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L'envers du décor...

Chapitre 5

Une dernière nuit d'amour

Hétéro
Après le repas, j’avais décidé d’attendre Peter sur son lit. Nicolas, tout comme moi, avait bouclé sa valise et il lisait tranquillement sur son lit quand je suis entrée dans la chambre des garçons. Il posa son livre, engagea la conversation. Quelques banalités plus tard, Nicolas commença à me poser des questions sur mon aventure avec son correspondant. Y aurait-il une suite ? Etais-je véritablement amoureuse ? Des questions dont je n’étais pas encore sûre de la réponse. Je me croyais véritablement amoureuse, mais Peter m’avait fait prendre conscience que c’était peut-être simplement de la passion. Et si ce n’était qu’une passion, j’espérais qu’elle se continuerait quand il viendra en France à son tour. “Soit prudente ! 3 semaines à te faire retourner trois fois par jour... tu vas avoir du mal à t’asseoir !” La délicatesse légendaire de Nicolas dans toute sa splendeur. J’ai répondu sur le même ton. “Helen ne sera pas du voyage...
Toi, tu te la mettras sur l’oreille !” Il eut un rire avant de me confier qu’il se rabattrait volontiers sur Beth ! “Ou sur toi !” J’ai éclaté de rire à mon tour. Même s’il est vrai que je m’étais rapproché de lui sur le plan amical, j’étais encore loin de m’offrir sans être amoureuse. C’est durant mon fou rire qu’il m’avoua une très forte attirance pour moi. Et maintenant qu’il me connaissait mieux... “Il semblerait bien que je t’aime !” En une fraction de seconde, je suis passée du rire au trouble.
Pourquoi plaisais-je autant ? Je ne faisais pourtant rien pour ça. Il y avait Julien, bien entendu, Peter et maintenant Nicolas... mais aussi Helen et peut-être même Bethany ! Et combien ne se sont pas déclarés ? Je pouvais en ajouter au moins trois. Pas forcément amoureux, mais a minima envieux de me mettre dans leur lit ! De quoi faire une belle partouze, pensais-je à cet instant. En fait, je l’ai chuchoté ! Et Nicolas l’a entendu. Quiproquo garanti !
— Tu m’inviteras ? — Oublie ce que j’ai dit ! C‘est pas demain que ça arrivera. — T’as tort... je suis sûr que Peter serait ravi de te partager avec moi. — Ça t’arrangerait bien ! Toi et ton envie de me sauter. — Ne le prends pas comme ça, Gaëlle !
J’étais un peu énervée par ses propos et Nicolas s’en est excusé. Cependant, j’avoue que cette perspective de faire l’amour avec deux hommes ne me laissait pas si indifférente que je ne le pensais. C’était certes un peu tôt, mais l’idée allait faire son chemin. Et pourquoi pas être partagée entre Peter et Julien ? Le petit ami et l’amant, j’avais quelques semaines devant moi pour y penser.
Nicolas avait repris son livre, mais rapidement il s’est levé. “Je vais voir Helen... si tu veux venir, tu es la bienvenue !” Je lui ai lancé mon chausson qu’il évita habilement. Nous avons ri de bon cœur de cet humour à double tranchant.
Peter est arrivé peu de temps après. Au moins, ça m’a permis de ne pas trop gamberger sur la proposition plus ou moins sérieuse de Nicolas. C’était plus par curiosité que par réelle attirance. Peut-être aussi pour savourer une fois de plus les délices d’Helen. Dès que Peter est entré dans sa chambre, je me suis mise à genoux sur son lit. Il m’y a rejoint, lui aussi à genoux sur le matelas. Et nous nous sommes embrassés avec une certaine émotion. Durant notre baiser, nous avons commencé à nous caresser. Si je lui caressais principalement le dos, Peter parcourrait beaucoup plus mon corps. Mon dos, mes fesses, mes hanches, mais aussi mes cheveux. Je sentais notre désir monter doucement dans nos baisers.
Envieuse de m’offrir une nouvelle fois à mon amant, je me suis retournée pour qu’il détache ma robe pendant que ma main allait de sa cuisse à son érection. Il fit doucement glisser le tissu sur mes épaules puis sur mes hanches avant de poser ses mains sur mes seins. De mes mains, je guidais ses caresses, mais rapidement je lui ai laissé le champ libre. Et alors que je passais ma main droite sur sa nuque, il descendit la sienne sur mon ventre, puis sur mon tanga que ma robe cachait encore. A travers le tissu, il me caressait agréablement les lèvres avant de s’attarder sur mon bouton à plaisir, encore tout électrique de mes ébats avec Helen. Je gémissais déjà alors que les doigts de ma main gauche s’entreposaient dans les siens, posés sur ma hanche. Sa caresse intime était agréable et je ne tardais pas à me sentir humide. Peter aurait pu me faire exploser de plaisir, déjà, mais il s’arrêta quand j’ai voulu l’embrasser.
