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D'épouse prude à salope au cinéma

Chapitre 7

La femme du Président

Avec plusieurs hommes
La femme du Président
Depuis que nous avions découvert le club libertin de Marc, Noémie et moi avions eu l’occasion de rencontrer pas mal de couples et nous avions fini par rejoindre un club regroupant certains de ces couples. Ce club était en fait une association qui organisait des réunions festives ou culturelles (concerts apéritif, expositions ..), sportives ou encore « coquines ». Ce qui nous avait plu était l’excellente ambiance qui régnait au sein du groupe, le respect témoigné pour et par chacun mais aussi la transparence des comptes financiers dont les responsables faisaient rapport lors de l’assemblée générale annuelle. Nous avions participé à quelques-unes de ces réunions et nous nous en trouvions fort bien. La vie du groupe et des organisations était régie par un Code de Conduite dont chacun et chacune avaient dû prendre connaissance et étaient tenus de respecter. Cela comportait entre autres des règles de vie en commun et l’interdiction qui était faite aux membres de manquer de respect ou d’adopter publiquement des comportements choquants ou portant atteinte à la bonne réputation des membres et/ou du club. Un Conseil composé d’un Président, d’un Vice-Président, d’un trésorier et d’un rapporteur ainsi que deux membres fondateurs veillait à la bonne tenue du club et au respect de ses règles. 
Quelques temps plus tard, nous recevons un courrier nous invitant à participer à une assemblée générale avec, à l’ordre du jour, le comportement et les manquements au Code de Conduite d’un membre. En l’occurence, l’épouse du Président. Contact avec Marc qui nous confirme et nous conseille de venir. 
Bref, à l’heure dite, Noémie et moi sommes présents à la salle indiquée, et où nous rejoignons une quarantaine de personnes environ. L’entrée est réservée aux personnes invitées et ces invitations sont contrôlées. La salle est discrète et munie d’une scène un peu en hauteur. Sur cette scène, nous remarquons immédiatement la présence des membres du Conseil. Après quelques minutes, tout le monde prend place dans la salle et le rapporteur prend la parole. Il explique alors que la séance sera présidée par le Vice-Président du club, le Président étant personnellement concerné par les faits qui vont être abordés. Je remarque d’ailleurs que contrairement aux autres membres du conseil, le président a pris place avec nous dans la salle. Le président de l’assemblée prend alors le relais et expose les faits. L’épouse du président, qui assistait sans son mari à un cocktail mondain dans une association à laquelle le club avait versé des fonds de soutien, a eu un comportement problématique. Elle a, selon plusieurs témoignages, abusé de la boisson et s’est alors fait remarquer par une attitude exhubérante, des propos peu respectueux voire grossiers, pour finalement être surprise occupée à prodiguer une fellation dans les toilettes de l’établissement à deux des jeunes serveurs. La scène a choqué les responsables de l’association qui organisait le cocktail et porté atteinte à la réputation de notre club et de son président en particulier. L’intéressée, que nous appellerons Catherine, a reconnu les faits. Il s’en suit une série de témoins qui viennent expliquer ce qu’ils ont vu le jour des faits puis du Président lui-même et enfin de son épouse, assistée de deux membres du club et désignés comme défenseurs de Catherine. La situation est extêmement gênante. 
Après ces débats, les murmures vont bon train dans la salle. Le Conseil se retire et après quelques minutes revient et fait part de sa proposition de ‘sanction’ : exclusion du club pour une durée de 1 an. On constate immédiatement que Catherine est en panique. Marc qui nous a rejoints Noémie et moi m’explique que cela signifierait pour elle la fin de sa vie confortable de bourgeoise car son président de mari n’hésiterait alors pas à demander et obtenir le divorce à ses torts à elle. 
