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L'envers du décor...

Chapitre 11

Hétéro
Mon mal-être a duré durant toutes les vacances de Noël. L’idée de me faire sauter presque tous les jours par Julien ne m’a pas rendu ma jovialité, loin de là. Je prétextais le stress des examens de janvier pour couper court à ces questions. Se doutait-il de quelque chose ? Je n’en sais rien et je m’en fichais. Mais durant ces vacances, j’ai pu profiter un peu de ma sœur. Le fait que nous soyons séparées la semaine la rendait moins pénible et elle était heureuse de pouvoir me parler. Je lui ai dit qu’elle pouvait m’appeler quand elle le voulait, mais elle craignait de me déranger. « Écoute Heidi, si je ne suis pas là pour toi quand tu as besoin, alors je ne suis plus ta grande sœur ! » Elle avait compris et elle n’hésiterait plus. Elle voulait me parler de Stéphane.
— Comment tu le trouves ? — C’est pas mon type de garçon. — Oui, mais... — Tu l’aimes ? — Un peu ! — Un peu ou... ? — Bah en fait je suis amoureuse d’un autre, mais il est en couple alors il m’a repoussée.
Un frisson désagréable me parcourut le corps. Je savais qu’Heidi avait le béguin pour Julien depuis longtemps. C’est pour cela que j’ai d’abord pensé qu’il avait cédé à mon irrésistible petite sœur. S’il l’avait repoussée, peut-être avait-il réellement un pépin de santé et qu’il ne savait pas comment m’en parler. En tout cas, moi je ne remarquais aucune différence dans ses attitudes et j’en suis venue à me demander si ma mère était vraiment sa maîtresse. Peut-être qu’elle l’aidait à se soigner et que ni l’un ni l’autre ne voulait m’inquiéter. Fallait-il que j’en parle à ma mère au risque d’éveiller ses soupçons ? Peut-être que ce n’était même pas elle sur ce parking.
— Tu veux qu’on aille voir Stéphane toutes les deux ? — Pour quelle raison ? — Bah... parce que tu l’aimes ! Pour la raison officielle, on trouvera. — T’es trop choux ma sœur !
Heidi m’a sauté dans les bras et m’a embrassée sur la joue. Nous avons roulé sur mon lit et elle s’est retrouvée sur moi. Ses seins pesaient sur les miens, ça m’a rappelé mon expérience avec Helen. J’avoue avoir eu une sorte d’excitation à cet instant, comme une attirance pour ma propre sœur. J’ai vite réprimé cette envie incestueuse et je me suis relevée. « Gaëlle, je peux te poser une question ? » Je reconnaissais ce ton timide. Ma sœur voulait me poser une question intime. Ou plutôt des questions intimes ! « Ça s’est passé comment pour toi... la première fois ? » Je me suis grattée derrière l’oreille et j’ai pris les mains d’Heidi dans les miennes. « Bon ! En fait, je pense que tu veux savoir si c’est le moment ou pas ! Je me trompe ? » Elle acquiesça. Alors je lui ai expliqué qu’il fallait bien choisir son partenaire. Avoir confiance, l’aimer vraiment... « Tu comprends ? » Un peu timidement, elle répondit une nouvelle fois d’un signe de tête.
Il fallait qu’elle fasse sa propre expérience, mais avec quelqu’un de confiance. Je n’avais pas envie qu’elle offre sa vertu au premier venu sous prétexte que ses copines l’avaient fait.
— Toi, tu avais quel âge ? — Presque 16 ans. — Oh ! Ça veut dire qu’à mon âge tu... — Oui, mais ça ne veut rien dire, en fait. Je suis sûre que tu as déjà une petite expérience avec les garçons. Moi je n’en avais pas trop quand on l’a fait.
