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L'envie de plaire

Chapitre 9

Inceste
Camille avait pris une grande décision, ce soir elle irait jusqu’au bout de son envie, quelque en soit les conséquences. Elle voulait connaître le plaisir extrême, elle voulait plaire à son père, elle voulait qu’il admire son corps, qu’il ait envie d’elle.Une fois de plus sa mère était partie travailler. Elle est infirmière et elle faisait régulièrement des nuits. Camille se retrouvait donc seule avec son jeune frère Pierre et son père qui devait regarder la TV dans la chambre parentale. Camille en avait encore discuté avec son confident, elle souhaitait voir, toucher, sentir le sexe de son père. L’espace d’un instant elle se dit que c’était mal, qu’il fallait qu’elle arrête, mais c’était plus fort qu’elle, c’était trop dur... Elle attendait ces moments, où elle allait encore pouvoir tenter quelque chose. Son confident lui avait bien préciser de faire très attention, son père n’était pas comme son frère. En même temps, ce qu’elle lui racontait de ses tentatives avec son père semblait l’exciter fortement. Camille resta sans bouger quelque instants, en respirant très lentement, en regardant en face d’elle sa fenêtre, sans voir ce qu’il se passait dehors. Son confident était de très bon conseils, elle allait encore appliquer ses idées. Sa respiration s’accéléra, elle enfila pour seuls vêtements une culotte un peu trop ample et un débardeur aux bretelles qui avaient perdues de leur élasticité. Elle avala sa salive et se leva, tel un robot. Elle resta debout face à sa fenêtre, sans bouger, il était encore temps de changer d’avis, d’abandonner. Il lui suffisait de s’asseoir devant son ordinateur ou d’aller se coucher dans son lit. Mais c’était difficile de résister, elle éteignit la lumière de sa chambre et se dirigea vers le couloir, descendit les escaliers et se dirigea vers la chambre parentale, lentement ne pensant plus à rien, sa tête était vide, son cœur s’accéléra.
C’était toujours les mêmes sensations depuis la première incursion dans la chambre parentale. Il avait fallu qu’elle ose une fois et depuis, l’idée l’obsédait, elle y pensait tout le temps, elle en avait tout le temps envie. Dans le couloir, elle se posa pleins de questions, elle se répétait que ce n’était pas bien, qu’il fallait qu’elle arrête ses bêtises, mais elle continua d’avancer. Arrivée devant la porte grande ouverte, elle ralentit sa respiration et regarda dans la chambre. Il est là, couché sur le lit, en t-shirt et en caleçon, calme et silencieux, il regardait un film à la TV. Elle le regarda et sans utiliser sa main pour vérifier, elle savait que son sexe était déjà humide, ses seins avaient pris un peu de volume et ses tétons durcissaient.
Il devait avoir senti sa présence, car il tourna la tête dans sa direction. Son visage s’épanouit, il eu un grand sourire et ses yeux s’écarquillèrent en la voyant. Il lui demanda de venir le rejoindre pour regarder le film. Camille s’approcha, il était là couché, dans son t-shirt plus tout jeune, ses jambes légèrement écartées, qui laissaient deviner la forme du sexe au repos. Camille ressentit un frisson d’excitation, sur ses bras, ses jambes et surtout dans son dos. En le regardant, elle ne put s’empêcher de vérifier que sa culotte n’était pas trop trempée. Elle écoutait la voix grave de son père, douce musique à ses oreilles, comme un appel lubrique du désir tabou. Une sensation de chaleur parcourait le ventre, le sexe de Camille pendant qu’elle vint s’allonger tout contre son père. Il lui sourit et elle fit semblant de s’intéresser au film, mais l’excitation était de plus en plus forte.
