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Eragon sexe

Chapitre 2

Zoophilie
Part 2

Eragon resta immobile. Il ne savait pas comment réagir à la fellation procurée par sa dragonne qui le croyait endormi. Il réfléchissait à toute vitesse pour comprendre se qui se passait. «Plus jamais» avait dit Saphira quelques heures plus tôt, en menacent de l’émasculer ; et maintenant, elle profitait de son sommeil pour le sucer sans qu’il le sache. Il se demanda si ses rêves à répétition étaient causés par Saphira, et si oui, pourquoi refusait-t-elle d’avoir des relations sexuelles avec lui pour ensuite le sucer dans son sommeil.
Il tressauta ; Saphira venait d’aspirer la totalité de sa verge dans sa bouche et léchait le gland avec plus de vigueur tout en pratiquant une puissante succion, telle une assoiffée cherchant à extraire les dernières gouttes d’eau de sa gourde.Il devait rester immobile : si Saphira se rendait compte qu’il était réveillé, elle pourrait refermer sa mâchoire brusquement sous l’effet de la surprise et l’émasculer. «Et puis, elle ne se débrouille pas si mal, après tout…»
Il commençait à sentir le plaisir monter : Saphira enroulait sa langue autour de son gland et pompait, visiblement désormais indifférente au fait qu’elle puisse le réveiller. Eragon sentait son sexe palpiter et vibrer sous le plaisir que cette fellation inattendue lui procurait. Puis vint la jouissance, qu’il sentit monter comme une vague brûlante alors que son sperme était goulument avalé par Saphira, qui ne semblait pas vouloir arrêter avant d’avoir eu sa dose.Après quelques spasmes, la verge d’Eragon refusa de donner ne serait-ce qu’une goutte de plus du précieux nectar. Saphira donna un dernier coup de langue le long de la colonne de chair, puis retourna se coucher.Le cerveau d’Eragon était en pleine ébullition après ce que venait de faire Saphira ; il ne comprenait pas pourquoi elle avait changé si subitement de tempérament vis-à-vis du sexe entre eux. C’était pourtant elle qui l’avait menacé d’émasculation s’il essayait de recommencer… et voila qu’il se réveillait alors qu’elle le suçait ! Fatigué, il ferma les yeux et s’endormit.

Le lendemain, le petit réveil d’Oromis sonna comme un clairon, annonçant l’heure de se lever. Appuyant sur le bouton de l’appareil, Eragon stoppa net le vacarme qu’il produisait. Il se lava dans la grande cuve prévue à cet effet, avant de se raser par magie. Le visage lisse comme de la soie, il se rendit dans la grande salle ou il retrouva Saphira en train de s’étirer voluptueusement à la manière d’un chat.– Alors, bien dormi ? lui demanda innocemment Eragon.– Oui, très bien ; et toi ?– Oh, encore le même rêve que d’habitude ; mais cette fois, il s’est quelque peu modifié.– Ah bon ?– Oui.– Tu devrais te concentrer sur autre chose et te changer les idées ; peut-être que ces rêves cesseraient…– Qui a jamais dit que je voulais qu’ils cessent, ces rêves ? Je les trouve très agréables, même.– C’est bien le problème… – Tu préférerais que je fasse des cauchemars horribles où il est question de mort ?– Tu sais de quoi je veux parler ; Oromis nous l’a déjà dit l’autre jour : un dragonnier a accès à tant de puissance que ses rêves peuvent lui être fatals s’ils sont récurrents.
– Mais je te répète qu’il n’y a rien de dangereux dans de tels rêves !– Tu en es déjà dépendant.– C’est faux ! Tu n’en sais rien ! Que peux-tu peux savoir du désir d’amour ou de ces émotion ?Cette dernière phrase, Eragon l’avait criée si fort que les elfes en contrebas semblaient s’être arrêtés pour voir ce qu’il se passait. Il ressentit d’ailleurs aussitôt la brûlure de la honte dans sa poitrine.– Pardonne-moi Saphira ; je ne sais pas ce qui m’a pris.Saphira le toisa un moment puis déclara :– Je parlerai de ces rêves avec Glaedr.Eragon donna son accord sans plus protester et finit les préparatifs pour le vol.
Alors qu’il tournait le dos à la dragonne, il remarqua, grâce a la lumière du soleil levant, une fine couche de poussière sur laquelle on pouvait voir une série d’empreintes de pas : ceux d’une fille, jugea-t-il, par leur finesse. Elle avait dû venir nu-pieds dans sa chambre.– Se pourrait-il que mon rêve ait une raison ?Il réfléchit, et décida de ne pas en parler tout de suite à Saphira ; laissons la journée passer pour voir comment elle réagira. Et puis, Oromis doit déjà nous attendre.– Tu es prête ?– Je le suis depuis un petit moment déjà…– Bon ; alors, partons !Eragon embarqua sur le dos de Saphira et prit soin de bien attacher ses sangles, n’ayant pas envie de prendre le risque de tomber au cours du vol à cause d’une crise.– Si tu tombes, je te rattraperai.– Je sais, Saphira ; mais je préfère ne pas prendre de risques après la crise d’hier soir. Tu comprends ?– Oui.De la manière dont elle prononça ce simple mot, Eragon put ressentir l’agacement de la dragonne.– Tu sais, ce n’est pas parce que je crois que tu ne peux pas me protégeeeeeeeerrrr…Sans lui laisser le temps de finir sa phrase, Saphira avait pris son élan et s’était projetée avec force hors de l’arbre pour faire un piqué prodigieux vers le sol, frôlant la cime des arbres avant de remonter en flèche dans le ciel, puis de se diriger vers la vallée abritant la demeure d’Oromis.
La journée fut longue pour Eragon ; mais heureusement pour lui, aucune crise ne vint le déranger. Dans l’après midi, Glaedr revint avec Saphira. Oromis échangea pendant un moment avec Glaedr, puis il se tourna vers Eragon.– Eragon, méfie-toi de tes rêves, je te l’ai déjà dit ; plusieurs dragonniers sont morts du fait que leurs rêves avaient fini par les ensorceler.– Oui, Maître.– Aussi, tu as été tendu toute la journée, toi de même que Saphira ; je peux donc deviner que vous vous êtes unis dans la chair ?– Qu... eh...– Ne t’en fais pas : ce n’est pas la première fois que cela se produit. On peut dire que le lien nous unissant aux dragons est très puissant, mais je te conseille fortement de ne pas abuser de ce lien.– Oui, Maître.– C’est aussi ce qu’ont fait Galbatorix et ses parjures. Ils ont abusé de plus d’un dragonnier et de son dragon durant la guerre. Maintenant, va, et profite de quelques jours de vacances : tu les as mérités.
Eragon retourna dans l’arbre avec Saphira, ne pouvant cesser de penser à ce qu’Oromis lui avait dit.– Eragon…– Oui, Saphira ?– Tu vas bien ?– Oui, oui ; je vais aller me laver ; ensuite, j’irai manger.– Je vais aller chasser, dans ce cas.– D’accord ; à plus tard !
Elle s’envola, et lui alla se laver. Ensuite, il se rendit dans la salle à manger. Après son repas, composé uniquement de fruits et de légumes, il se leva pour aller lire. Mais il trébucha et s’affala sur la statue de bois représentant une main. Clic! Clac!– Mais que… ?Devant lui, une ouverture apparut dans le mur auparavant uniforme. « Une pièce secrète ? » Curieux, Eragon décida d’explorer cette cache ; il alluma une chandelle et s’introduisit dans la pièce, qui faisait la même taille que sa chambre à coucher. Dans un coin, un bureau se dressait, supportant plusieurs rouleaux. Habitué à l’écriture flique de son Maître, il la reconnut facilement.« Prends soin de ce que je te confie, et utilise le bien. Les autres rouleaux t’expliqueront comment activer la magie de cet arbre. Ne t’inquiète pas ; il puise sa puissance dans l’ensemble de la forêt et non de toi : tu ne cours donc aucun risque. »Ce qu’il découvrit ensuite sur le rouleau le laissa pantois d’admiration face à l’ingéniosité de ses prédécesseurs.

