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Érotisme par correspondance

Chapitre 2

Erotique
Bonjour Ticloud, Je ne pouvais m’empêcher de te regarder de temps en temps, d’abord pour surveiller ton travail mais petit à petit pour mieux t’observer. Je me rendais compte que malgré la différence d’age, je semblais te plaire. Mais c’était peut-être une fausse impression car un jeune homme aussi mignon devait certainement s’intéresser beaucoup plus à toutes les nombreuses jeunes filles en vacances à qui il devait certainement faire tourner les têtes. Néanmoins, je voulus en avoir le coeur net. Je partis à la cuisine me servir un verre d’eau en faisant bien voleter ma minijupe plissée ce qui ne manqua pas de dévoiler largement mes cuisses. J’en ai profité également pour ouvrir un peu plus que la normale mon chemisier. Et lorsque je suisrevenue, je me mis suis mise légèrement de côté en croisant très haut les jambes, laissant glisser ma minijupe vers la hanche. Lorsque tu m’a demandé de venir voir le fonctionnement de la climatisation réparée, c’est avec une démarche particulièrement chaloupée que je suis venue vers toi. Et là pas de doute. Ton regard qui se dérobait parfois vers mon décolleté ou mes cuisses montrait sans problème ton intérêt pour mes charmes. Ton attitude m’amusa mais aussi me flatta. Et à mon tour je t’ai observé en coin et plus particulièrement tes mains, tes bras musclés, ta poitrine parfaitement moulé dans un tee-shirt noir qui te mettait en valeur. Et même furtivement, mon regard s’attarda un peu plus bas, sur une braguette qui me sembla un peu gonflée. Les explications terminées, je voulus t’offrir quelque chose à boire mais je ne me voyais pas te proposer uniquement un verre d’eau, Pierre n’étant pas revenu avec les courses. En vacances je fais très rarement de la cuisine mais par contre nous aimons prendre tranquillement l’apéritif ou boire un verre en soirée dans notre bungalow. Je me suis excusé auprés de toi et prétextant que j’avais rarement de la chance et qu’il arrivait souvent qu’un appareil réparé retombe rapidemment en panne, je te proposai de repasser à la fin de ton service pour faire une dernière vérification et boire un verre avec nous. Après une hésitation, car cela n’était peut-être pas habituel d’être invité par des vacanciers, tu acceptas et me précisa que tu finissais vers 19h00. Je t’ai donc proposé de venir vers 20h. Et quand tu es parti je n’ai pu m’empêcher de laisser mon regard s’attarder sur ta silhouette. Gros bisousCécile
Bonjour Cécile,
A l’accoutumé, j’aurais naturellement refusé de revenir pour des vérifications. Il est impensable que l’on repasse après notre propre travail dans ce camping, puisque nous sommes tenus à un travail dès plus sérieux, dans la mesure ou c’est le nombre de vacanciers qui agence le montant de notre chèque. C’est en tout cas ce que je me suis dis après coup. Mon esprit n’avait pas eut le temps de raisonner que ma bouche avait déjà eut le temps de s’exprimer ; Seule. Seule n’est pas tout à fait exact, cela faisait quelques minutes déjà que je sentais mon sang traverser l’ensemble de mon corps.Ce soir je dois me contrôler, nous ne serons pas seules. Son mari est là, et je ne dois pas le froisser. Elle m’a inviter à boire un verre, et c’est après ce verre que je les quitterai. Rien de plus. A quoi peut-il bien ressembler ? Il doit tout avoir pour lui cet homme pour charmer une femme aussi séduisante. Non Non Non tais-toi ! Cette femme à deux fois ton âge, jamais elle ne pourrait s’intéresser à toi. Si ses formes se sont révélées tout à l’heure ce n’était que pur hasard. A moins que ce couple soit du genre libertin ? Auquel cas nous pourrions... Non. Misère ! Service finie, la patronne me fiche enfin la paix. Des clientes se seraient plaintes de ma vulgarité ; Je bandais devant elles. Charmantes, mais trop superficielles à mon goût. Si elles savaient ce qui se tramait dans ma tête, elles auraient pris leurs jambes à leur coup. A 19ans on ne pourrait prétendre à la maturité sexuelle, cependant toutes ces femmes ne m’intéressent pas, je veux plus, beaucoup plus. La cabine de douche m’appelle. Il fait si chaud en cette période estivale que je pourrais passer ma journée dessous. Le thermomètre flirte encore allègrement avec les 30 degrés. Je me déshabille, rentre dans la douche, et fais glisser la porte à peine opaque pour me dissimuler du miroir. Je laisse couler sauvagement le jet d’eau sur mon visage, nu de toute pensée. Plus de chaleur, plus de sueur, plus d’hommes ni de femmes, plus de fantasmes, rien qu’un jet puissant et régulier recouvrant ma figure, ma poitrine, mes épaules, avants-bras, cuisses, genoux, le tout luisant d’un gel douche respirant la lavande. Mes mains descendaient le long de mon corps, sans qu’elles ne rougissent : Cou, pectoraux, abdominaux, sexe. Mes nombreux allers retour durèrent près d’un quart d’heure avant que je ne reprenne mes esprits. Toutefois il me fallut 5 minutes avant de me rhabiller. Je restais figé devant le miroir, à regarder chaque goutte s’étancher une à une.
