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J'ai envie de me gouiner

Chapitre 3

Ma patronne

Lesbienne
Ce matin j’ai donc repris mon poste au magasin en espérant voir ma patronne et peut-être m’amuser avec quelques clientes ! Mon idée de me gouiner et mes deux expériences m’ont rendue accro. Je m’habille toujours en tenue très excitante en faisant attention de ne pas trop ressembler à une pute que je suis pourtant devenue. Je ne force pas sur le maquillage d’ailleurs je trouve que la sobriété dans ce domaine est gage d’élégance.
Dans la matinée, Karine, ma patronne, fait le tour des rayons. En passant près de moi elle me salut et nous échangeons quelques mots sur la journée de travail.

« Bonjour Coralie. Vous allez bien ? »
« Oui merci madame, j’ai reçu beaucoup de commandes, je pense refaire l’étalage »
« Très bien. Je vous réunirai ce soir avant la fermeture, les trois rayons Femme, Homme et Enfant pour préparer les soldes qui commencent la semaine prochaine. »
Avant de s’éloigner Karine me glisse à l’oreille :
« Alors petite salope tu veux toujours que je te suce ? Moi j’ai envie de tes seins »
Je n’ai pas le temps de répondre et de saisir l’occasion de lui parler de mon projet avec la cliente d’hier car une cliente s’approche pour un renseignement.
Après quelques instants, Karine n’est plus là mais ces quelques paroles chuchotées m’ont tellement excité que j’éprouve un intense besoin de me caresser la chatte. Il faut dire que de mes deux expériences, j’ai été frustrée car c’est moi qui ai donné mais rien reçu. Délaissant momentanément mon poste, je me dirige vers les toilettes.
Surprise, Karine en sort.
« Nous nous verrons après la réunion si tu es libre »
« OK, Vous m’avez tellement excité que je vais me branler en pensant à vous »
Karine ne fait pas de remarque, elle effleure juste ma poitrine et sort du local.
J’entre donc dans la cabine et commence mon petit travail.
Mes seins sont devenus durs, sans enlever mon corsage, je me frotte contre le mur en commençant à me caresser la chatte sous ma jupe. Mes poils sont trempes. En introduisant un puis deux doigts, je recueille mon jus pour le porter à ma bouche, je mouille très fort. J’aurais dû prendre mon gode miniature que j’ai toujours dans mon sac mais en apercevant la balayette de nettoyage, me vient une idée folle. Je la saisis, la nettoie vigoureusement dans le lavabo et me l’introduis lentement dans la chatte. L’ardeur de l’envie me fait accepter une légère douleur à l’introduction mais le contact des poils de l’engin mélangés aux miens et le frottement sur mon clito me déclenchant un puissant jet de cyprine. J’accélère les vas et vient dans mon con jusqu’à m’éclater dans un délirant orgasme.
  Cette brève partie terminée, je rejoins tranquillement mon rayon.
La journée se passe calmement, quelques ventes sans essayage…. Arrive le moment de la réunion. Je demande à ma collègue voisine de jeter un coup d’œil à mon stand et me dirige vers le bureau de la patronne. Mes autres collègues sont déjà là. Karine nous explique les changements à apporter aux prix, l’utilisation de nouveaux pistolets scanners et au moment de nous séparer, Karine m’interpelle en me demandant de rester pour un complément spécifique à mon rayon.
La porte refermée derrière les autres participantes, Karine se lève pour faire un tour de clé.
Se plantant devant moi, elle dégrafe lentement son corsage d’où s’échappe sa splendide poitrine. Elle se caresse et m’ordonne :
« Reste debout, écarte les jambes je vais te sucer sous ta jupe. Je veux te faire mouiller et que tu pisses sur ma figure et sur mes seins. »
A genou devant moi, elle commence à me caresser les jambes, m’enlève les chaussures et me prend un pied pour l’embrasser et le sucer à travers mes bas. Ses baisers parcourent ma jambe jusqu’au bas de ma jupe, ses mains fouillent sous le tissu jusqu’à atteindre mes fesses qu’elle malaxe tendrement.
Un doigt s’égare sur mon petit trou mais n’insiste pas .
En se relevant légèrement, elle enfouit sa tête sous ma jupe en écartant mes cuisses et entreprend de me lécher la chatte. Sa langue entre dans ma grotte et je sens qu’elle aspire fortement mon clito. Naturellement cela déclenche un premier jet de cyprine qu’elle étale avec sa bouche et son nez sur ma toison que je garde toujours abondante. Je sens son nez pénétrer dans mon con et j’ai une envie folle de me peloter les seins.

