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EroTel

Chapitre 7

Hétéro
Alors que je dormais tranquillement, mon téléphone se mit à vibrer me réveillant. Je n’y fis pas attention, préférant me rendormir ; il se faisait tard. Une nouvelle vibration arriva, je soupirai et regardai ; Florine m’appelait.
— Pourquoi tu m’appelles aussi tard ? soufflai-je.
— Je voulais te faire une surprise, je t’attends à l’entrée.
— Tu...Quoi ?
Elle avait raccroché. Je n’en revenais pas, elle s’était déplacée de nuit juste pour me voir ; si c’était encore pour coucher, je commencerais à me poser des questions. Cela signifierait qu’EroTel l’a rendue complètement folle.
Je me rhabillai et descendis en direction de l’entrée ; elle était vêtue d’un long manteau qui lui arrivait aux chevilles.
— Qu’est-ce que tu fais là ?
J’écarquillai les yeux quand elle ouvrit son manteau ; elle n’était vêtue que de lingerie noire. Je rougis et la laissai rentrer ; elle m’embrassa.
— T’as fait tout le chemin dans cette tenue ?
— Il fait pas si froid, sourit-elle. Bon, on va dans ta chambre ?
J’hochai la tête et on se dirigea vers ma chambre ; dès qu’on fut à l’intérieur, elle jeta son manteau et se mit à m’embrasser, me caressant le sexe. Je me mis à enlever son soutien-gorge et je malaxai ses seins pendant de longues secondes ; j’y allais doucement puis de plus en plus vite. Je me penchai ensuite vers ses tétons que je léchai et aspirai avec ma bouche ; elle frémit sous mes coups de langue.
Je sentis ses mains déboutonner mon pantalon et s’emparer de mon sexe ; elle sourit et me branla doucement puis de plus en plus vite, le contact de sa main me procura des frissons, elle fixa mon sexe et se relécha.
— Je la veux en moi...