Un doux baiser durant lequel il me caressa le ventre et les seins, avant de faire tomber ma robe. Puis, toujours en m’embrassant, il me mit sur le dos et couvrit mon corps de baisers. Mon ventre, mes seins, mes cuisses... c’était vraiment doux. Il ne s’arrêta que pour retirer sa chemise puis mon tanga et reprit sa série de baisers. Une agréable série qui se termina entre mes cuisses quand mon amant entreprit de passer et repasser sa langue sur mon clitoris qui montrait le bout de son nez. Il s’y prenait vraiment bien ! Me léchant, m’embrassant, me caressant, il me procurait un plaisir audible. Je caressais doucement sa main en me laissant envahir par le plaisir. Je ne tardais pas à atteindre un délicieux petit orgasme.
Mais Peter et moi avions envie de plus. Alors, je n’ai pas tardé à me relever et nous avons échangé un doux baiser sucré par mon plaisir durant lequel j’ai dégrafé le pantalon de Peter pour libérer son érection que je commençais à masturber doucement. Peter était à genoux et il fit glisser son pantalon avant de m’inviter dans ses bras, toujours en m’embrassant. Il passa ses mains sur mes fesses alors que je sentais sa verge dure se perdre dans ma toison. Dans un doux mouvement, j’ai senti son gland passer et repasser entre mes lèvres intimes, lubrifiées par le plaisir et le désir que je ressentais pour lui. Alors, d’un mouvement de bassin, je me suis ouverte et j’ai senti Peter me pénétrer doucement. J’enroulais mes jambes autour de lui tout en le serrant dans mes bras. Mon amant me tenait fermement tout en me laissant la totale liberté du rythme avec lequel je me laissais glisser sur cette verge tendue et offerte. Je sentais le plaisir monter à nouveau en moi.
Ce plaisir qu’il savait me donner et que je savais prendre avec lui.

Peter ne bougeait pas. Il restait à genoux, me soutenant par les fesses et me laissant monter et descendre à mon rythme dans des soupirs de bonheur. Totalement libre de mes mouvements de bassin, j’ai rapidement atteint les vertiges que je souhaitais connaître. Serrant mon amant dans mes bras, l’embrassant dans le cou, je menais agréablement nos ébats là où je le souhaitais. Mais au bout quelques délicieuses minutes, Peter me déposa délicatement sur le lit, sortant de mon corps frissonnant. Il en a profité pour finir de se déshabiller alors que je l’embrassais et le masturbait doucement. Il n’a pas tardé à glisser ses doigts dans ma cloison encore humide, récoltant les marques de mon plaisir qu’il porta à ma bouche. Je m’en suis délectée.
Et rapidement, j’ai commencé à couvrir son corps de baisers, descendant progressivement à son sexe dur et tendu que j’ai pris délicatement dans ma bouche. J’aimais le sucer et le lécher ! Peter ne m’imposait rien ni en rythme ni en profondeur et je me délectais de son plaisir que je sentais monter. Oui, moi je prenais plaisir à cette pratique que je redoutais tant avec mon petit ami. Et j’ai fait durer ma fellation plus que de raison, jusqu’à ce que Peter se relève pour m’embrasser. Jouant au chat et à la souris, je me suis retournée comme pour le fuir. Peter en a profité pour dégrafer mon soutien-gorge et m’en libérer avant de caresser mes seins en m’embrassant dans le cou. Me serrant dans ses bras, me caressant, m’embrassant, il ne tarda pas à titiller mon petit bouton. J’ai réagi instantanément, soupirant à nouveau de plaisir.
J’aimais ses caresses, j’aimais ses baisers et quand il m’allongea sur le ventre pour m’embrasser les fesses, d’abord, puis ma toison, ensuite, je me suis laissée faire. Et quelle sensation agréable quand Peter se mit à me lécher du clitoris jusqu’à l’anus ! Encore une belle découverte pour moi. J’en gémissais encore quand j’ai senti les baisers de Peter remonter dans mon dos, puis dans mon cou avant de commencer à investir ma vulve presque trempée d’envie pour mon amant. Mon plaisir n’en fut que plus grand et, à chaque délicat coup de reins, je gémissais sans gêne. Les ondes de plaisir qui montaient de mon bas-ventre étaient si intenses...
