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Eric et Paul

Chapitre 9

Travesti / Trans
Après plusieurs mois d’interruptions de cette histoire, je vais essayer de terminer l’aventure de Paulette. Désolé d’avoir été si long, mais d’autres récits sont venus me détourner de celui-ci !Eric et Paul
— Bien ma chérie, n’oublie pas que tu es maintenant une petite femelle à plein temps ! Ton rôle ne consiste pas seulement à prendre du bon temps mais aussi à être une parfaite soubrette.— Bien sûr, Laure, dis-moi ce que je dois faire !
Les consignes sont simples : ménage, préparation du repas,... et tout cela sous son œil autoritaire. Pendant que je m’affaire dans la cuisine pour faire la vaisselle, Laure téléphone à ma grand-mère. «... Je t’assure, elle a vraiment de très bonnes dispositions !... oui, Lucie a vraiment eu raison de la laisser fouiller dans ses tiroirs... je crois que je lui laisserai voir la vidéo de Jeanny demain... Eric est sorti pour l’instant. Jacques est passé le chercher. Ils doivent discuter de Paulette !... et toi ma chérie, tu reviens quand ?... tu sais, si c’est dans trois jours avec Lucie, ce serait super. D’ici là, je vais pouvoir la dresser encore un peu... Lucie veut l’emmener chez Gislaine... c’est sûr que c’est le meilleur moyen... on en reparle quand vous serez là !... »Je déambule dans la maison en essayant de bien faire toutes ces tâches ménagères. Quel plaisir de le faire ainsi vêtue ! Combien de fois je l’ai fait à la maison, mais seul... seule, en me changeant avant que maman ne rentre.Pour dîner, Laure a prévu un repas léger, que nous prenons toutes les deux sur la terrasse.
— Eric ne rentre pas ce soir ?— Je ne crois pas ma chérie, me répond-elle, comme ça on passe une soirée entre filles !
Je crois que je rougis un peu. Je suis tellement contente qu’elle me considère comme une jeune femme.
— Et puis comme ça, tu auras une soirée plus calme... sinon il t’aurait sans doute sollicitée...
Un court instant j’imagine sa queue entre mes lèvres...Nous dînons rapidement puis Laure m’incite à aller me coucher de bonne heure.
— Tu sais ma chérie, demain je voudrais te faire rencontrer d’autres gens... pour continuer à te... former... et t’entraîner à être Paulette !— Très bien Laure, tout ce que tu voudras ! Depuis que tu m’as expliqué ta relation avec ma famille, je suis prête à poursuivre ma formation.— Je suis vraiment contente que cela se passe ainsi. Ta grand-mère en était persuadée. Elle avait bien raison. Tout comme pour ton père... En attendant, tu vas aller te coucher. Je vais te montrer...
Elle m’accompagne au premier étage. Dans la salle de bain, elle me fait prendre une douche.
— Utilise aussi ce pommeau-là, tu dois être bien propre partout !
Le pommeau est cylindrique, d’une bonne vingtaine de centimètres avec l’extrémité un peu plus proéminente, d’où l’eau s’écoule par trois ou quatre orifices. Son utilisation ne laisse aucun doute. Je le glisse en moi, le poussant doucement entre mes fesses. La pression de l’eau sur mes chairs intimes réveille rapidement mon excitation. Accroupie contre la paroi de la douche, je regarde ma queue se tendre entre mes cuisses. Je me contracte sur ce pieu dégoulinant pour laisser l’eau me remplir un instant avant de me relâcher pour la libérer.
— Remplis-toi un peu puis retire le pommeau, me conseille Laure qui me regarde en souriant, et garde l’eau un moment !
Je sens mes entrailles recevoir le liquide, savourant cette nouvelle sensation. Je retire le pommeau en me contractant. Laure s’est accroupie à son tour en face de moi. Ses mains posées sur ma poitrine me font ouvrir les yeux. Elle se rapproche et pose ses lèvres sur les miennes. Sa main descend sur ma queue tendue à l’extrême. Son autre main, attrape mes couilles doucement avant de passer ses ongles le long de mon périnée. Ils atteignent ma rondelle contractée. Ses caresses à la fois sur mon gland turgescent et ma rondelle me font lâcher un profond soupir de satisfaction.
— Lâche-toi maintenant ma chérie,... vas-y, pousse... pisse comme une fille...
