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Eric, le soumis de sa sœur

Chapitre 2

Trash
Chapitre 2
Au réveil je me demandais si je n’avais pas rêvé. Mais non, je portais encore le string et les collants de ma mère. Une douleur dans les couilles me rappelait que Charlène me les avait serrées. Les images que Cathy avait prises de moi tournaient dans ma tête. En quelques minutes je passais du fils prometteur à un enfant pervers en train de se masturber dans la lingerie de sa mère.
Je décidais de descendre à la cuisine. Je retrouvais là ma sœur Cathy et ses futures colocataires, Charlène, Emilie et Cécile. Elles avaient gardé leurs tenues de nuit. Chacune portait une nuisette qui s’arrêtait juste sous les fesses. Ca ne me déplaisait pas de les voir dans cette tenue. Bien au contraire une bouffée de chaleur m’envahie.En me voyant arriver, Cathy me lançât :« Tiens voilà le petit branleur ! Je vois que tu ne t’es pas changé. C’est bien tu commence à m’obéir.« Ok les filles, vous avez bien rie de moi. Maintenant je peu aller me changer ?« Tu as oublié les bonnes manières, petit branleur, me répondit Cathy. Tu n’a pas dis bonjour.« Bonjour les filles, répondais-je.« Non, un petit branleur comme toi, embrasse les pieds de ses maîtresses pour les saluer. Je rentrais dans son jeu pour ne pas la fâcher. Je me mis à quatre pattes et je vins déposer un baiser sur chaque pied. Bien que honteuse, la situation commençait à m’exciter et je sentis mon sexe prendre de la vigueur. A la fin de mon tour de table je me redressais. Charlène fit remarquer mon excitation :« Ca y est, tu bande de nouveau, petit branleur ! Tu aime être dominé par quatre belles maîtresses.C’était vrai et je n’osais me l’avouer. Mais être dominé par ces filles me tournait la tête.« S’il vous plait arrêtez de m’appeler petit branleur. C’est humiliant !« Mais comment veut-tu que l’on t’appelle, me demanda Cathy. Eric c’est un prénom de mâle. Toi avec ton zizi, tu n’en es pas vraiment un ! Et puis te branler c’est tout ce que tu peux faire. Aucune femme ne te laissera la pénétrer. Et puis nous avons toutes les quatre décidé que nous t’appellerons petit branleur. Elles riaient encore de moi. J’étais abasourdi de tout ce que m’avait dit ma sœur. Je pensais qu’elle serait plus compatissante. « En attendant, remonte dans ma chambre pour la ranger. Maintenant que j’ai un soumis à disposition, je vais m’en servir.« OKJe pris alors une forte claque.« Tu ne me répond pas comme ça. Dorénavant tu m’appelleras Maîtresse Cathy, comme chacune d’entre nous.Je lui répondis les yeux baissés :« Oui maîtresse Cathy
Je remontais dans la chambre de ma sœur. Je rangeais du mieux que je pouvais. Par hasard je retrouvais la culotte que Charlène avait retirée la veille. Elle embaumait encore de son parfum intime. Doucement ma main passa dans mon string et je commençais à me caresser. Je ne mis pas beaucoup de temps pour éjaculer dans la lingerie de ma mère. Des filets de sperme descendaient sur mes cuisses à travers les collants. Je reposais alors la culotte de Charlène. En me retournant, je vis Cécile sur le pas de la porte. Elle avait tout vu.« T’es un vrai vicieux.Elle entra et en me poussant, je tombais en arrière sur le sol. « Tu as pris de plaisir, maintenant c’est à moi d’en prendre.Aussitôt elle passa ses mains sous sa nuisette et retira son boxer qui lui moulait si bien les fesses. Elle se mit à califourchon sur mon visage et approcha sa chatte de mes lèvres.« Vas-y lèche moi. Et applique-toi !C’était la première fois de ma vie que j’allais faire un cunnilingus. Comme beaucoup d’ado j’avais vu des vidéos sur le net. Je passai ma langue le long de ses lèvres qui étaient humide« Occupe-toi aussi de mon clito !Je remontais sa fente jusqu’à trouver cet organe si sensible. Avec quelques coups de langue, je le senti se gonfler de plaisir. Cette fois je sentis un liquide chaud dégouliner le long de mon visage. Cécile haletait de plus en plus. Je vis ses mains caresser sa jolie poitrine à travers la dentelle de sa nuisette. Au moment où ses cuisses se crispèrent autour de ma tête, Cécile poussa un petit cri étouffé. Elle pesa alors de tout son poids sur mon visage. J’avais du mal à respirer. Heureusement, bien vite elle se releva.« Pas mal pour une première fois. Tu as un bon potentiel.Elle prit alors son boxer et se nettoya l’entrejambe avec. Elle me le lançât.« Tiens. Cadeau.
J’exultais d’avoir bien fait mon travail. Et d’en avoir été récompensé de la sorte. Je fini de tout ranger et j’emmenai mon trésor dans ma chambre. Je le portais encore une fois à mon nez. Il était encore humide du plaisir de Maîtresse Cécile. Quel bonheur.En redescendant à la cuisine, les quatre maîtresses s’étaient rhabillées. Toutes les quatre portaient une ample jupe et un petit haut qui laissait deviner la présence d’un soutien-gorge. Seule Emilie portait un soutien-gorge à cause de son opulente poitrine.
Puis Cathy s’adressa à moi :«°Je raccompagne mes copines au train. Toi tu range la cuisine et tout le reste. Après tu iras te changer. Les parents vont bientôt rentrer et j’ai à leur parler.« Oui Maîtresse Cathy, répondis-je les yeux baissé.J’avais espéré que ma sœur allait oublier tout ça et qu’elle n’allait pas mêler nos parents. Mais non.
A suivre.
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