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L'envol des tourterelles

Chapitre 6

Un père jaloux, une fille délurée

Inceste
(Note de l’auteur : les mots et expressions en italique font référence à des expressions québécoises ou à des emprunts à la langue anglaise.)
 Le lendemain matin, c’est devant un café, dans la cuisine familiale, que Jasmine présenta à son mari Jérôme le bilan de la veille.
 « Ç’a bien été hier soir avec Sophie, ma belle? demanda Jérôme.
 - Super! Tu as de quoi être fière de ta fille. Elle s’en est très bien tirée.
 - Je me trouvais dans notre chambre. À entendre ses gémissements et ses cris, j’étais persuadé que tu lui faisais passer du bon temps.
 - Oh! Mais elle a travaillé très fort! Je lui ai donné sa note parfaite : 10/10.
 - Chère Jasmine! ajouta-t-il avec un sourire en coin, tu es passée maître depuis longtemps dans l’art de faire jouir autant les femmes que les hommes.
 - Oui mais tu sais que tu seras toujours mon préféré, mon gros nounours!
 - Plus sérieusement, j’aurais aimé être consulté avant que tu prennes cette initiative.
 - Ben quoi! répondit Jasmine quelque peu surprise, ce devait être une affaire entre femmes. Tu sais comme moi que Soph ne sera jamais attirée par les hommes. Et puis, elle n’a d’yeux que pour son Alicia…
 - Je sais, je sais. Et il faut respecter son choix. Je sais aussi que c’est moi qui l’aurais initiée si sa moitié s’était appelée Martin, Éric ou, quoi encore, Jean-Pierre-Eugène-Napoléon.
 - Ben voilà, notre fille a fait son choix. Et c’est moi la mère, c’est tout.
 - Elle ne se donnera probablement jamais à un homme, c’est pourquoi je suis d’avis qu’au cas où un jour, sur un coup de tête, la tentation lui viendrait d’avoir une expérience avec un mâle, je considère que ça devrait se faire maintenant, de façon sécuritaire avec son père, plutôt qu’avec un inconnu dont on ignore le pedigree.

 - Oh, laissons-la tranquille, chéri, reprit Jasmine. Elle a eu plus que son lot d’émotions hier soir. Je l’ai vue passer de l’hystérie à la quasi-dépression. Je ne la vois pas entreprendre une nouvelle expérience maintenant.
 - Mais ça s’est bien terminé? Ses efforts ont été bien récompensés? Elle a finalement joui comme une belle salope? Regardons seulement les résultats. Et elle est encore ‘chaude’.
 - Je sais, laissa tomber Jasmine, tu as probablement raison.
 - Et puis Sophie est autant MA fille que la tienne. J’ai aussi mon mot à dire là-dedans. »
 Ce dernier argument eut l’effet d’un coup de massue dans le plaidoyer de la femme :
 « Je te le concède, nous sommes tous deux d’accord sur le fait que Sophie doit être protégée de tout risque inutile. La vie lui en réservera suffisamment. Elle dort encore probablement, sa chambre semble silencieuse. J’irai lui parler dès son réveil.
 - Ce soir donc, conclut Jérôme.
 - Oui, ce soir, soupira Jasmine. »
 Elle se leva, fit quelques pas dans la pièce en resserrant la ceinture de son peignoir et ajouta finalement :
 « Ah, ce que tu me rends les journées difficiles, quelquefois! »
 Elle se reprit aussitôt :
 « Je te demande pardon, mon chéri, je trouverai les mots pour la convaincre. C’est que je suis un peu fatiguée.
 - Je comprends, ma Mimine, ça ira. Je te promets d’être tout en douceur avec elle. »
 Jasmine s’éloigna en se dirigeant vers la chambre de sa fille.
 « Une autre grosse soirée qui s’annonce, pensa-t-elle. »
 La porte de la chambre était close et aucun son ne se faisait entendre.
 « Elle doit encore dormir à poings fermés, la pauvre cocotte, se dit-elle »
 Ayant tourné la poignée, elle ouvrit lentement la porte. Lorsque celle-ci fut grande ouverte, elle entendit un bruissement bref provenant du lit de Sophie qui s’écria presque :
 « Oh! Maman… »
 Jasmine fut médusée par le spectacle qui s’offrait à ses yeux.
