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Envie coquine au jardin public

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Écrit avec la collaboration de Yanos :
Il est encore relativement tôt ce matin, neuf heures, quand je me regarde dans le miroir avant de sortir. Je suis toute apprêtée ; mes longs cheveux noirs lâchés et retombant sur mes épaules, je porte une belle robe bleue et blanche pas trop courte, sans soutien-gorge, mais avec un joli string blanc à dentelles. Franchement, je suis craquante, j’ai été bien inspirée de m’habiller de la sorte. J’enfile juste mes bottines bleues à talons, je prends mon sac et je file. Je profite du matin pour partir vers une nouvelle aventure coquine afin d’éviter la canicule qui nous frappe les après-midi. Je sais exactement où je veux faire ma nouvelle petite séance de masturbation audacieuse.
J’ai choisi un petit jardin public de ma ville, il y a peu de passage en général et à cette heure là sûrement encore moins mais bon ça reste un lieu public et donc potentiellement risqué. J’ai repéré le coin ces derniers jours donc je me dirige d’un pas assuré vers le lieu du futur "crime" : au bord du sentier un banc à l’ombre de grands arbres et situé en face de deux autres bancs (à environ quinze mètres) vides pour le moment ! À cet endroit là je devrais être bien, et à la fois peu visible depuis le sentier principal mais ayant une vue assez dégagée si besoin. Je dépose mon sac sur le banc et avant de m’asseoir, je soulève l’arrière de ma robe afin que mes fesses soient en contact direct avec l’assise. Comme personne n’a l’air de vouloir arriver, je me décide même à retirer entièrement mon string. Je l’enlève donc et je le glisse dans mon décolleté, laissant juste dépasser un peu le tissu. Tout en scrutant les alentours, je commence à me caresser. Mes doigts frôlent la peau de mes cuisses puis s’affirment un peu plus. Ainsi, les jambes légèrement écartées, je me rapproche de ma minette, en douceur, et je me mets à y imprimer de tendres attentions digitales. Je suis excitée et je mouille déjà. À vrai dire, je crois même que j’ai commencé à mouiller sur le trajet, émoustillée par la situation que j’avais décidé de vivre. Bon, ne perdons pas plus de temps, je desserre un peu plus mes gambettes et j’insère un doigt dans mon sexe friand de calineries. Je ne peux retenir un léger gémissement.
Mais, à cet instant précis, un jeune homme, plutôt beau garçon - athlétique, blond aux yeux clairs - débarque dans mon champs de vision et vient s’asseoir sur un des bancs en face du mien, à quinze mètres de moi. Il me plaît presque instantanément. Il me voit bien sûr mais il ne remarque pas que je suis en train de me faire du bien. Que faire ? Je me pose la question pour la forme juste parce que je sais très bien ce que je veux et vais faire. J’enfonce mon doigt à nouveau et en profondeur tout en gémissant d’une manière plus suggestive et plus audible. Je souhaite clairement attiré son attention. Et… bingo ! Son regard se pose sur moi. Il comprend. Il sourit. Je réponds par un sourire. Alors que je ne le quitte pas du regard, je fais glisser la bretelle de ma robe sur mon épaule et je dégage mon sein du tissu, faisant par la même occasion tomber mon string sur mes genoux. Puis, voyant que le spectacle lui plaît, je renouvelle rapidement l’opération afin de sortir mon deuxième sein. Me voilà donc, la jupe révélée en bas et baissé en haut ; les sexe et les seins à l’air, exhibée devant un charmant inconnu.
Bon, il est temps de passer aux choses sérieuses : je dépose le string dans mon sac et j’en ressors mon jouet favori. Les yeux toujours fixés sur mon beau voyeur, je lèche le gode de bas en haut puis je le place entre mes seins imposants pour le provoquer un peu plus. Je décide alors de baver un peu sur mon sex-toy pour le lubrifier, j’écarte un peu plus les jambes et en douceur, je me l’enfonce tranquillement dans la chatte, en niveau 2 du mode de vibration. Lui, pendant ce temps, il me dévore du regard. Je pose mon pied droit sur le banc pour lui offrir une meilleure vue sur mon tripotage. Après quelques allers retours prononcés, je déclenche le mode supérieur et maximum. Je me sens lubrique et sensuelle à la fois. En plus avec les doigts de mon autre main je prends un plaisir exquis à me pincer les tétons tour à tour. Tout est réuni pour m’exciter au plus haut point. La situation risquée, le lieu public, un spectateur mignon, ma chatte remplie par mon joujou adoré, les vibrations qui m’électrisent et les bouts de mes seins malmenés. J’accélère les va-et-vient du gode et je l’enfonce avec plus de force à présent. Tant et si bien que je sombre dans l’orgasme, je gémis assez peu discrètement et je jouis avec délice. D’autant qu’en face de moi, le mec a enfin décidé de sortir sa queue pour se toucher en me matant.
