Nous nous embrassions passionnément en nous caressant, tous deux, impatients de nous offrir l’un à l’autre. Peter retira mon T-shirt et le laissa tomber au sol, puis me serra contre lui. Quel plaisir de sentir à nouveau son torse contre ma poitrine, d’être dans ses bras !
Nos baisers avaient une saveur particulièrement agréable. Puis, tout en embrassant mes seins qui pointaient fortement sous ses baisers, il m’attrapa par les hanches pour me rapprocher un peu plus de lui. Je sentais son sexe dur frotter fortement sur mon intimité et j’étais très impatiente de le sentir en moi. Peter me caressait les cuisses, toujours en embrassant ma poitrine et en passant et repassant sa forte érection contre moi. J’étais déjà bien excitée, mais ses caresses firent monter en moi cette douce chaleur si agréable. De mon côté, je lui caressais le dos et la nuque en l’embrassant dans les cheveux. Je profitais du fait qu’il s’écarte un peu de moi pour passer une main dans son caleçon et prendre son érection dans ma main pour entamer un petit mouvement masturbatoire. Puis alors que j’avais baissé son caleçon, j’écartais grand les cuisses, les jambes repliées et relevées, en attirant mon amant vers moi.
Il se colla contre ma culotte humide et je lui caressais le dos en entourant mes jambes autour de sa taille. Peter a dû sentir mon impatience puisqu’il mit ses mains sur mes hanches pour retirer rapidement ma culotte. Je me surélevais un peu pour lui faciliter la tâche et il se coucha à moitié sur moi. Je sentais son sexe dur frotter et appuyer sur mon intimité lubrifiée par mon excitation et mon envie qu’il me fasse l’amour. “Oh ! Peter, j’ai tellement envie de toi !” Nous avions été tellement frustrés plus tôt dans la soirée que notre désir et notre excitation étaient démultipliés.
Je baissais un peu plus son caleçon qui tomba à ces pieds alors que Peter attrapa le préservatif. Il voulait que je le lui mette. Un peu fébrile malgré l’excitation du geste, j’ai attrapé le préservatif, le retira de l’emballage, et le déroula doucement sur ce membre dur et tendu pour moi. C’était très excitant à faire et mon cœur s’était emballé plus qu’il ne l’était déjà. Puis, Peter s’est approché de moi et m’a embrassée en se frottant à l’entrée de mon intimité. Il est entré doucement en moi, tout doucement, pendant que nous nous embrassions toujours aussi passionnément. J’en ai gémi d’un plaisir qui résonna dans notre baiser.
Je basculais vers l’arrière alors que Peter me prenait par les hanches. Il allait et venait toujours aussi doucement en moi et je me cambrais pour mieux le sentir. Sa main gauche est venue titiller la pointe de mes seins, tandis que de la main droite posée sur le bas de mon ventre, il effleurait du pouce mon bouton à plaisir, tendu d’excitation. J’en gémissais d’un plaisir encore discret. Mais ce plaisir augmenta quand mon amant me releva les cuisses et m’attira vers lui pour me prendre plus profondément. Mes fesses avaient glissé à l’extérieur du plan de travail et cela me fit peser lourd sur son membre tout en me donnant une liberté de mouvement qui renforçait encore mon plaisir. Peter avait augmenté la cadence, et je sentais mes seins ballotter d’un frémissement agréable. “Oh, it’s so good !” A mes mots, Peter avait le sourire aux lèvres. Il releva mes jambes et les serra l’une contre l’autre. Un grand frisson m’envahit alors qu’il continuait son mouvement.
Moi qui n’avais toujours eu que les jambes grandes ouvertes lors de mes rapports avec Julien, pour la première fois, mes sensations furent démultipliées, et j’agrippais le bord du plan de travail dans un soupir d’une grande satisfaction. Puis, Peter rouvrit mes jambes et les relâcha. Je me suis sentie glisser le long de sa colonne de chaire, allant au plus profond de moi. J’étais sur la pointe des pieds, tremblante de plaisir, et Peter me tenait par les hanches en me régalant par sa douceur. Rarement, je ne me suis jamais sentie remplie de la sorte et c’était très agréable.