— C’était avec Julien ? — Oui, bien sûr. C’était avec lui. — Tu as eu mal ? — J’étais stressée, mais j’avais envie. J’étais très amoureuse, et... je n’ai pas eu vraiment mal. Juste... il y a eu quelques secondes désagréables. En fait, j’étais assez en confiance pour que ça se passe bien. — Et tu as pris du plaisir. — J’ai pas eu d’orgasme si c’est ce que tu veux savoir. Ça n’a pas été le plus grand moment de plaisir de ma vie... mais ça a été assez agréable pour me donner envie de recommencer. — Tu t’es senti comment après ? — Comment t’expliquer... J’étais euphorique. Oui, c’est ça ! C’était... un peu étrange. Comme si j’avais grandi d’un seul coup ! — Et tu l’as dit à maman ? — Non ! Non, je n’avais pas envie de lui en parler. Mais je ne saurais pas dire comment... elle savait. Le soir même, elle est venue dans ma chambre et... elle m’a dit que si j’avais besoin d’en parler, elle était là. — Vous l’avez refait longtemps après ? — Tu veux vraiment le savoir ? — Si ça te dérange pas. — En fait... on l’a refait le jour même... l’après-midi.
Heidi semblait troublée par toutes mes révélations. J’ai essayé de la rassurer comme j’aurais aimé qu’on me rassure si j’avais été à sa place. J’ai bien insisté sur le fait qu’il fallait qu’elle se sente prête, elle, et qu’il fallait que ce soit avec quelqu’un de confiance. Surtout, je lui ai conseillé d’être amoureuse. Pour moi, ça m’a vraiment aidé à ce que ça se passe bien. Certes, je n’ai pas eu d’orgasme la première fois, mais je sais que je suis loin d’être la seule dans ce cas. Si ça pouvait l’aider à se laisser aller ! Peut-être parce qu’elle était gênée elle-même, Heidi s’est mise à être plutôt indiscrète. « Et tu as déjà couché avec un autre garçon ? Pour voir si c’était mieux. » J’ai nié, un peu gênée à mon tour en espérant qu’elle ne se rende pas compte de mon mensonge.
— Il en a une grosse, Julien ? — Ça ne te regarde pas ! — Je suis sûre que oui. C’est pour ça que t’as pas essayé avec un autre ! — C’est pas la taille qui compte. — Comment tu le sais ? — Des copines qui m’ont raconté. — Elles t’ont dit quoi ?
J’ai raconté mes expériences avec Peter et celle avec Helen. Heidi m’écouta avec attention. Évidemment, je n’ai pas dit que c’était mes propres expériences. L’a-t-elle deviné ? Elle m’a dit bien plus tard que oui, mais pas sur l’instant. Quand, à mon tour, je l’ai questionnée sur ses expériences, je ne pensais pas qu’elle me raconterait sa première fellation. Ni même qu’elle me donne le nombre de garçons à être passés dans sa bouche. Elle n’avait jamais avalé, mais elle adorait quand ses petits copains éjaculaient entre ses seins. Oui, ma petite sœur avait une expérience plus conséquente que la mienne. Même en matière de plaisir solitaire. Elle m’a raconté qu’elle avait connu son premier orgasme une nuit où elle nous écoutait faire l’amour, Julien et moi. Elle n’avait cessé de se caresser et quand l’extase arriva, elle avait cru mourir de plaisir. Elle avait recommencé plusieurs fois et me décrivait les sensations agréables qu’elle ressentait.
Nous avons échangé un sourire entendu qui marqua la fin de notre discussion. Notre mère nous appelait pour manger et nous avons fait les petites filles sages et parfaites. Cependant, en comparant les sensations d’Heidi aux miennes, j’en suis venue à me demander si j’avais vraiment déjà eu un orgasme. Et si ce que j’avais cru vivre comme tel n’était que des pointes de plaisir vraiment très agréable ? Et si l’orgasme, le vrai, était des milliers de fois plus intense ? Il faut dire que j’avais été un peu forcée de tout apprendre toute seule, vu que je n’avais que très peu d’amies. Et puis, je ne pouvais pas vraiment compter sur Julien pour me donner le plaisir que j’attendais. Je ne lui en veux pas pour cela. Comment le pourrais-je d’ailleurs ? Je ne lui ai pas souvent dit ce que je voulais. Non, ce n’est pas pour cela que j’étais malheureuse.
Ce que j’avais découvert m’obsédait et il fallait que j’en aie le cœur net. Est-ce que la femme en robe de soirée qui accompagnait Julien sur le parking était ma mère ? Alors j’ai inventé une histoire et trouvé un prétexte pour que ma mère me prête une jolie robe. « Pour mettre au repas de Noël ! J’ai que des robes de petite fille dans mon armoire. » J’ai eu l’autorisation de fouiller dans ses affaires. J’ai choisi un jour où Julien était là, histoire d’avoir son avis. J’avais eu une description de la robe par Stéphane et j’en ai choisi trois qui ressemblaient à ce qu’il m’avait indiqué. J’ai trouvé la bonne robe à la réaction de Julien. Si ma mère m’encouragea à la choisir, Julien essaya de m’en dissuader. C’est pour cela que je l’ai choisi, juste parce qu’il était mal à l’aise de me voir avec. Je me suis fait prendre en photo par ma sœur et j’ai remis une tenue plus classique. Tout commençait à se préciser dans ma tête.