 Elle  trouva sa fille sur le lit, complètement nue et couchée sur le côté gauche, les jambes repliées sur son ventre. La jambe droite légèrement écartée, Jasmine la surprit à se masturber de la main gauche alors que l’autre main agitait frénétiquement le gode dont on ne voyait plus que l’extrémité émerger du trou de cul.
 À la vue de sa mère, Sophie extirpa rapidement le faux pénis de son fion et se redressa pour s’asseoir sur le lit. Son visage était devenu écarlate.
 « Euh, Maman, la crème que tu m’as mise, c’est bon mais à un certain moment, ça s’est mis à piquer. Quand j’ai vu ton gode laissé sur ma commode, j’ai pensé l’utiliser pour soulager ma démangeaison et…
 - Arrête! coupa la mère.                                                                    - Oh Maman, excuse-moi. Je vais bien le nettoyer, je t’assure. »
 Jasmine sourit. Elle n’accordait évidemment aucun crédit à cette explication. Sophie avait visiblement pris goût au sexe anal. Se rappelant qu’elle avait laissé le gode dans la chambre de sa fille, elle ne lui en voulut pour rien au monde. Elle se souciait plutôt de la condition physique du derrière de sa fille, sachant qu’il allait probablement recevoir de la nouvelle visite dans les prochaines heures.
 « Ça va, ma puce, je ne suis pas fâchée, répondit-elle de sa douce voix maternelle. Ton joli petit cul doit maintenant se reposer.
 - Mais pourquoi, Maman? Son regard interrogateur croisa celui de sa mère.
 - Je te le dirais bientôt, mais en attendant, tourne-toi sur le côté et plie les jambes. »
 La jeune femme s’exécuta. Jasmine saisit alors deux épaisseurs de papier-mouchoir qu’elle appliqua directement sur le petit trou de sa fille.
 « Allez! maintenant on se mouche très fort. »
 S’appliquant d’un léger effort abdominal, la fille exprima pendant une courte seconde un pet mouillé que Jasmine s’empressa d’essuyer soigneusement, avant de disposer le tout dans la corbeille à déchets.
 « Tes entrailles ont été assez labourées pour le moment, laissa-t-elle tomber. »
 En fait, Jasmine était encore à la recherche des mots à dire au sujet de la soirée qui devait s’annoncer. Sophie se retourna sur le dos dans un soupir de dépit. Ses petits seins pointaient vers le ciel et son sexe exhalait un fort parfum de cyprine qui ne put échapper à la mère, qui s’était assise au bord du lit, son peignoir bien refermé sur un corps arborant encore les charmes du début de ses vingt ans.
 « Je ne comprends toujours pas, Maman. Je me sens bien et ton instrument et moi on est maintenant copains, dit candidement Sophie en souriant. (Un moment de silence suivit, Jasmine restant muette). D’accord, reprit la fille, si tu veux imposer un repos à mon petit trou, alors, pourrais-je te demander de venir me lécher le minou à la place?
 - Oh non! répondit sans hésiter la mère. Ça, c’est réservé pour Alicia. Moi pas touche!
 - Bon ben alors, s’hasarda Sophie avec une hardiesse nouvellement acquise, me laisseras-tu lécher le tien? S’il-te-plaît! »
 Le sang de Jasmine ne fit qu’un tour.
 « Me laisser lécher par ma propre fille? » Cette seule idée eut l’effet d’une décharge électrique dans le bas-ventre de la mère. Sentir sa langue dans son conin et, qui sait, peut-être ailleurs aussi dans ses parties les plus intimes la fit saisir d’un brûlant désir qui l’invitait de nouveau à l’inceste.
 « Tu es vraiment délurée depuis hier soir, mon poussin, répondit-elle avec un sourire et un faux ton de reproche. Elle s’approcha de l’oreille de Sophie et lui chuchota :
 - On mettra ça sur le compte de ton apprentissage d’hier! »
 Folle de joie, Sophie saisit Jasmine par les cheveux et colla sa bouche sur la sienne. Unie à sa fille dans ce baiser langoureux, la mère se mit à caresser les doux seins de Sophie qui répondirent par une érection immédiate des tétons. Sophie détacha le cordon du peignoir que portait toujours Jasmine qui s’empressa d’en dégager les bras. En un instant le vêtement tomba par terre, laissant voir les deux femmes nues et enlacées qui roulaient dans le lit Queen de la jeune, toujours unies dans un baiser passionné.