Je l’entends gémir sous ma jupe et me demander :
« Je n’ai pas assez de ton jus, vas y pisse sur ma figure »
Après quelques efforts, mon méat s’ouvre laissant échapper un flot de cette urine tant désirée.
Karine s’essuie la figure sur mes poils, mon jus coule le long de son cou et ruisselle sur ses seins. N’y pouvant plus, je lui attrape les cheveux pour la dégager de ma jupe, elle se relève et j’entreprends de lui lécher les seins trempés de mon urine. A mon tour, je lui baisse sa jupe et descends lentement ma langue sur ses cuisses à travers ses bas, elle a tellement mouillé que son jus les a trempés.
  « Viens par terre, me dit-elle, et baise-moi, frotte ta chatte contre la mienne. Donne-moi ton cul, je veux te sucer »
Je suis tellement excitée que je lui demande :
« Mets-moi tes doigts dans le cul, je m’encule quelques fois avec un gode mais j’ai envie que tu me fistes »
« Mets-toi en levrette, je vais te lubrifier avec ta mouille »
« A ton tour, pisse-moi dans le cul, ça sera meilleur »
Cela dit, à califourchon sur mon cul, elle envoie son jus qui coule jusque sur ma chatte.
  En appui sur un bras, j’en profite pour faire entrer le liquide dans mon con et me masturber le clito .
« Vas-y Karine baise moi le cul, essaie de mettre ta main entière »
Le trou bien lubrifié, un puis deux puis trois puis quatre doigts entrent facilement, le pouce replié sous les autres doigts je suppose, comme j’ai vu faire dans les films pornos, la main entière pénètre jusqu’au poignet d’après Karine.
« Fouille-moi à fond, c’est sublime. Branle-moi jusqu’à l’orgasme, il paraît que c’est l’arrivée au septième ciel »
Ses mouvements dans mes entrailles combinés avec la masturbation de mon clito me font crier de plaisir au risque d’alerter les passants dans le couloir.
« Je monte, je me sens venir, vas-y encore plus fort Ahh…. J’éclate »
Myriam se retire et je m’écroule par terre en continuant à me caresser les seins sur le tapis du bureau.
« Tu n’en n’as pas assez petite chienne, tu vas voir, redonne-moi ton cul »
Je me remets en position et là je sens le pied de Myriam qui essaie de s’introduire dans mon trou.
« Non Myriam, ce sera pour une autre fois je vais te proposer autre chose »

Je me relève et lui propose la rencontre avec Sophie.

« Tu te souviens de la cliente d’hier, dont je t’ai parlé, qui semblait avoir un corps aussi désirable que le tien ? Je l’avais un peu caressée lors de l’essayage, ça avait l’air de lui plaire. Nous n’avons rien fait mais elle m’avait laissé sa carte de visite. Je voulais tenter ma première expérience de gouine et je suis allé la voir. C’est une vraie salope qui semble avoir beaucoup d’expérience. Elle est infirmière et …masseuse. Je pense qu’elle doit s’envoyer en l’air avec ses clientes. Elle a une panoplie de godes impressionnante et comme elle m’a utilisée comme son jouet sexuel, elle m’a promis qu’on se revoie et que cette fois c’est moi qui déciderais du programme. Je lui ai dit que je lui imposerais une partie à trois avec ma patronne qui aime aussi le sexe. Elle m’a dit OK elle m’a même dit qu’elle nous ferait essayer une sex-machine. Est-ce que tu serais partante ? »
« Ta proposition m’excite OK, prends rendez-vous… pour un massage !! »
« Bon, le magasin doit être fermé, il nous faut nous quitter, Mlle Coralie. J’attends de vos nouvelles. »
« Bien madame, je n’y manquerai pas »
Sur ce, nous nous quittons avec un baiser affectueux sur le front.
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