ERREUR DE DESTINATAIRE Ding ! Ma boîte mail se rappelle à mon bon souvenir. Je l’ouvre et découvre un message provenant de ma nièce. — Une petite vidéo qui te mettra en appétit. Ta petite fleur de lotus. Sabine. Etudiante en maîtrise à la Sorbonne, Sabine a une vingtaine d’années. C’est la fille de ma sœur cadette. Petite et mince, elle a des cheveux longs châtain clair. Très joviale, je la trouve plutôt mignonne. Au dire de ma sœur, elle fait un complexe sur sa poitrine qu’elle trouve trop grosse. Intrigué par sa signature, je clique sur la pièce jointe. C’est une sextape dans laquelle elle tient le premier rôle. Je me rends compte tout de suite qu’il s’agit d’une erreur d’aiguillage et que ce mail ne m’est pas destiné. Malgré tout, je prends plaisir à visionner l’ensemble de la vidéo. Elle l’a réalisée avec son ordi qu’elle a posé à même le sol. Sabine se tient debout en pyjama et commence à déboutonner sa veste. Ses gestes sont lents façon strip-tease. Deux seins en forme d’obus apparaissent et ses tétons grossissent à mesure qu’elle les pince. Elle regarde l’objectif et parle. — Alors, ça te plaît ? Elle abaisse alors le pantalon de pyjama jusqu’à mi-cuisses et glisse un doigt dans son entrejambe. Sa main va-et-vient sur sa toison taillée en triangle. Elle tire de chaque côté de la fente de son pubis et son petit bouton apparaît. Ses doigts titillent son clitoris de plus en plus rapidement et s’enfoncent de temps à autre au plus profond de sa grotte. Au bout d’un moment, elle retire sa main découvrant l’intégralité de sa chatte déjà luisante de mouille. — Tu veux que je continue ? Le pantalon de pyjama glisse à ses pieds et d’un geste rapide, elle le dégage du champ de l’ordinateur. Elle place deux doigts dans sa bouche et se met à genoux. Son sexe est à peine à trente centimètres de l’objectif m’offrant un magnifique gros plan sur sa chatte. Ses doigts enduits de salive rejoignent son pubis et pénètrent dans sa fente pour aller au plus profond de son vagin. Les mouvements de va-et-vient s’accélèrent, son corps s’anime de secousses et convulse de plaisir. Elle se relève, remet son pantalon et se baisse vers l’ordinateur pour lui parler à nouveau. — Pour toi, mon amour ! La sextape s’arrête sur l’envoi d’un baiser. Moins de cinq minutes plus tard, le téléphone sonne : c’est Sabine.
— Je viens de m’apercevoir que je t’avais envoyé un mail qui ne t’était pas destiné. C’est privé alors je te demande de ne pas l’ouvrir et de l’effacer tout de suite.— Trop tard, j’ai ouvert la pièce jointe et j’ai vu que ma nièce était une sacrée coquine.— Je suis majeure ! — D’accord, mais ce n’est pas malin, ça peut se balader sur les réseaux sociaux ! — C’était pour mon petit ami et celui-là c’est du sérieux.— Oui, jusqu’au prochain ! Et tu as fait d’autres sextapes ? — Si tu veux tout savoir, j’en ai fait une autre filmée par lui.— Tu es inconsciente.— Je sais, mais on en avait envie tous les deux.— Après tout, c’est ta vie.— Je compte sur ta discrétion et surtout pas un mot à mes parents.— C’est d’accord, mais à une condition.— Laquelle ?— Tu me transferts la deuxième vidéo. — C’est du chantage ! — Ce n’est pas moi qui ai écrit que ça me mettrait en appétit.— Là, tu vas me prendre pour une vraie salope.— Mais non, tu sais moi aussi j’ai été jeune.