Le soir même, ma mère s’arrangea pour se retrouver seule avec moi dans la cuisine. Quand elle entama la discussion sur ma relation amoureuse, j’ai compris pourquoi elle avait exempté ma petite sœur de faire la cuisine.
— Ça se passe bien avec Julien ? — Oui, pourquoi ? — Pour rien... Tu as l’air préoccupée. — C’est toujours tout joli tout beau avec papa ? — On a des hauts et des bas, comme tous les couples.
J’ai laissé quelques instants de silence. J’avais en tête qu’elle était la très probable maîtresse de mon petit ami alors j’ai tenté quelques questions en essayant de ne pas éveiller ses soupçons. Soit j’ai réussi, soit elle joue très bien la comédie.
— Papa c’est un bon coup ? — J’ai pas à me plaindre. Pourquoi cette question ? Tu as des problèmes sexuels avec Julien ? — Il est insistant sur certains trucs que j’ai pas envie, mais à part ça, ça va. — Ça arrive ça, surtout à ton âge ! — En fait, j’ai peur qu’il aille voir ailleurs ! — Pourtant, tu as un joli cul ! — Pourquoi tu dis ça, maman ? — Oh, parce que je pense savoir ce que tu ne veux pas faire... avec ton joli... — Maman ! — En fait, tu as besoin d’une arme de séduction ! C’est pour ça que tu voulais une robe, n’est-ce pas ?
J’ai acquiescé, de peur de m’engager sur un terrain trop glissant. Ma mère me proposa de m’emmener faire quelques emplettes le lendemain. Je lui demandais si Heidi pouvait venir avec nous. « Une virée entre nanas ? Pourquoi pas ! » Ma sœur accepta. Alors j’ai envoyé un message à Stéphane, j’avais besoin de lui parler. Et puis, ça permettait à Heidi de le voir.
Presqu’à l’ouverture, nous étions dans un magasin de lingerie. Ma mère me fit passer plusieurs ensembles tous plus sexy les uns que les autres. J’écoutais ses conseils et ceux de la vendeuse. Comment me tenir, comment les porter, comment choisir ma taille... Me tenant un peu plus droite, ma poitrine ressortait un peu, notamment avec cet ensemble rouge sombre. Le tanga mettait mes fesses en valeur et le soutien-gorge me faisait une jolie poitrine. Même ma sœur en convint.
Ma mère s’absenta quelques instants durant lesquels la vendeuse me complimenta d’un « Vous êtes très jolie Mademoiselle. » Je l’ai remerciée, rougissante, sentant un doux frisson parcourir mon corps en même temps que les yeux de la vendeuse. J’avoue avoir ressenti un certain plaisir à être regardée par une femme. Elle devait avoir 25-30 ans et elle avait un joli sourire qui allait de pair avec son visage. Je lui ai tendu la main. « Gaëlle ! » Elle l’a prise. « Charlotte, enchantée. » Je l’étais également et je le lui ai fait savoir. J’allais engager la conversation quand ma mère est revenue avec une paire de Dim-up. « Avec ça, tu vas faire craquer tous les mecs ! » Je les ai passés fébrilement avant de me regarder dans le miroir. Je crois que je ne m’étais jamais senti aussi sexy. Charlotte a confirmé. J’ai passé la robe de ma mère, parfait !
Ma mère m’offrit l’ensemble. De mon côté, j’en ai pris 2 autres que je trouvais également très jolies et nous sommes parties après qu’Heidi ait également choisi un ensemble. « Tu attires les femmes ma puce ! » me dit ma mère quelques mètres après avoir passé la porte de la boutique. Elle avait vu Charlotte griffonner quelque chose sur mon ticket, sûrement son numéro de téléphone. Nous avons continué à faire les boutiques toutes les trois. C’était finalement bien sympathique et j’ai pu refaire une partie de ma garde-robe.