Au milieu de la nuit, une ombre glissa sur les marches ; sans faire un bruit, elle monta en haut de l’arbre. La trappe se souleva doucement sans faire de bruit, et l’ombre la referma doucement avant de s’approcher du lit sur lequel elle grimpa sans même le faire vibrer. Tirant doucement sur la couverture, elle libéra l’objet de sa convoitise. Se dressant fièrement vers le ciel, la tige de chair lui semblait plus qu’alléchante. Elle se pencha, ouvrit la bouche et la prit entièrement en elle, s’appliquant à en extraire le précieux nectar. Sa langue fine et agile s’enroulait autour de cette colonne de plaisir alors qu’elle savourait ce fruit défendu.Soudain, elle se rendit compte que quelque chose clochait : Eragon était devenu parfaitement silencieux.– Alors, tu aimes ? demanda-t-il.L’ombre sauta hors du lit et se précipita vers la trappe pour s’enfuir, mais Eragon ne bougea même pas et se contenta de dire « Trop tard ». Elle posa la main sur la poignée, mais reçut un puissant choc qui la repoussa en arrière.– Tu ne peux pas t’enfuir, cette fois.D’un coup, il alluma toutes les lumières et, sautant sur l’ombre, lui arracha sa capuche, révélant le visage indigné d’Arya.– Arya svit-kona, toi et moi, nous allons nous amuser…Elle releva la tête en signe de défi. – D’accord : JE vais m’amuser ; et toi, tu va subir ce plaisir !– Tu n’oserais pas… Tu ne peux pas…– Tu n’as pas ton mot à dire car, vois-tu, les précédents dragonniers avaient équipé cette demeure de charmes et d’enchantements magnifiques qui me donnent pleins pouvoirs ici.Devenue blême et ayant perdu son arrogance, elle se mit à genoux devant lui.– Je t’en prie, Eragon ; laisse-moi partir…– Non ! Tu vas être mon jouet, désormais.– Tu ne pourras pas me garder ici éternellement.– Je ne le ferai pas non plus.Elle poussa un soupir de soulagement qui fut interrompu net quand Eragon lui passa quelque chose autour du cou, si rapidement qu’elle ne put rien faire. Regardant ce qu’elle portait, elle vit une chaîne d’argent fin.– Mais, qu’est ce ?– Ceci me permet d’effacer temporairement les parties de ta mémoire que je veux. Quand tu partiras d’ici, tu ne te souviendras de rien et tu ne pourras ni ne voudras enlever ce collier ; il te ramènera toujours à moi.Disant cela, un sourire carnassier sur ses lèvres, il claqua des doigts et le bois se déforma pour emprisonner Arya.Eragon s’approcha et la déshabilla magiquement.– Alors, par quoi allons-nous commencer ?
Cette nuit-là, personne ne put entendre les appels à l’aide d’Arya.

La suite bientôt.
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