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L'escalier de la luxure...ou comment j'ai découvert que ma femme était une salope !

Chapitre 5

Le dressage de ma femme en soumise...

SM / Fétichisme
Mon père s’approcha d’une Cécile terrifiée. Ma mère la maintenait par les cheveux, en lui plaquant la tête sur la table. Elle lui tourna la tête lorsque mon père sortit son sexe.
“ Alors tu la connais la queue de mon marie , hein petite pouf ?
-Oui…
-Oui MADAME !  ( nouvelle gifle); tu comprends pas quand on t’explique les choses ou alors ... tu aimes que je t’humilie et que je te frappe ?
-Ouiiii…

-Booonnn… tu vois Franck, je crois qu’on a trouvé la petite salope de nos rêves. N=° 9 était jolie mais pas très futée et réceptive , mais alors celle-la ! Tiens faudra que je remercie mon fils de s’être marié avec cette petite pute ! “

Ma mère lâcha Cécile et prit un torchon qu’elle imbiba d’eau . Avec, elle commença à fouetter les fesses de mon épouse . Celle-ci se mit à crier .
“ Non tu n’as pas le droit de crier. Tu te retiens ou je frappe encore plus fort !
-Ahhh...oui madame !
-Ah je vois qu’on devient plus obéissante ! Alors tu aimes la sodomie ?
-Non madame.( un coup beaucoup plus fort que les autres ).  Aahh ! Oui oui, madame j’adore la sodomie !
-Tu vois quand tu veux N=° 10 ? Tu regrettes d’avoir couché avec mon mari ?
-Non !
-Petite pute, je vais avoir mal au poignet à force ! “

Et le cinglage des fesses reprit de plus belle. Cécile parvenait parfois à se retenir de crier, et parfois laissait fuser des plaintes, qu’il était difficile de qualifier de souffrance ou de jouissance. J’étais abasourdi par le spectacle. Je n’aurais jamais cru cela de ma femme. Elle se laissait humilier, maltraiter et frapper, et elle aimait ça. Au contraire, elle faisait exprès de défier ma mère pour recevoir encore plus de coups ! Je commençais à comprendre maintenant d’où venaient nos problèmes conjugaux. Cécile  avait besoin d’être dominée et de souffrir, pour pouvoir prendre son pied, comme la suite allait me le montrer…

Quant à moi, j’étais le jouet d’une excitation extraordinaire. Voir mes parents humilier et maltraiter ma femme, et la baiser bientôt, me procurait un plaisir complètement malsain, mais implacable. En un sens moi aussi j’étais le jouet de la perversion de ma mère; il n’y avait pas un/e soumis/e dans la pièce mais deux ...Portant la main à ma verge, je commençais à me masturber, et pris très vite mon plaisir devant la scène surréaliste qui s’offrait à moi.  Je ressentais certes un sentiment de malaise et de honte extrême...mais aussi tellement de plaisir et de jouissance, comme jamais avant, peut être. Tout cela m’excitait vraiment trop, et je savais que cela deviendrait très vite une drogue , une drogue dure ! J’avais dès ce moment besoin de voir ma femme se faire baiser, humilier et soumettre ! Je savais que j’étais complètement fou ou lubrique ou pervers, mais je ne pouvais m’en empêcher. Cela était plus fort que moi ! Pour rien au monde je ne serais intervenu pour faire cesser cette scène d’orgie inqualifiable… pauvres humains , nous sommes décidément l’esclave de nos perversions et de nos fantasmes !

