Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 66 J'aime
  • 0 Commentaire

L'envers du décor...

Chapitre 17

Hétéro
Je me suis posé sur le lit après avoir rajusté mon top pour voir l’enregistrement avec Nicolas. J’ai bien aimé le résultat et j’étais certaine que ça plairait à Peter. « C’était super chaud ! T’avais vraiment envie de lui faire un beau cadeau à ton Peter. » J’étais un peu à bout de souffle et j’ai mis quelques secondes avant de répondre. « Vraiment ? » Mon partenaire de jeu m’expliqua qu’avec un show comme celui-là, il ne pourrait pas s’empêcher de... il mima la fin de sa phrase avec un geste masturbatoire. « Et plusieurs fois même ! » J’ai ri avant d’ajouter qu’il y en aurait au moins un qui arriverait à l’extase.
Mon ami s‘étonna de ma remarque. Alors je me suis un peu confiée. « Julien est très gentil, mais il ne sait pas trop y faire. Il est doux, mais maladroit. Mis à part une fois ou deux... » Les mots avaient du mal à sortir. Oui, je ne prenais que trop peu de plaisir avec lui, mais était-ce seulement à cause de lui ? Je me posais de plus en plus de questions sur ma capacité à atteindre le plaisir ultime autrement que par la masturbation. « Tu jouis pas avec lui ! » J’ai acquiescé de la tête. « Des fois, je me dis que j’ai pas tiré le bon numéro et d’autre fois, je me dis que c’est parce que je n’arrive pas à me laisser aller ! » Nicolas m’a fait remarquer qu’avec Peter, j’avais réussi. Effectivement, j’avais pris plus de plaisir dans cette ambiance de fête. Néanmoins, je lui précisais que jusqu’à peu, je ne savais pas réellement ce qu’était un orgasme. « C’était vraiment très bon avec Pete ou avec toi... mais j’ai jamais eu d’orgasme avec un garçon ! »
Il y eut quelques instants de silence un peu gênant durant lequel j’ai repensé au plaisir que j’avais pris avec le frère de ma correspondante. Puis dans le bus avec Nicolas. Pourquoi aucun des deux ne m’avait amenée jusqu’à l’orgasme ? Depuis que Charlotte m’avait fait vivre ce moment magique, je savais que personne ne l’avait déclenché avant elle, pas même moi.
— Nico ? Tu voulais me faire jouir dans le bus, n’est-ce pas ? — Si tu ne m’avais pas arrêté je... — Fais-moi jouir, Nicolas ! — Pardon ?
Je me tournais vers mon ami et, le regardant droit dans les yeux, j’ai réédité ma demande en détachant chaque syllabe. « Fais-moi jouir ! » Nicolas ne perdit pas de temps et il m’embrassa tendrement en passant ses mains sous mon top. Il caressa mes seins qui réagirent instantanément à cette délicate attention. Il remonta mon top avant de redescendre ses caresses à mon ventre puis mes cuisses alors qu’il commençait à prendre mes tétons dans sa bouche. Je soupirais de tant de douceur. Un sein, puis l’autre... je passais, à mon tour, ma main sous son T-shirt que j’ai rapidement entrepris de lui retirer avec son aide. Ceci fait, il retourna à ma poitrine. Ses baisers descendirent doucement à mon ventre alors que ses mains effleuraient mes cuisses, mes hanches, parfois ma culotte. Puis il se remit à mon niveau et nous nous sommes embrassés passionnément. Ses mains, à nouveau sur mes seins, faisaient monter mon désir et je sentais déjà mon plaisir humidifier mon entrejambe.
A mon tour, j’ai commencé à explorer son corps. Plus précisément la bosse qui déformait son pantalon que j’ai commencé à effleurer du bout des doigts. Mais rapidement, j’ai ouvert son jeans et j’ai passé ma main dans son boxer. Son sexe était vraiment dur et d’une bonne taille. Nos baisers se faisaient plus bruyants quand son torse effleura mon sein gauche alors que, de ma main libre, je commençais à déboucler la ceinture de mon ami. Je libérais son érection de sa cachette tandis qu’il reprenait ses caresses sur mes seins, mon ventre et ma culotte humidifiée par mon désir. Je masturbais doucement Nicolas pendant qu’il passait et repassait sa main sur ma culotte, massant mes lèvres intimes, appuyant sur mon petit bouton que je sentais de plus en plus dur... mon désir montait en même temps que mon plaisir et j’ai eu envie de passer à la vitesse supérieure.