Les défenseurs de Catherine s’entretiennent quelques instants avec elle et reviennent avec une contre-proposition pour le Conseil : suspension avec sursis pour une durée de six mois durant laquelle Catherine se tiendra à la disposition du Conseil et où des membres que ce conseil désignera pour contrôler son comportement et les mesures que le conseil envisagera à son égard. 

Le Conseil se retire de nouveau et fait ensuite une nouvelle proposition :
suspension avec sursis de six mois comme demandé et respect des mesures de contrôle sans restrictions sous peine d’annulation du sursis
Comme l’injure a été publique, la sanction doit l’être également et que l’application immédiate et publique de la sanction conditionnera l’accord du sursis. Cette sanction dite « du ciseau et du cuir » doit être acceptée et appliquée séance tenante
Noémie et moi sommes sans voix devant ce verdict, alors que nous ne comprenons pas vraiment ce que veut dire ‘ciseau et cuir’. 
Après un court instant de réflexion, Catherine et ses conseils font part de l’accord de Catherine pour la proposition de sanction du Conseil. 
Une de nos voisines dans la salle semble avoir parfaitement compris ce qui allait se passer et semble s’en réjouir : « elle va moins faire la fière la salope » !
Les conseillers de Catherine se retirent et le président de séance s’adresse à elle : « Catherine, vous avez accepté la sanction, avancez-vous vers la salle et faites lui face. Ensuite, lorsque l’ordre vous en sera donné, déshabillez vous. » Le rapporteur s’adresse ensuite à la salle et cite les prénoms de quatre membres féminins qui sont appelés à le rejoindre sur la scène. Noémie est citée dans ces quatre. Elle est pétrifiée à l’idée de participer à cette ‘punition’.Les quatre femmes encadrent maintenant Catherine sur la scène. L’une d’entre elle, Isabelle, grande, mince et avec un visage extrêmement sévère, semble prendre la conduite de l’équipe. Le président de l’assemblée lui fait un signe et elle s’adresse alors sèchement à Catherine : « déshabille-toi ».Catherine est une très belle femme,pulpeuse, 45 ans, une chevelure flamboyante et bouclée, un physique de rêve, très classe. Son visage est livide et elle entame son effeuillage. La veste de son tailleur d’abord puis elle déboutonne un chemisier fort sage. Ses mains se portent dans son dos pour dégrafer sa jupe qui tombe au sol. Les trois ‘assistantes’ d’Isabelle récupèrent les vêtements au fur et à mesure. Catherine enlève enfin son chemisier et apparaît en slip et soutien-gorge noirs, les longues jambes gainées de bas auto-portant noirs. Elle est superbe. Comme elle reste immobile et tarde un peu trop à poursuivre au goût d’Isabelle, cette dernière porte ses mains dans le dos de Catherine et dégrafe le soutien qu’elle enlève et jette à Noémie. La salle est plongée dans un silence extrêmement lourd. Avec une cruauté à peine dissimulée, Isabelle poursuit avec un ordre ‘Enlève ta Culotte’ et joint le geste à la parole en tirant sèchement sur l’élastique du slip. Catherine s’exécute et descend la culotte puis l’enjambe. Noémie la ramasse. Catherine fait ensuite glisser ses bas le long de ses jambes. Catherine est maintenant totalement nue, exposé aux regards de la salle où on peut voir et entendre tour à tour excitation, moquerie, … Catherine ne cherche pas à cacher sa nuditié, sachant sans doute ce qui l’attend quoi qu’elle fasse. Je suis personnellement habité par un double sentiment, d’excitation devant cette superbe femme nue, et de gêne par le côté humiliant de la situation pour elle. 
Deux hôtesses amènent sur la scène un fauteuil métallique avec des accoudoirs et monté sur roulettes. Je remarque que les accoudoirs et les pieds avants sont équipé de lanières de cuir. Isabelle et ses assistantes amènent alors Catherine et lui font prendre place sur le fauteuil. Sans surprise, les assistantes doivent attacher les poignets et les chevilles de Catherine avec les lanières. Elle est ainsi maintenue sur le fauteuil, les jambes largement écartées, son intimié exposée à tous. Catherine ainsi ligotée est présentée au Conseil puis placée face à la salle à nouveau. 