Peter allait et venait en moi, modifiant peu à peu sa position et son rythme pour augmenter encore mon bonheur. J’étais totalement à sa merci et j’avais envie qu’il m’amène aux plus hauts sommets, j’avais envie que nous y arrivions ensemble. Et nous en prenions le chemin, en totale confiance, en totale synchronicité. Je n’avais rien d’autre à faire que de m’ouvrir à ce plaisir que Peter me procurait et j’aurais voulu qu’il ne s’arrête jamais. Mais je le sentais proche de l’extase, cela ne l’empêcha pas de maintenir son rythme. Voulait-il éjaculer en moi ? Allait-il le faire ? Sans oser le dire, j’en avais très envie, comme une dernière offrande. Mais Peter se retira au dernier moment, inondant mes fesses de son plaisir chaud et visqueux alors qu’il m’embrassait la nuque. Ça avait été court, mais intense !
J’appréciais qu’il continue de m’embrasser, de me caresser, de prendre soin de moi. Encore une différence avec Julien qui préférait me délaisser avant de revenir vers moi. Peter était vraiment très attentionné et alors que je lui caressais la nuque, il faisait de même sur mes seins et mes hanches. Et quand il se mit sur le dos, je l’ai chevauché pour profiter encore un peu de ce moment de douceur. J’avais tellement envie de lui, envie de m’offrir de tout mon être, envie qu’il me fasse l’amour à nouveau... C’est ainsi que je me suis aperçue qu’il avait toujours une forte érection. Je n’ai pas hésité longtemps et je me suis saisie de ce membre dur pour le faire enter agréablement en moi.
Et rapidement, j’imprimais un rythme faisant rapidement remonter mon plaisir. Par moments, j’appuyais un peu plus sur Peter pour qu’il aille un peu plus profondément en moi et c’était bien agréable, tant la sensation elle-même que le fait d’avoir le contrôle. Et le frottement de mes seins sur le torse de mon amant amplifiait encore un peu plus cette sensation. Je m’approchais de plus en plus de l’explosion des sens que j’appréciais tant partager avec mon partenaire et les baisers de Peter dans mon cou autant que ses caresses sur mes fesses et mes hanches m’encourageaient à y céder. Peut-être que la sensation de son sperme encore chaud qui coulait entre mes fesses accélérait un peu plus la montée du plaisir que j’exprimais bruyamment. Et quand Peter se mit à jouer avec mon petit trou puis à y insérer son doigt, j’ai explosé dans l’instant. Peter se retira pour exploser lui aussi, arrosant une nouvelle fois mes fesses.
Plus ou moins volontairement, je lui en redemandais encore. Alors Peter, encore relativement dur, me réintroduisit. Je reprenais un rythme doux en me redressant. Mon corps, encore électrique, était rempli de désir et les caresses de Peter sur mes seins me firent le plus grand bien. Jamais je n’avais été aussi désireuse de faire l’amour. Je voulais tant sentir mon amant jaillir en moi que j’étais prête à m’offrir toute la nuit s’il le fallait. Cependant, j’étais incapable d’exprimer ouvertement mon souhait. En attendant, je savourais ce bonheur partagé, les fesses encore dégoulinantes de ce jus blanchâtre dont je rêvais en moi et les seins dans la bouche de Peter qui se redressa pour me serrer dans ses bras. Notre rythme ralentissait, mais c’était toujours aussi bon de sentir Peter en moi. Puis mon amant nous fit mettre sur le côté. Je glissais ma jambe sur sa hanche pour lui ouvrir le chemin qu’il s’empressa de prendre.
Il n’eut pas grande difficulté à me réinvestir et mes gémissements reprirent de plus belle.
Que m’arrivait-il ? Etais-je devenue insatiable ? Etais-je devenue accro à ce plaisir sexuel intense ? Je n’en savais rien, mais jamais je n’avais eu envie qu’on me fasse l’amour encore et encore comme ce soir-là. Et je caressais le corps de Peter pendant qu’il allait en venait délicieusement en moi. Mon désir, mon plaisir grandissait encore et encore comme celui de mon amant. Et quand je l’ai senti frémir, j’espérais qu’il ne se retire pas malgré ma peur. Malheureusement, il n’accéda pas à mon désir secret et il éjacula sur le haut de ma cuisse. Il avait toujours un petit mouvement de bassin et je sentais son membre encore relativement dur frotter entre mes lèvres en passant sur mon clitoris. Alors j’ai passé mes mains sur ses fesses et appuyai un peu. Son sexe glissa à nouveau en moi. Cette fois-ci, c’était moi qui avais un mouvement de hanches, le faisant coulisser en moi agréablement. Mais ça n’a pas duré très longtemps.
Alors que je me mettais sur le dos, j’ai senti le sexe ramolli de Peter sortir de mon corps.