Peu avant midi, j’ai demandé à ma mère de rester un peu seule avec Heidi, pour une pizza entre sœurs. Notre mère n’eut aucune objection. « Amusez-vous bien les filles ! » Nous l’avons regardé partir et nous avons rejoint Stéphane à la pizzeria. J’avais besoin de lui parler seule et après lui avoir fait promettre de ne rien dire à ma sœur, je lui ai montré une photo de ma mère et une autre où je portais la robe supposée être celle de la maîtresse de Julien.
— Qu’est-ce que j’ai à gagner à te répondre ? — Je ne sais pas ! Peut-être que tu aimerais passer du bon temps avec « la bombasse ? » — Du bon temps... tu veux dire... — Oui... me sauter !
Je ne pensais pas que je parlerais de moi en ces termes un jour. Je ne savais pas si je tiendrais ma promesse faite à ce petit con, mais c’était le seul moyen de le faire parler. J’ai juste rajouté la condition que j’arrive à prouver l’infidélité de Julien grâce à lui. Ça me garantissait son silence. Il a confirmé que c’était bien ma mère sur le parking et que c’était bien la bonne robe. « Ouais ! Elle te va mieux qu’à la vieille pute ! » Je ne savais ce que ma sœur lui trouvait, mais finalement elle faisait bien ce qu’elle voulait. Je lui posais une dernière question dont je craignais la vulgarité de la réponse. « Tu la trouves comment ma sœur ? » J’ai soupiré intérieurement quand il dit simplement « Bonne ! » Je m’attendais à franchement pire. Après un temps, il ajouta qu’il la trouvait gentille, intelligente... en gros elle l’intéressait. J’ai fait signe à Heidi, elle nous a rejoints.
J’ai payé les pizzas et j’ai laissé les futurs tourtereaux pour retourner à la boutique de sous-vêtement. J’avais pu vérifier la véracité de la théorie de ma mère. Non seulement j’avais le numéro de Charlotte, mais celle-ci m’avait glissé un string accompagné d’un petit mot. « Il ira très bien avec vos jolies fesses. » suivi d’une date, d’une heure et d’une adresse. Un rendez-vous secret... avec une femme. C’était trop tôt pour moi. Je souhaitais lui dire que si j’acceptais son rendez-vous, il serait uniquement amical, elle a accepté ma condition.
J’ai bien été contrainte de me montrer à Julien avec l’ensemble offert par ma mère, Dim up compris. Comme il était au repas de Noël et qu’il a passé la nuit à la maison, ça a fait office de cadeau. D’ailleurs, ce repas avait quelque chose de particulier. Ma tante et mon oncle étaient présents pour cette soirée d’hypocrites. Une belle petite famille où tout va mal et où tout le monde fait comme si tout allait bien. La magie de Noël ! Ma mère et mon petit ami avaient une relation et je faisais comme si je vivais l’amour parfait avec lui. Et dire que je portais la robe de soirée avec laquelle il s’était tapé ma mère. Et mon père qui faisait le chef de famille modèle. Il était trop souvent absent à mon goût, mais son travail nous garantissait notre niveau de vie. Je suis sûre, aujourd’hui, qu’il savait que ma mère avait un amant. Mais savait-il à ce moment-là que c’était Julien ? Et ma sœur qui était malgré tout amoureuse de mon petit ami.
Elle parlait de Stéphane à tante Alice comme si c’était l’élu de son cœur alors qu’il n’arrivait qu’en numéro 2. Il ne manquerait plus que mon oncle et ma tante aient aussi leurs secrets ou un rôle à jouer dans l’histoire et le tableau était complet.
Malgré cette atmosphère étrange, j’ai tout de même passé une excellente soirée. Un peu d’alcool pour oublier mon mal-être, un bon repas... Et, j’ai pu discuter un peu avec mon oncle et ma tante. Cela devait faire près de 3 ans que je ne les avais pas vus et, l’un comme l’autre, ils m’ont dit que j’étais devenue une bien jolie jeune femme. Ça m’a fait plaisir, surtout dans mon contexte de doute permanent envers moi-même. Mon oncle m’a même dit que s’il avait eu une fille, il aurait aimé qu’elle soit comme moi. Je ne sais pas pourquoi ils n’ont pas eu d’enfant, mais j’ai senti une tension entre eux à ce moment. Et puis le père Noël est arrivé avec tous ses cadeaux. J’ai encore été bien gâtée. A croire que je suis à la fois la fille préférée de mes parents et la nièce préférée de mon oncle et ma tante. J’en étais gênée vis-à-vis d’Heidi, mais elle a réussi à me souffler à l’oreille de ne pas m’en faire. J’adore ma sœur malgré nos différends.
