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D'équipier dans le jeu à équipier dans la vie

Chapitre 3

Erotique
La journée avait été bien meilleure que tout ce que l’un comme l’autre avait pu imaginer. Malgré le passage le matin même de l’ex-petit ami de la jolie rousse, elle avait été vraiment géniale. Des cours passionnants pour l’un comme pour l’autre, des échanges de sextos et un achat qu’elle savait à coup sûr que ça plairait à son nouvel homme, elle était aux anges. Et lui aussi il l’était. Elle lui avait envoyé des photos d’elles à moitié nue. Alors qu’ils ne se connaissaient même pas depuis 24h... Écoutez, parfois les coups de foudre existent ! ET celui-ci semblait comme une véritable révélation pour elle, comme pour lui. La veille, à leur rencontre, ils s’étaient tout de suite jeté un regard qui en disait beaucoup. A ce moment-là, le temps semblait comme suspendu. Et plusieurs fois pendant la partie les deux jeunes s’étaient lancé des regards.
Soit en même temps, soit l’un surprenait l’autre en train de le regarder, et d’ailleurs une fois surpris, la personne en question détournait le regard, intimidée. Puis le soir, dans l’appartement de la jeune fille, quand elle lui soignait sa plaie. Le contact de sa peau contre l’eau lui avait procuré des frissons de bien-être. Et enfin, le lendemain, lorsqu’il s’était réveillé, Lucie seins nus volontairement contre dos, et le laissant se retourner, et donc le laissant voir sa poitrine. Ils s’étaient ensuite rendormis une petite heure, blottis l’un contre l’autre, poitrine nue, avant d’aller en cours. Toute cette journée était pleine de rebondissements et n’avait pas encore livré son lot de surprises.
Lorsqu’il retourna dans l’appartement de Lucie et grimpa les escaliers pour arriver jusqu’à sa porte, il ne s’attendait pas à ce qu’il allait découvrir. Il avait sonné à l’interphone pour qu’il puisse entrer et elle avait eu donc le temps de lui préparer une surprise. Il grimpa donc les escaliers deux à deux, arriva devant la porte qui était, semble-t-il, déjà ouverte. Il entra donc et découvrit sa nouvelle petite amie, en sous-vêtements coquins. En vérité, c’est la tenue qu’elle avait achetée durant sa pose de 2h de l’après-midi. Il la découvrit alors, allongée sur le canapé et tournée vers lui de trois quarts, en tenue transparente et vraiment très sexy. Il s’approcha alors. Ayant pourtant compris qu’elle parlait vraiment de lui, il la nargua en lui demandant, un sourire narquois sur les lèvres.
— Alors ? Ton nouveau petit ami n’est pas là pour profiter d’une si belle occasion ?
Elle rit, comprenant son ironie et elle répondit alors, une mine boudeuse, et une voix un peu triste.
— Non. Il a une partie d’airsoft ce soir. Il préfère tirer sur des gens que me tirer moi.
Il éclata de rire, et s’approche d’elle et s’allonge au-dessus d’elle, manquant de tomber, le canapé n’étant pas très large. Il plaça ses mains sur les épaules de sa chérie tandis qu’elle avait pris son visage entre ses mains. Et ils s’embrassèrent, passionnément, liant leur langue, mélangeant leur salive. Il l’embrassa ensuite dans le cou, et descendant encore, embrassant maintenant ses seins, à travers le tissu de son dessous en dentelle. Il passa ses doigts dans le dos de sa belle pour défaire cette entrave qui retenait ses globes parfaits. Il découvrit alors deux tétons très mignons à peine en relief, qu’il prit en bouche en passant tendrement sa langue dessus, ce qui eut pour effet de faire immédiatement soupirer son amante. Et dans un sourire si charmant qu’il aimait déjà chez elle, elle marmonna un « mhhh c’est bon » pour lui signifier qu’il faisait du bon travail. Il descendit alors encore jusqu’à son ventre sur lequel il déposa des baisers tendres.
— Mhhh mon chéri, c’est si bon.
Encouragé par ces mots, il continua de descendre et entreprit d’enlever la petite culotte de Lucie avec les dents. Elle souleva alors ses fesses pour lui faciliter la tâche et dévoila devant les yeux gourmands de son nouvel amour un sexe totalement rasé et épilé.
— Je l’ai fait pour toi dans un institut cet aprèm, lui dit-elle en souriant. Même si sur ma photo, je n’avais qu’un petit ticket de métro, je ne savais pas si tu aimais ça. On n’en a jamais discuté.— En même temps, nous ne sommes en couple depuis ce matin, ça fait même pas 12h, dit-il en riant.
Elle hocha la tête en riant elle aussi.
— Oh ça va, t’as compris ce que je voulais dire. Mais comme je ne savais rien du tout là-dessus, j’ai préféré tout enlever et avoir plus de chances de réussir mon coup, que de laisser et prendre le risque de rater le premier.