Comme envoûtée par sa voix, je me laisse guider, sans aucune pudeur, totalement soumise à ses paroles. Je pousse sur mes sphincters et laisse filer cette eau, alors que ses doigts titillent encore ma rondelle. Elle en glisse doucement deux entre mes chairs comme pour mieux m’ouvrir, laissant s’écouler la fin de mon jus.
— Voilà ma belle, te voilà tout propre ! Comme tu devras être maintenant... car si Eric ou un autre homme te prend, tu seras certaine d’être prête...
Tout en parlant, elle bouge ses doigts, passant tout près de ma prostate. Je bande comme un fou, faisant briller mon gland avec le liquide séminal.Je sens contre mon anus un embout plus froid. Je baisse les yeux pour découvrir un plug dans sa main. Elle le pousse pour investir mon ventre. Il y pénètre facilement malgré le bon diamètre que j’ai à peine eu le temps d’apercevoir. Plaqué entre mes fesses, il me remplit bien. Laure me fait me redresser pour venir me sécher.
— Tu vas aller dormir... et si Eric a une petite envie en rentrant, il n’aura qu’à retirer ce plug. Ce sera plus facile pour toi aussi.
Quelle drôle de sensation d’avoir ce plug logé entre les fesses. J’ai du mal à trouver le sommeil car il vient sans arrêt réveiller mon excitation.Finalement, je me suis endormie... et j’ai fini la nuit toute seule. Eric n’est pas rentré.En ouvrant les yeux, j’ai entendu du bruit dans la cuisine. J’enfile un long tee-shirt et glisse mes pieds dans des mules à talon laissées là à mon intention par Laure. Je la retrouve attablée dans la cuisine où elle m’accueille avec un grand sourire
— Bonjour ma chérie, bien dormi ?— Oui... même si j’ai eu un peu de mal à trouver le sommeil...— Peut-être que c’est à cause de ça dit-elle en passant sa main entre mes fesses pour s’assurer de la présence du gode, mais tu verras tu ne pourras bientôt plus t’en passer ! Et puis cela te met bien en forme ! Ajoute-t-elle en attrapant ma queue dressée à pleine main.
Elle porte une nuisette en tulle très fin, ne cachant rien de sa belle poitrine dont les tétons dressés témoignent eux aussi de son état.
— J’irai bien en ville... tu aurais besoin de quelques affaires ma chérie ! On passera voir Iréne si tu veux. Elle a flashé sur toi tu sais !
Alors que je finis de me préparer dans la chambre d’Éric, celui arrive et m’attrape par la taille, en se collant dans mon dos.
— Tu es toute belle ma chérie !— Je vais en ville avec ta mère— Vous êtes copines alors ! Dit-il en se frottant contre mes fesses.
Je sens parfaitement son sexe gonflé à travers des vêtements. Il m’embrasse dans le cou, passant sa main sur mon ventre pour me tenir plus fort contre lui.
— Tu as bien cinq minutes pour t’occuper de moi ! Me glisse-t-il dans l’oreille.
Je me retourne et plaque ma bouche contre la sienne. Ma langue part à la recherche de la sienne alors que je glisse ma main sous son jean. De son côté, il retrousse ma jupe pour glisser ses doigts sous le cordon de mon string à la rencontre de ma rondelle que je sens déjà palpiter de désir.Je lui déboutonne son pantalon en m’accroupissant devant lui, prête à le prendre en bouche dès que son chibre déjà bien dur bondit hors de son boxer.Je l’avale au plus profond tout en le regardant dans les yeux. Il me tient la tête à deux mains, accompagnant son mouvement.
— Ho oui suce-moi ma belle... suce-moi bien... j’ai besoin de me vider les couilles ce matin...
J’attrape ses bourses à pleine main, tout en glissant un doigt entre ses fesses. Je sens sa rondelle poisseuse se contracter.
— Non chérie, pas par là... on m’a baisé toute la nuit... et maintenant c’est à mon tour de te baiser !
Il me redresse fermement et me pousse vers son lit. Il se débarrasse de son pantalon avant de me mettre à quatre pattes sur sa couche. Je pose la tête sur les draps, et lui présente ma croupe cambrée. Il écarte la ficelle du string pour placer son gland bien humide sur ma rondelle. Je gémis déjà de plaisir, en poussant pour mieux accueillir son membre dressé. Bien préparé par le plug et le lavement de ce matin, je m’ouvre facilement pour avaler ce pieu de chair. Il s’enfonce dans un seul mouvement, un seul coup de reins pour venir plaquer son ventre contre mes fesses. Je sens ses couilles venir caresser les miennes avant qu’il ne recule. Il râle de plaisir, agrippé à mes hanches, avant de replonger au fond de mes entrailles.
