Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 146 J'aime
  • 3 Commentaires

Envie de mon beau fils

Chapitre 2

Erotique
Envie de mon beau-fils
Samedi matin, l’ambiance est silencieuse dans la cuisine. Jean-Marc et moi déjeunons en tête à tête. Depuis notre dispute, deux jours auparavant, rien ne s’est passé de négatif dans notre vie de couple (la nuit dernière, il m’a même gratifiée d’une bonne nuit d’amour). Mais aujourd’hui Jean-Marc part en voyage pour une semaine au Japon. Dans 3 heures, je le dépose à l’aéroport de Bordeaux d’où il décolle pour Roissy. De là, il s’envolera vers Tokyo. Le moment est venu de partir ; il embrasse son fils :"- Prends soin de ta mère."Je veux mon neveu ! J’espère bien qu’il va s’occuper de moi. Car, malgré la réconciliation, je n’ai qu’une envie, baiser avec Stéphane. Cette idée m’obsède depuis deux jours, et je sais que Stéphane est dans la même situation que moi. Ses regards posés sur moi chaque fois que l’on se côtoie aux repas, devant la télé, ou tout simplement lorsque l’on se croise dans la maison ne font que renforcer mon envie de lui. Nous partons pour l’aéroport. Stéphane reste à la maison pour étudier. Je rentre vers midi. Mais c’est le moment que Stéph a choisi pour partir retrouver ses amis."- A ce soir."Lâche-t-il avant de disparaître à bord de sa voiture. Bon, ben faudra attendre la soirée pour connaître de nouvelles extases. Tant mieux dans un sens, ça me permet de changer les draps du lit conjugal, et puis, plus on attend et plus l’excitation grandit. Mais à 20 heures, Stéphane n’est toujours pas là. Je dîne seule devant la télé comme une personne âgée abandonnée (ouf ! quelle comparaison). Jean-Marc m’a téléphoné dans l’après-midi pour me dire qu’il était bien arrivé à Paris et qu’il allait embarquer. Au moins, il ne rentrera pas ce soir, c’est déjà ça. Minuit. Stéphane n’est toujours pas rentré. Je pars me coucher. Déçue, j’essayais de m’endormir, tournant dans mon grand lit. Soudain, la porte d’entrée de la maison s’ouvre. Je reconnus les pas de Stéphane. Il monte dans sa chambre.Je suis presque désespérée et tente en vain de dormir. Plusieurs longues minutes plus tard, la porte de la chambre s’ouvrit et la silhouette de Stéphane apparut dans l’encadrement. Il entra, repoussa la porte doucement, contourna le lit. Couchée sur le côté, je lui tournais le dos et ne bronchais pas. Aux légers bruits qu’il faisait, je compris qu’il ôtait son t-shirt et son boxer. Il souleva le drap et se coucha à mes côtés avant de rabattre la couverture sur nous."- Tu dors ?— Non. J’ai cru que tu ne viendrais pas. T’en as mis du temps.— J’ai hésité. Je t’avoue que j’ai un peu honte de ce que je fais à Papa. Et puis, j’ai pris une douche et j’ai réfléchi. J’ai envie de toi."Je me retournai et l’on s’embrassa. Il fit descendre sa main entre mes cuisses, me provoquant un gémissement d’excitation. Sa bouche vint faire connaissance avec mes seins. Il tétait l’un des tétons avant d’en changer. Pour ma part, je le branlais délicatement. Il s’allongea et m’offrit sa queue. J’approchai mon visage de son sexe bien dur. "Le fils est aussi bien membré que le père" pensais-je mais je m’abstins de le lui dire. Il n’y avait que lui et moi. Pour l’heure, Jean-Marc n’existait plus. Avant de commencer mon petit air de flûte, je tendis le bras vers la lampe de chevet et l’allumai."- On va pas se cacher. J’ai envie que l’on se voit bien, mon chéri."Sur ce, ma langue commença à lécher son gland violacé. Une grosse veine apparaissait le long de sa verge. La peau était bien tendue, ses bourses étaient bien rondes et gonflées. Mon jeune amant me désirait plus que tout. Ma bouche allait et venait tout le long de cette bite gracieusement offerte. De temps en temps, mon regard se levait vers son visage. Stéphane avait fermé les yeux et savourait ce moment comme moi, quelques jours avant dans la cuisine quand il m’avait gratifiée d’un cunnilingus magistral. Sa main droite me caressait le bas du dos, descendait sur mes fesses et remontait le long de mon épine dorsale me provoquant des frissons. Ma langue vint titiller ses couilles. Le garçon devint comme fou et sembla apprécier. Puis on passa à l’action proprement dite. Ce que l’on aurait dû faire dans la cuisine si Jean-Marc n’était pas revenu deux jours plus tôt. Je me couchai sur le dos, lui, à genoux, écarta mes jambes. Il passa son gland sur mon clito descendit sur mes lèvres vaginales, remonta sur le clito, se coucha sur moi, doucement, et s’introduit en moi. Nos yeux se regardaient mutuellement. On se sourit, et il commença à aller et venir entre mes reins (comme le disait une certaine chanson). En même temps, il m’embrassait dans le cou, sur les seins, la bouche. Au fur et à mesure, je me crispais d’excitation, je sentais le plaisir, la jouissance m’envahir. Chaque fois que son sexe touchait le fond de ma grotte, l’orgasme se rapprochait. Lui-même n’allait pas tarder à venir. Je le sentis quand il accéléra le rythme de sa pénétration. En moins de deux minutes, il explosa en moi avant que j’ai pu jouir moi aussi. Je sentais son sperme chaud remplir mon ventre."- Pardon... j’étais tellement excité.— C’est pas grave mon chéri."Moins de deux minutes après, on remit ça. Mon jeune amant n’avait en fait pas débandé et n’est sorti de mon vagin que pour changer de position. Cette fois, il m’a prise en levrette, et je peux vous dire que, contrairement à la première fois, ce fut tout sauf en douceur. L’étalon lâchait ses coups de bite dans mon con. Au début, surprise d’un tel allant, j’ai vite pris goût et mon excitation s’est aussitôt réveillée. Ses bourses venaient taper contre moi à chaque coup de reins. Mes mains s’accrochaient à l’oreiller ; les siennes me tenaient solidement aux hanches. Mes cris de bonheur suivaient le rythme qu’il imposait. Je voulais mon orgasme et je n’allais pas tarder à être récompensée :"- T’arrête pas Steph, t’y es presque, je vais jouir... Haaaaaaaaa, oui ! Haaaaaaa !— Moi aussi je viens !"Pour la seconde fois, il explosa en moi et je sentis une giclée tiède "m’envahir". En éjaculant, Stéphane poussa un long râle de jouissance avant de se dégager de mon emprise et de se laisser tomber sur le matelas, de tout son long, le souffle haletant. Trempée à l’entrecuisse, je me couchai à ses côtés. On ne dit rien, on s’est souri, puis on disparut sous les draps. On s’endormit l’un contre l’autre pour une bonne nuit de sommeil.Désormais, nos rapports avaient pris une nouvelle ampleur. Durant toute la semaine d’absence de mon mari, son fils était devenu mon amant. Du coup, on en profita. Il ne se passa pas une journée sans qu’on ne le fasse pas au moins une fois, mais en général c’était deux, voire trois rapports, comme si on voulait rattraper le temps. On baisait dans le salon, sous la douche, dans la cuisine (pièce où tout avait commencé) et Stéphane m’invita dans son lit où il m’honora en maître des lieux. Mais ce fut hors de la maison que je pris le mieux mon pied...
Diffuse en direct !
Regarder son live