Cécile criait maintenant à gorge déployée , elle ne se retenait plus sous les coups de torchons humide qu’elle prenait sur les fesses. A un moment Josiane satisfaite, caressa le cul de ma femme, rougi à l’excès.  Mon père attendait toujours sans mots dire, la queue en érection prés de ma femme.
“ Franck au lieu de rester planté comme ça, tu attrapes le beurre, et tu en tartines le fondement de ta salope de bru, fesses et œillet…on va rejouer le “Dernier tango à paris “. Et moi je vais faire une petite surprise agréable à ma chère esclave, dont je commence à être très contente. Après l’effort le réconfort. “
Mon père prenant du beurre sur ses doigts, commença à masser les fesses endolories de Cécile avec, et puis s’intéressa au petit œillet. Cécile se tortilla quand elle sentit le premier doigt inquisiteur forcer son petit trou d’amour.
“ Tu vas voir tu vas adorer ça, petite pute !”
Ma mère s’était approchée très près du visage de Cécile, et lui avait murmuré à l’oreille. Lorsque mon père eut terminé la préparation du petit trou de ma femme, il avait réussi à faire pénétrer au bord deux doigts, et avait bien graissé l’orifice avec du beurre, ma mère la fit asseoir sur la table, les cuisse toutes grandes écartées, et le sexe béant .
“ Regarde ce qu’elle est excitée mon esclave ! Sa petite chatte est toute ouverte et ses lèvres brillent de cyprine. Tu as aimé la séance de cinglage ? Avec un serviette mouillée c’est pas mal, mais rien ne vaut le martinet ou le fouet tu verras….
-Oh oui madame, j’ai beaucoup aimé cela. j’ai eu mal mais j’ai joui aussi...vous allez vous intéresser à ma petite chatte ?
-( Une gifle sur le sein droit ), tu parles trop n=° 10, ici c’est moi qui pose les questions.
-Oui madame .”

Ma mère lui présenta un concombre, qu’elle verrouilla dans sa vulve en tournant le légume. Ma femme commença instantanément à ahaner .
“ Ouiiii madaaaaammmeeee, c’est trop bon ce que vous me faites ! Je vais jouuuuuiiiir !
-Tu vois que je peux être douce quand je veux. Il en sera toujours ainsi si je suis satisfaite de toi . Tu connaitras des orgasmes fantastiques grâce à moi .”
Cécile jouit rapidement et bruyamment sous l’action du gode improvisé. Décidément ma mère avait une imagination débordante et faisait montre d’un certain pragmatisme pour faire jouir ou souffrir ses soumises… j’avais hâte de voir ce que cela pourrait donner dans la pièce idoine, avec les instruments adéquats. Car j’imaginais très bien que ma mère allait emmener sa soumise dans son donjon , chez mes parents… puis Cécile dut se retourner pour offrir son cul à mon père, qui la sodomisa doucement et lentement; après quelques soupirs, certainement d’inconfort ou de souffrance, Cécile paraissait assez dilatée, car mon père commença à le limer de façon rapide. Et alors ma femme, qui n’avait jamais voulu m’offrir son cul, commença à gémir et crier , de plaisir cette fois ci .
“ Ho mon dieu c’est trop bon! Vas-y baise moi le cul. Tu me fais du bien !
-( Cécile reçut une gifle) .Tais toi sale pute . Il n’y a qu’avec moi que tu puisses exprimer ta jouissance. Avec mon mari, que tu vouvoieras, salope, et que tu appelleras "monsieur", tu dois retenir ton plaisir.
-Oui madame. “

Et de là où je me trouvais, je voyais ma femme, enculée par mon père, se retenir de crier de plaisir, et se mordant les lèvres. Enfin mon père déchargea dans son cul et Cécile connut elle aussi un orgasme, qui l’obligea à exhaler une longue plainte de plaisir. Ce sur quoi, ma mère lui pinça violemment un sein. Cécile ressentait à la fois souffrance et plaisir en même temps.

Remise de ses émotions et toujours nue, ma mère lui ordonna de finir la vaisselle, nettoyer la table souillée avec le beurre, et enfin de leur servir le petit déjeuner. Ce qu’elle fit avec un tablier de soubrette sur son corps nu. A genoux à côté de ma mère, qui mangeait, elle attendait les ordres comme une chienne fidèle. Et ma mère lui fit avouer qu’elle avait bien prémédité son coup avec mon père, et qu’elle était sûre de se faire pincer par ma mère…

Relativement peu étonné par cette confession, je me disais quand même, que certaines femmes avaient un imaginaire érotique très particulier … Une fois mes parents partis faire des courses avec ma femme, je sortis de mon placard, un peu ankylosé, et pantalon et caleçons souillés. La journée se passa sans autre incidents. Le soir à table il aurait été très difficile d’imaginer ce qui s’était passé le matin...pourtant en fin de soirée, le comportement de Cécile fut très intrigant ...
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