Julien m’avait offert une paire de boucles d’oreille. Pour ma part, j’avais pris le temps de lui faire une peinture. Un joli paysage de bord de mer qu’il a reconnu au premier coup d’œil. Un très bon souvenir nous rattache à cette plage datant du temps où nous étions encore très complices et où nous nous aimions encore sans condition. Je lui avais montré mes seins et mon intimité pour la première fois et je l’avais masturbé sur la plage jusqu’il éjacule dans le sable. Sur le trajet retour, je l’avais involontairement prise dans ma bouche alors que nous étions à l’arrière de la voiture de mes parents et que ma petite sœur dormait à côté de nous. J’espérais que ça lui donne quelques idées parce que j’étais vraiment décidée à lui sortir le grand jeu cette nuit-là.
Une fois le repas des faux-culs (moi la première) terminé, nous sommes tous allés nous coucher. J’étais relativement impatiente d’être au matin pour profiter un peu de mes cadeaux. Mais avant cela, j’ai fait mon propre cadeau à Julien. J’ai attendu un peu et je me suis mise à me trémousser devant Julien en mettant mes fesses en arrière et en les caressant. Dès que je m’approchais, Julien m’effleurait les fesses ou la poitrine. Il était déjà très excité et le fait que je garde une distance ne lui permettant pas de me caresser augmentant encore son excitation. Ce petit jeu m’excitait moi-même et j’ai rapidement relevé ma robe jusqu’à la taille, dévoilant mes sous-vêtements affriolants. Me voir avec des bas semblait lui plaire et je ne cache pas que j’ai éprouvé une certaine satisfaction de ressentir le désir que je procurais chez mon petit ami. Je l’ai alors chevauché pour dégrafer son pantalon tout en l’embrassant.
Julien posa ses mains sur ma poitrine puis les remonta à mes épaules pour me retirer ma petite veste. Celle-ci tomba au sol et je me suis relevée pour reprendre ma danse. Mettant mes seins en valeur, tournant le dos à Julien en tendant mes fesses vers lui, je prenais un malin plaisir à l’exciter par mes postures aguicheuses.
Puis je découvris mes épaules et roulai ma robe jusqu’à mon ventre pour dégager ma poitrine. Quand je l’ai chevauché à nouveau, Julien posa ses mains sur mes fesses et commença à m’embrasser avidement les seins. Je ne pensais pas éprouver ceci, mais le fait est que j’avais envie de lui. J’étais très excitée et je commençais un mouvement de hanches pour frotter mon tanga sur son érection bien dure. Pour augmenter encore son désir, je me suis remise à danser en remontant le bas de ma robe jusqu’à mes hanches. Je me suis trémoussée quelques instants avant de m’assoir sur l’érection que Julien avait sortie de son caleçon. J’ai penché la tête en arrière pour embrasser Julien. Celui-ci me caressa les côtes en remontant à ma poitrine. Dans le même temps, j’ai senti son membre dur glisser sous mon tanga et écarter mes fesses. J’ai repris un mouvement de bassin pour l’y aider. Quand son gland atteignit mon anus, j’ai repensé à Peter et à l’étrange plaisir qu’il m’avait fait découvrir par là.
J’ai gémi au moment où j’ai senti Julien entrer en moi. Je me suis relevée dans l’instant et un étrange frisson me parcourut le corps avant que je ne me remette à danser.
Toujours en dansant, j’ai retiré ma robe sensuellement. J’ai manqué de tomber à cause de mes talons et de l’alcool que j’avais bu. Certainement aussi à cause du trouble que j’éprouvais à cet instant. Penser à Peter pendant que je dansais pour Julien ! Est-ce qu’il pensait à ma mère quand il posait ses mains sur moi ? Je n’avais pas la réponse, mais je me suis approchée de mon petit ami avec une démarche féline pour le chevaucher à nouveau. Son érection était conséquente et appuyait fortement sur mon tanga humide. Dans le même temps, Julien embrassait mes seins en me caressant le dos. Ses mains remontèrent à mes épaules pour faire glisser les bretelles de mon soutien-gorge jusqu’à mes coudes. Puis, toujours en embrassant mes seins, il dégrafa mon soutien-gorge libérant ainsi ma poitrine. Je n’ai pu faire autrement que de penser à Nicolas à ce moment. Scène similaire, complicité similaire, j’espérais presque une fin similaire.