J’ai arrêté nos baisers et j’ai pris le gland luisant de Nicolas partiellement dans ma bouche. Doucement, je montais et descendais mes lèvres le long de son membre dur, donnant des coups de langue et des baisers comme il m’avait appris. Dans le même temps, il me caressait le dos, puis les fesses, jouant avec ma culotte, passant ses doigts sur mon intimité qui gorgeait de plus en plus le tissu. J’ai fini par lui retirer son jeans et son slip et il retira mon top en m’allongeant sur le dos. Entièrement nu, il s’allongea sur moi pour me prendre dans ses bras. Il m’embrassait tendrement que je me demandais pourquoi il ne me déshabillait pas à son tour. En même temps, cela faisait encore plus monter mon désir et je sentais mon corps m’envoyer des signaux en ce sens. J’avais envie de lui.
Ses baisers descendirent peu à peu à mes seins, à mon ventre, à ma culotte qu’il écarta sur le côté avant de glisser sa tête entre mes cuisses que j’entrouvrais. Ses coups de langue étaient délicieux et je ne tardais pas à gémir d’un plaisir profond. Je passais ma main dans ses cheveux, me laissant envahir par ce plaisir qui montait de mon ventre. « Oui, continue ! Oh c’est trop bon ! » Nicolas s’exécuta délicieusement, m’arrachant des soupirs de plaisir de plus en plus intense. J’étais proche de l’orgasme quand il s’arrêta. J’avais tout de même eu deux ou trois pics de plaisir qui avaient partiellement inondé mon entrejambe.
A ma grande surprise, Nicolas rajusta ma culotte et s’est allongé à côté de moi. Il me la caressa un temps avant de passer le bout de ses doigts sous l’élastique. Je n’y tenais plus et je me suis mise totalement nue. Ses doigts sont revenus se perdre dans ma toison et il commença à me masturber agréablement. Je gémissais, je l’embrassais tant il me faisait du bien. Et même si ce n’était pas encore l’extase, ça en prenait le chemin. Machinalement, je me suis mise à me caresser les seins qui pointaient fortement. Puis, comme d’un réflexe, j’ai commencé à bouger mon bassin en synchronicité avec Nicolas qui accéléra sa caresse. C’était bon et j’en demandais encore.
Nicolas introduit son index en moi et fit plusieurs allers-retours aussi doux que rapides avant de reprendre sa caresse initiale. Je sentais le plaisir monter de plus en plus et je n’avais pas envie d’y résister. J’embrassais mon partenaire de plus en plus passionnément, ce qui amplifia encore le désir que j’avais pour lui. Mes seins frottaient contre son torse et cela m’électrisait agréablement. J’allais avoir un orgasme, je le savais, je le sentais. Les mêmes sensations qu’avec Charlotte m’envahissaient de plus en plus. C’était bien meilleur qu’avec Julien, bien meilleur qu’avec Peter, bien meilleur que dans le bus. J’y étais presque et mes soupirs étaient de plus en plus profonds, de plus en plus bruyants. Mon corps entier se cambra et se tordit dans tous les sens. J’y étais ! Enfin, un garçon m’avait emmené à l’orgasme, même s’il était moins fort que pendant mes expérimentations solitaires de la veille.
Nicolas tenta de dégager sa main, mais je l’ai retenu de la mienne pendant que je me saisissais de mes seins avec ma main libre. J’adore cette sensation de plénitude au moment de la libération du plaisir.