Je comprends alors ce que voulait dire la sanction ‘ciseaux’. Isabelle s’empare en effet d’une paire de ciseaux sur la table du conseil et, sur ordre du président de séance, entame sa tâche. Une à une, de longues mèches des superbes cheveux de Catherine sont coupées. La chevelure flamboyante dont elle avait tant soin part en lambeaux sous les coups de ciseaux d’Isabelle. Catherine ne peut se retenir et on voit couler des larmes sur ses joues. Lorsqu’elle estime que la coupe ‘ciseaux’ est assez courte, Isabelle s’empare d’une tondeuse électrique pour achever son œuvre. Catherine est littéralement tondue publiquement. Je vois immédiatement que Noémie ne sait plus où se mettre et semble m’appeler au secours.
Une fois son œuvre accomplie, Isabelle regarde vers le président de séance qui lui fait signe de poursuivre. Isabelle fait signe à ses assistantes de détacher Catherine. Entre-temps, les deux hôtesses ont amené un encadrement métallique monté sur roulettes et emportent le fauteuil. L’encadrement présente des chaînes à chacun des coins avec des bracelets de cuirs, ainsi qu’une large ceinture de cuir reliée à une barre transversale au ventre de l’encadrement. Catherine est placée au centre de l’encadrement et ses poignets et ses chevilles sont entravés dans les laniières. La ceinture est attaché à sa taille. L’encadrement pivote sur son axe central et Catherine est ainsi penchée vers l’avant. Isabelle donne un coffret à Noémie. Le coffret contient un plug anal et une bouteille de lubrifiant. Isabelle montre clairement à Noémie qu’elle doit introduire le plug dans l’anus de Catherine. Noémie me regarde mais constate que je ne peux évidemment rien faire. Elle se réduit alors à s’acquitter de sa tâche. Elle enduit le plug de lubrifiant puis entreprend un massage de la rosette de Catherine avec son pouce. Noémie se souvient parfaitement de la gêne qui avait été la sienne lorsque la serveuse avait agi de même avec elle dans le bar à serveuses. Même si l’assistance était bien plus réduite, cela l’avait marquée et elle tentait donc d’apporter un peu de douceur pour Catherine. Elle introduit ensuite le plug qui pénètre sans trop de difficultés dans le fondement. 
Remise à la verticale dans l’encadrement, Catherine est alors présentée, nue et tondue, au membres du conseil puis, sur un signe du président de l’assemblée, à la salle. De face d’abord puis de dos. Isabelle s’empare alors d’un martinet de cuir muni de longues lanières. Un signe de la tête du président ff signe le démarrage de la punition. Isabelle commence à fouetter Catherine en s’appliquant particulièrement sur les fesses et les cuisses où apparaissent rapidement des zébrures rougeâtres. Isabelle compte les coups à haute voix. Et s’arrête à cinq. Elle fait ensuite tourner l’encadrement par ses assistantes et place Catherine face à la salle. Cette femme au corps magnifique est exposée, humilliée, elle qui quelques jours auparavant avait le respect, voire l’admiration de tous. Le fouet a fait mal sans aucun doute. Mais l’humiliation sans doute encore bien plus. Les larmes coulent sur les joues de Catherine. Isabelle reprend sa tâche. Deux coups sur l’opulente poitrine d’abord, puis trois sur le bas ventre et les cuisses ensuite. Ici aussi des zébrures apparaissent sur le corps endolori. 