Sa culotte maintenant à mi-cuisse, Thomas se rapprochant doucement de sa zone intime en embrassant sa peau de bébé. Arrivant sur son mon de vénus, il sentit une main dans ses cheveux et releva la tête. Il pouvait voir au visage de Lucie que quelque chose la bloquait.
— Qu’est-ce qu’il y a ma puce ? — C’est de ça dont je t’ai parlé dans mes messages tout à l’heure et de ça dont je devais te parler plus en détail...
Il se redressa, et s’allongea à côté d’elle, lui caressant la peau, effleurant celle-ci de ses doigts.
— Dis-moi mon amour, tu sais que je peux tout entendre. Enfin non, tu ne le sais pas, mais je te le dis, je peux tout entendre. Et tu sais que je ne t’ai jamais forcé à rien.
Elle lui prit le visage entre les mains et l’embrasse.
— Tom... t’es vraiment adorable. Depuis le début, je sais que tu n’es pas ce genre de mec, et c’est pour ça que je peux t’en parler si facilement. Ce que je devais te dire donc, c’est que je ne suis pas encore prête pour une relation sexuelle, avec toi, ou n’importe qui d’autres. J’ai essayé, je te jure que j’ai essayé, pour toi, parce que je t’aime, mais là quand tu approches ta bouche, j’ai un véritable blocage. Donc...— Pas de relation sexuelle pour l’instant...— Oui c’est ça... Je suis désolée. Mais ce n’est que pour l’instant, j’ai le sentiment que très vite ça va aller mieux. Et puis tu sais tu ne peux pas me toucher le vagin, je ne dis pas pour autant que je ne veux pas de moments intimes avec toi. Je t’avoue que je ne peux pas te dire à l’avance ce que je vais accepter ou non. Du coup, tu essaies si tu veux, n’aies pas peur, je sais que ce sera pas du forcing ou harcèlement, en tout cas si ça vient de toi. Donc tu peux...
Il l’interrompit, l’embrassant sur la bouche. Elle le regarde, surprise et dans l’incompréhension.
— C’était juste pour te dire que j’ai compris, dit-il en rigolant doucement. — Oh je vois, dit-elle en souriant. Ce que je veux juste dire, c’est que tu peux essayer sans craindre une mauvaise réaction de ma part.
Il acquiesça et resta allongé à côté d’elle. Il remonta doucement la culotte de la jolie jeune femme sur ses fesses et en profita pour effleurer de ses doigts les lèvres génitales de Lucie. Elle frissonna, rigolant presque, et dit :
— Dis donc petit coquin...— Bah quoi ? J’ai à peine touché, juste un peu caressé, et tu m’as dit toi-même de tester.
Elle rigole encore et prendre son visage et le pose sur sa poitrine.
— Ça, c’est ce qui est le plus facile à ressentir pour l’instant. Et puis j’arrive à avoir de mini-orgasme quand on me lèche les seins.
Il lève un sourcil, intrigué par le temps utilisé dans cette phrase.
— Quand on te le fait ? tu veux dire qu’on te le fait encore des fois ?
Elle réalisa sa bourde et profite qu’il ait on visage entre ses deux globes parfaits pour afficher un visage paniqué et rectifié.
— Je parlais en général, même si de façon générale j’aime aussi le cunni et la pénétration, j’aime qu’on me lèche et bouffe les seins, c’est une zone hyper érogène chez moi.
Il remonte vers elle, l’embrasse, et replonge sur ses seins, alternant le gauche et le droit. Au bout de quelques minutes, elle commença à se cambrer de plaisir, et ses tétons, bien que quasiment tous plats en raison de son âge, se mirent à durcirent légèrement tout de même, ce qui indiquait très clairement qu’elle prenait du plaisir à cela. Il continua alors un peu puis revint vers sa bouche pour l’embrasser. Lorsqu’il vit son regard interrogateur, il dit.
— Je sais quand m’arrêter. Je ne veux pas aller trop vite, je veux pas détruire ce qu’on est en train de construire tous les deux. Ça me ferait trop de mal.
Elle fut touchée, sincèrement touchée, et tandis qu’il se relevait doucement, elle qui avait les mains sous son t-shirt en profita une dernière fois en les laissant traîner sur son torse musclé. Il l’aide à se redresser, elle remet son soutien-gorge et décide de rester dans cette tenue. Elle se met alors assise sur le canapé et lui posa doucement sa tête sur ses cuisses, tournée vers la télé, et elle sélectionna un film sur le disque dur branché à la télé. Et durant tout le film jusqu’à son départ le soir pour son appartement avant de dîner, il lui caressa doucement la cuisse remontant parfois jusqu’à la fesse, mais sans aller plus loin. Il était certain qu’ils étaient maintenant tous les deux officiellement en couple et ne se priveraient pas pour avoir des moments de plus en plus intimes.
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