— Je te l’envoie tout de suite. Cette deuxième vidéo est réalisée avec une caméra reliée à un ordi portable placé devant elle. Allongée sur un canapé, la robe retroussée, sans culotte, elle commence à se masturber. Ses jambes sont relevées et on distingue bien son pubis ainsi que son petit trou. Tout en se titillant le clitoris, elle tient dans son autre main une bouteille en verre et la glisse petit à petit dans son vagin. Elle maîtrise parfaitement ses mouvements en se regardant dans l’écran d’ordinateur placé entre ses jambes. — Hum, oh oui, c’est bon ! Tout à coup, un homme nu apparaît dans le champ de la caméra et lui présente sa verge à moitié molle à sucer. Elle arrête de s’astiquer le clito et se concentre sur la queue qu’elle engloutit dans sa bouche. L’homme tient la caméra et fixe l’image sur le visage de Sabine. Sa queue est maintenant raide et s’enfonce jusqu’au fond de sa gorge de Sabine. Il se branle littéralement dans sa bouche. Au bout d’intenses aller-retour, il se recule et se masturbe au-dessus d’elle. — Continue de te branler, ça m’excite ! Il a posé la caméra afin d’avoir un champ plus large. Elle recommence à se tripoter le clito de plus en plus vite alors que la bouteille a stoppé sa progression. Elle et lui sont au même rythme. De temps en temps, il lui présente sa queue. Elle tourne la tête et lèche la tige avec gourmandise. Enfin tout s’accélère et l’homme éjacule une grosse giclée de sperme qu’il projette sur son visage. — Qu’est-ce que vous êtes rapide les mecs ! Tandis qu’elle reprend la masturbation de son clito, l’homme pousse le cul de la bouteille de plus en plus loin dans son vagin par de brusques à-coups. Ce qui n’est pas du goût de Sabine qui repousse cette main indélicate. — Laisse-moi faire. L’homme a repris le contrôle de la caméra et fait un focus entre les jambes de Sabine. Avec ses deux mains, elle enfonce doucement la bouteille au plus profond de ses entrailles. Puis la bouteille va dans tous les sens et les mouvements s’accélèrent pour devenir de plus en plus compulsifs. — Ça vient ! D’un coup, son corps se raidit et atteint l’orgasme. Quelques instants plus tard, elle se relâche, ferme les yeux, c’est fini. A aucun moment, je n’ai pu voir le visage de l’homme à qui elle parle. Il semble plutôt bien foutu pour ce que j’en ai vu. J’appelle ma nièce. — Tu es plutôt photogénique ! — Ça veut dire que tu as apprécié ? — Oui, et c’est qui lui ? — Oh, tu ne le connais pas, on est en fac ensemble et c’est mon petit copain.— Content que tu sois heureuse.— Au fait, puisque tu sembles aimer les vidéos amateurs, je vais t’en envoyer une autre.— Je croyais que tu n’avais fait que deux sextapes ! — Non, celle-là, c’est à l’occasion d’une fête organisée sur le campus et tu ne me verras pas sur les images.— Ah bon ? — Oui, c’est moi qui filme avec mon smartphone.— J’attends avec impatience ! — C’est comme si c’était fait. L’image est assez vacillante, mais permet d’avoir un bon aperçu de ce qu’il se passe dans l’appartement où vivent quatre filles en colocation. Après avoir traversé le corridor d’entrée, Sabine entre dans la minuscule cuisine où s’entassent filles et garçons qui semblent tous fortement alcoolisés. Ce sont des jeunes de 20-25 ans qui s’embrassent et se caressent au gré de leurs envies. Une fille est allongée sur la table. Plutôt forte, elle est habillée d’un jeans taille basse et d’un tee-shirt très court dévoilant le bas de son ventre grassouillet. Un dénommé Paul muni d’une bombe de crème chantilly lui en projette sur le nombril. — Sonia, je peux te filmer pendant qu’il t’en met partout sur le ventre ? — Pas de problème tant que je garde mon jeans.