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D'épouse prude à salope au cinéma

Chapitre 9

Les chasseurs

Avec plusieurs hommes
Les chasseurs
Par un bel après-midi ensoleillé typique de l’automne, nous avions décidé, Noémie et moi, d’aller nous promener en forêt ou les couleurs que prennent les arbres en ce mois d’octobre sont si chaudes. Équipés de bonnes chaussures de marche, d’un pantalon de type randonnée et d’un bon sweat, nous étions parés pour notre escapade. Pas sexy pour un sous mais « confort » Un bon bol d’air donc, un soleil automnal qui nous réchauffe malgré un petit vent frais. Une réelle sensation de bien-être. Nous terminions donc notre promenade lors que nous avons entendu des cris derrière nous : « Hé vous là-bas. Vous ne savez pas lire ? »Interloqués par ces cris, nous nous retournons et apercevons un type en tenue de chasse qui se dirige vers nous, l’air furieux. Arrivé près de nous, l’homme nous reproche notre présence dans le bois, alors que des panneaux l’interdisent, en raison d’une battue cet après-midi. Devant notre totale incompréhension et le fait que nous affirmons n’avoir vu aucun panneaux, notre interlocuteur se calme et convient qu’il s’agit d’un acte de mauvais gré : « C’est encore ce slaopard de culto qui a retiré nos panneaux ! Venez avec moi jusqu’au relais de chasse s’il vous plait. Le propriétaire va vous demander de bien vouloir témoigner de l’absence de panneaux. Il s’agit d’un acte délibéré d’un adversaire de la chasse mais qui risque un jour ou l’autre de provoquer un accident grave »
Comprenant la gravité de la situation et les risques que nous avons courus, en totale ignorance de cause, nous accompagnons ce chasseur jusqu’à un chalet situé à une centaine de mètres dans le sous bois. 
Outre notre interlocuteur, trois hommes et deux femmes sont présents dans le chalet. Notre homme nous présente et explique notre conversation. L’un des hommes qui se présente à nous comme se prénommant Jacques et étant le propriétaire de la chasse nous remercie d’accepter de témoigner car jeter délibérément les panneaux annonçant la chasse est un acte criminel. Tous comprennent notre bonne foi et l’ambiance se détend clairement. Jacques est un homme d’âge mûr (71 ans nous dit-il) mais encore très alerte et dynamique. Il nous présente une des femmes comme étant Madeleine, son épouse (62 ans). La seconde dame de prénomme Jeanne et est l’épouse d’un des hommes, Robert. Tous les deux ont la cinquantaine. Les deux hommes restant, la petite cinquantaine également nous saluent et se présentent, Michel et Philippe. Nous comprenons que d’autres étaient présents pour la chasse mais ont déjà quitté les lieux. 
Noémie prend place à table avec les deux dames tandis que j’accompagne Jacques pour lui fournir nos coordonées pour un éventuel témoignage. Je vois que Noémie sympathise avec les deux femmes qui lui servent à boire. Je ne suis pas en reste et les chasseurs font honneur à leur réputation d’épicuriens et me servent à volonté quelques verres d’un excellent armagnac. 
L’ambiance, tellement tendue au départ, est maintenant parfaitement détendue et je dirais même presque festive. Voyant que Noémie lorgne sur les fusils, Robert l’invite à en manipuler un en lui expliquant les mesures de sécurité. Noémie montre sa curiosité pour les armes et les hommes les rejoignent pour apporter les commentaires et rire des questions naïves de Noémie.Amusées de la situation, les deux femmes me font la causette et nous resservent à boire. Les hommes font de même avec Noémie qui rit joyeusement des explications des chasseurs. 