Alors qu’elle était collé à son père, un bras sur le ventre, une jambe sur sa jambe, il remit en place son sexe, qui semblait avoir pris un peu de volume sous le caleçon, un pousse au vice. Elle descendit son bras le long du ventre en direction du caleçon, maladroitement, tremblante d’excitation et de peur, elle tenta de baisser le caleçon pour faire apparaître le sexe qui commençait à durcir à quelques centimètres de son visage. Il l’a regarda dans les yeux, il savait ce qu’elle cherchait, il l’avait compris maintenant, il se laissait faire. Camille voulait qu’il recommence comme la dernière fois, qu’il l’attrape et la pose sur son ventre. Son regard n’avait plus la même expression, le sourire avait disparu. Seuls les yeux étaient toujours écarquillés et brillaient, comme s’il hésitait, qu’il essayait de résister et de rester raisonnable. Il se racla la gorge et avala sa salive. Elle continua à descendre son bras, tirant légèrement sur le caleçon, pour lui faire comprendre ce qu’elle voulait. La bosse dans le caleçon était maintenant très nette, un suintement apparu sur le tissu. Les deux regards se croisèrent encore une fois, il avait le regard d’un enfant perdu, demandant de l’aide, mais elle était décidée. Elle fit mine de grimper sur le ventre. Il ferma les yeux et attrapa sa fille par les hanches et la hissa sur son ventre. Camille senti le sexe tout chaud contre son sexe. Elle descendit légèrement son bassin le long du ventre de son père, elle entra en contact avec la peau de son père. Sa culotte s’écarta un peu et le gland trempé d’un liquide épais et gluant apparaissait au dessus de l’élastique du caleçon.Camille sentit le gland glisser légèrement entre ses lèvres trempées d’excitation. La chaleur du sexe lui fit pousser un long soupir de satisfaction, tandis que la verge appuyait maintenant sur le clitoris et entre ses lèvres. Les yeux de sont père étaient toujours fermés, il restait immobile, il n’était plus qu’un objet sexuel, soumis et esclave du plaisir de Camille. Elle bougea légèrement, lentement pour que le gland vienne se présenter à l’entrée de son sexe. Il resta les yeux fermés, posa ses grandes mains sur les fesses de sa fille et la serra contre lui. Elle ne disait plus rien, ne bougeait plus. Elle sentait son sexe dur, chaud et tout doux contre son sexe, les mains chaudes sur ses fesses. Elle s’allongea sur son père, posa sa tête contre son torse, la tête tournée vers la porte et à cheval sur le pubis et ses jambes longeant les cuisses de son père. Elle sentait son corps tout chaud, une main de Camille, posée sur le buste, caressait un téton à travers le t-shirt. Le buste bougeait sous les inspirations et expirations très lentes. Pourtant, elle entendait le cœur battre très rapidement et fort. Elle ne bougeait plus et profitait de toutes ces sensations sublimes, laissant échapper un léger couinement. Elle ressentait tout le plaisir du contact de la verge de son père qui faisait monter en elle le plaisir extrême, la jouissance. Elle voulait que cela dure encore, mais elle ne pouvait tenir plus longtemps. Elle s’agrippa à son père avec ses bras et ses jambes, serrant les dents et fermant la bouche. Elle ondula sous les spasmes de bonheur, ne laissant échapper aucun son et resta quelques instants dans cette position, le souffle rapide, caressant le torse. Puis elle glissa sur le côté, toujours un bras sur le ventre de son père, toujours collés l’un à l’autre. Son père eu juste le temps de cacher son gland dans son caleçon, mais il laissa échapper des grognements de plaisirs complétés par des spasmes. Il avait le souffle court, la bosse du caleçon s’agitait brusquement, par à-coups. Un liquide se rependait dans toute la partie haute du caleçon et finissait pas traverser le tissu.
Camille finit par se relever et admira son père, le caleçon maculé de sperme, le remercia et lui dit qu’elle l’aimait. Il ouvrit les yeux et lui sourit, la pris dans ses bras et l’embrassa sur le front. Elle l’embrassa à son tour sur la joue, il ne bougeait plus et elle partit calmement à l’étage regagner sa chambre.
Aujourd’hui, aux dernières nouvelles, Camille a un petit copain, n’a jamais été plus loin ni avec son père ni avec sa mère et les relations sexuelles avec son frère se font de plus en plus rare au fur et à mesure que le temps passe.
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