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L'épanouissement

Chapitre 1

Hétéro
Non, je ne pense pas qu’elle avait des prédispositions particulières pour la sodomie. On avait bien tenté l’expérience, il y a de nombreuses années, mais sans susciter de formes de plaisir particulières, au contraire.
Alors, comment en est-on arrivés là ? Bonne question... Cela ne s’est pas fait en un jour, et c’est sans doute le fruit d’une très lente évolution. Mais une chose est sûre, aujourd’hui, ma femme est bel et bien accro à la sodomie, il n’y a qu’à la voir se déhancher et crier son plaisir, assise sur mon sexe, bien dur, bien calé au fond de son anus totalement béant, avant de jouir, pour s’en rendre compte... Désormais, la sodomie fait partie de sa vie, comme les drogués, le manque se fait ressentir rapidement et le besoin d’être à nouveau remplie font aujourd’hui, de cette pratique, un besoin vital qui la comble.
Commençons plutôt par le début. Après 20 ans de vie commune, nous sommes toujours friands de nouveaux plaisirs, une vie ne suffira pas à rassasier notre appétit en la matière. L’une de ces nouvelles expériences était la domination soft. Cela est venu naturellement, car nos ébats ressemblaient de plus en plus à de la baise, l’imaginaire a fini par faire intervenir d’autres personnes, de sexe masculin comme féminin. Mais son pêché mignon est petit à petit devenu d’être entourée par plusieurs bites, puis finalement servir de pute, de vide-couilles, de réservoir à sperme, d’être un objet soumis à leurs désirs. Plus le fantasme prenait forme, moins nous faisions l’amour, et d’autant plus nous baisions. Dès que ce fantasme sortait, les ébats devenaient plus intenses et torrides. Cela ne s’est fait qu’au fil de plusieurs années d’évolution, mais bien qu’active dans le couple, le fantasme de servir d’objet est petit à petit devenu une envie, puis un besoin.
La décision était prise, nous allions nous essayer, une seule et unique fois, à la domination soft. Après quelques soirées d’apprentissage sur le Net en la matière et quelques emplettes, la fameuse soirée pouvait commencer. Nous ne savions pas alors que nous prenions un aller simple et qu’un retour en arrière serait par la suite, totalement exclu...
Je lui sélectionnai tout d’abord une tenue que je jugeai adaptée, celui classique de la soubrette sexy, des bas, mais aucun dessous. Pour nous mettre dans nos rôles, je lui fournissais également un masque vénitien cachant le haut du visage, et m’en couvris également. Ce soir, ce ne serait pas le mari et la femme, mais juste deux personnes inconnues qui se découvrent.
Je crée, dans la chambre, une ambiance sexy, que je voulais envoutante. Bougies, pénombre, et un porno hypnotique sur le grand écran où l’on pouvait voir son fantasme se dérouler sous ses yeux. Des femmes soumises défilaient, prises par tous les trous, souvent brutalement pas plusieurs partenaires.
Je la laissais s’imprégner de cette atmosphère, laissant le désir monter en elle, l’envie d’expérimenter ce que vivaient toutes ses femmes. Je voyais sur son visage, ce désir grandir. Alors, je sortis simplement mon sexe, et sans rien ajouter, elle se mit à genoux et goba mon gland.
Je l’accompagnai de nombreux commentaires, plutôt dégradants, et lui indiqua précisément ce que j’attendais d’elle pour cette pipe : Qu’elle me regarde dans les yeux, qu’elle joue bien de la langue sur mon frein ou qu’elle avale plus. Je lui imposai mon rythme qu’elle adopta.
N’étant qu’un homme ; je finis par éjaculer avec abondance au fond de sa gorge. Je lui demande alors d’ouvrir la bouche pour me montrer mon sperme, puis d’avaler. « C’est bien ma pute, tu suces comme il faut ».
Bien entendu, cette petite mise en bouche l’avait beaucoup excitée. J’espérais quant à moi tenir la longueur et combler son désir. Je lui ordonnais de ne pas bouger, je la caressais un instant, puis, sans prévenir, je la pénétrais d’un coup de trois doigts. Elle gémit instantanément et soupira de soulagement et d’aise d’être enfin pénétrée. Je ressortis immédiatement mes doigts en la traitant de salope assoiffée de sexe, la frustrant. Je lui mis mes doigts en bouche pour qu’elle les suce, ce qu’elle fit sans rechigner, « goûte bien ta mouille sale pute, car bientôt, ce sera celui d’une autre que tu devras lécher... » « C’est ce que tu veux être une bonne pute, hein ? » Lui criai-je, et c’est les yeux baissés et timidement qu’elle me répondit que oui. C’est à ce moment, à genoux, à mes pieds, la bouche pleine de mon sperme et de sa mouille, que je lui mis son collier qu’elle accepta docilement. En bonne pute, elle l’avait bien méritée.
— Déshabille-toi lentement, et viens t’allonger sur le lit, je vais parfaire ta panoplie.