Puis Peter releva ma jambe gauche, s’ouvrant encore un peu plus l’accès aux profondeurs de mon corps et de son autre main, il caressa mon sein droit. Il titilla mon téton qui semblait s’allonger encore plus sous ses doigts. Mes gémissements de plaisir commençaient à se faire entendre, répondant à ceux qui s’échappaient de la chambre d’Helen. Quand sa main caressa mon visage, j’étais à deux doigts de perdre la tête tellement il me régalait. Une fois de plus, j’avais envie de céder à mon envie la plus profonde. Alors j’ai profité du fait que Peter sorte de mon corps pour attraper sa hampe. “Remove this fucking condom !” En fait, je l’ai retiré moi-même avant de frotter Peter à l’entrée de mon antre trempée.
Peter m’a demandé si j’étais sûre de moi, j’ai confirmé. Il ne se le fit pas répéter et commença à me prendre doucement. Quelle sensation agréable ! Certes, mon état d’excitation avancée facilitait grandement les choses, mais, jamais, je n’avais jamais eu une telle envie de m’offrir. Je pouvais sentir chaque détail de ce membre qui me remplissait. C’était 1000 fois meilleur que le contact froid du préservatif. Mouillée comme j’étais, Peter fut entièrement en moi en peu de temps. « Oh Peter... it’s so good ! » Il se coucha sur moi pour m’embrasser et je savourais l’instant. Il me redressa un peu et je le sentis entrer encore plus profondément. C’était bon, alors je me suis agrippée à lui en le prenant dans mes bras et en lui entourant la taille de mes jambes. Ses lents coups de reins étaient doux et délicieux, démultipliant mon plaisir encore plus.
Dans le même temps, Peter me caressait les fesses en embrassant mes seins, soudainement gonflés d’envie, qui pointaient fortement dans sa bouche. J’étais de plus en plus liquide et ma respiration était de plus en plus bruyante. Habituellement, je ne suis pas particulièrement démonstrative de mon plaisir, là c’était plus fort que moi, comme un besoin pour ne pas devenir folle.
Puis, Peter se redressa, m’emmenant avec lui en me soulevant du plan de travail alors que j’enroulais mes jambes autour de sa taille et m’agrippais à lui. Une fois debout, il me prit par la taille et je commençais à sautiller sur sa queue qui me régalait de plus en plus. Je devais être trop lourde pour lui, car, au bout de quelques minutes véritablement délicieuses, il me reposa sur le plan de travail en me gardant dans ses bras. Il n’était pas sorti entièrement de moi et je le sentis me réinvestir dans un frisson indescriptible. Alors je m’ouvrais encore plus, enserrant encore plus Peter de mes jambes et de mes bras. Il était complètement en moi, à tel point que son ventre était plaqué contre le mien. Jamais, je ne m’étais jamais sentie remplie de la sorte, jamais Julien n’avait été si profondément en moi. Et comme Peter ne cherchait pas à me mettre de grands coups de reins, je pouvais savourer pleinement cette sensation.
Je remuais un peu des hanches pour faire monter encore un peu plus mon plaisir et, je l’espérais, celui de Peter. Je sentais dans les baisers que nous échangions que c’était le cas. J’en suffoquais tant c’était bon. Je fus heureuse quand il me dit sans détour que lui aussi vivait un moment exceptionnel. « Oh Gaëlle, my sweet love...you’re so delicious...It’s so wonderful to make love to you! » ou quelque chose comme cela ! J’étais très émue par ces paroles, et j’aurais voulu qu’il explose en moi à cet instant pour ressentir à quel point c’était merveilleux de me faire l’amour. En tout cas, c’était véritablement merveilleux d’avoir cédé à mes désirs, à nos désirs.
Mais la raison nous a rattrapés. Alors nous avons un peu relâché notre étreinte, nous caressant le dos, nous embrassant langoureusement. Peter s’attarda un peu sur mes fesses moites. Je l’ai interrogé alors qu’il effleurait toujours mes fesses. “Do you like my big ass ?” Peter m’a répondu que j’avais de belles fesses. J’ai eu beau lui dire qu’elles ne l’étaient pas, qu’elles étaient grosses, il avait toujours une bonne réponse, me dire qu’il adorait mon joli gros cul, par exemple. Je lui ai demandé à quel point il les aimait, histoire de diriger ses envies. Alors quand il me dit qu’il aimait mon cul beaucoup, beaucoup beaucoup, je sautais sur l’occasion. “So much for taking it again ?” Peter fut surpris par mon envie de retenter l’expérience et quand il me posa ouvertement la question, il fut encore plus surpris de ma réponse.
