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Eric

Chapitre 4

Orgie / Partouze
— Je pense qu’on est mal pris, dit Georges, elles ont raison, mais, bon c’est une expérience à faire dans la vie.— Alors tu es partant pour qu’on se suce la bite et qu’on boive le foutre de l’autre ? — Te sucer, je viens de le faire, j’en suis pas mort à ma connaissance et j’espère que ton venin n’est pas mortel, mais à voir comme se porte Yvette, je suppose que c’est bien supportable. — Sur ces arguments, je m’incline.
Georges que cette situation a plutôt émoustillé présente une érection tout à fait convenable qui surprend un peu Yvette qui a connu des situations où il était moins flamboyant, par contre, Éric se présente avec le pavillon bas, piquant pas du nez, mais de la bite vers le sol. Georges, pas dégoutté, attrape cette moins que demi molle entre ses mains et entreprend de lui rendre un aspect présentable, mais cela reste passablement mou, alors aux grands maux, les grands remèdes, il commence à palucher l’oignon de son fils en vue de le faire réagir.
— Papa ! On a bien dit sucer et pas enculer !— Avec tes dispositions, il faut bien que je trouve le moyen de te faire réagir et durcir un peu ton poireau qui a l’air d’une carotte blette. Du reste, il me semble que ton petit cul a l’air de ne pas réfuter mon massage, on pourrait dire qu’il appelle plutôt plus d’engagement dit George en enfonçant son majeur dans le fondement de son fiston.
Il commence à lui masser gentiment la prostate et là miracle, ça marche, c’est comme la musique on part d’un mi mol pour arriver à un la dur, mais dur de chez dur. Du coup, George se tait et enfourne cette mentule qui a repris un aspect plus conforme à ses espérances. Il promène sa langue en dégustant le pré-sperme en apéritif. Il ne pourlèche pas seulement le mat qu’il a en bouche, mais aussi ses babine.
— Jésus-Marie s’écrie Éric, Je n’ai jamais eu une telle sensation, vraiment père, tu es le roi de la turlute Hutu. Mais chapon point eut
Dégageant la pine baveuse de son fils de sa bouche, Georges demande :
— À la sortie, tu veux également un patin à la sauce pruneaux — Oui, c’est égale, mais je t’en prie, continue, c’est trop bon.
Et voila George qui tenant fermement ce mandrin, continue sa turlute hutu, tout en barattant férocement le fion du petit (qui est plus grand que lui)Ceci a un effet dévastateur et une inondation de crème de pruneau lui submerge les amygdales. La bouche bien pleine, Gorges s’approche des lèvres de son fiston et lui pousse le produit de ses couilles entre les dents avec une langue agile.
— Tiens goutte un peu cette délicieuse marchandise et quand tu auras bien avalé, tu constateras que ma pine a bon goût.
Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, Éric se mis à palucher la pine paternelle, puis à se caresser les amygdales, mais il semblait que George n’était pas presser de conclure en lâchant sa crème.
— Tu pourrais un peu te grouiller un peu, je commence à avoir une tendinite à la mâchoire !— Pourquoi tu n’utilises pas la même technique que moi, dit son père d’un air un peu narquois. Ce serait un petit exercice pratique si tu envisages l’urologie dans ta future pratique.
Sans préparation, ni mouillage, Éric rageusement plante son majeur dans le fion de Gorges qui n’est pas content du tout.
— Aïe, Si tu t’y prends comme cela avec tes futures patients, il ne te reste plus qu’à envisager la carrière de médecin militaire si tu ne veux pas te retrouver aux Assedic, Je t’avais bien préparé avant de te caresser la prostate. — Excuse pap. je suis un peu nerveux, c’est une première pour moi. — Pour nous tous, c’est une première et c’est pas une raison pour être désagréable.
Honteux et confus, comme un renard qu’une poule aurait prise, Éric retire son doigt et approche sa bouche pour faire un gentil anilingus à son père, le résultat ne se fait pas attendre.
— C’est bon maintenant, je pense que cela ne va pas tarder que je te recrépisse le gosier. — Finalement, c’est pas si horrible, le goût est intéressant, un peu comme la chasse. légèrement faisandé.
En mettant cette fois deux doigts dans le fondement du père, Éric lui masse doucement la prostate.
— Hum, c’est bon ! Tu peux le reprendre en bouche, je vais venir.
