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Envie d'essayer

Chapitre unique

Gay
A l’approche de la cinquantaine, j’ai eu envie d’essayer...
Marié depuis plus de 25 ans, père de famille, je menais l’existence classique d’un hétérosexuel partagé entre sa famille, son travail et le sport. Physiquement, j’étais - comme on dit - dans la force de l’âge, fan de tennis et de sports de glisse. Une existence bien réglée... trop bien réglée où l’absence de surprise commençait à se faire sentir.
Jusque-là, je ne m’étais jamais posé beaucoup de questions sur mes goûts sexuels. J’étais marié, heureux en ménage et sans aventure sexuelle extra-conjugale. Les occasions de conquêtes féminines n’avaient pas manqué, comme elles peuvent l’être au cours d’une vie professionnelle bien remplie, mais je n’y avais jamais cédé. Par fidélité, pensais-je longtemps, avant de progressivement commencer à admettre que les jeunes hommes adultes, plus que les jeunes femmes, m’attiraient. Dans les douches, au club de tennis, je prenais un plaisir évident à mater les beaux corps bien musclés, bien dessinés et presque toujours bronzés des jeunes membres du club.
Alors qu’à près de 50 ans, en matière de relations sexuelles avec d’autres hommes, j’étais... puceau, mon obsession devint vite de passer aux « expériences concrètes », mais comment m’y prendre... sans perdre la face... et tout en restant discret ?
Après avoir longtemps hésité, j’optai pour la rédaction d’une annonce destinée à publication sur l’un des sites spécialisés en rencontres homosexuelles. Je m’y décrivais: 1m80, 75 kilos, cheveux légèrement grisonnants, yeux bleu très pâle, bien conservé physiquement, etc. J’y expliquais mes souhaits. J’y expliquais aussi qu’il s’agissait pour moi d’une initiation.
Aucune réponse pendant plusieurs jours, puis plusieurs réponses sans intérêt (injures, vulgarité, absence d’empathie...) avant que ne retienne mon attention un message signé Alexandre, qui se présentait de la manière suivante: 24 ans, d’ascendance russe, yeux bleu-gris, cheveux noirs bouclés, étudiant en marketing, attiré par les hommes - et conscient de l’être - depuis l’adolescence, ayant vécu plusieurs mois en couple une relation homosexuelle, avant de reprendre sa liberté.
— La différence d’âge entre nous ne représente-t-elle pas un obstacle pour toi ? lui répondis-je.— Que du contraire, m’écrivit-il en retour. Mon environnement est très macho, comme le sont, autour de moi, la plupart des jeunes de mon âge.
Avec des hommes plus matures, je goûte au plaisir de les séduire en évitant le risque de rencontrer des gens que je connais.
— Tu as bien noté que ce serait ma première expérience homosexuelle, ai-je tenu à lui rappeler.— Sincèrement, cela ajoute au plaisir, me précisa-t-il. L’idée d’avoir à t’apprivoiser m’excite au plus haut point.
Profitant d’une absence de ma femme pendant quelques jours, je propose à Alexandre que notre première rencontre se fasse chez moi à 15 heures un samedi après-midi. En l’attendant, je passe la matinée à ranger la chambre, la salle de bain, la douche... J’achète préservatifs et lubrifiant, et... un nouveau slip Calvin Klein que je trouve bien sexy.
A 15 heures précises, coup de sonnette. Alexandre est là. D’emblée, nous « accrochons ». Il est tout simplement beau, avec son teint bronzé, son t-shirt rouge lie-de-vin, son jean bleu pâle et ses baskets blanches. Ses yeux bleu gris me fascinent tant ils sont lumineux et intenses. D’autorité, il me fait la bise, histoire de ne pas laisser la gêne s’installer, puisqu’il sait que c’est ma première fois. Sans attendre, il se colle à moi, m’embrassant avec fougue comme si nous étions amants de longue date. Nous sommes debout. Face-à-face. Corps contre corps. Ses belles mains effilées posées sur mes hanches...
