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Chapitre 5

Divers
Le lendemain, dès que j’entrai dans la salle, Florine vint vers moi ; je lui souris, je me demandais si elle allait me donner sa surprise.
— Salut ! Tiens, ma surprise.
Elle me tendit une petite télécommande noire que j’observais avec incompréhension.
— Qu’est-ce que c’est ?
Elle se rapprocha de moi pour murmurer.
— J’ai un vibromasseur bien installé, cette télécommande le contrôle...
J’écarquillai les yeux. Elle comptait réellement se faire plaisir dans tout l’auditoire, c’était bondé de monde.
— T’es sérieuse ?
— Très...J’ai toujours rêvé de faire ça. On ne le fera que pendant deux heures, il faudrait pas que je jouisse. T’auras qu’à te mettre à côté de moi.
Je jetai un coup d’oeil à Valentin qui m’attendait en hauteur. Je soupirai et lui souris avant de suivre Florine. Elle me lança un regard coquin.
— Commence dès que le prof entre et va de plus en plus fort au fil que le temps passe !
J’hochai la tête ; je craignais tout de même qu’on se fasse prendre. Je n’avais pas envie que toute la classe comprenne ce qu’on était en train de faire.
Comme prévu, dès que le prof entra, j’actionnai la télécommande ; Florine serra les cuisses instinctivement.

— C’est parfait comme ça !
Prendre note devint difficile au moment où elle commença à trembler, elle gesticulait dans tous les sens et frémissait. Je mis un cran au-dessus, elle s’agrippa au bureau et gesticulait de plus belle.
— Mmh...Laisse un peu comme ça...
— Juste un peu, souris-je. T’en peux déjà plus ?
— Si mais laisse-moi prendre mon pied...Mmh...
Elle gémit légèrement et recommença à gesticuler et jouer avec ses jambes ; je me sentais serré dans mon pantalon. La voir comme ça me donnait envie ; elle remarqua aussi que j’étais excité, elle passa une main sur mon sexe et me caressa. Je rougis ; j’avais un peu peur qu’on nous surprenne, nous étions dans la rangée du milieu, d’autres élèves étaient au-dessus de nous et certains à côté. Ils étaient tous concentrés, mais ils pouvaient à tout moment se tourner vers nous.
— T’es sûre que c’est une bonne idée ?
— J’en sais rien, mais j’en ai envie, sourit-elle.
Je n’allais pas l’empêcher de me caresser, c’est vrai que j’aimais ça aussi. Elle continuait à haleter faiblement ; parfois elle lâchait de petits gémissements plus bruyant et j’espérais que personne n’y prête attention.
Je décidai de mettre un cran au-dessus lors de la deuxième heure de cours. Elle porta ses mains entre ses cuisses et se plia sur la table ; elle plissa les yeux et se mordit les lèvres.
— Oh putain...Put...Oui...Mmhhhh...
Ses murmures de plaisir m’excitaient, eux aussi ; le fait de pouvoir se faire repérer à tout moment ne m’apportait maintenant plus aucune peur mais un désir de continuer. Une certaine excitation s’empara de moi et j’augmentai la vitesse d’un cran.
— Oui ! Oui ! Oui...Aaah...Oh putain !...
Elle porta sa main à sa bouche enfouissant ses halètements devenus de plus en plus forts. Elle écarquilla les yeux et me lança un sourire avant de souffler ; elle était rouge, totalement excitée.
— C’est génial ! me souffla-t-elle.
— Évite de trop bouger, lui dis-je. On dirait un vers.
— Je fais ce que je peux ! J’évite de crier, c’est déjà pas mal.
Je ris légèrement, qu’elle crie serait gênant mais amusant. La voir tenter de cacher ses spasmes de plaisir rendait ce moment plus torride, merveilleux. Elle enfouit sa tête dans ses bras, bougeait sur sa chaise ; je m’abaissai pour la regarder, je sentais son souffle chaud et ses gémissements.
— Mmh...Mets plus fort...murmura-t-elle.
Elle porta sa main à sa bouche et ferma les yeux ; quand j’allais plus fort, elle se redressa sur sa chaise et souffla avant de sourire. Sa respiration était saccadée, plus rapide, elle avait chaud, ça se voyait ; ses joues étaient rouges. Elle croisa les jambes puis les décroisa, se recoucha sur le banc et se redressa ; elle n’entendait certainement même plus ce que disait le prof.
— Mmh...C’est si bon...