Catherine est alors détachée par les assistantes d’Isabelle. Je vois que ma femme voudrait apporter du réconfort à la ‘suppliciée’ mais ne peut se le permettre. Le président de l’assemblée ordonne ensuite à Isabelle : « Qu’elle soit maintenant présentée à la salle et mise à la disposition des membres qui le souhaitent ! »
Isabelle fait agenouiller Catherine devant elle et commande à l’une des assistantes de lui attacher les poignets dans le dos avec des bracelets de cuir. Isabelle n’est pas en reste et place un collier autour du cou de Catherine puis y attache une laisse. Elle entraîne ensuite isabelle au bout de la laisse dans la salle et passe devant les membres. La tension est extrême, tous ressentent l’humiliation de Catherine d’être ainsi exposée. Lorsque Isabelle arrive devant ma voisine qui se réjouissait tant de la punition un peu plus tôt, elle se montre particulièrement cruelle : « Alors ma belle, on est moins fière il me semble. Voilà ce qu’il en coûte de jouer les salopes sans l’autorisation de son mari. » Joignant le geste à la parole, elle retrousse sa jupe jusqu’à la taille et descend son string puis écarte largement les jambes. « Allez petite moinette tondue, montre moi ce que tu sais faire et bouffe moi le cul ! »Catherine est mise à genoux devant sa tortionnaire qui lui prend la tête à deux mains et lui colle la bouche sur son intimité. Catherine n’a d’autre choix que de s’acquitter de ce qui lui est ordonné et entame un cunnilingus. Sa langue parcourt le sillon qui lui est offert, de la rosette jusqu’au clitoris. Elle est manifestement douée car il ne faut que quelques minutes de ce traitement pour que la ‘bénéficiare’ explose dans un violent orgasme et soit prise de soubresauts. Lorsque Catherine se retire elle a le visage couvert de la cyprine de celle qu’elle vient de faire jouir. 
Isabelle reprend sa ‘promenade’ dans la salle avec celle qu’elle traite véritablement comme une chienne. Catherine sera arrêtée encore quatre fois. Devant une autre femme qui sur demande de son mari ser fera elle aussi lécher la chatte jusqu’à l’orgasme puis trois hommes dont deux innonderont la bouche de Catherine de leur semence après une fellation brutale et enfin le dernier qui terminera l’humiliation. Lorsque Catherine lui sera présentée, il ordonnera à Isabelle de lui faire prendre place à genoux sur son siège. L’homme baissera ensuite son pantalon et sortira une bite de belle taille mais surtout d’un diamètre imposant. Il retirera ensuite sans ménagements le plug que Noémie avait dû placer dans l’anus de la belle et, sans ménagement aucun, le remplacera par sa queue. L’homme va alors sodomiser Catherine brutalement, arrachant des cris à celle qu’il ne considère que comme une femelle. Après une série impressionnante de coups de butoirs on verra le mâle se figer et agripper violemment les hanches de Catherine pour se vider dans son fondement. 
Cela signera la fin du calvaire de Catherine qui sera ensuite ramenée en coulisse et que nous ne verrons plus. Noémie qui m’a rejoint entre-temps est véritablement traumatisée par la scène d’humiliation à laquelle nous venons d’assister. Elle me fait comprendre qu’elle voudrait rentrer et nous prenons donc congé de Marc puis quittons la salle. 
Durant la période des six mois de sursis de Catherine , Noémie sera contactée à cinq reprises pour procéder au contrôle des conditions imposées à Catherine et dont elle devait prendre connaissance chaque lundi. Noémie sera parfois accompagnée d’un autre membre du club, parfois masculin, parfois féminin. À chaque contrôle, les ‘contrôleurs’ seront informés des consignes données Catherine qui, en dehors de ses périodes de menstruations, ne pourra porter aucun sous-vêtement. Une photo de son intimité prise par les contrôleurs attestera du respect de ces consignes. Les contrôles seront bien entendu effectués de manière aléatoire et sans que Catherine n’en soit prévenue. Parfois dans des toilettes publiques ou celles d’une brasserie … 
Catherine terminera son parcours de sursis avec succès. Mais se souviendra longtemps de son erreur. Quelques verres de champagne de trop et une fellation qui lui auront coûté fort cher
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