Quelques minutes plus tard, je me lançais d’un pas décidé vers le bungalow le plus fantasmagorique du camping. Non sans une certaine sénérité, je m’étais armé d’une bouteille de Rottshield. J’arrive à votre porte. Je sonne.  Que va-t-il se passer ce soir ? Je n’en sais plus rien. Un homme vient m’ouvrir et se présente à moi :-" Pierre". 
-" Enchanté Je m’appel Gary ". Bel homme il faut l’avouer.Bisous à tout les deux
Bonjour Gary,J’entendis sonner, C’est Pierre qui alla t’ouvrir et j’entendis alors ton prénom. Gary ? Hum sympa c’est le premier Gary que je connaissance en réel et non au cinéma. Pendant que Pierre te faisait entrer et te proposait de t’installer dans un fauteuil de l’entrée du bungalow qui servait de salon, je finissais de me préparer à la salle de bain. Je ne savais pas trop qu’elle tenue porter, pas trop femme fatale pour un lieu de vacances mais suffisamment sexy pour ne pas te laisser indifférent. Nous avons déjà, à de nombreuses reprises, intégré un inconnu dans nos jeux amoureux mais rarement un jeune de ton age. Je voulais donc soigner mon choix vestimentaire. J’avais différentes mini-robes de plage bien courtes voire même transparentes, parfaites pour être portées sur un maillot de bain mais pas pour une soirée. J’écartais également une tenue que j’avais spécialement apporté avec moi pour une soirée prévue par Pierre à Barcelone dans un cadre libertin, donc franchement inadaptée pour une première soirée. Lespetites robes pour soirée sexy me paraissaient un peu trop femme pour un jeune de ton age. C’est donc après moultes hésitations que mon choix se porta sur une mini-jupette en jean et un top bleu pas du tout moulant, mais avec un décolleté plus que suggestif. Et comme je voulais te faire un maximum d’effet, je décidais de porter le tout sans soutien-gorge avec juste un petit string en lycra blanc. Par contre je su tout de suite que j’allais porter mes sandales à hauts talons qui affinent ma silhouette et surtout me donne une démarche chaloupée qui semble accrocher le regard de tous les hommes que je croise.Enfin Prête, je vins vous rejoindre. Je me suis approché, et puisque tu n’étais plus en service je t’ai fait la bise. D’abord sur la joue gauche puis délicatement, lentement, sur la joue droite mais à la commissure des lèvres. Pierre me fit alors remarquer que tu n’étais pas venu les mains vides et après t’avoir disputé pour cela, j’ai pris ta bouteille et suis parti à la cuisine, chercher les verres et la bouteille de Champagne que nous avions mise au frais. Sentant ton regard sur moi, j’ai accentué mon déhanchement pour faire voleter ma mini-jupette sur le haut de mes cuisses. Pierre te dit alors que ton choix avait été judicieux car j’adorais le Champagne et surtout qu’il me faisait beaucoup d’effet. Lorsque je revins de la cuisine avec la bouteille, les trois verres ayant déjà été mis sur la petite table, tu étais assis dans le fauteuil en face du canapé et Pierre sur ce dernier. Je nous ai servi en prenant bien soin de me pencher un peu plus que de raison, en te tournant le dos pour remplir ton verre, puis inversement, face à toi, proposant à ta vue mon large décolleté pour servir les nôtres. J’étais sure que tu ne pouvais plus ignorer que ma poitrine était libre de toute entrave. Puis je me suis assise à côté de mon mari, croisant largement mes jambes.Gros bisousCécile
Bonjour à vous deux,