Le jeu ne fut pas de tout repos pour Jasmine. Il lui était interdit d’approcher la plotte de sa fille tout en devant laisser tranquille son petit fion. Elle prit donc rapidement une position qui permettrait à sa fille de satisfaire son vœu : Sophie étant allongée sur le dos, la tête sur l’oreiller, elle l’enjamba à genoux, face à ses pieds. Le sexe chaud, humide et excitant de Jasmine se trouvant donc directement au-dessus du visage de sa fille, cette dernière respira à plein nez les effluves provenant du con maternel.
 La toison de Jasmine était rousse, avec une teinte qui, sous certains éclairages, évoquait des braises incandescentes, amenant Jasmine à la surnommer à l’occasion son ‘Jardin de feu’. Son anus, par contre, était gardé rasé, à la demande de son mari Jérôme qui le préférait ainsi.
 Jasmine appréciait chaque mouvement de sa fille, son nez s’infiltrant entre ses petites lèvres, son souffle rafraîchissant sa région périnéale, et surtout la petite langue gourmande qui avait entrepris d’explorer les zones les plus érogènes de son corps.
 Sophie y alla de mouvements de plus en plus amples sur le bouton d’amour de Jasmine, qui gagnait de seconde en seconde en volume et en couleur. La mère sentait l’excitation gagner tout son corps comme une chair de poule l’envahissait tout entière.
 « Où a-t-elle appris tout ça? se dit-elle en se trémoussant au-dessus de celle qui l’explorait dans son intimité la plus profonde. Ou c’est moi ou c’est son instinct d’amante qui se réveille en elle. Alicia sera aux anges, pour sûr. »
 Au bout de dix minutes pendant lesquels salive et cyprine se mélangèrent, saisie d’une nouvelle inspiration, Sophie s’empara du gode qui était resté sur le lit et le mit en contact avec les petites lèvres toute congestionnées de sa mère, qui l’arrêta aussitôt :
 « Oh non, pas là, ma belle! Il est plein de tes colibacilles. Tu ne veux quand même pas que je me retrouve avec une vaginite? »
 Sophie éloigna aussitôt le pseudo pénis du sexe de sa mère.
 « Excuse-moi, Maman, j’ignorais. »
 Jasmine empoigna ses fesses qu’elle écarta largement au-dessus de la bouche de sa fille, lui présentant d’une façon très explicite un anus assoiffé de sensations et qui dégageait un fort mais excitant parfum particulier.
 « C’est là que ça va aller aujourd’hui, ma belle cocotte. Ça ne me dérange pas de recevoir tes microbes dans le derrière. (Au contraire! pensa-t-elle intérieurement)»
 La jeune eut un moment d’hésitation.
  « Allez, vas-y! Il est à toi, insista Jasmine. Et je suis propre, je t’assure. »
 Sophie se demandait si elle rêvait tellement elle ressentait de l’excitation.
  « Maman qui m’offre son anus? Elle dont je ne connaissais rien de son intimité il y a un jour à peine, elle veut maintenant que je prenne son cul tout entier? »
 Sans plus tarder, elle passa aux actes. Sa langue vint d’abord effleurer le périnée, puis toute la circonférence péri-anale de Jasmine, avant de toucher directement la rondelle qui n’en pouvait plus d’attendre de se faire explorer dans ses profondeurs. Rapidement la petite langue entreprit de forcer son chemin au travers de l’orifice libidineux.
 Tirant Jasmine par les hanches, Sophie colla sur son visage les fesses de sa mère. Son nez obstrué par la pression qu’exerçait le cul sur sa figure, elle fourra sa langue le plus loin qu’elle put dans le fion maternel. Jasmine, qui sentait l’excitation monter de plus en plus, sentait très bien l’organe de sa fille frétiller dans son derrière.
