Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 17 J'aime
  • 5 Commentaires

escalade

Chapitre 1

Divers
EscaladeEscalade Coupleur
Nous sommes un couple de 57 ans. Nous sommes connus à l’école et, aujourd’hui, cela fait 40 ans que nous sommes mariés. Nous avions et avons toujours une sexualité assez débridée. Nous avons connu et tenté plein de choses. Je pourrais vous parler de tous les jeux que nous avions entre nous. Là, je vais revenir sur notre premier trio avec un autre homme.Martine, mon épouse, était partagée entre l’envie et la crainte. Si cela se faisait, ce serait la première fois qu’un autre homme poserait les mains sur elle.Nous avons passé une annonce sur swing magazine. Quelques échanges de lettres avec l’homme que nous avions choisi. Et rendez-vous fut pris à mi-chemin entre chez lui et chez nous. Nous avions choisi de le rencontrer dans un bar. Cela nous permettait de tout arrêter si pas de feeling.Martine se prépare, elle passe une jupe portefeuille qui a tendance à découvrir ses cuisses gainées de bas que soutient un porte-jarretelles ; malgré mon insistance, elle a préféré passer une culotte. En haut, un petit chemisier accroche-cœur un peu trop échancré couvrait sa poitrine de 95c que maintenait un soutien-gorge balconnet. Je la trouve belle, désirable et sexy au possible. Sa lèvre pulpeuse et peinte un peu trop rouge font rêver.Dans l’auto, j’ai du mal à garder les mains sur le volant. Il me suffirait de faire sauter ce bouton pour que sa jupe la quitte, et ce chemisier juste retenu par un petit nœud. Heureusement que nous arrivons.Un bonjour gêné et nous allons boire un café. L’ambiance se détend ; nous causons de tout et de rien. Il dévore ma femme des yeux et fait un immense effort pour se contrôler. Martine joue à la coquette. En rajoute même. On ne voit pas le temps passer et il nous propose d’aller nous faire un petit resto. On le teste.« Alors ma puce, qu’en pense tu ?Sais pas, il est très sympa.Il te dévore des yeux.Oui, j’ai senti. Ça me gêne.Seulement ?Non, ça me fait chaud.On continue ?Ne sais pas. Allons manger, on verra bien.Je sentais sa défense s’émousser de plus en plus. C est tout naturellement que Martine se retrouve assise à côté d’Alain, en face de moi. On cause comme de vieux amis. Souvent Alain pose furtivement sa main sur le bras ou l’épaule de ma femme. Parfois même, elle disparaît brièvement sous la table. Une douce excitation s’empare de moi. Ma femme se laisse aller de plus en plus. Les gestes d’Alain se font de moins en moins brefs. Il s’attarde de plus en plus sur ma femme. Cela m’excite. Il remet précipitamment la main sur la table en me voyant revenir des toilettes. Ma femme, son regard rivé sur le mien me fait un immense sourire. On se retrouve finalement vers nos autos. Lorsque Alain dit :« On pourrait peut être aller prendre une coupe quelque part.Allons à la maison, on en a au frais ».Je suis sidéré ; c est ma femme qui vient de répondre.« OK allons-y.Dédé, cela t’ennuie si Martine monte en voiture avec moi ? Comme ça, si l’on se perd, elle pourra toujours me montrer la route.Qu’en penses-tu, ma chérie ?Oui, c’est plus prudent.    Elle se dirige vers sa voiture. Je les regarde monter. Je mets quelques minutes avant de démarrer et passe devant eux. J’ai les yeux fixés au rétro. Il me semble les avoir vus s’embrasser dans le faisceau de mes phares. Mille questions m’assaillent. Que font ils ? Essaie-t-il de la caresser ? Je bande comme un fou.et s’il la touche ? Va-t-elle accepter ? Non, pas le genre de Martine. Et pourtant, elle n’a rien dit au resto. Cette robe et ce chemisier qui la protégeait si mal. Non, tout de même pas dans l’auto. Je bande à en avoir mal. Je roule doucement ; pourtant, il suit mal. Mais que font-ils ?J’arrive chez nous. J’ai le temps de sortir les coupes et le champagne avant qu’ils n’arrivent. Martine entre, me regarde un peu gênée. Je l’observe, plus de rouge sur sa bouche ; elle tient son manteau ; elle s approche de moi et bise ma bouche en me murmurant : « je t aime ». Je ne retrouve pas son odeur. Tout de même ! Elle ne l’a pas... ? Mais déjà, il est là. Malgré moi, mes yeux se porte sur sa braguette qui est ouverte. Je sers le champ. Et, me retournant, ils sont là, debout, s’embrassant à pleine bouche. Je vois ses mains courir sous le manteau de ma femme, remonter sur ses épaules et le faire glisser. Oh ! Elle n’a plus que ses bas. J’ai l’impression que je vais décharger ; la coquine ! Elle s s’est laissée dévêtir dans l’auto. Je suis figé devant ce spectacle ; je vois la main d’Alain se glisser entre ses cuisses qu’elle entrouvre pour lui faciliter le passage ; les mains de ma femme s’activent sur sa ceinture, et c’est elle qui lui met la queue à l’air. Elle le branle, ma femme branle un autre homme. Je m’approche, elle le lâche, se tourne et, à mon tour, m’embrasse comme si elle voulait se noyer en moi. Je vais chercher sa chatte que je trouve trempée et occupée par les doigts d’Alain. Elle se cambre, se frotte sur la queue d’Alain. Elle est si mouillée et ouverte. Malgré moi, j’ai obstrué sa chatte avec ma main ; je sens sa queue qui cherche à se frotter. Lentement, j’écarte ma main, son gland force un peu. Les yeux de ma femme sont rivés aux miens et j’entends son râle.Oh ! Chéri il entre, il s’enfonce, il me la met, il me baise.     Alain ne bouge pas, il s’enfonce jusqu’aux couilles dans la chatte de ma femme. Je retiens la main de Martine, je crains de jouir trop vite. Alors, elle fait glisser sa tête le long de mon torse et vient emboucher ma queue. Et c’est elle qui commence à s’agiter sur la queue d’Alain. Le rythme s’amplifie ; ma puce s’agite comme folle sur ce membre qui n’est pas le mien, s’enfonce au plus profond d’elle. Je n’en peux plus et me répand dans sa bouche. Elle ne laisse rien perdre. Avale tout. Alain, enfoncé dans ma femme, s’écroule sur le canapé mais il pousse un râle en se vidant dans la chatte de ma femme. Martine le reçoit en jouissant. Il sort lentement d’elle. Ma femme reste ainsi, les cuisses ouvertes, le sexe béant laissant échapper le foutre d’Alain. Ma femme reste ainsi alanguie, repue. Je la trouve belle et désirable au possible. Ce n’était que le début de cette soirée et de nos aventures. Si vous souhaitez la suite, à vous de me contacter.
Diffuse en direct !
Regarder son live