Le début de soirée fut mitigé. Alors que Pierre m’avait très bien accueillit, je n’ai pas manqué l’occasion de froisser Madame. Dans un premier temps cette bise complice que tu m’offrais à l’entrée m’échaudais. Ce rouge à lèvre carmin n’avait d’égal que sa saveur que tu m’a proposé de goûter en flirtant brièvement avec mes lèvres, et cherchant à attirer ton regard vers le bas, je gardais mon précieux breuvage en dessous du nombril. Mais lorsque Pierre te la fit remarquer, cela n’eut pas l’effet escompté. J’étais dépité.Lorsque tu es partis mettre au frais cette bouteille symbolique, j’ai entre aperçu, un bref instant, la pureté blanche de ton cache sexe. Alors qu’il m’appelait au vice, en s’exhibant légèrement, il voguait au rythme de tes pas. Joie, amour, désir, plaisir sont autant de sentiment positifs que ne ce sont mes pensées en ce moment. Pierre esquissais déjà un léger sourire. Cet homme visiblement mûr, n’est sûrement pas idiot, et avait dû les croiser par centaines les jeunes hommes comme moi, à peine sortit des bancs de l’école, les hormones en ébullition, reluquant ça séduisante compagne. Hormis cet ersatz sucré sur son visage, il restait impassible. Cependant, c’est lui-même qui me rassurait au sujet du champagne , m’expliquant que c’était un excellent aphrodisiaque pour "elle". Je ne savais pas si il plaisantait ou non, mais l’atmosphère devenait immédiatement moins pesante. Et m’invita alors à m’asseoir.Avant que tu ne reviennes, Pierre et moi échangions nos attraits communs sur mon prénom ; lui m’évoquant les brillantes performances du célèbre Gary Oldman, moi lui relatant mon initiation à l’écrivain Romain Gary, et de ses adaptations au cinéma. Je me suis même surpris à discuter avec plaisir, le sourire aux lèvres, de la célèbre série des années passées : « Demain à la Une ». La discussion prit une toute autre tournure lorsque je pris le risque d’aller plus loin. En plaisantant, j’expliquais que ce prénom, dans son étymologie, évoquait : « un homme séduisant, respirant l’équilibre et l’harmonie. Discret et réservé il dégagerait beaucoup de mystères et aimerait le pouvoir et les biens matériels. Ambitieux donc ». Ce à quoi j’eus comme réponse surprenante de la part de mon interlocuteur : « Je vous avouerais que ce serait très amusant que vous possédiez ma propre femme. Je suis persuadé qu’elle serait enjouée d’appartenir totalement à ce mystérieux Gary ».Coupé dans notre élan par le retour de la maîtresse de maison, et hautement émoustillé par ces "aveux", je posais dès lors mon regard sur toi avec encore plus de minutie. Tout me fait ressentir de l’excitation et déforme mes pensées. Ce top bleu m’évoquait déjà le 7ème ciel, et tandis que tu remplissais nos verres, c’est bien plus qu’un regard qui s’offrait au mien, mais aussi décolleté plongeant. Je m’étais permis de me déchausser et de frotter mon pied, nue, contre le tien à l’abri du regard de ton mari, sous la table de salon. Cela ne dura que quelques instants, mais j’étais comblé. Une fois tout les trois assis, tes jambes croisées, le bras de Pierre t’enlaçant, et mon corps brûlant ; Pierre ressortais du placard notre discussion passée. Bien que je te voyais envoûté et me sachant d’autant plus charmé, j’étais pris de bouffées de chaleur. Et demandais à me raffraichir. Je m’excusais auprès de vous et traversait le salon jusqu’à la porte de la salle de bain. Me rinçant frénétiquement le visage, j’entendis toquer. C’était Pierre, il voulait me parler en privé. "Ne sois pas si gênée par la présence de ma moitié" me dit-il " elle ne mords pas, au contraire, elle prends bien soin de moi, et sûrement de toi aussi tout à l’heure. Elle ne l’a pas remarqué je pense, mais tu stress légèrement. Je le vois  sur ton visage, tu trembles". Je ne comprenais pas pourquoi il me disait tout cela. Pourquoi prendrait-elle soin de moi ? Ce n’est quand même pas de sexe qu’il parle ? ce serait fou....diablement excitant. Sans que je puisse prononcer un mot il finit par sortir en me laissant entendre que vous prendriez les choses en main.Libéré d’un poids, je ressortit littéralement décidé de la salle de bain, ce soir sera un bon soir. Et pour commencer, nous allons trinquer. Bisous à vous deux :) 
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