— Attends, je vais t’aider à relever ton tee-shirt. Avec sa main encore disponible, Sabine joint le geste à la parole. Elle tire sur le tee-shirt, le remonte jusqu’au soutien-gorge. Une autre fille passe derrière et soulève le soutif dévoilant des seins en forme de pamplemousse qui rebondissent sur les rondeurs de son ventre. Sonia empaume ses seins et les serre l’un contre l’autre. — Vas-y ! Le garçon envoie d’abord une grosse giclée sur chaque sein puis s’apprête à descendre sur le reste du corps. — Attends ! Je vais baisser un peu mon jeans pour qu’il ne soit pas taché. Elle déboutonne son jeans et l’ouvre sur une culotte blanche en dentelle. Paul vide alors le reste de la bombe sur l’ensemble de son ventre, débordant même sur la culotte. — Qui veut goûter ? Telle une meute, plusieurs garçons et filles se bousculent pour participer au festin. Attroupés autour de la table, ils lèchent le corps de Sonia. Certains étudiants en profitent pour mordiller l’élastique du slip et le font descendre plus bas et découvrant la presque totalité de sa chatte. Elle se défend et se relève. Sabine la suit quand elle se dirige vers la salle de bain. Le jeans et la culotte lui arrivent au milieu de son cul fesses dévoilant ses grosses fesses à l’image. — Il reste du chocolat liquide ! Qui se porte volontaire pour prendre sa place sur la table ? Après la brève image d’une rouquine en slip et soutien-gorge s’allongeant sur la table, Sabine quitte les lieux et va dans la chambrée. C’est une grande chambre composée de quatre lits simples disposés aux quatre coins de la pièce. Ils sont une dizaine d’étudiants à déambuler dans la chambre. Les cadavres de bouteilles jonchent le sol et une grande brune assez plantureuse est debout sur un lit. Elle commence à se déhancher et déboutonne lentement son chemisier. Un attroupement se forme devant le lit et l’encourage. — Allez Pauline, allez Pauline, allez ! Le chemisier enlevé dévoile deux magnifiques seins galbés dans un soutien-gorge en dentelle bordeaux. Par transparence, on devine des mamelons assez larges. Elle continue ses déhanchements et abaisse la fermeture éclair de son pantalon de cuir noir. — Le pantalon ! Le pantalon ! Le pantalon ! Elle désigne une petite blonde plutôt maigrichonne et lui fait signe de la rejoindre sur le lit. — Cindy, viens m’aider ! Cindy monte sur le lit et baisse de façon lascive le pantalon de Pauline qui se retourne vers le mur offrant à l’assistance la vue de ses deux grosses fesses bien fermes. Son string bordeaux est assorti à la couleur du soutien-gorge. Une main sur chaque fesse, elle les écarte dégageant bien sa raie et dévoile sa rondelle. Puis elle se tourne face à Cindy et lui ôte son débardeur. Celle-ci ne portant pas de soutif, on découvre sa poitrine qu’elle cache spontanément avec ses mains. Ses seins ressemblent à deux œufs sur le plat. Tout le monde est enthousiasmé du spectacle. Pauline s’adresse au groupe. — Je continue ? Elle n’attend pas la réponse. Elle se place à genoux et d’un geste brusque abaisse le minishort de Cindy. Le mini-slip descend en même temps. Son pubis entièrement rasé ressemble à un magnifique petit abricot. Les traces blanches laissées par le maillot de bain ressortent sur son corps bronzé. Vexée d’être nue devant tout le monde, elle se jette alors sur Pauline pour tenter de lui retirer ses sous-vêtements. Le groupe de jeunes est enthousiasmé par ce qu’il se passe. — Vas-y Cindy ! Elles roulent sur le lit et si Pauline est plus grande et plus massive, c’est Cindy qui l’emporte par sa souplesse et sa dextérité. Elles sont maintenant toutes les deux à poil et deux garçons s’avancent vers elles avec leurs queues en érection sorties du pantalon. Je suis aux premières loges, car ma nièce filme en gros plan les bouches happer les verges saillantes et les engloutir profondément. J’entends la voix de Sabine. — Alors les filles, elles sont bonnes ? Le groupe s’est maintenant éparpillé dans la chambrée. Sabine continue de filmer. Elle a laissé les deux mecs se faisant sucer par Pauline et Cindy pour faire un plan général de l’ensemble de la