 « Oui, vas-y, ma chérie, ma puce d’amour. Savoure-moi, petite cochonne, gémissait-elle en se cambrant, saisie par des sensations aussi extrêmes qu’interdites. »
 Saisissant un tube de lubrifiant de la poche du peignoir, Sophie enduisit généreusement le trou qui n’attendait plus que les joies de la pénétration dans une soumission totale.
 « Mets tes doigts à l’intérieur, explore bien mes chaudes entrailles. »
 La fille obtempéra sans tarder. Introduisant un doigt, puis deux qu’elle faisait pivoter dans un sens puis dans l’autre, elle put effectivement sentir toute la chaleur corporelle de Jasmine. Ne pouvant plus attendre, le gode bien en main, elle entreprit de pousser sur le muscle anal qui, expérimenté, se laissa vaincre presque sans résistance.
 En moins de deux, tout le gode avait frayé son chemin dans le fion en chaleur. Sophie poussait et tirait le faux pénis en observant, centimètre par centimètre, les muqueuses luisantes dont la forme épousait le contour de l’instrument qui avait conquis le cul tout entier.
 L’enculée était maintenant complètement cambrée, appuyée sur ses deux bras derrière elle, le cou étiré et la tête vers le plafond. Les yeux fermés, c’est à coup de grands soupirs qu’elle appréciait chaque seconde qui passait. Sensations externes. Sensations internes.
 Sophie, quant à elle, jouissait intérieurement en s’imaginant que le gode qu’elle manipulait était le pénis de son père pénétrant le trou de cul de sa mère, tantôt en position de levrette, tantôt, après l’avoir fait pivoter, en missionnaire.
 Au bout de quelques minutes, lasse de ce jeu où elle était astreinte à la passivité bien qu’heureuse que sa fille ait acquis quelque nouvelle compétence, Jasmine mit un terme aux ébats. Se détachant de sa fille, elle extirpa elle-même le gode qui était toujours fiché profondément dans son fion.
 « Bon, c’est fini le petit jeu, à présent », dit-elle finalement. Elle s’essuya et remit son peignoir.
 Sophie resta un moment silencieuse mais ne semblait pas manifester de déception.
 « J’aime ce gode, reprit la fille. Dis, Maman, je pourrais te l’emprunter? Je le montrerais à Alicia.
 - Prends-le, il est à toi, répondit Jasmine.
 - Quoi? Je ne comprends pas…
 - Eh oui, je t’en fais cadeau. C’est le présent que je te réservais à l’occasion de ton union avec Ali.
 - ?…
 - Il est neuf, je t’assure, tu es la première à l’avoir utilisé. Seulement, je voulais que tu l’aies essayé de toutes les manières afin de m’assurer qu’il te plaise. Le gode, le harnais, tout est à toi. Alors, amusez-vous bien! »
 Sophie était ravie. Elle appréciait la bienveillance de sa mère.
 « Oh merci, merci, Maman! c’est vraiment too much!
 - Ce n’est pas tout, reprit Jasmine, il y a une fonction que je ne t’ai pas montrée encore. »
 Saisissant l’instrument par sa base, elle appuya sur un bouton dissimulé sous le revêtement de silicone et « pffff! », lentement, Sophie vit le faux pénis augmenter de volume à la hauteur du gland. En cinq secondes, le gode avait pratiquement doublé de diamètre à son extrémité.
 «  C’est ce que j’appelle un ‘pénis de chien’.
 - Pénis de chien? demanda Sophie.
 - Exactement. Lorsqu’un chien s’accouple avec la femelle, son pénis une fois introduit augmente de volume et il ne peut plus être extrait avant la fin de la relation. C’est ce qu’on appelle le nouage.
 - Ben, à quoi ça peut servir?
 - Disons que ça peut procurer des sensations assez spéciales lorsque manipulé par une personne adroite. »
 Une nouvelle pression sur le bouton et « pffff! » le gode reprit sa taille normale.
 Sophie déposa l’instrument. Elle mit sa robe de chambre et s’étendit sur le lit que Jasmine avait pourtant commencé à refaire. Une question lui brûlait les lèvres :
 « Dis Maman, quand Papa a-t-il commencé à te sodomiser? »
 Sophie n’était pas consciente que cette question, posée d’une façon tout à fait anodine, allait réveiller chez sa mère de tristes et douloureux souvenirs.
 (À venir : La confession de Jasmine)
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