Elle s’exécuta et m’offrit ce petit spectacle très excitant. Elle me regardait avec ses yeux de biche emplis de désirs. J’étais prêt à sauter dessus, mais je me forçais à me maîtriser et rester impassible devant ses charmes. Décidément, la situation et mon rôle étaient difficiles à tenir, tiendrais-je le coup jusqu’au bout ?
Je commençais par lui caresser la poitrine, tendrement, ses seins sont absolument irrésistibles, elle a les tétons sensibles et adore quand on s’en occupe dans nos jeux. Je m’en occupe donc avec application, je suce un téton tout en malaxant l’autre, entouré des bruits de succion d’une chienne pratiquant des pipes multiples, à la télé, avec beaucoup de dévotion pour ses partenaires...
L’ambiance n’était pas à la tendresse et ce n’était pas mon rôle ce soir-là. Je me mis donc à adopter une posture un peu plus sauvage, et commençais à griffer un sein tout en mordillant l’autre téton. L’effet fut exactement celui escompté, elle n’attendait que ça visiblement et aimait beaucoup mes attentions. Je finis par stopper ce jeu d’approche pour mettre des pinces aux tétons. Je tâtonnais un peu dans le réglage des pinces afin qu’ils les stimulent sans pour autant qu’ils fassent mal. Savant mélange. Elle gémit derechef. J’accrochai finalement les chaînes des pinces au collier prévu à cet effet.
Il n’y avait pas à dire, elle avait de l’allure ma princesse avec son collier, les pinces et les chaînes qui passaient entre les seins... Dur de résister à l’appel. Mais ce n’était pas ma femme que j’avais devant moi, juste un objet censément pour mon plaisir. Bien sûr, c’était le sien qui était au centre de toute mon attention, je voulais tant être à la hauteur et lui apporter ce qu’elle désirait. Son masque m’aida dans la situation, ce qui serait une bénédiction pour ce que j’avais prévu pour la suite...
Je la mis enfin à quatre pattes. « Écarte bien » lui dis-je, ce qu’elle fit sans attendre, impatiente de se faire enfin prendre en levrette, pensait-elle certainement. Le nez sur l’écran qui diffusait désormais une double pénétration sauvage, le sexe béant, elle m’était totalement offerte, belle à mourir dans cet accoutrement qui ressemblait maintenant plus à celui d’une soumise et ses bas qui mettaient en valeur ses fesses et son sexe comme un écrin irrésistible.
Il était temps pour la phase que je savais délicate. C’est alors que je sortis un plug agrémenté d’un bijou. « Comme tout bon vide-couilles qui se respecte, tu vas prendre ça dans ton cul de salope ». « Non, pas ça, tu sais que ce n’est pas mon truc, prends-moi plutôt, j’ai trop envie de ta bite » « Quoi, tu refuses ? Je crois que tu n’as pas bien compris ta place ».
C’est alors que je sortis la fameuse badine. Et c’est précisément à ce moment-là qu’elle changea de couleur. « Tu voulais servir de vide-couilles ? Être une bonne pute ? Alors maintenant, tu te la fermes et tu assumes ! Cambre bien les reins !!! » Une partie de l’enjeu de la soirée se passait à ce moment précis, allait-elle se « soumettre » à mon désir ou non ? Si elle acceptait de réaliser ce qui la rebutait, alors, j’aurais pris un ascendant psychologique et aurais donc rempli en partie ma mission. Derrière mon masque, ma sévérité, mon détachement, j’étais fébrile, c’était mon amour, et son plaisir m’importait plus que tout. Je pensais que c’était ce qu’elle voulait au fond d’elle : être un brin forcé. J’espérais ne surtout pas me tromper.
A mon grand bonheur, elle s’exécuta, et je me mis en position. Les premiers coups furent un peu maladroits, mais j’appris vite à manier la badine, surtout à ne pas toucher ailleurs que la partie charnue de ses splendides fesses.
Quant à l’effet produit... Elle encaissa sans broncher les coups que j’administrai sur ses fesses, « Regarde l’écran, ça c’est un bon garage à bites, un jour, ce sera ton tour ». Les images censées la conditionner et l’exciter produisaient son petit effet. Une femme faisait une gorge profonde à son partenaire, tandis qu’un autre lui fouillait l’intimité avec trois doigts, semblait-il. Bien que très excitant, j’avais moi, un bien plus beau spectacle sous mes yeux, ma femme, heu... mon objet, avait les yeux rivés sur la scène.
A chaque coup de badine, j’alternai avec des caresses sur ses fesses, mélange entre douceur et douleur, jusqu’à ce que l’un et l’autre provoquent des gémissements de plaisir, et que ses jolies fesses soient devenues bien roses...
Alors que la soumise de la télé subissait, fort à propos, un fist anal, je décidais qu’il était temps de faire réapparaitre mon plug, « C’est bien ma pute, maintenant écarte bien tes fesses avec tes deux mains » Cette fois-ci, elle s’exécutât sans broncher, hypnotisée par l’écran, complètement abandonnée, ce moment était magique, magnifique et très intense pour moi. Elle reprit sa position en se cambrant bien, la tête sur l’oreiller, les yeux toujours rivés sur le fist de l’écran.