Je réalisais alors que j’étais en train de m’offrir par habitude plus que par envie malgré mon excitation. J’ai tout de même laissé Julien continuer à se délecter de mes seins en caressant mon corps. Mais je dois avouer que je ressentais beaucoup moins de plaisir qu’avec Nicolas.
J’ai pourtant retiré la chemise de Julien avant de frotter ma poitrine contre la sienne. C’était doux ! J’ai toujours aimé cette sensation. Cela ne m’a pas empêché de tourner le dos à mon petit ami avant de m’assoir à nouveau sur son érection qui m’écarta à nouveau les fesses, cette fois-ci à travers le tissu. Je remuais du bassin comme pour masturber Julien avec mon popotin pendant que je me contorsionnais pour l’embrasser. Ses mains sur mes seins me permettaient de garder un certain équilibre. Mais rapidement, il descendit sa main droite à mon tanga et commença à vouloir me le retirer. À défaut d’y arriver, il l’écarta un peu sur le côté, juste ce qu’il faut pour glisser son érection entre mes fesses. Je me suis levée pour qu’il n’entre pas dans mon anus qui s’ouvrait de lui-même, comme si cette partie de mon corps voulait le faire entrer en moi. J’en ai profité pour retirer mon tanga. Là encore, j’ai failli tomber. La faute, toujours, aux talons et à l’alcool.
Il s’en est fallu de peu que je n’arrive à déloger mon tanga enroulé autour de mon talon. Je me suis rattrapée in extremis et j’ai fait quelques pas de danse pour reprendre mon équilibre. Julien eut un petit rire complice.
Malgré mes péripéties, j’étais particulièrement excitée. J’avais envie de faire l’amour. Avec Julien ou avec un autre finalement, peu m’importait. J’avais juste envie de ressentir les choses et rien ne m’empêchait de penser aux plaisirs que j’avais pris avec Peter, Nicolas ou toute seule, même si j’étais dans les bras de Julien. Alors, perchée sur mes talons et simplement vêtue d’une paire de bas, je me suis jetée sur Julien et me suis frottée à lui de tout mon corps. Mes seins contre sa poitrine, mon intimité contre son érection, ses mains dans mon dos et sur mes fesses... notre baiser fut particulièrement passionné. Le corps frissonnant, je me suis redressée et Julien passa la main entre mes seins avec une grande douceur. « Si tu savais comme je t’aime, mon cœur ! » Une véritable déclaration d’amour à laquelle j’avais envie de répondre « C’est pour ça que tu te tapes ma mère ! » Mais je n’avais pas envie de briser un trop rare moment de complicité totale avec lui.
C’est sans doute pour cela que je me suis retournée et que j’ai recommencé à frotter mes fesses contre son érection que Julien essaya de faire entrer en moi. « Gaëlle, mon amour, j’ai envie de toi ! » Ses mains sur mes seins, sur mon ventre, entre mes cuisses je savourais cette délicieuse sensation de son gland contre mon anus, entrant même de quelques dizaines de millimètres par moments. J’avais appris à dompter et à apprécier cette sensation au cours de mes longues soirées, seule dans ma chambre d’étudiante, et j’avais appris à en savourer les délices. Je gémissais d’un certain plaisir alors que Julien commençait à entrer véritablement en moi tout en me masturbant agréablement. J’ai eu envie de me laisser glisser et de lui offrir ce cadeau pour Noël. Mais je me suis souvenue qu’il avait essayé de me prendre ainsi en profitant de mon sommeil, et alors que Julien avait son gland presque totalement en moi, je me suis relevée.
J’ai eu du mal à réprimer un soupir pseudo orgasmique en le sentant sortir de mon corps et je me suis retournée vers lui, un frisson dans le bas-ventre, pour lui demander un préservatif. J’ai profité qu’il en attrape un dans ma table de nuit pour finir de le déshabiller et le prendre quelques instants dans ma bouche. Julien glissa le sachet dans ma main et me souffla quelques mots à l’oreille. « J’ai envie de toi, mon amour ! » Je n’ai pu m’empêcher de lui demander si je suçais si mal que ça. Il eut un petit rire gêné pour seule réponse.