Je descendis embrasser son entre-jambe par-dessus sa culotte puis je l’enlevai ; elle frémit au contact de ma langue contre son sexe. Elle mouillait déjà un peu, je rentrai deux doigts dans sa chatte et léchai son clitoris ; aussitôt, elle gémit et plaqua ses mains sur ma tête. Je continuai de parcourir son antre de ma langue, la léchant dans chaque recoin ; je m’attardai sur son clitoris la faisant gémir de plus belle, elle se cambra, me donna un coup de hanches ; je continuai de la lécher tout en la doigtant ; mes doigts allaient au plus profond de son sexe, la caressant dans chaque recoin ; j’alternais la vitesse allant parfois moins vite pour subitement accélérer. Elle gémissait, se cambrait de plus belle ; ses mains plaquèrent ma tête contre son sexe que je dévorais avec appétit.
— Oh oui ! Bouffe-moi !
Je sentais sa mouille dégouliner sur mon visage ; elle avait chaud, tremblait et gesticulait dans tous les sens ; ses hanches firent des mouvements de va-et-vient sur mes lèvres. Je pouvais la sentir frémir, avoir de plus en plus chaud ; ses joues devaient être rouges. Ma langue continua son tour sur son sexe, la léchant de haut en bas, tournoyant sur son clitoris puis essayant de la pénétrer, allant aussi profond qu’elle le pouvait.
— Oh putain ! OUI ! Vas-y bouffe ma chatte !
Je me mis à la lécher de plus en plus vite ; elle gémit de plus belle, criait presque. Sa mouille dégoulinait sur ses jambes, tachait le sol ; je suçotais son clitoris tout en le doigtant. Je m’amusais à la doigter puis la pénétrer avec ma langue, sucer son clitoris et le lécher de partout ; j’embrassais l’entièreté de son sexe jusqu’à ce qu’elle se cambre de plus en plus.
— Aaaaah ! Putain !
Un jet de mouille aspergea mon visage ; je me relevai et l’embrassai. Mes mains vinrent agripper ses fesses alors qu’on échangeait un baiser langoureux. Je caressai ses fesses, les malaxai et m’amusai à les claquer.
— Pénètre-moi ! s’écria-t-elle en me poussant vers le lit.
Elle sortit un préservatif de son manteau et se mit à lécher ma verge afin de l’humidifier ; le contact de sa langue et de ses lèvres était excitant. J’aurais aimé qu’elle me suce, mais elle en avait décidé autrement ; elle enroula la capote autour de mon sexe et vint sur moi.
Je la poussai sur le lit ; elle sourit puis écarta les jambes, son sexe luisant était face à moi. Je glissai mon sexe sur ses lèvres humides, elle ferma les yeux et souffla à ce doux contact dont elle rêvait tant. Quand je la pénétrai, elle lâcha un petit cri ; elle était terriblement serrée mais mouillée à un point où je glissais facilement en elle.
— Elle est si grosse !
— T’es si serrée...
Je la pris par les hanches et commençai à la pénétrer lentement ; elle haletait et se caressait les seins ; le rouge lui montait aux joues et sa mouille continuait de s’écouler. Ces mouvements lents la faisaient gémir et sourire ; ma queue entrait tout doucement au plus profond de son sexe serré. D’un coup bref, j’entrai entièrement.
— OUI ! Baise-moi ! s’écria-t-elle.
J’avais l’impression que sa chatte se resserrait autour de mon sexe ; je continuais de coulisser mon sexe lentement contre les parois de son sexe chaud, allant au plus profond d’elle. Puis j’accélérai à nouveau, la baisant de plus en plus vite ; ses gémissements étaient plus forts tout comme mes coups de reins.
— Continue ! s’écria-t-elle.
Elle haletait, gémissait, criait ; elle empoignait ses seins et jouait avec, me regardait en souriant. Je la sentais se tortiller dans tous les sens ; elle voulait que j’aille encore plus profond, encore plus fort.
J’empoignai ses seins et jouai avec, les caressant, les malaxant ; elle ne faisait plus que gémir et se cambrer. Elle se tint à la couverture alors que je la défonçais toujours plus.
— Continue ! T’arrête pas ! cria-t-elle.
Je me penchai sur elle ; ses jambes se resserrèrent sur moi et ses bras passèrent dans mon dos. Je continuais mes va-et-vient tout en l’embrassant, lui faisant des suçons dans le cou ; ses souffles chauds m’excitaient encore plus, elle y prenait plaisir ça se ressentait.
Nos coups de hanches devinrent de plus en plus fort, sa mouille s’écoulait sur nos jambes, sur le lit ; à l’excitation se mêlèrent nos cris de plaisir.
— Je...Je vais jouir ! haleta-t-elle.
J’y allais encore plus fort, encore plus vite ; elle se resserra à moi, me griffant presque ; son long cri de jouissance s’étouffa dans mon cou. Une vague de chaleur m’inonda, je jouis également.
On reprit notre souffle, tous les deux couchés sur le lit ; on se serrait pour ne pas tomber. Je souris en voyant la couverture trempée.
— Je suis désolée d’avoir été une peste avec toi...souffla-t-elle. Si j’avais su, je t’aurais sauté dessus bien avant...
Je la regardai, c’était un autre temps ça même si il était vrai que j’aurais aimé profiter d’elle plus tôt. Soudainement, elle se mit à rire.
— Qu’est-ce qu’il y a ?
— Je viens de me rendre compte que ça fait trois jours qu’on baise, sourit-elle.
— C’est vrai, je commence à fatiguer.
— Tu déconnes ? me dit-elle en se collant à moi. Il reste deux jours.
Je souris ; je sentais que ces deux jours allaient être tout aussi délicieux.
— Bon, faudrait peut-être que j’y aille, annonça-t-elle.
— Tu comptes vraiment y aller maintenant ? demandai-je. Il se fait tard quand même.
— J’ai aucun vêtement pour demain sourit-elle. Oh je sais ! T’as qu’à m’accompagner et dormir dans mon kot. Il y a juste Marion.
J’hochai la tête, ça me semblait plus raisonnable. Je lui filai des vêtements pour qu’on puisse y aller et embarquai mes affaires.
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