J’enduisis le plug de lubrifiant et, en ayant sur le doigt, je profitais par lui masser son anus et la détendre, puis je présentais le gode et commençai à l’introduire tout doucement. C’était une taille XS, le plus petit, mais il résistait. « Détends-toi, il va falloir assouplir tout ça si tu veux devenir une bonne pute accueillante » petit à petit le gode progressa, je commençai des caresses sur son clitoris afin de détourner son attention et les gémissements reprirent, elle se détendit un peu. Je maintenais une pression continue sur le gode afin que celui-ci pénètre au fur et à mesure que ses sphincters se relâchaient. Le gode finit enfin par prendre place, son anus se referma autour de sa base.
— C’est bien ma salope, maintenant allonge-toi sur le dos et ramène tes jambes sur ta poitrine.
Elle s’exécuta immédiatement, un peu groggy, dans un état second. J’avais face à moi une vue superbe sur son bijou anal, je ne manquai pas de lui faire remarquer que maintenant, elle ressemblait plus que jamais à une bonne pute. Qu’elle était belle... Je mourrais d’envie de savoir comment elle se sentait et ce qu’elle ressentait, mais je ne voulais pas sortir de mon rôle autoritaire.
J’approchai ma bite de sa bouche, qu’elle se dépêcha d’avaler à nouveau avec avidité, « fais-la bien bander si tu veux bien te faire défoncer » mes paroles furent inutiles tant elle était appliquée à sa pipe, je pensais cependant que mon vocabulaire fleuri que j’employais depuis le début lui permettait également de se mettre dans son personnage. Son comportement de complet abandon me disait que oui et que, pendant ce moment éphémère, elle était totalement mienne, tant de corps ou d’esprit.
Je retirai enfin mon sexe de sa bouche pour l’enfoncer sans tarder bien au fond de son sexe. Bien que trempée, complètement ouverte et dans une position plus que propice, mon sexe força un peu pour rentrer, le gode faisait l’effet que j’attendais de lui, non pas lui procurer du plaisir anal, mais du plaisir vaginal en le resserrant autour de ma bite, et il remplissait à merveille sa mission !
Je lus l’étonnement dans ses yeux, « Tu commences à comprendre l’avantage de se faire remplir par les deux trous, salope ? » « C’est trop bon, je te sens trop bien » je commençais par de lents allers et retours, presque à ressortir entièrement, puis par des allers puissants et profonds, mais des retours lents. Ce traitement lui arracha des cris à chaque aller et des gémissements à chaque retour. Bientôt, elle n’y tient plus (à vrai dire, je peinais également depuis un bon moment à résister à ses charmes) « vas-y baise-moi, comble-moi ». Je m’abstins de la faire languir plus longtemps et je sentais que de toute façon, je ne tiendrais pas longtemps non plus de ce mélange de plaisir et de frustration.
Je la pris donc sauvagement, en laissant ressortir enfin ma bestialité, je pouvais laisser aller toute mon excitation contenue, maîtrisée et refoulée du début, je n’étais enfin plus moi-même et m’abandonnais moi aussi en faisant gicler sa mouille autour de ma bite dans de grands, puissants et virils coups de reins. Son visage ravagé par le plaisir, ses cris puissants, mes grognements... Les sensations, décuplées par le gode, finirent naturellement par être trop fortes. Après l’avoir entendue jouir une dernière fois, je larguais une seconde fois la purée libératrice de toute cette tension, au fond de sa chatte cette fois-ci...
Nous restâmes un moment l’un dans l’autre, à reprendre notre souffle. La séance était finie, la tendresse reprit ses droits et finalement c’était peut-être un de mes moments préférés de la soirée, ce petit instant post coïtal, rempli d’amour. Nous nous embrassâmes avec passion.Je me retirai à contrecœur, féline, elle se saisit une dernière fois de ma bite souillée d’un mélange de nos deux fluides et s’appliquât à la nettoyer tendrement. Elle vint ensuite m’embrasser pour me faire partager le goût de sa langue et de nos plaisirs. Finalement, c’est elle qui avait eu le dernier mot !J’éteignis la télé, mais laissais les bougies allumées, je retirais ses pinces à seins et son collier, puis lui demanda de se mettre à quatre pattes pour lui retirer le plug. Il sortit sans aucune difficulté. « Oh, ça fait vide... » me dit-elle. Je lui souris et la pris tendrement dans mes bras,
— J’ai adoré mon amour, je me suis vraiment sentie pute, c’était trop bon.— Pour moi aussi mon cœur.— Quand est ce qu’on recommence ?
Je rigolai... « Je t’aime » lui répondis-je, il n’y avait rien d’autre à ajouter, notre étreinte, nos yeux, dirent le reste.

Voici la fin de ce premier chapitre, comme vous le pressentez, cette soirée fut un tournant, une première étape vers ce que je considère comme notre épanouissement tant sexuel que spirituel.
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