Cependant, nous ne nous sommes pas arrêtés là. Peter s’en mit à m’embrasser délicatement les seins en caressant ma toison. Il ne lui fallut que peu de temps pour que ses doigts entrent dans mon sexe ouvert et lubrifié de mon plaisir. C’était bon, c’était doux. Il savait comment faire, il savait à quel rythme et rapidement un bruit liquide s’échappa d’entre mes cuisses. Je sentais venir l’orgasme et j’étais prête à l’accueillir encore une fois. Déjà des ondes de plaisir parcouraient mon corps délicieusement. Mes gémissements s’amplifièrent, indiquant à Peter qu’il était proche de me faire exploser de bonheur. Quand mon corps se cabra, j’ai senti ce plaisir que j’aimais tant. Ce plaisir qu’il me faisait atteindre à chaque fois. Mais celui-ci était beaucoup plus intense. Tellement intense que j’ai senti mon entrejambe se liquéfier plus que de raison. Notre baiser échangé fut d’une douceur incomparable.
Je reprenais difficilement mon souffle que Peter se mit sur moi pour m’enlacer. J’ai senti son sexe à demi mou frotter mon intimité, et comme j’avais toujours envie de lui, je l’ai pris dans ma main et l’ai fait entrer en moi. Une dernière fois. Une dernière séance de frisson agréable. J’écartais grand les cuisses, le serrant dans mes bras en savourant ses délicieuses allées et venues de son membre un peu flasque. Nous échangions nos derniers baisers dans des soupirs communs de plaisir partagé. C’était vraiment très agréable et je sentais poindre les premiers frissons d’un nouvel orgasme alors que Peter se faisait lourd sur moi, m’embrassant dans le cou. Je m’ouvrais autant que je le pouvais et me laissant aller doucement, mais sûrement jusqu’à ce dernier cadeau.
Mais Peter ne put m’y emmener. Sans vigueur, son membre déserta mon intimité. Un peu frustrée, mais terriblement heureuse de ce qu’il me faisait vivre depuis presque une heure, je savourais les baisers que Peter déposait sur mes seins et mon ventre. Il nous fit mettre à genoux et je lui présentais mon dos qu’il embrassa. Une main sur mes seins, l’autre sur mon intimité, il jouait adroitement des doigts pour faire remonter ces agréables sensations du fond de mon ventre. Il y parvint aisément et rapidement ses doigts s’enfoncèrent en moi. Je remuais du bassin en gémissant. Et alors que je tremblais de plaisir, je pouvais sentir le sexe de Peter gonfler légèrement entre mes fesses. Je me suis alors laissée tomber en avant et Peter tenta de s’enfoncer dans mon anus, ses doigts toujours dans mon intimité.
Je m’ouvrais pour accueillir partiellement le gland de mon amant dans mon derrière. Ça me rendait folle de plaisir et je ne tardais pas à exploser bruyamment d’un plaisir que je ne pensais plus atteindre. Le corps frissonnant, je tombais sur le côté, dans les bras de mon amant toujours en moi. Il me régala quelques instants encore avant de déserter mon corps pour maculer ma toison de quelques perles nacrées.
J’étais bien et j’aurais voulu que la nuit ne finisse jamais. Je n’avais pas envie de partir, je n’avais pas envie de quitter Peter tant j’étais bien dans ses bras. Etais-je vraiment amoureuse ? Peu m’importait, je me sentais tellement bien.
Après un petit moment de silence, Peter me demanda si j’avais passé un bon séjour. C’était le cas, surtout vers la fin. Il en était heureux. Soulagé, même. Car il savait que j’avais un petit ami et il savait également que j’en étais véritablement amoureuse. Pouvons-nous être amoureux de plusieurs personnes ? Peter en était persuadé, même si la force pouvait en être différente. Pour moi, c’était loin d’être une évidence. J’en ai profité pour lui demander ce qu’il comptait faire après mon départ. Comme il restait très évasif, je lui posais franchement la question qui me hantait un peu. Il n’avait pas l’intention d’aller chercher une autre fille. C’était moi qu’il voulait. Cependant, si l’occasion se présentait, il n’ira pas contre une aventure d’un soir. Il m’en informerait le cas échéant. Il espérait que je ferais de même. C’est à ce moment que je lui ai parlé de mon aventure avec Helen. D’abord surpris, il fut ravi de l’apprendre et heureux de savoir que j’avais aimé l’expérience.
Ce n’est pas pour autant que j’étais prête à recommencer. Cependant, je lui signifiais que j’étais prête à recommencer tout ce qu’il m’avait fait découvrir. Et même plus. Il en était ravi.
Nous nous sommes endormis peu de temps après dans les bras l’un de l’autre sous une couverture. J’avais tout un tas de choses dans la tête. Beaucoup d’interrogation sur comment considérer ma relation avec Peter. Peut-être que j’essayais de me convaincre que ce n’était qu’une passion et que je devais rester avec Julien. L’heure n’était pas aux questions, j’avais tout le trajet du retour pour cela. Amoureuse de Peter ? Amoureuse de Julien ? Je ne savais pas. Et je ne savais pas non plus comment j’allais réagir en retrouvant mon petit ami.
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