J’avoue avoir eu du mal à sortir mes mots. “Maybe...and I would like you cum inside me!” J’avais vraiment envie qu’il éjacule en moi et comme j’avais peur de tomber enceinte, j’avais pensé à ce compromis. Je ne savais pas si je serais capable de le laisser aller jusqu’au bout, mais j’en avais grandement envie. Peter m’invita à rejoindre sa chambre, il avait tout ce qu’il fallait pour que tout se passe pour le mieux. Nous n’avons même pas pris le temps de ramasser nos vêtements et nous avons filé dans sa chambre pour nous jeter sur son lit. Rapidement, nous nous sommes mis en 69. J’adore cette position ! Encore plus, cette fois-ci, où non content de démultiplier mon plaisir à coups de langue pendant je me délectais de sa hampe au goût de mon bonheur, Peter s’amusait à titiller mon anus.
Rapidement, Peter commença à m’enduire d’une huile. D’abord sur mes fesses puis sur mes cuisses, puis le dos...
Nous avons arrêté notre plaisir réciproque pour que Peter continue à m’enduire d’huile. Le ventre, les seins, les épaules...et quand nous nous sommes embrassés à nouveau, j’avais l’impression de serrer une savonnette dans mes bras. C’était tout de même bien agréable de sentir la douce caresse de son torse sur ma poitrine. Est-ce pour cela que j’ai gémi quand j’ai senti à nouveau Peter me pénétrer ? Je ne saurais le dire, mais j’étais dans un état de bien-être avancé. J’appréciais tout ce que Peter me faisait. Et quand je me suis retrouvée sur le côté avec mon amant derrière moi allant et venant avec délice tout en me caressant le ventre et les seins, j’étais proche de l’extase. C’est à ce moment que je l’ai senti à nouveau jouer avec mon petit trou et l’enduire généreusement d’huile. Je savais que le moment était proche. J’avais apprécié la première fois, mais cela ne m’empêchait pas d’appréhender. La faute, sans doute, à certaines douleurs que j’avais malgré tout ressenties.
Peter serait-il aussi précautionneux ? Je l’espérais.
J’ai pris l’érection de Peter dans ma main et je l’ai frottée entre mes fesses. Cela me paraissait énorme, bien plus que l’instant d’avant, et je me demandais comment cela allait pouvoir rentrer. Un peu hésitante, je l’ai masturbée quelques instants avant de commencer à le faire entrer doucement pendant que Peter caressait ma poitrine. Crispée, anxieuse, j’ai eu un peu de mal à m’ouvrir. Je sentais que cela forçait. Alors que quelques centimètres commençaient à m’investir, j’ai lâché l’érection de Peter et j’ai posé ma main sur ma fesse gauche pour l’écarter. Peter prit en main la progression quelques instants et j’ai sursauté d’un soupir de douleur. Il m’a proposé d’arrêter. Pour seule réponse, j’ai repris son érection en main et j’ai recommencé la progression, millimètre par millimètre, alors que Peter posait sa main sur ma cuisse, au niveau de mon genou. J’ai eu un second sursaut de douleur au moment où j’ai senti le gland de mon amant passer mon petit anneau crispé.
Après m’avoir laissé un temps de pause, Peter entama un petit mouvement de va-et-vient. Ma respiration était forte et, de ma main, j’essayais de contrôler les choses. Malgré les caresses de Peter sur mon ventre, mes seins, mes cuisses... mon souffle était toujours saccadé par la douleur. Pourtant, un étrange plaisir commença à naître au fond de moi, un plaisir ressemblant timidement à celui que j’avais déjà perçu sur le canapé.
Je ne parvenais pas à me décrisper complètement, alors, pour aider les choses, Peter m’enduit à nouveau d’huile qui coula le long de sa verge et très partiellement en moi. D’ailleurs, Peter ressortait entièrement, et je l’ai masturbé un peu pour l’enduire d’huile. Il me réinvestissait plus facilement, mais la douleur était encore là, et elle m’arracha quelques petits gémissements. Ces gémissements se transformèrent en plaintes quand Peter s’enfonça en moi aussi profondément qu’il l’avait fait plus tôt dans la soirée. Ses baisers dans le cou me réconfortèrent même si je haletais de plus en plus au fur et à mesure que Peter s’enfonçait en moi. D’un réflexe, j’ai écarté ma cuisse gauche, ce qui ouvrit le passage à Peter qui fut comme aspirer de quelques centimètres. Du moins, j’ai eu l’impression que c’étaient quelques centimètres. Au moment où mon amant fut presque entièrement en moi, j’ai eu un gémissement un peu plus fort que les autres, suivi d’un halètement relativement bruyant.