J’en veux encore et cette vison de bite tendue pour moi y est pour beaucoup. Cette fois-ci je pose mes deux pieds sur le banc, la vue sur ma chatte est plus que flagrante. Le gode toujours fiché à l’intérieur et vibrant au maximum. Je mouille follement, je sens la cyprine dégouliner et je sais que je suis en train de tremper le banc. Mes mains se posent sur mes seins et je commence à me pincer et à me tirer fortement les tétons. Voir les allers retours de sa main sur sa queue m’excite vraiment. Le gode continue son œuvre vibratoire et je tire mes tétons vers l’avant avec plus de force encore. Cette dernière action déclenche un nouvel orgasme encore plus puissant que le premier. J’en gicle carrément ; ma mouille s’expulse en quelques jets impressionnants. Je retiens encore moins les gémissements que la première fois tellement cet orgasme est formidable. Une fois l’orgasme passé, je me détends et je ferme les yeux un instant, le temps de reprendre mes esprits ainsi que mon souffle.
Mon beau voyeur est toujours là, les yeux rivés sur moi, en train de s’astiquer tranquillement. Il n’a pas joui le pauvre. Ma décision se fait ultra rapidement dans ma tête. Je retire le jouet de ma chatte encore trempée et je le range dans mon sac, après quoi, je relève vite fait mes bretelles mais sans prendre le temps de ranger les seins dans la robe. Je me lève et je traverse les quinze mètres de gazon qui nous séparent. Je n’ai toujours pas remis mon string et j’ai la poitrine à moitié recouverte seulement. D’un pas décidé je marche vers le mec. Arrivée à sa hauteur, je ne prononce pas le moindre mot ; je laisse simplement tomber mon sac à main au pied du banc puis je m’assois toute proche de mon blond aux yeux clairs.
Je ne perds pas de temps et je me penche immédiatement vers sa belle queue (jolie et dans la moyenne niveau taille). Je pose la main sur son sexe dressé tandis qu’il retire délicatement la sienne. J’imprime quelques allers retours puis je me penche un peu plus pour venir poser mes lèvres sur son gland. Je sens que ça bouge au dessus de ma tête. Ah ! Mon coquin est en train de me couvrir d’une petite couverture qu’il devait avoir dans son sac. Sans doute recherche-t-il à préserver un peu notre intimité. Peu importe. Je recommence à le sucer. Ma bouche pulpeuse épouse parfaitement sa bite tandis que je la fais coulisser entre mes lèvres. Je pourrais prendre le temps de jouer avec ma langue et avec mes doigts mais nous sommes dans un lieu public, un jour de beau temps, alors je le suce efficacement : avec force, rapidité, profondeur et application. Ainsi, avec un tel traitement, les va-et-vient de sa queue dans ma bouche ne durent pas longtemps… Experte comme je suis, il ne tarde pas à se tendre, mais sans grogner ni gémir (discrétion oblige) et à jouir. Je continue mon activité de suçage comme si de rien n’était, je prends tous les jets de son sperme en bouche, et il me gratifie d’une très belle éjac. J’avale sa semence avec délectation et je n’en laisse pas échapper la moindre petite goutte. Quand je sens qu’il est à bout je me dégage de son sexe et de sous la couverture.
Chacun de nous se rhabille tranquillement et enfin nous échangeons quelques mots. Il me remercie pour l’ensemble de mes performances puis nous échangeons nos prénoms (il s’appelle Valentin) et il me précise qui se rend souvent dans ce jardin public et qu’il espère m’y revoir… Et sincèrement, ça ne me déplairait pas non plus. Ainsi, peut-être qu’il y aura une suite à cette aventure…
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