J’ai mis quelques minutes à redescendre et j’ai passé ma main dans ma toison. J’étais bien mouillée et j’ai récolté un peu de cette substance translucide que j’ai répandue tout autour de mon sexe. Je n’avais envie que d’une chose, recommencer, et je l’ai dit ouvertement à Nicolas. Quelques instants plus tard, mon partenaire reprit sa caresse, massant agréablement mon clitoris plus volumineux et plus dur que lors de mes explorations solitaires. Ça électrisait délicieusement mon corps et je me suis remise à mouiller abondamment. Mon partenaire variait la vitesse et la pression de sa caresse alors que je recommençais à masser la bosse qui déformait son boxer. Peu de temps après, je sortais à nouveau son érection de sa cachette et je l’ai masturbé avec ma main encore pleine de cyprine. Cette séance de masturbation mutuelle était très agréable, tant à faire qu’à recevoir. Nos rythmes se sont synchronisés naturellement, tout comme nos soupirs de plaisir.
Regardant les doigts de Nicolas, j’ai eu l’impression, comme la veille, d’avoir un micro sexe d’homme en pleine érection. Que m’arrivait-il depuis quelques jours ? C’était comme si, depuis mon expérience avec Charlotte, j’acceptais réellement la masturbation, qu’elle soit faite par mes soins ou par un (e) autre. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que c’était vraiment très bon. J’en suis venue à me demander ce qu’il en aurait été de ma relation avec Peter si j’avais été capable d’un tel relâchement. Ça avait déjà été tellement bon que, à l’époque, j’avais pris ça pour un orgasme.
Mais à cet instant, mon plaisir était des milliers de fois plus intenses et j’en gémissais sans retenue. Nicolas me faisait du bien comme jamais un garçon ne m’en avait fait. Et ce plaisir était réciproque si j’en crois l’expression qui se dessinait sur le visage de mon partenaire. Je commençais à perdre la tête et j’ai accéléré mon mouvement masturbatoire. Nicolas comprit le message et accéléra lui aussi. Un indescriptible bonheur associé à un plaisir tant sexuel que psychologique montait en moi, prêt à tout emporter.
J’étais trempée et je récoltais cette substance divine de ma main pour en enduire encore une fois le sexe de mon partenaire. Ce dernier commençait à grogner de plaisir. « Gaëlle, continue, ça vient ! » moi aussi ça venait et j’avais envie d’exploser tant la tempête des sens m’emportait. Nicolas s’arrêta et empoigna les draps alors que j’accélérais encore ma masturbation en collant son sexe dur contre mon intimité trempée, ce qui fit repartir mon plaisir à la hausse. Mon partenaire ne tarda pas à exploser de plusieurs jets qui atterrirent sur mon ventre et mes seins. J’ai continué à le masturber alors que son sperme coulait le long de sa hampe avant de se perdre dans ma toison.
Nicolas se dégagea de mon étreinte et recommença à caresser mon clitoris, le masturbant comme un mini-sexe d’homme. Je me suis remise à gémir tant le plaisir est remonté violemment en moi. Je me suis cambrée dans un cri silencieux qui précéda mes spasmes. À mon tour, j’ai agrippé les draps avant de gémir très fortement. L’orgasme, le vrai, était enfin là et je l’accueillais avec délice.
Je suis restée sur mon lit sans bouger pendant de longues minutes. Nicolas, lui, me regardait silencieusement pendant que je savourais l’instant. Il a attendu que je le regarde et que je lui sourie pour me parler. « Tu es belle en plein orgasme, Gaëlle ! » Je lui ai demandé d’arrêter de se moquer de moi. Même s’il me trouvait belle, je ne pense pas que l’espèce de grimace qui me déformait le visage au moment de mon extase me rendait plus jolie. Bien au contraire. Néanmoins, je lui ai proposé de rester manger. Sabrina allait bientôt rentrer et je lui avais promis que tout serait prêt. Nicolas proposa d’aller chercher des pizzas pendant que je me préparais. J’ai attendu qu’il parte et j’ai passé ma main sur mes seins et mon ventre pour étaler un peu sa semence. Mais mon excitation était retombée et ça m’écœurait plus qu’autre chose. J’ai tout de même tenté d’y goûter et, certainement pour les mêmes raisons, j’ai tiré au cœur.
Finalement, je me suis rhabillée et j’ai préparé la table pour trois, même si mes mouvements étaient difficiles. Nous avons encore passé une bonne soirée pleine de sous-entendus. J’aurais tant voulu que Nicolas reste dormir, mais je n’ai pas réussi à le lui demander.
Diffuse en direct !
Regarder son live