pièce. Deux filles dansent collées serrées dans un coin. Elles sont en mode topless et s’embrassent à pleine bouche. Leurs caresses respectives ne laissent planer aucun doute sur leurs préférences sexuelles. Elles ont toutes les deux la peau très blanche. Leurs mains vont et viennent sur leurs seins pour descendre ensuite sur leurs jupes courtes qu’elles se relèvent mutuellement. Un string pour l’une et une culotte de coton pour l’autre. J’en suis tout excité. J’aurais souhaité en voir plus, mais Sabine s’approche d’un autre lit. — Eh ben Léa, je vois que ça va pour toi ! Des cheveux courts noir corbeau, des tatouages et des piercings partout, Léa est entreprise par deux individus également tatoués. A quatre pattes sur le lit, elle suce un roux obèse et barbu pendant que l’autre gars est derrière elle. Sabine pivote pour observer ce qu’il fait. Ses deux doigts sont plantés dans la chatte poilue de Léa. Son autre main caresse le cul de Léa. Il lance un regard de défi à Sabine. — Regarde ! Il sourit à l’objectif et plante son majeur dans l’anus de la fille. Le doigt tournicote dans le petit trou et s’enfonce de plus en plus profondément. Léa n’est pas contente et interrompt sa fellation. — Ah le salaud ! — Arrête, je sais que ça te plaît !— Qu’est-ce que tu fous, viens t’amuser avec nous ! dit Léa avant de reprendre en bouche la bite délaissée de son rouquin. Sabine fait la sourde oreille et se dirige vers le troisième lit. On y voit trois jeunes gars se dandiner devant une magnifique métisse. Elle est assise sur le lit et suce une queue pendant qu’elle branle les deux autres. Un gros plan sur chaque cul avant de voir à l’image les trois bites en action. Sabine se penche et avance sa main dans l’entrejambe du premier. Elle lui caresse les couilles, les malaxe la queue grossit de plus belle. On l’entend dire. — Suce-moi ! — Non, je ne peux pas tout faire ! Elle passe au suivant et lui tripote ses burnes produisant le même effet puis fait la même chose au troisième larron. La métisse félicite Sabine. — T’es vraiment une experte en boule ! Sabine pivote à présent vers le dernier lit où est installé un couple en position 69. La fille est en dessous et masse les fesses de son partenaire. On voit son doigt glisser dans le sillon des fesses. Il ne se laisse pas faire et le resserre. Tel un combat de catch, il se retourne et c’est maintenant le cul de la fille qui nous fait face. C’est une blonde assez athlétique avec de longs cheveux raides. Très énergique, elle suce le membre avec avidité. Ses petits seins en forme de banane dansent et balancent en rythme. Sabine tourne autour d’eux et nous fait profiter un max des protagonistes. Tandis qu’il mordille le clito tout en lui écartant les fesses, elle lui suggère d’aller plus loin. — Enfonce ton doigt ! On voit l’index du gars approcher la petite rondelle puis s’enfoncer petit à petit dans l’anus. Il est rapidement rejoint par un deuxième doigt. La fille tout excitée suce de plus belle et sa main caresse frénétiquement les bourses du mec. Ils accélèrent leurs mouvements et leur jouissance survient en même temps. Elle est toujours en train de filmer avec son smartphone quand elle passe devant un miroir. Elle est en petite culotte, les seins à l’air. C’est vrai qu’ils sont appétissants. J’aperçois une tache de mouille au niveau de son pubis. Un grand black, complètement nu, la queue dressée vers le ciel, s’approche d’elle. — Dis donc, tu ne crois pas que tu vas t’en tirer comme ça, espèce de petite voyeuse. L’image oscille et va dans tous les sens. Avant de s’arrêter définitivement, on distingue une dernière image : les doigts de Sabine entourent la queue large et épaisse du black.