Etrange sensation qu’était cette douleur provoquant une sorte de plaisir. Je ne saurais la décrire, mais c’était comme hypnotique. Peter se recula un peu et remit de l’huile que j’appliquais moi-même autour de sa verge dure avant qu’il ne s’enfonce à nouveau en moi. Cela allait de mieux en mieux même si ma respiration était toujours aussi saccadée. Peut-être que je trouvais enfin une bonne position, peut-être que cette étrange douleur-plaisir me détendait un peu, peut-être les deux à la fois. Quoi qu’il en soit, Peter allait et venait un peu plus facilement en moi. Il en profita pour augmenter un peu la cadence ce qui augmenta ma douleur-plaisir. “Again...again...oui encore !” Je ne savais pas pourquoi, mais je voulais qu’il continue, encore, malgré cette douleur. Alors, Peter attrapa ma cheville et écarta grand mes cuisses. Je glissais ma main sur mon intimité et commençais à me masturber doucement. C’était étrangement bon et mes gémissements étaient aussi ambigus que ce plaisir-douleur.
Peter me serra dans ses bras et roula sur le dos en m’emmenant précautionneusement. Je lui tournais le dos et je pris position pour pouvoir continuer agréablement nos ébats. Je me suis laissée glisser le long de cette colonne de chaire qui était partiellement ressortie de mon cul et je me suis alors rendu compte que Peter n’était pas rentré aussi loin que j’en avais l’impression. Et alors que je sautillais à mon rythme, soutenu par les hanches, je me sentais engloutir de plus en plus mon amant. L’étrange plaisir-douleur m’envahissait de plus en plus, surtout après avoir recommencé à me masturber. “Wow Gaëlle ! Your ass is wonderful !” Je ne répondais que par gémissements. Et quand Peter fut entièrement en moi, j’ai eu un long râle de plaisir-douleur. J’ai eu envie d’embrasser mon amant pour le remercier de cette étrange sensation, je me suis donc relevée en faisant doucement sortir Peter de moi.
La sensation de vide fut tout aussi étrange que le plaisir que je venais de prendre. C’est donc pleine de bonheur que j’ai chevauché mon amour pour l’embrasser. Et durant notre baiser, je sentais son sexe dur glisser agréablement entre mes fesses. Je m’en suis saisie et j’ai commencé à le refaire entrer en moi tant j’avais envie de ressentir à nouveau ce plaisir si étrange, surtout maintenant que je m’étais décrispée. Nos gémissements se sont mélangés dans un même souffle de plaisir partagé. Et en peu de temps, Peter était entièrement en moi. Je jouais du bassin et c’était véritablement délicieux tant pour Peter que pour moi. Il se redressa et me serra fort dans ses bras. Je le sentais proche de l’extase et j’avais envie qu’il se laisse aller au fond de mes entrailles “Oh Peter, cum inside me. Please, cum inside my big ass !” Peter m’embrassa alors que je le sentais frémir en moi. J’ai eu une décharge de plaisir, presque un orgasme, quand je l’ai senti jaillir à trois reprises.
C’était véritablement délicieux. Tellement délicieux que nous nous sommes effondrés d’un seul corps, vaincus par ce bonheur partagé. Je sentais Peter palpiter, surtout au niveau de mon petit anneau, jusqu’à ce qu’il sorte doucement de moi. Je revivais cette sensation de vide, mais avec une sensation étrange en plus. Peut-être le sperme de Peter qui s’échappait un peu de moi.
J’embrassais Peter, le souffle court, en me blottissant dans ses bras. Je m’étais offerte comme jamais je ne l’avais fait, et je m’en étais rendu compte ce qu’être amoureuse voulait dire. Je n’étais pas véritablement amoureuse de Julien, je l’étais de Peter. Il me restait deux jours avant de rentrer. Allais-je céder à cet amour dont je n’étais pas encore bien consciente ? Je n’en étais pas encore sûre même si je me posais déjà des questions sur la fidélité de Julien. Il me faudrait d’abord en être totalement convaincue pour me laisser aller. J’espérais secrètement avoir cette certitude avant la fin de mon séjour.
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