Je sursautai quand sa main glissa dans mon caleçon ; elle me masturbait en plein cours alors que je la faisais gémir avec un sextoy, c’était impensable. Le contact de sa main sur mon sexe était froid et doux, elle me masturbait lentement sur toute la longueur ; c’était si bon.
Soudain, j’augmentai la vitesse ; elle se cambra et porta ses mains à sa bouche ; un petit couinement s’échappa tout de même. Je rougis de peur qu’on nous ait repéré.
— Elle a éternué ? sourit un élève à ma droite.
— Ouais, ris-je.
— Y a de toutes sortes d’éternuements, rit-il.
Lui riait parce qu’il trouvait cela marrant, moi c’était parce qu’il n’avait pas compris et j’en étais bien content.
— Un éternuement ? sérieusement ? lâcha Florine.
— Tu voulais que je dise quoi ?
Elle haussa les épaules en s’enfouissant dans ses bras, rendant ses gémissements absolument silencieux.
— J’en peux plus...souffla-t-elle.
Je baissai de deux crans la vitesse. Elle se tourna vers moi et me lança un regard déçu.
— Tu te fous de moi ? J’étais totalement folle...
— Tu devras attendre, ris-je.
— Mais je voulais prendre mon pied, souffla-t-elle. S’il te plait continue...S’il te plait !
J’aimais la voir me supplier ; elle avait une sensation d’insatisfaction, elle voulait plus, elle voulait jouir sans doute, mais j’avais la télécommande, je faisais ce que je voulais. Je comptais bien la laisser comme ça un petit temps avant de passer à la suite.
— Celui qui a la télécommande décide de tout !
Elle soupira et croisa ses jambes. Elle perdait un peu de plaisir, mais elle faisait toujours attention à bien cacher ses souffles excités.
Quand il ne restait plus que dix minutes de cours, je mis la dernière vitesse directement sans la prévenir ; elle se cambra, sa tête dans ses mains et gémit de plus belle. Elle se contenait pour ne pas crier mais c’était dur, elle était au bord de l’orgasme et n’en pouvait plus.
Dès que la sonnerie retentit, elle fut sans doute la première à sortir ; je la suivis aussi vite que je pouvais, elle s’engouffra dans les toilettes. J’entrai.
— OH PUTAIN ! Ouiii ! Mmhh...
Elle explosa ; ses gémissements devinrent de plus en plus bruyants et son corps se tortillait dans tous les sens.
— Si bon...Aaaah....
J’arrêtai la télécommande et la plaqua contre le mur ; je l’embrassai et me frottai à elle. Elle me rendit mon baiser et me repoussa gentiment ; elle abaissa mon pantalon et s’empara de ma queue qu’elle masturba. Je glissai son pantalon et sa culotte - qui était trempée - et me mis à la doigter avec deux doigts.
Elle se cambrait, haletait, gémissait ; je la rejoignis dans ses frémissements d’excitations.
— Bouffe-moi la chatte s’il te plait !
Je ne me fis pas prier et m’abaissai ; je fis tournoyer ma langue sur ses lèvres humides, dans son sexe ; elle resserra les cuisses sur ma tête et la plaqua contre son sexe.
— Oui ! Oui ! Continue ! Bouffe ma chatte !
Je remuai ma tête entre ses cuisses, la léchai de partout ; ma langue parcourait l’entièreté de son sexe, la faisant gémir, crier. Je reléchais son sexe, le mangeant de mes lèvres ; il ne lui fallut pas plus de temps pour pousser un long râle de plaisir et asperger mon visage de mouille.
Aussitôt, elle s’agenouilla et enfourna ma bite dans sa bouche ; elle alternait la vitesse de ses va-et-vient et parcourait mon sexe avec sa langue ; les bruits de succion m’excitèrent. J’enfonçai mon sexe au plus profond de sa gorge, coulissant dans sa bouche chaude et humide et plaquai mes mains sur sa tête.
— Mmh...
Elle continuait ses va-et-vient et me masturbait de plus en plus vite en léchant, suçant mon gland.
— Je vais jouir ! m’écriai-je.
Aussitôt, elle enfourna l’entièreté de mon sexe dans sa bouche ; j’éjaculai une importante quantité de sperme qu’elle avala d’un trait.
— C’était génial ! me lança-t-elle.
— Oh que oui ! Et t’en veux toujours plus, ris-je.
— Je suis folle de toi ! Et au fait, merci d’avoir réalisé mon fantasme.
— Ton fantasme c’était de le faire dans la classe ?
— Dans un lieu public ! Bon, viens ou on va nous voir, sourit-elle.
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