L’ambiance me paraît monter d’un cran encore et j’aperçois quelques mains baladeuses sur ma chérie par les chasseurs émoustillés par leur jeune interlocutrice. Les deux femmes n’ont rien perdu de ce qui est en train de se passer et me sourient toutes deux. « Il faut bien s’amuser un peu » me dit Madeleine. Ce à quoi Jeanne renchérit : « et c’est valable pour nous aussi ».Joignant le geste à la parole, Jeanne passe sa main sur mes fesses en souriant et en s’adressant à Madeleine : « ma chérie touche moi ça et sens comme il a les fesses bien fermes. Si tout est aussi ferme … » et elle rit de plus belle. Je suis un peu gêné mais après tout ce n’est pas si désagréable et, l’alcool aidant, je me laisse tripoter de bon gré. 
Je jette un coup d’œil sur Noémie et je vois que les hommes n’ont pas perdu de temps eux non plus. Jacques se tient derrière Noémie et, sous prétexte de lui apprendre à épauler un fusil, en profite pour promener ses mains sur ses hanches et sur ses fesses. Robert n’est pas en reste et participe à la leçon éducative en laissant traîner ses mains sur les bras puis sur la poitrine de ma femme qui s’est débarrassée de son sweat et est maintenant vêtue de sa chemise en jean. Michel et Philippe s’amusent de la scène dont ils ne perdent pas une miette et remplissent les verres. 
Madeleine a suivi les conseils de son amie et me triture les fesses allègrement. Je suis là, debout entre ces deux femmes assises autour de moi et me laisse peloter. Jeanne ‘passe la seconde’ et je sens ses mains s’affairer sur ma braguette puis sur le bouton de mon pantalon qu’elle ouvre avec la dextérité d’une femme qui a l’expérience de la vie si j’ose dire. Elle s’empare de mon sexe qu’elle manipule et décalotte immédiatement avec un commentaire élogieux « Madeleine, ma chérie nous tenons là un beau spécimen »
Madeleine ne perd pas de temps et baisse mon pantalon jusqu’à mi-cuisses puis me tourne vers elle et entame une fellation. Jeanne continue de me caresser les fesses et je sens sa main qui s’insinue entre mes cuisses pour aller flatter mes bourses. La situation est pour le moins inattendue mais je ne vois aucune raison de me plaindre. 
De son côté Noémie dont je vois le visage rougi a maintenant sa chemise de jean totalement ouverte et je remarque que le bouton de son pantalon et la fermeture éclair sont ouverts. Jacques est toujours derrière elle et la pelote copieusement au travers de son soutien-gorge. Il lui tourne la tête et l’embrasse sur la bouche ce qui provoque un ‘hoooo’ de ma petite chérie qui voudrait manifester sa surprise. Robert passe sa main entre les cuisses de ma belle puis je vois sa main s’insinuer dans la culotte. Cela provoque une réaction quasi immédiate de Michel et Philippe qui soulèvent Noémie de terre en la prenant en-dessous des cuisses. Robert lui enlève ses chaussures puis tire sur son pantalon qui se retrouve sur une chaise. Avec l’alcool qu’elle a bu, Noémie est pompette et rit énormément du traitement qui lui est prodigué. Robert ne reste pas inactif et enlève la culotte. La voilà maintenant cul nu devant ces quatre hommes. Michel et Philippe placent Noémie sur le dos sur la table et Robert lui remonte le soutif au-dessus des seins. Jacques baisse son pantalon et sort une bite de telle taille. Le septuagénaire paraît encore bien vert. Il frotte deux ou trois fois son gland sur les lèvres de la petite chatte de ma chérie puis l’enfourne jusqu’à la garde, sans autre forme de procès. Il commence alors véritablement à labourer Noémie à grand coups de reins. Ma petite femme apprécie que je la prenne de manière un peu rude et je vois qu’elle prend vraiment son pied avec Jacques. Les trois autres la pelotent de partout et commentent : « elle aime ça la garce ». Ils la débarrassent de son soutien-gorge et Noémie est maintenant totalement nue de gant eux. 