Ne cessant de me regarder droit dans les yeux, Alexandre m’hypnotise. Je sens ses mains doucement émigrer vers le bas de mon dos. Vers mes fesses, qu’il palpe et caresse à travers mon pantalon. De mon côté, je monte « dans les tours « en un clin d’œil. Mes inhibitions tombent. Je suis envoûté par ce corps d’homme jeune qui s’offre à moi et qu’avec fièvre, je me mets à toucher, palper, caresser, tout partout. Je lui ôte son T-shirt et le voilà torse nu. Je me recule pour le regarder. Pour le plaisir des yeux. Pour admirer, comme il le mérite, ce beau corps bien proportionné et si finement musclé. Je suis véritablement dans un état second. Je l’embrasse, lui caresse le torse, lui mordille les tétons fermes et bien durs.

Toujours au comble de l’excitation, je lui demande de se retourner et me plaque contre ses fesses, en l’embrassant dans le cou et en caressant de la main son torse, ses hanches, son nombril, avant de m’aventurer plus bas jusqu’à son sexe bien gonflé à l’intérieur de son jean.
Là je n’y tiens plus. Je lui demande de se retourner à nouveau. Nous revoici face à face. Je défais et retire sa ceinture, ouvre nerveusement le bouton supérieur de son pantalon, baisse à fond la tirette, tire le pantalon jusqu’à le faire tomber sur ses chevilles. Alexandre est là, devant moi, bien moulé dans un « jockstrap » très sexy. Je m’agenouille devant lui, mordille et embrasse son sexe à travers le tissu, tout en caressant des deux mains sa belle paire de fesses bien moulées et rendues encore plus excitantes par le « jockstrap ». Après avoir abondamment palpé ses fesses, je baisse son slip, libérant, comme un diable sorti de sa boîte, une belle queue bien dressée, couronnée par une petite touffe de poils drus taillés en triangle. Je prends son sexe en main.
Le bonheur ! Première fois que cela m’arrive ! Que c’est beau un sexe d’homme en érection ! Que c’est bon de tenir fermement en mains une queue de mâle en chaleur ! J’enfourne son sexe dans ma bouche, m’appliquant à le lécher de bas en haut, tout en tenant ses testicules entre mes doigts. Un peu surpris par tant de fougue de la part d’un débutant comme moi, Alexandre me laisse faire. Il est debout devant moi, les jambes légèrement écartées, les mains sur les hanches. Et moi, je suis à ses pieds, à genoux devant lui, en train de découvrir tous les délices de la fellation sur un corps presque totalement imberbe.
Tout va vite. Vraiment vite. Beaucoup trop vite. En raison du trop-plein d’excitation de ma part. Lorsque je me relève, Alexandre s’approche de moi pour à nouveau m’embrasser. Son corps est contre le mien. Il saisit nos deux sexes dans sa main. Surchauffé comme je le suis, j’explose sans crier gare du seul fait de sentir son sexe contre le mien. D’abondantes giclées de sperme recouvrent nos deux ventres.
— Meerde... Excuse-moi. J’étais trop excité, lui dis-je, l’air un peu penaud.
Effectivement, comme un débutant (que j’étais !), je me suis laissé piéger par une éjaculation précoce !
La queue - ou ce qu’il en reste !- entre les jambes, silencieux, je pars vers la salle de bains, me demandant comment Alexandre va réagir et surtout, s’il va se rhabiller, mettant ainsi un terme trop précoce à cette première expérience.
Lorsque je reviens dans la chambre, Alexandre est allongé sur le lit. Toujours nu. Sur le dos. Très détendu. Les deux bras repliés derrière sa tête. Les rayons du soleil, à travers le Velux de ma chambre, illuminaient son corps.
— Viens là, me dit gentiment Alexandre. Allonge-toi à côté de moi. Laisse-moi à mon tour découvrir tous les secrets de ton corps.
Aussitôt dit, il se tourne vers moi et de ses longs doigts, commence à me caresser le corps. Sensuellement. Tactilement. Tout en douceur. En prenant le temps. Je me laisse faire avec délice. Surtout lorsqu’avec beaucoup de savoir-faire, il s’attarde longuement dans la région du bas de mon ventre, sur mon sexe, mes testicules, mon entrejambe, l’intérieur de mes cuisses. En accélérant les mouvements de ses mains, puis en se couchant sur moi, il donne le départ à une partie endiablée de corps à corps. Son sexe contre le mien, puis son sexe entre mes fesses. C’est lui qui, à présent, cède à son excitation et se lâche avec concupiscence... redonnant du même coup vigueur à mon sexe qui n’en demandait pas tant.