Alors je me suis assise en partie sur Julien, je l’ai masturbé quelques instants avant de sortir le préservatif de son emballage. Avec une certaine excitation, je le lui ai déroulé autour de son sexe tendu que j’ai ensuite fait glisser entre mes cuisses. J’ai frotté la pointe de son gland entre mes lèvres ouvertes avant de me laisser descendre avec un certain délice. Nous en avons gémi l’un et l’autre. Devant un tel plaisir partagé, je me suis demandé pourquoi je n’avais pas réussi à faire une telle demande à Nicolas. J’avais une telle envie de lui après notre danse que, même avec un préservatif, ça aurait été certainement des milliers de fois plus délicieux qu’à cet instant. Et alors que je montais et descendais sur l’intégralité de la verge dure et tendue de Julien, je m’imaginais dans les bras de Nicolas. Les ondes de plaisir qui montaient du creux de mes reins me troublaient, tant je ne savais pas si elle était due à mes pensées ou à l’inhabituelle délicatesse de Julien.
Ses mains sur mes seins, mes hanches, mon dos... tout était doux, tout me faisait fondre. J’en gémissais de nouveau en accélérant un peu la cadence. Julien avait visiblement décidé de me laisser l’initiative et j’en ruisselais de plaisir. Tantôt je pensais à Peter, tantôt à Nicolas, tantôt je vivais cet instant avec Julien et cette ambiguïté me faisait prendre la tête tant mon trouble était agréable à vivre.
Je modifiais un peu ma position et me penchais en arrière pour augmenter mes sensations. Posant mes mains sur les cuisses de Julien, je savourais les éclairs de plaisir qui parcouraient mon corps. Cette sensation me ramena dans les bras de Peter quand bien même je soufflais le prénom de mon petit ami dans mes soupirs de bonheur. Allais-je enfin connaître l’orgasme avec lui ? Je le sentais venir comme je l’avais senti venir dans le bus sous les caresses de Nicolas.
Je changeais à nouveau de position pour que Julien me prenne dans ses bras. J’étais toujours sur lui et la pointe particulièrement sensible de mes seins effleurait son torse, m’électrisant un peu plus de plaisir. « Julien, c’est bon, c’est bon, c’est bon ! » Julien m’embrassa langoureusement pendant que ses mains parcouraient mon dos de mes épaules à mes fesses. Et avec une douceur que je ne lui connaissais pas, il passa ses doigts entre mes fesses. Mes gestes et ma respiration étaient très saccadés quand Julien titilla mon petit trou. Tout commençait à se mélanger dans ma tête. Et je pensais « Oui Peter, prends-moi par-là ! » au moment où mon petit ami glissa un doigt dans mon anus. Ces sensations synchronisées me ramenèrent à ma séance de double masturbation que je m’étais offerte alors que j’étais fiévreuse. Peter et Julien en même temps ! La visualisation de mon fantasme fit tomber la dernière barrière et libéra cette puissante explosion des sens que j’aimais tant.
Je me suis effondrée sur Julien, à bout de souffle et tremblotante de plaisir.
Mon petit ami était toujours en moi, dure comme de la pierre, et je sentais mes muscles vaginaux se contracter et se relâcher sur ce membre érigé pour mon plaisir. Je me redressais tant bien que mal et me penchai à nouveau vers l’arrière, reprenant le mouvement qui électrisait délicieusement mon corps. Et dire que j’aurais pu connaître ça avec Nicolas ! J’avais pris tant de plaisir avec lui que j’aurais probablement atteint de plus hauts sommets de plaisir, mais je me suis contentée de ce second mini-orgasme, à peine plus fort que le premier, mais un orgasme quand même. Était-ce les deux doigts de Julien dans mes entrailles qui me faisaient réagir de la sorte ? Aucune idée, mais c’était vraiment plaisant. Et cette décharge de plaisir me fit décoller (physiquement) le bassin. Julien ne put que sortir de moi. Le corps moite, je reprenais mon souffle alors que Julien passait et repassait son érection entre mes fesses. Il me tira un peu vers lui en me tenant fermement par les hanches.