— Putain, qu’est-ce que t’es bonne !! Lance-t-il entre deux gémissements.
Ses coups de reins sont fermes, presque brutaux. Il me baise, me possède telle une bonne femelle doit satisfaire son homme. Le glissement de son chibre sur mes chairs intimes déclenche le feu dans mon ventre. Mes couilles se contractent. Je ne vais pas tarder à jouir.Eric explose avant moi, lâchant de longues giclées de foutre au fond de mon ventre. Collé à mes fesses, il laisse redescendre la tension. Je sens sa queue palpiter un moment dans mes chaires avant de se laisser glisser. Je le laisse reprendre ses esprits, quelque peu déçue de n’avoir pas joui mais tellement satisfaite du plaisir ressenti par Eric. Je me retourne, l’embrasse avant de me pencher vers son membre maintenant ramolli. Comme m’a dit Laure hier soir « tu apprendras à toujours nettoyer celle qui t’aura donné du plaisir ».
— Tu es super, me dit Eric alors que je le prends en bouche, t’es vraiment un bon coup !— Je t’ai attendu hier soir...— Désolé ma chérie mais Jacques m’a appelé. Je l’ai suivi au Miami... On a croisé Etienne, un pote plutôt chaud... ils m’ont pris tous les deux dans la voiture.— C’est vrai que tu aimes te faire sauter de temps en temps !— J’aime ça, oui, mais là ils m’ont même pas laissé jouir ces salauds ! Je pensais plus qu’à rentrer pour te prendre ma chérie.
Je n’avais pas vu sa mère en train de nous regarder de la porte de la chambre. Elle me sourit alors que je me redresse.
— N’oublie pas de te rincer avant de descendre, toujours être prête, dit-elle avant de tourner les talons.
Eric me prend dans ses bras pour m’embrasser à pleine bouche.
— Bonne balade avec maman... et si tu croises Jacques, il risque de te demander un petit plaisir ! On a parlé de toi hier soir, et maintenant il a encore plus hâte de te revoir !
Rapide passage dans la douche pour me rincer ‘’partout’’ avant d’enfiler mon string dans lequel je parviens à glisser ma queue qui perd peu à peu de la vigueur. Je retrouve Laure dans la cour.
— Je suis prête ! — Contente de te voir si enthousiaste ma chérie, dit-elle en passant sa main sous ma jupe. Décidée à faire des rencontres on dirait !— Tu m’as dit d’être toujours prête !— Alors en route ! Ajoute-t-elle en me faisant une bise sur les lèvres.
Je découvre finalement que le shopping n’est pas déplaisant du tout... bien au contraire. Surtout avec Laure qui connaît presque tous les commerçants du coin. Je ne parle pas seulement d’Irène, chez qui nous étions déjà passées et où Laure voulait me trouver un corset à jarretelles. Irène, en bonne vendeuse, me le fait essayer et a réclamé pour son paiement... que je la fasse jouir avec ma langue ! J’adore !La vendeuse de prêt-à-porter, à peine plus vieille que moi, qui a déjà fréquenté le lit de Laure, n’est pas contre, elle aussi, d’un bon cunnilingus.
— Il te faut savoir satisfaire aussi la gent féminine ma chérie. Tu sais, il y a bien plus de femmes attirées par le même sexe qu’on ne le pense. Tout comme pour les hommes ! Tiens regarde celui-là ! Me dit-elle en me désignant un homme d’une cinquantaine d’années derrière la vitrine de son magasin de chaussures, il est marié... avec la femme qui range les boîtes là-bas... eh bien, il adore sodomiser certains de ses clients.— Mais sa femme ne dit rien ?— Elle a horreur de la sodomie. Elle le laisse faire ça à d’autres ! Ça te dirait une paire de talons aiguilles ?
Ce n’est pas une question. Laure m’entraîne dans le magasin où on est accueilli par un grand « Bonjour mesdames » de la part du patron.
— Laure ! Contente de te voir ! Lance la patronne en venant lui faire la bise. Que puis-je faire pour toi ?— Bonjour Marie ! Je cherche des escarpins à talon pour Paulette.— Bonjour Madame dis-je doucement en jouant la petite fille timide.
Le mari s’approche à son tour, les yeux brillants.
— Je peux m’occuper de la demoiselle dit-il en se collant presque à moi, sous le regard amusé de Laure et de sa femme qui a tout de suite compris le manège. Veux-tu bien me suivre, ajoute-t-il en me désignant le fond du magasin.— Montre-lui les derniers modèles lui dit sa femme alors qu’il me guide vers les sièges disposés dans un coin.