Manifestement à bonne température, mon nouvel ami me demande de rester couché sur le dos, de redresser le torse en prenant appui sur mes coudes et d’écarter un peu plus les cuisses pour lui ouvrir l’accès à mon intimité.
— J’ai envie de toi. Mais seulement quand tu seras prêt. Je vais te préparer pour aller plus loin. Laisse-toi faire. Détends-toi.
Assis en tailleur devant moi, Alexandre se met à me caresser lentement l’entrejambe. Il prend mes testicules entre ses doigts et les malaxe délicatement. Il écarte doucement mes fesses pour dégager ma chatte qu’il prend de soin de masser avec son majeur, doucement d’abord, puis plus fermement avant d’y introduire son doigt qu’il enfonce progressivement et de plus en plus profondément. Je comprends rapidement qu’expirer profondément lui facilite l’accès de mon intimité. Grâce à sa douceur, je suis très détendu et apprécie le rythme de cet envoûtant va-et-vient qui m’excite de plus en plus. L’excitation grimpe encore plus lorsque relevant davantage mes jambes et enfouissant sa tête entre mes cuisses, il se met à me lécher la chatte. Jamais je n’avais jamais imaginé la sensation de plénitude et d’abandon total liée à cette pratique. Sous ses coups de langue bien dosés, je sentais ma chatte se dilater de plus en plus.
Tout naturellement, sans qu’il me demande rien, je m’allonge complètement sur le dos. La tête et les deux bras bien étirés vers l’arrière, les deux genoux repliés sur le ventre, les doigts de pied relevés vers le haut. Je suis prêt, je veux aller au bout de l’expérience, je m’offre à lui, je veux le sentir en moi.
Alexandre comprend le message, s’agenouille devant mon corps ainsi offert, se remet à humidifier de sa langue ma petite chatte très en demande, puis achève la phase de mise en condition par quelques crachats de salive bien orientés vers le milieu du petit trou très accommodant qui s’offre à lui. A genoux, il pointe son sexe bien dressé vers l’orifice que je lui offre avec générosité. La pénétration fut rapide. Les yeux fermés, je ressentais très bien tout ce qui se passait à l’intérieur de mon corps: la pénétration de son gland, épais et bien gonflé, puis celle de sa queue longue, fine et bien dure, jusqu’à l’écrasement de ses testicules contre mes fesses. Lorsqu’il arriva tout au fond de moi, il s’arrêta brièvement et me regarda dans les yeux, avec un petit sourire mutin. Pour s’assurer que cela me plaisait. Puis commença un long et envoûtant mouvement de va-et-vient.
J’avais les yeux fermés, la tête tendue vers l’arrière, je découvrais avec volupté le plaisir du sexe entre hommes, l’incroyable sensation d’être pénétré par un sexe d’homme.
— C’est trop bon, lui dis-je. Merci pour tout ceci. J’aimerais maintenant te sentir jouir en moi. En même temps que moi.— Tes désirs sont des ordres, dit-il d’une voix très douce, sans se départir de son petit sourire malicieux. On va changer de position ; je vais me mettre sur le dos et tu vas venir t’empaler sur moi. En me regardant droit dans les yeux. Et en te masturbant lentement. Tu verras, on va jouir ensemble, rien qu’en nous réglant chacun sur le rythme de l’autre.
Alexandre faisait bouger son bassin pour rythmer le mouvement de ses va-et-vient à l’intérieur de mon corps. Et moi, je rythmais la masturbation de mon sexe sur les allers-retours de sa belle queue bien tendue. Lorsque je le sentis accélérer le rythme, desserrer les lèvres et fermer les yeux, j’accélérai moi aussi le mouvement. En me masturbant, je veillais à bien tirer sur le frein chaque fois que je décalottais mon gland. A ce rythme, la double jouissance de concert ne se fit pas attendre. Tandis qu’Alexandre répandait sa semence chaude et abondante à l’intérieur de mon corps, j’éjaculais moi aussi, sur sa poitrine, jusqu’à son visage. Pour la deuxième fois de l’après-midi...