Je l’ai senti commencer à forcer l’étroit passage qui l’attirait tant et, incapable d’aucune objection, je l’ai laissé faire. Mais la vive douleur qui s’empara de moi au moment où son gland passa mon petit anneau me fit reprendre mes esprits. « Non, pas comme ça ! » fis-je alors que j’en avais pourtant très envie. Je me relevais et Julien sortit, à regret, de moi. Je me suis allongée sur lui pour l’embrasser. « Petit coquin ! » Julien s’excusa, prétextant que le fait de lui avoir laissé glisser ses doigts l’avait induit en erreur. Je reconnais une fois de plus que si je n’avais pas eu tant de doute sur lui, je l’aurais laissé faire. A croire que, finalement, j’aimais cette pratique.
Mais Julien n’avait pas encore éjaculé. Combien de temps durait-il avec ma mère et avec quelle intensité faisaient-ils l’amour ? En d’autres temps, Julien aurait eu le temps de jaillir une dizaine de fois en moi ! L’excitais-je moins qu’avant ? A moins qu’il ne préfère ma mère. Je ne serais pas étonnée qu’elle le laisse lui remplir son gros cul ! Je lui avais refusé son premier désir, je n’allais pas lui refuser le second. Alors que nous avions repris une pratique plus conventionnelle, Julien me souffla quelques mots à l’oreille. « J’ai envie de jouir entre tes seins, mon amour ! » Je lui ai juste demandé de ne pas essayer de ne pas éjaculer dans ma bouche. Ça aussi ma mère avait dû lui accorder. Mais, revenant à mon petit ami, je me suis mise à genoux devant lui. Julien venait juste de retirer son préservatif que je prenais son érection entre mes seins.
Certes, il n’y avait l’huile que Nicolas m’avait conseillée, mais mon corps, et plus particulièrement ma poitrine, était assez moite pour que ce soit agréable. Heureusement que j’avais eu ces 2 pics de plaisir ! Quoi qu’il en soit, je masturbais énergiquement Julien avec mes seins et c’était plutôt plaisant à faire. À recevoir aussi, si j’en crois les gémissements de mon petit ami. De temps à autre, je m’arrêtais pour le prendre dans ma bouche, mais j’ai rapidement senti que ce n’était pas ce qu’il voulait. Et puis, Julien décida de prendre les choses en main. Il nous fit rouler pour me mettre sur le dos et il prit position pour aller et venir entre mes seins que je resserrais. Moins d’une minute plus tard, il éjaculait en maculant ma poitrine et mon cou de plusieurs giclées. Julien s’appliqua à faire tomber jusqu’à la dernière goutte sur mes seins quand bien même j’avais commencé à étaler son sperme chaud sur ma poitrine.
Et quand il approcha sa demi-érection de ma bouche, je n’ai pu m’empêcher de donner un coup de langue sur la pointe de son gland. Il donna un léger coup de reins et j’ouvrais ma bouche pour l’y accueillir. J’ai grimacé en reculant ma tête quand j’ai senti quelques gouttes couler de son membre frétillant. Je ne voulais pas lui montrer que j’appréciais relativement ça. Julien s’excusa alors qu’il éjaculait une seconde fois sur mes seins.
Malgré cet agréable moment, j’ai encore eu une nuit très perturbée. J’avais espéré naïvement que cette nuit d’amour le détourne de ma mère. La complicité plus que visible qu’avaient eue Julien et ma mère durant toute la soirée me posait problème aux vues de tous mes doutes sur leur liaison. En même temps, Julien m’avait trouvée très désirable et j’avoue que j’ai vraiment aimé la manière dont nous avions fait l’amour. Je pense même que si je n’avais eu tant de doute sur Julien, j’aurais accédé aux plus profonds désirs de mon petit ami. J’avais d’ailleurs commencé à me faire du bien par ce côté-là dans ma chambre d’étudiante. Certes, j’y allais doucement, mais depuis mon retour de Brighton, j’avais appris à aimer jouer avec cette partie de mon corps et je commençais à en apprécier l’étrange plaisir. Mon but n’était pas de m’offrir de la sorte à Julien, même si je ne l’excluais pas, mais plutôt à Peter.
Et puis, si je voulais avoir une chance de réaliser mon fantasme, il me fallait apprécier cette pratique.
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