Il fallait que je stoppe ce vœu. Je devais à tout prix arranger les choses, mais pour ça, je devais attendre le weekend. Dès samedi, j’irais rejoindre le vieil homme qui m’a vendu EroTel. J’acceptai tout de même le rendez-vous de Florine afin de me changer les idées. Certains utilisaient l’alcool pour oublier, moi le sexe. Je ne risquais pas d’être dépendant avec ça.Florine m’avait invité à la rejoindre ce soir ; le vent était froid et la nuit tombait déjà. Je marchais dans les rues vides, le cœur lourd.Je croisai une vieille dame sur le chemin. Elle me sourit, mais ce sourire ne me mettait pas à l’aise. Elle se rapprocha de moi et soudain, mit ses mains sur mon torse.— Vous aimez les femmes mûres, jeune homme ?Des frissons glacials parcoururent mon corps. Cette femme aurait pu être ma grand-mère et elle me désirait ; dégouté je la repoussai gentiment. Je grelotais alors qu’elle se rapprochait.— Désolé madame, bredouillai-je. Mais je suis déjà pris…— Allons, je suis sûre que je peux t’apprendre des trucs mmh…Je me mis à courir sans m’arrêter, sans me retourner. Bordel ! Il fallait que je stoppe ce vœu et vite ! Je fouillai mes poches, pas de traces du téléphone. Je m’apprêtai à faire demi-tour quand Florine sortit de son kot et m’embrassa. Elle me tira à l’intérieur sans que je n’aie le temps de lui rendre son baiser.Un doux parfum rendant l’ambiance érotique et chaleureuse enivrait la pièce. Une douce mélodie vibrait à travers les murs. Elle avait tout préparé pour rendre ce moment délicieux.Avant d’entrer dans sa chambre, elle me colla au mur et m’embrassa ; ses mains glissèrent sous mon t-shirt. Je caressai ses fesses, glissant mes mains dans sa culotte ; j’aimais ces lèvres si douces et chaudes.— Tu n’attends pas qu’on soit dans le lit ? souris-je. — Une surprise t’attend alors je préfère qu’on se chauffe avant.J’embrassai son cou avec hâte de trouver sa surprise. J’enlevai son t-shirt et embrassai sa poitrine en retirant délicatement son soutien-gorge. Elle gémit légèrement et retira mon pantalon et mon caleçon ; ses mains délicates caressèrent mon sexe. Je finis de me déshabiller et embrassai tout son corps en descendant vers sa culotte ; elle rit légèrement et m’empêcha de la retirer.— Il est temps de rentrer.Je me relevai et souris en entrant. Mon sexe grossit immédiatement et mes yeux s’écarquillèrent. Mon regard scruta le corps de Marion qui était assise m’attendant. Elle était entièrement nue et sexy ; ses seins me donnaient envie tout comme son sexe blond. — Ma surprise te plait ? — Beaucoup ! Marion s’avança et m’embrassa ; je lui rendis son baiser et embrassai ensuite Florine. Je pelotais leurs fesses ; Marion avait un cul plus bombé que Florine, mais toutes deux étaient sexy. Elles s’agenouillèrent toutes deux devant mon sexe dressé ; Marion me lança un regard sensuel. — Elle est bien grosse, Florine m’a pas menti.Sans prévenir, Marion enfourna ma queue dans sa bouche ; je gémis au contact de sa langue chaude et humide. Elle commença à faire de petits va-et-vient, enfournant ma queue de plus en plus en profondeur. Au même moment, Florine se mit à l’embrasser dans le cou et à caresser sa chatte ; Marion ronronna sous ses caresses. Elle se mit à me sucer de plus en plus vite, remuant ses lèvres autour de ma queue ; Florine se mit à la doigter lentement la faisant gémir de plus en plus. Soudain, elles décidèrent de changer ; Florine enfourna ma queue au fond de sa gorge avant de la ressortir et de lécher mon gland. Marion commença à la doigter de plus en plus vite ; elle poussait de petits cris entre chaque va-et-vient.Sans prévenir, Florine se retira ; j’écarquillai les yeux quand elles se mirent à se caresser. Florine empoigna les seins de Marion et les malaxait alors tout en s’embrassant. Les voir se peloter m’excitait encore plus ; elles s’embrassaient langoureusement et se malaxaient les seins avec envie. Marion déposa ses lèvres dans le cou de son amie et caressa ses fesses ; je m’approchai alors pour lui agripper le cul. Elle tourna la tête vers moi et sourit.