Nous restâmes imbriqués l’un dans l’autre tant que l’érection de nos deux sexes se maintenait.Ensuite, nous nous sommes dirigés vers la douche. Une belle douche italienne, bien grande, et bien dosée. Avec une éponge, nous nous sommes savonnés l’un l’autre, puis rincés, puis essuyés. Je ne me lassais pas de regarder et toucher mon nouvel ami. J’aimais mater et caresser son jeune corps imberbe. J’aimais toucher son petit triangle de poils pubiens qu’il entretenait manifestement avec beaucoup d’attention...
— J’aime la douceur de ton corps imberbe, murmurai-je à Alexandre. — Tu veux que je te rase le corps ? Avec un blaireau, de l’eau tiède et de la mousse de rasage. Je vois que tu as tout le matériel nécessaire dans ta salle de bain. Tu verras, c’est super agréable.
— Tu m’excites, lui répondis-je, après un moment d’hésitation. D’accord pour le torse, les aisselles, le pourtour de la queue, les testicules, l’entrejambe et les fesses, mais laisse-moi les poils sur les jambes.
Nous retournâmes sur le lit et je m’y suis couché sur le dos. J’ai légèrement écarté les jambes et me suis laissé faire. Avec douceur, et presque tendresse, Alexandre s’occupa successivement des diverses parties de mon corps qu’il s’appliquait à abondamment badigeonner de mousse à raser avec le blaireau avant de passer au rasage proprement dit. La sensation des poils du blaireau en contact avec les parties les plus sensibles de mon corps était incroyablement sensuelle et érotique. Successivement y passèrent le bas de mon ventre, le haut de mes cuisses, mon entrejambe, mes testicules, mon sexe et, après qu’Alexandre m’ait demandé de ramener mes genoux vers mon ventre, mes fesses, l’intérieur de la raie et le pourtour de ma chatte.
J’étais au comble du bonheur...
Mon sexe, pour la troisième fois de la journée, me gratifia d’une belle et forte érection, que ne manqua pas de remarquer Alexandre.
— Eh bien, t’es vraiment hyper-chaud, me dit Alexandre, en me caressant le visage. Tu m’excites. J’ai envie que tu me prennes. Mets-toi debout, au bord du lit, précisa-t-il en se positionnant en levrette face à moi. Tu verras, c’est une bonne position pour diriger la manœuvre tout en contrôlant tes émotions. Idéal pour une première fois !
Voir Alexandre m’offrir ainsi l’accès à son corps, voir sa chatte si généreusement dilatée, bien ouverte au plus intime de ses fesses, voir ses reins cambrés au maximum ne firent que durcir encore plus mon sexe en érection. J’appliquai un peu de gel à l’entrée de son orifice que je pénétrai calmement, sans précipitation, en fermant les yeux pour ne rien perdre des sensations de cette première sodomie. Contre toute attente, je parvins à me contrôler pendant de très longues minutes, allant et venant à l’intérieur de lui, sortant mon gland de temps à autre pour aussitôt le réintroduire. J’aimais le dominer ainsi, mes deux mains fermement agrippées à ses hanches. L’envie de le féconder se fit de plus en plus pressante. Je voulais lui offrir ma semence abondante en cadeau pour tout ce qu’il venait de me faire découvrir. En éjaculant, je poussai un cri rauque qui témoignait de l’ampleur de la jouissance.
En se rhabillant, Alexandre me regarda avec le sourire plein de tendresse et de complicité qui ne le quittait pas. Oui, il m’avait séduit. Oui, il m’avait fait découvrir une part jusqu’ici inconnue de ma nature profonde. Il a libéré ma libido en lui ouvrant de nouveaux horizons.
— C’était bien. Vraiment bien, me dit-il, en m’embrassant avant de me quitter.
On ne pouvait mieux résumer ce que nous venions de vivre.....
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