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L'escalier de la luxure...ou comment j'ai découvert que ma femme était une salope !

Chapitre 6

Cécile veut devenir une esclave plus qu'obéissante...

SM / Fétichisme
“ Fabrice, il faut qu’on parle… “
Ma femme était à côté de moi dans le lit, elle venait de couper l’éclairage, nous étions dans un noir absolu...situation idéale pour faire des confidences. Je me demandais bien ce qu’elle avait à me dire: l’exposé de la vérité, et de ce qui s’était passé ces deux derniers jours, me paraissait plus qu’improbable !
“ Je t’écoute ma chérie …
— Et bien voilà , j’ai fait la “paix “ avec ta mère .
— Une bien bonne chose !
— Et je lui ai parlé de nos problèmes de couple. Elle accepte de m’aider à me débarrasser de certaines de mes inhibitions avec toi . Mais pour cela je dois accompagner tes parents chez eux , pendant une durée indéfinie . Es tu d’accord ?
— Tu es sûre de ton choix ?
— Oui !
— Et si je dis non ?
— J’irai quand même !
— Très bien, alors vu le manque de choix proposé, je me demande bien pourquoi tu me proposes une alternative qui n’existe pas ...très amusant ne trouves-tu pas ?
— De toute façon, tu fais toujours des complications pour des choses simples… Tu n’as pas confiance en tes parents ?
— Si bien sur, mais tu sais bien qu’ils peuvent être imprévisibles et parfois bizarres. Tu te souviens de ce que je t’ai raconté sur leurs fantaisies sexuelles ?

— Voyons tu n’oses quand même pas penser que si je vais avec eux, ils me feront de telles choses ? Je suis ta femme quand même ! Tu cherches à me faire peur pour me garder sous ta coupe ?
— Pas du tout...t’imaginer à la place de “numéro 9” m’amuserait beaucoup, je dois bien l’avouer ! N’est-ce pas “numéro 10” !
— Mon dieu, tu es aussi abject que ta mère ! Je suis sûre que m’imaginer en tenue de soubrette, à quatre pattes, un collier de chienne autour du cou, et tenue en laisse par ta mère te ferait bander ! TE fait bander salop ! ( Cécile avait descendu sa main au niveau de mon entrejambe pour vérifier mon état d’excitation sexuelle .)
— Et toi, mouiller ! ( J’avais la main entre ses cuisses et elle était déjà toute humide .)
— Baise-moi ! Baise-moi de façon crade, dis moi des saloperies; dis-moi ce que tu voudrais que ta mère me fasse !

— Chiche, espèce de petite trainée ! “

Et je me plaçai sur le dos, attirant ma femme sur moi. Je sentis qu’elle se débarrassait de sa nuisette pour être nue sur moi, à califourchon sur mon sexe en érection. Elle s’introduisit mon mandrin dans sa fente et soupira de contentement. Elle commença alors à me chevaucher sauvagement, tandis que moi je donnais des coups de reins pour la bourrer au maximum. Le rapport fut très sauvage et très profitable pour tous les deux. Cela ne ressemblait pas du tout à ma femme de se conduire ainsi, et de se laisser aller à sa libido et à ses pulsions érotiques.
Je décidai de la pousser dans ses retranchements, et de voir jusqu’où elle serait capable d’aller sous la férule d’acier de ma génitrice ... je jouais donc le jeu des questions-réponses, pour lui faire avouer tous ses fantasmes plus ou moins avouables. Je la sentais dans un état d’exaspération sexuelle si intense que toutes ses réponses apparaîtraient comme très proches de la vérité. Entre deux coups de reins et gémissements de nos deux êtres, je commençai “light” :
“ Ma mère ...hummm… t’ordonne de les servir, elle et mon père, en petite tenue très sexy, voir toute nue… oh putain c’est bon !
— Hann… Ouuuiii… je les sers à poil, je fais le service, leur apporte le café, en petit tablier et porte-jarretelles sans rien d’autre... contiiinuuuuue !
— Mon...père te tripote les nibards, pendant que tu lui verses le café, et ma mère te doigte la chatte  ! Comment elle est ta chatte ?
— Mhummmm … elle m’a rasé tous mes poils…je suis toujours super excitée de me balader à poil devant eux ! Oh putain ouiiiii ! Ça m’excite ! Je suis toujours toute mouillée quand je fais le service ! Oohh oui ! Les doigts de ta mère dans ma chatte toute humide. C’est trop boooonnn !! Aahhhhh !! “

Cécile jouit, un orgasme relativement étonnant pour mon épouse qui en avait peu, d’habitude...Mais plus étonnant encore, elle ne quitta pas sa position de cavalière sur mon phallus en érection. Je conservai mon calme, respirai un bon coup et bloquai ma respiration pour éviter d’éjaculer. Cécile reprit les mouvements de son bassin... je lui fis diminuer la cadence en la bloquant avec mes bras. Et continuai mon “interrogatoire” :
“ Tu baiserais avec eux...je veux dire en même temps ?
— Oui ! Si ta mère m’y autorise, je serai leur jouet sexuel. Je les rejoindrai dans leur lit, et ferai tout ce qu’ils me demanderont !
— Tout ? C’est à dire...précise !
— Ils me baiseront, par tous les trous, ton père évidemment et ta mère avec un godemichet, un bien gros. Et je n’arrêterai pas de jouir !
— Tu les laisserais même t’enculer ? Ce que tu me refuses toujours à moi ?
— Oui ! Je veux qu’ils m’enculent sauvagement. Ta mère me prendra au gode-ceinture pendant que je sucerai ton père...mhummm ce sera trop bon ! Être ainsi leur chose, leur esclave sexuelle ! Oh ouiiiii ! ( