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L'envol des tourterelles

Chapitre 22

La grande demande ou un diamant bien placé

Lesbienne
Ces dernières paroles furent accueillies de la part d’Alicia par une nouvelle vague d’angoisse. Sur le bord des sanglots et de l’hystérie, elle faillit craquer :
 « Sophie !! Ne me dis pas ! »
 Face à elle, elle saisit violemment Sophie par les épaules, laissant voir un mélange de terreur et de désespoir dans ses yeux.
 « Sophie ! Je t’en conjure ! S’il s’agit encore d’une invention de ta part, ou d’un test, ou d’une épreuve, je t’en supplie, mets fin à tout ça immédiatement. Tu vas finir par me rendre complètement folle ! »
 Sentant son espièglerie poussée à sa limite, elle posa à son tour ses mains sur les épaules de sa compagne :
 « Ça va, ma belle Ali, pas de problème, dit-elle en souriant. C’est bien Papa qui est stérile. Je n’ai pu résister à la tentation de te donner une toute dernière petite frousse. »
 Soulagée à 100% mais avec 25% de colère et 75% d’espièglerie (ce qui démontre au lecteur à quel point son esprit débordait d’émotions), Alicia se mit à la poursuite, à l’intérieur de la pièce, de sa biche qui avait déjà pris ses distances et qui tentait de s’échapper tout en riant comme une enfant à la merci des chatouillements d’un parent bienveillant.
 « Attends que je t’attrape, mademoiselle la psy ! s’amusait à répéter Alicia tentant de mettre la main sur une Sophie qui se défilait sans arrêt devant elle. Tout ce que tu mérites, c’est une bonne fessée, petite garce ! »
 Toujours en tenue d’Ève, elles se mirent gaiement toutes deux à jouer au chat et à la souris autour de la pièce, puis à l’extérieur, dans une course folle qui dura un moment. Protégées des regards indiscrets par une haute clôture, c’est dans le jardin fleuri de Sonia qu’Alicia put enfin maîtriser Sophie qui alternait maintenant ricanements et halètements. À bout de souffle, Sophie se laissa prendre dans les bras de sa poursuivante et s’abandonna à son esprit de vengeance. Ayant l’avantage de la force, Alicia  ramena sa prise à l’intérieur, la déposa par terre, et s’assit sur le peignoir reposant sur le canapé :
 « À genoux ! ordonna-t-elle.  - Tu vas me punir, chérie ? demanda Sophie maintenant agenouillée, empruntant le ton d’une enfant prise en défaut. - Une bonne fessée, voilà ce qui t’attend, méchante fille tannante ! Monte sur moi ! »
 Sophie s’exécuta, toute souriante. Se relevant partiellement, elle déposa sa poitrine nue au travers des cuisses d’Alicia toujours assise sur le canapé. Les genoux flottant au-dessus du sol, s’agrippant par les bras aux cuisses d’Alicia, elle se vit appliquer de solides et bruyantes claques sur ses fesses chaudes et soyeuses.

 « Aïe ! Aïe ! Ça pince ! s’écria la garce en ricanant. Faudra vraiment que nos gosses soient sages s’ils ne veulent pas goûter à ta ‘médecine’ ! - Tiens ! Voilà pour toi ! Ça t’apprendra à abuser de mes glandes surrénales ! Tu leur as fait sécréter leur dose d’adrénaline pour un mois!»
 La fessée terminée et le postérieur rougi à un point tel que son papillon tatoué était maintenant devenu monochrome, Sophie ne semblait pas pressée de quitter sa position de soumission. Elle demeura donc couchée sur le ventre, reposant au travers des genoux d’Alicia, les pieds au sol. Exprimant un désir évident de se faire cochonner à nouveau, elle lui adressa une coquine requête:
 « Bébé, masse-moi la rondelle, tu veux ? Tes doigts font de la magie quand ils sont dans mon petit trou d’amour. - Oui, ma belle cocotte en chaleur, avec plaisir. Tu es si mignonne à regarder. Ton petit derrière est si invitant. Ton petit trou, lui, je ne lui ferai pas de mal.»
 Après avoir invité Sophie à les sucer afin de bien les enduire de salive, Alicia apposa deux doigts sur  l’anus de sa compagne, puis se mit à masser le sphincter par de doux passages circulaires autour du muscle qui se détendit peu à peu. Sophie sentit bientôt la pointe d’un ongle entrer en contact avec le milieu du cratère. Exerçant une légère poussée abdominale, elle sentit l’index d’Alicia franchir le muscle et commencer ses frétillements à l’intérieur du petit trou qui renoua immédiatement avec d’intenses et agréables sensations internes. Sophie émit quelques gémissements de plaisir alors qu’Alicia effectuait de lents mouvements de va-et-vient dans le petit trou de sa nouvelle compagne de vie, rehaussant le plaisir en impliquant un deuxième doigt dans ses caresses rectales. Une immense paix s’était installée dans la pièce alors que les deux tourterelles, silencieuses par moment, se laissaient aller à ces instants de pur bonheur. Dans sa position de soumission, Sophie se tordait le cou afin de mordiller le haut de la cuisse et les hanches de sa copine, tout en lui caressant d’une main la seule fesse à laquelle sa posture donnait accès. Sentant le besoin d’exprimer verbalement sa joie, la rousse reprit la parole :
 « Je t’aime, Ali. Je me sens si bien avec toi. Éprouver des sensations agréables est une chose, mais savoir que c’est TOI qui me les procures, ça me transporte au Paradis. - Pour ma part, répondit Alicia qui continuait ses mouvements dans le derrière de sa copine, savoir que je peux apporter un tel niveau de jouissance à la fille que j’ai toujours aimée, ça me comble de joie. Je suis folle de toi, Sophie ma chérie. J’ai toujours aimé ton esprit. Maintenant c’est aussi ton corps qui m’envoûte. »
 Ayant retiré un doigt, Alicia poursuivit ses caresses anales avec le majeur. Soudain l’extrémité du doigt bien enfoui dans le trou d’amour de Sophie sembla se retrouver dans le vide. Voyant l’abdomen de sa compagne se durcir un peu, elle sentit un gaz passer entre le doigt et le muscle anal dans un léger bruit familier. Tournant la tête vers Alicia, Sophie sourit timidement. L’autre lui répondit par une faible taloche sur la fesse. L’expulsion permit au doigt et aux muqueuses rectales de reprendre leur chaud contact intime.
 « Depuis longtemps, j’étais impatiente de me donner à toi, entièrement, soupira Sophie.  La nuit, tu étais dans mes rêves. Tu me prenais de partout, je n’avais plus de secret pour toi. C’était tellement érotique ! À mon réveil, ma culotte était toujours à tordre. »
 La douce séance de massage anal se poursuivit. Sophie s’exprima de nouveau :
 « Maman avait raison : l’anus et le rectum sont une grande source de plaisir. J’étais idiote d’en être ignorante. Et toi, tu m’as même démontré qu’on peut tirer du plaisir de nos fonctions naturelles. C’est comme si, pour moi avant, faire ces choses était une perte de temps, une chose répugnante. - Les tabous et certains aspects de nos cultures sont sources de blocage, approuva Alicia qui continuait ses caresses à l’égard de sa bien-aimée, elle-même se laissant porter par la magie du moment. Le bonheur se trouve dans la liberté, surtout dans les activités sexuelles. Et je suis heureuse que tu te sentes maintenant libérée. - Ali, je crois que je suis accro au sexe anal. Je ne veux pas mettre de côté les plaisirs vaginaux, mais je crois avoir découvert mon choix dès ma première expérience avec Maman. - Je suis d’accord avec toi, ma bibiche. Tu ne m’en voudras pas si je te confesse préférer ton petit trou à l’autre ? - Au contraire ! s’exclama une Sophie ravie. C’est ce que j’espérais de toi. Une fois de plus nous sommes d’accord. C’est merveilleux. Nous étions vraiment destinées à vivre ensemble, ma chérie. - J’aime ton petit trou de cul, ma Sophie d’amour. J’aime le voir, l’entendre, le goûter, le toucher. Et il sent bon. Je le trouve mignon et même s’il prend de l’expérience, il conservera toujours pour moi un petit côté sauvage. Tu me rends pratiquement folle quand tu t’approches de moi et que dans tes yeux je devine ton désir de te faire prendre comme une petite cochonne une fois de plus. Je crois avoir trouvé un moyen de m’approprier ce petit trou d’amour même quand nous ne sommes pas ensemble. - Vraiment ? Tu vas pas m’enchaîner tout de même ? Ou me faire un piercing ? - Ne crains rien. Tu verras bien, répondit Alicia, sans en rajouter. »
 Sophie, dans un effort de rapprochement, s’avança vers la fesse nue d’Alicia et se mit à la bécoter, laissant sa compagne continuer ses douces caresses.
 « J’aime sentir dans mon petit derrière de gamine tout ce qui vient de toi, mon amour, reprit-elle. Me sentir pénétrée par toi me donne à chaque fois le sentiment que je te rends heureuse et que je peux m’abandonner à toi dans une confiance absolue. »
 Le soleil et la chaleur estivale étant au rendez-vous, et à la suggestion d’Alicia, les nouvelles mariées poursuivirent leur journée en préparant leur sac de plage respectif. Elles revêtirent leur bikini et se mirent en route vers un endroit qu’elles seules connaissaient : la plage privée de l’oncle de Sophie, jumeau de son père. En ce milieu d’après-midi, elles roulèrent non loin de la mer et s’arrêtèrent devant une entrée privée, gardée par une barrière cadenassée dont Sophie possédait la clé. Ayant reverrouillé la barrière derrière elles, la voiture conduite par Alicia traversa un petit boisé pendant environ une demi-minute, puis s’immobilisa. Les filles en sortirent, prirent leurs bagages et entreprirent une courte marche, longeant un étroit sentier dans le boisé qui aboutit sur une plage de sable fin en forme de demi-lune, faisant environ cent mètres de diamètre. Enclavé par un mur de hautes falaises faisant un demi-cercle, l’endroit se trouvait isolé de tout regard indiscret, sauf pour d’éventuels marcheurs (chose plutôt rare, le prochain village étant assez éloigné) empruntant la route provinciale qui longeait la falaise, encore eût-il fallu qu’une paire de jumelles soit utilisée pour faire une observation adéquate des lieux. Un sable chaud et fin recouvrait l’endroit. Seule une table de pique-nique surmontée d’un vieux parasol meublait ce coin de paradis. La plage se noyait au gré des vagues et prolongeait sous l’eau son doux tapis sablonneux jusqu’à l’infini pour le plus grand plaisir des baigneurs qui s’y seraient trouvés. Les filles déposèrent leurs bagages à l’ombre du parasol et cassèrent une croûte constituée de restes de sandwiches et du gâteau servis lors de la réception de la veille. Puis, mettant fin à une attente commune, Alicia relança les activités :
 « La dernière à l’eau est une poule mouillée ! »
 Sans plus attendre, les deux tourterelles se mirent à courir vers la mer dans une épreuve qui ressemblait plutôt à une compétition de foire : Tout en coursant l’une contre l’autre, chacune détacha son soutif qu’elle jeta au loin.  Puis, se penchant tout en sautillant afin de maintenir sa vitesse, chacune se défit en riant de sa culotte de bikini qui fut abandonnée sur le sable. Complètement nues, les deux mirent les pieds presque simultanément dans la mer et poursuivirent leur course jusqu’à ce que l’eau soit assez profonde pour y nager. Se retrouvant face à face, elles s’arrêtèrent un court instant, l’eau leur arrivant sous la poitrine. Jouant dans les cheveux de sa compagne, Alicia ne put s’empêcher d’exprimer son admiration :
 « Oh, ma belle petite démone, que tu es belle dans la mer. Ta chair de poule, tes petits seins qui pointent vers moi, tes cheveux qui s’enflamment au soleil et ton sourire innocent me donnent de plus en plus envie de toi. - Toi, tes yeux ’pers-vers’, répondit Sophie à la blague en lui caressant et lui baisant les seins, sont les plus envoûtants que je connaisse. Tu es la plus belle sirène de tout l’Atlantique. »
 Les amoureuses s’embrassèrent longuement en laissant les mains se balader sur le dos puis les fesses, puis, toujours unies dans leur baiser, se laissèrent descendre pour disparaître sous l’eau et en ressortir quelques secondes plus tard. Après une vingtaine de minutes de nage plus ou moins synchronisée, Sophie et Alicia déposèrent chacune une serviette de plage sur le sable chaud, sous un soleil de 27 degrés. Asséchée rapidement par une brise très légère, Alicia ouvrit devant sa nouvelle compagne de vie son sac de plage.
 « Approche, chérie, j’ai quelque chose pour toi. »
 Sophie s’étant placée debout devant elle, Alicia posa le genou droit sur le sable chaud, leva les yeux et se remit un court instant à admirer la nudité de sa compagne. Elle lui présenta ensuite un écrin devant des yeux surpris et ébahis:
 « Mademoiselle Sophie Durocher, acceptez-vous de devenir ma femme et de me tenir compagnie pour toute la vie ? demanda solennellement Alicia en ouvrant le boîtier. »
 Celle qui était officiellement et en privé demandée en mariage ouvrit grand les yeux et porta la main à sa bouche en inspirant un « Hon ! » d’étonnement en signe de surprise. Elle saisit le bijou et s’exclama, les larmes aux yeux :
 « Oh, Ali ! T’es folle ! Tu as dû dépenser une fortune pour m’offrir cela. Certain que j’accepte, mademoiselle Alicia LeBel ! »
 Sophie examina rapidement l’objet, les yeux pétillants de joie. Elle prit dans sa main le rosebud en inox de 4,5 cm de diamètre, surmontant une base ronde de 3 cm lequel était serti d’un diamant certifié, le tout faisant 7,5 cm de hauteur.
 « Tu comprendras, reprit Alicia, que je ne pouvais t’offrir ce bijou anal hier en présence de nos invités, et encore moins te l’insérer en public ! - Merci en effet, répondit une Sophie encore sous le coup de l’émotion et qui faisait tourner devant ses yeux le diamant étincelant au soleil, d’avoir eu égard à notre pudeur !  - Il te plaît ? Je craignais de peut-être t’insulter en te l’offrant, d’autant plus que le sexe anal était plutôt méconnu de toi il n’y a pas si longtemps. - Oh, mais c’est parfait ! Je venais de te dire que j’aime sentir en moi tout ce qui vient de toi. Ce sera un plaisir et un honneur de le porter. Oh merci, merci, merci ! »
 Aidant sa nouvelle femme à se relever, c’est une Sophie en pleurs qui l’étreignit longuement.
 « Bon, assez les paroles ’romantals’ et ’sentimantiques’, fit Alicia dans un calembour. Je te l’insère maintenant ? - Avec joie ! Je me place comment ? - À ton choix, ma belle, en autant que tu me facilites la tâche ! »
 Sophie adopta sa position préférée : à genoux sur le sable, tête sur la serviette, et attendit fébrilement. À genoux derrière sa nouvelle femme, Alicia, à la vue du sexe rosé, luisant et imberbe, ne put s’empêcher de l’honorer d’abord par quelques baisers et coups de langue entre les petites lèvres et sur le bouton d’amour. Sophie manifesta immédiatement sa réaction par un mouvement de cambrure du dos, réclamant ainsi d’Alicia davantage de caresses.  Alicia fit remonter ensuite la bouche vers l’anus qu’elle allait honorer, à son tour, de la pierre précieuse, et apposa doucement des baisers presque silencieux autour de la rondelle, puis au centre de celle-ci. Le parfum enivrant qu’elle respirait maintenant, associé aux poignantes sensations que lui apportait la brise qui lui léchait le con et son propre cul chauffés par le soleil, lui fit sentir des coulées de cyprine s’échapper d’elle. Malheureusement pour vous lecteurs, notre chère Sophie eut tôt fait d’interrompre ce moment d’intimité et d’en briser l’aspect romantique et solennel. Se relevant rapidement à la surprise d’Alicia :
 « Excuse-moi, chérie. Il faut que j’y aille ! »
 Sophie s’éloigna rapidement à une dizaine de mètres, puis s’accroupit sur le sable. Au bout de quelques secondes, on entendit un jet d’urine atterrir sur le sol. Des bruits intestinaux furent également perçus alors que la future enculée au diamant soulageait ses intestins.
 « N’oublie pas d’actionner la chasse d’eau ! s’écria Alicia, amusée par la scène. - Et toi, ferme la porte d’la chiotte! répondit Sophie du tac-au-tac. »
 Pendant que Sophie vaquait à ses occupations, Alicia sortit rapidement et discrètement un gode de son sac. Elle l’enduisit de salive et tenta prestement de le forcer dans son derrière. Elle grimaça de douleur, puis remit le gode dans le sac. De retour et ayant repris sa position, la future honorée se remit dans l’attente. Cette fois, Alicia se fit un peu plus hésitante. Elle déplora intérieurement le changement de parfum, mais s’y fit rapidement. Examinant de tout près l’anus venant d’assumer ses fonctions de base, elle adressa à Sophie une petite commande :
 « Pousse un peu, bébé, mais très légèrement. »
 Voyant Sophie s’exécuter, elle ramassa avec l’index un peu de substance brune et malodorante sur le cratère, puis, espiègle comme tout, essuya son doigt sur le papillon tatoué de Sophie.
 « Hey ! c’est dégueu, ce que tu fais ! Les papillons, ça aime les fleurs, pas la merde ! sembla s’indigner celle dont l’anus allait prendre de la valeur. - Tu pourras lui faire prendre un bain à la mer, ton papillon ! répondit une Ali taquine qui avait commencé à pousser le plug après l’avoir enduit de salive. - Oh ! je le sens entrer. Vas-y doucement, mon amour. C’est plus gros que je m’imaginais. - Bon ben, pousse encore et ce sera tout, fit Alicia en gardant son mouvement. »
 L’intromission terminée, les deux amoureuses se relevèrent. Sophie effectua quelques pas sur le sable. Souriante, elle appréciait la stimulation et l’excitation dont jouissaient dorénavant son trou de cul et ses entrailles. Mais surtout, c’était de constamment sentir la présence en elle d’un don provenant de sa bien-aimée.
 « À chaque pas que je ferai, je penserai à toi, mon amour. Tu m’as vraiment comblée ! »
 Les tourterelles s’embrassèrent de nouveau, Alicia passant la main entre les fesses de Sophie (tout en évitant le tatouage sur la fesse droite) pour retrouver le diamant et en apprécier les aspérités, le pressant doucement vers l’intérieur. Maintenant consciente, et avec une certaine appréhension, que le tour de sa défloraison anale approchait, Alicia savait qu’elle devait préparer adéquatement Sophie afin que cette activité soit pour les deux la plus harmonieuse possible. Elle ne lui avait pas encore tout révélé de son passé.
 (À venir : Défloraison sportive)
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