Ma bite est toujours l’objet de toutes les attentions de Madeleine et de sa bouche experte. Et mes fesses et mes bourses de celles de Jeanne. Madeleine se relève, trousse sa jupe de cuir jusqu’à la taille et enlève sa culotte. Elle se penche alors en avant, pose son opulente poitrine sur la table et m’invite clairement à la prendre en levrette. J’ai devant moi le cul nu d’une femme de 62 ans qui mettrait n’importe quel homme au garde à vous. Des hanches bien larges et des fesses étonnamment fermes. Jeanne me sort de mes rêveries. Elle m’attrape la bite, me suce deux ou trois fois puis dirige mon vit vers les grandes lèvres de son amie en me disant : ‘Vas-y franco, elle aime ça ». Je ne me fais pas plus prier et prend Madeleine ‘à la hussarde’ et je commence à la besogner sans ménagement. Elle semble aimer ça en effet car elle gémit bruyament. Cela n’échappe pas à Robert qui s’exclame : « Hé Jacques, regarde y’a ta bergère qui se fait limer ! » Tous les hommes partent dans un éclat de rire. Je poursuis mon ‘ramonage’ à la grande satisfaction de Madeleine. Jeanne semble néanmoins s’impatienter et réclame sa part. Je la vois retirer son pantalon et sa culotte puis se coucher sur le dos sur la table, ouvrir les cuisses en grand et me dire : « allez, c’est mon tour mon gars. »Madeleine acquiesce et je quitte donc sa chatte pour plonger mon dard dans celle de Jeanne. 
Jacques a repéré la scène et pendant qu’il fourre toujours avec vigueur ma petite femme il s’adresse à Robert : « Et Bob, maintenant monsieur s’occupe de ta moitié ! ». Robert qui ne veut pas être en reste invite son copain à quitter l’entre-cuisses de Noémie et à lui laisser la place. Jacques s’exécute et se dirige vers le visage de ma belle pour lui présenter son dard à sucer. Robert le devance et retourne Noémie pour la plier sur la table. Jeanne s’est aperçue de la chose et commente pendant que je la tringle : « je le connais mon Robert. Là il est chaud et il va enculer la petite ». 
Et elle a vu juste. Robert présente son gland à la rosette de Noémie et exerce imédiatement une pression. Noémie voudrait protester mais Jacques ne lui en laisse pas le temps et engouffre son dard dans sa bouche. Robert s’agrippe aux hanches de ma belle et la sodomise d’une poussée. Lui aussi entame des va-et-vient sans ménagement mais qui produisent un effet immédiat sur ma chérie.  
Jacques ne tient pas très longtemps et laisse échapper de longs jets de sperme sur le visage de Noémie. Décidément encore bien vert ce Jacques. Michel prend immédiatement sa place dans la bouche de ma chérie avec un membre de belle facture. Il ne tiendra pas très longtemps avant de jouir dans la bouche de ma femme. A la cadence où il ramone le cul de ma belle, Robert ne tient plus très longtemps et à son tour, se fige avec un grognement d’ours et éjacule dans les entrailles de ma femme. Après quelques secondes il se retire. Philippe qui s’y astique le manche depuis le début balance à son tour de longs jets de sperme sur les fesses de ma chérie qui a joui plusieurs fois sous les coups de bites des uns et des autres. 
A mon tour, je sens venir la jouissance et l’annonce à une Jeanne haletante. Je me retire et mes deux hôtesses s’agenouillent devant moi pour recevoir leur dû. Trop content de les satisfaire, je les asperge de mon jus.  
Repus et heureux, nous trinquerons tous devant un dernier verre en nous promettant de mettre à profit les leçons de tenue de l’arme reçues par Noémie lors d’une prochaine battue …
Depuis, Noémie et moi sommes particulièrement attentifs et vérifions la présence de panneaux à l’entrée des bois lorsque nous y allons. Nous savons maintenant combien il est dangereux de s’y promener sans autorisation … LOL
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