Dès qu’Éric l’a repris en bouche qu’il envoie la purée de pruneaux tapisser les amygdales de son fiston.
— C’est bien les mecs commentent les filles. On continue le jeu ?— Je proposerai que maintenant, les couples officiels s’en donnent à cœur-joie et on finira la nuit avec les couples réels. — Cela me plait bien dit Lipanski, je vais pouvoir goûter à ce produit d’occident que certaines de mes amies vantent et à voir je vais être bien servie dit-elle en regardant le monstre d’ Éric qui reprend forme. — Oui, mais avant, il serait peut-être bon de se servir un petit verre de champagne pour se rincer la dalle. Propose Georges qui aimerait quand même faire disparaître ce goût de sperme de sa bouche.— Bonne idée, on pourra mieux apprécier les parfums suivants.
Á ce moment là, Lipanski remarque :
— Avec ma petite bouche, comment je vais faire pour absorber ce monstre qui pend entre les jambes de mon époux. Nous les chinoises, on est pas habituée à gérer ce genre de massue. — Ce n’est pas obligatoire de le prendre tout dans la bouche, tu peux le lécher sans tout avaler, c’est bon aussi, ce qui compte, c’est surtout l’intention.
Éric :C’est très bon, mais je vais un peu te préparer pour que tu apprécie mon démonte pneu plutôt que de t’en dégoutter, mets toi sur le dos et relève bien tes jambes lui dit-il en approchant sa lippe gourmande.
Il lui donne en chemin quelques baisers le longs des cuisses qui améliore l’état d’excitation de Lipanski, puis finalement envoie sa langue vers le clito qui est bien sorti de sa gaine.
« Comme un diable au fonds de sa boite, le clito s’est tenu caché,mais dans sa prison trop étroite il baille et voudrait se montrer( adaptation d’un poème de Paul Géraldy) Sitôt qu’il sent la moustache pour baiser, le solliciter de sa prison il s’arrache
Enfin je vis et me prépare ce beau vit à enfin recevoir « 
Après avoir bien sucer ce bouton mieux que de rose, il descend vers les profondeurs vaginales, la langue en avant, passant sur le méat urinaire, de cette source, provisoirement il se délecte pour plonger vers ce délicieux fruit de mer dont il se régale. Lipanski agréablement surprise par ces attentions a la moule luisante qui ruisselle de mouille.
-je crois que c’est bien prêt, mets encore un petit bisous sur ma bite et cela devrait rentrer tout seul sans problème.
Présentant son mat de cocagne à l’entrée de la grotte ruisselante, il finalement change d’avis et se met sur le dos.
-Viens sur moi, tu pourras mieux contrôler l’intromission du colle-os.
Lipanski se met de part et d’autre de ses cuisses musclées et doucement descend jusqu’à effleurer cette bite qui la nargue, puis continue sa descente, mais c’est un peu comme la Streif à Kitzbuhel, si on ne négocie pas bien les virages, on se trouve directement dans la merde jusqu’au cou.
Le premier portillon passé, la suite va plus facilement et le fartage fait son effet, facilitant la descente. Á pleine vitesse, elle entrevoit le panneau d’arrivée.
-C’est bon, ahane-t-elle en entamant un godille digne des pros du cirque blanc. Cela remplit mon espace sans laisser de vide
Doucement, elle remonte, car elle a l’impression d’avoir raté une porte et elle ne veut pas être disqualifiée et elle repart en direction du fond de la vallée à toute vitesse et le bélier qui l’habite (et pas Satan qui l’habite) vient heurter le fonds de la caverne enclenchant une avalanche de spasmes qui lui fait perdre tout contrôle.
— Encore, encore, plus vite, plus bite, brame-t-elle tel le cerf au fond des bois.
Elle sent un tsunami qu’aucun homme avant n’avait réussi à provoquer, qui lui coupe le souffle et la voila comme un poisson hors de l’eau à la recherche de l’air nécessaire.
— C’est trop fort, je n’en peux plus. Dit-elle en se désengageant, J’ai jamais senti pareille chose, c’est vrai que les gros morceaux, on les sent passer. Ouf !!
De l’autre coté du lit, le couple des aînés, regarde ébahis les juniors dans leurs délires et font les choses bien tranquillement en choisissant la piste rouge.
— C’est vrai qu’en Orient, c’est rarement les cannons de Navaronne qui donnent de la voie.
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