Je m’y assois, face à un miroir mural et un autre posé au sol, incliné de façon à regarder ses pieds une fois debout. Installée comme je suis, ce miroir me renvoie l’image de mes jambes avec une vue jusqu’à ma culotte. Il est vrai que ma jupe courte ne dissimule pas grand-chose. Le mari revient chargé de boîtes. Il s’accroupit devant moi et sort les modèles. Je retire mes sandales et lui tends mon pied. Il enfile l’escarpin avec beaucoup de tact mais je vois parfaitement son regard se perdre entre mes cuisses. Sans les écarter vraiment, je ne fais rien pour les serrer, le laissant volontiers se rincer l’œil, surtout s’il aime tant sodomiser... Je me lève et fais quelques pas. Je ne suis pas très à l’aise mais je ne me débrouille pas si mal perchée sur ces talons. Il est près de moi, attentif et prévoyant. Je fais mine de manquer d’équilibre. Il me tend le bras. Je pivote contre lui, frottant mes fesses sur son entrejambe que je sens déjà bien gonflé. Le bougre semble bien monté en plus ! Je jette un œil vers Laure qui me sourit, satisfaite de mon petit manège.
Je me rassois alors qu’il se trouve encore près de moi. Il me regarde de toute sa hauteur. Je fixe volontairement la bosse maintenant bien gonflée.
— Vous avez autre chose à me montrer... lui dis-je en levant les yeux
Il jette un regard rapide vers la salle, où il peut voir sa femme en pleine discussion avec Laure.
— Suis-moi ! Dit-il enfin en m’attrapant le bras.
Il m’entraîne vers la réserve où il me guide vers le fond de la pièce. Il se retourne en ayant déjà ouvert sa braguette. Il en sort une bite déjà bien raide. Assez longue et circoncise, elle porte un gland plutôt gros. Je m’agenouille pour la prendre en bouche alors qu’il finit d’ouvrir son pantalon pour le faire tomber sur ses chevilles. Je fais glisser son boxer le long de ses cuisses avant d’y poser mes mains pour accompagner le mouvement de succion. Il me tient la tête tout en m’encourageant :
— Suce-moi bien petite salope... bouffe ma queue avant que je te défonce ton petit cul... t’es une bouffeuse de bite... cochonne...
Je m’applique à le prendre en bouche le plus loin possible, poussant son gland sur la glotte. Je lui caresse les couilles, lui tiens la base de son chibre tout en le regardant. J’aime regarder les hommes quand je les suce, voir le plaisir monter dans leurs yeux alors que leur bite pénètre ma bouche. Je sens mon cul s’humidifier, je mouille comme une fille. Mais c’est à lui de décider du moment où il me prendra... s’il me prend. Je sens sa queue se raidir ! Il va me jouir dans la bouche si je continue comme ça. Il suinte déjà de liquide séminal. Son gland a changé de goût. Il souffle plus fort en me tenant fermement la tête. Il se dégage, me laissant la bouche ouverte, un filet de salive entre mes lèvres et son gland turgescent. Après un court instant, il me redresse pour me faire pivoter. Je m’appuie à la table placée contre le mur tout en écartant les jambes après avoir fait glisser mon string. J’ai toujours les talons aiguilles aux pieds et cela me permet de bien me positionner par rapport à lui.
Il se tient la queue pour positionner son gland sur ma rondelle. Je me cambre, écarte les talons. Je m’offre totalement à lui.
— Vas-y, prends-moi... baise-moi...
Il passe son gland tout le long de ma raie avant de le placer enfin face à mon puits. Il se saisit de mes hanches et pousse enfin. Je pousse moi aussi, ouvrant ma chatte à ce chibre puissant. La corolle passe mon anneau, plongeant alors dans mes entrailles. Il gémit jusqu’au moment où il plaque son pubis contre ma raie. Il est long le bougre ! Je le sens loin dans mon ventre. Je me contracte sur lui, tout en ondulant du bassin.
— T’es une vraie salope toi ! Me dit-il à l’oreille tout en attrapant ma queue dressée.
Ses coups de reins s’accélèrent. Je me couche sur la table en me tenant au mur. Il me pousse de plus en plus, faisant claquer son ventre sur mes fesses. Je sens ma queue se balancer, battant la mesure de son assaut. Je ne peux même pas me branler, devant me retenir à cette table. Il se raidit soudain, râlant de plaisir tout en se vidant dans mes entrailles.
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