— Mmh… Mon cul te plait ?Je me collai à ses fesses et lui agrippai les seins.— Beaucoup, dis-je en mordillant son cou. Elle frémit et se mit à se tortiller quand Florine s’agenouilla et passa sa langue sur son sexe humide. Je caressai ses seins, les pelotai et jouai avec ses tétons tout en me frottant à son cul ; mon sexe coulissait entre ses fesses délicieuses. Florine lécha sa chatte en la tenant par ses hanches ; sa langue glissait sur ses lèvres, de haut en bas et de plus en plus vite ; sa langue pénétrait un peu sa chatte la faisant gémir et mouiller. Florine la léchait de plus en plus vite ; sa mouille s’écoulait avec abondance sur le sol alors qu’elle se cambrait. Je me frottais à son petit trou serré en pétrissant ses bons gros seins.— C’est si bon… souffla Marion. Soudain, elle poussa un long cri puis Florine se releva et l’embrassa. Elle venait de jouir et en voulait encore ; elle poussa son amie à s’allonger et m’invita à les rejoindre. Marion se mit au-dessus du sexe de Florine et le caressa lentement. Je me mis derrière Marion et frottai mon sexe contre sa chatte ; elle frémit à ce contact. Quand je rentrai dans son sexe, elle lâcha un petit cri ; son petit trou était serré, mais sa mouille faisait coulisser ma bite facilement. Elle se mit à bouffer la chatte de Florine au même moment ; toute sa bouche parcourait sa chatte et sa langue tourbillonnait en elle. Elle plaqua ses mains sur sa tête et gémissait, haletait. La voir excitée comme ça me donna envie d’aller bien plus fort. Je pénétrai Marion de plus en plus vite, allant au plus profond de sa chatte ; je la sentais bouger, gémir, haleter. Sa mouille coulait sur le matelas alors qu’elle bouffait Florine. Nous continuions nos ébats durant plusieurs minutes ; les filles gémissaient et criaient, elles se cambraient dans tous les sens ; nos visages étaient rouges et la sueur coulait sur nos corps. Marion était vraiment bonne ; sa chatte était douce et chaude et son cul bien ferme ; je claquai ses fesses tout en lui donnant des coups de reins. Elle bouffait Florine avec ardeur lui procurant le plus grand des plaisirs.Soudain, Florine poussa un long cri et un jet de mouille aspergea Marion qui se relécha ; un dernier coup de reins la fille hurler de plaisir également. Je pensais qu’elles voulaient s’arrêter là, mais au lieu de ça, Florine sortit un double gode d’un tiroir et Marion s’allongea. Je compris ce qu’elle voulait faire. Florine enfonça le gode dans sa chatte et pénétra Marion ; ses va-et-vient leur procurèrent du plaisir à elles deux. Leurs gémissements devenaient vraiment bruyants.— Ah… Ah… Aaah… Rejoins-nous ! cria Florine.Elle s’allongea sur Marion et l’embrassa tout en la pénétrant. Je me collai à Florine et rentrai d’un coup dans son cul ; il était très étroit et ce coup de reins bien profond lui arracha un cri. Cette double pénétration la poussa à crier encore plus ; elle ne faisait plus que gémir et crier, sa respiration se saccadait encore et encore. Marion gémissait et l’embrassait ; ses joues étaient rouges et ses yeux se fermèrent.Je sodomisai Florine de plus en plus fort ; j’aimais les voir aussi excitées. Mes va-et-vient devinrent rapides et brutaux. Je prenais plaisir à défoncer son cul et elle aussi ; Marion gémissait toujours plus de même pour son amie. Je n’en pouvais plus, c’était tellement bon que j’éjaculai sans prévenir. Florine cria encore plus fort en sentant ma semence parcourir son cul. Elles jouirent toutes les deux juste après moi.Nous nous étalions sur le lit tous les trois, cette soirée avait été plus que torride. Nous étions complétement essoufflés. Durant cette soirée, je suis parvenu à oublier un instant ce qu’il venait de se passer.
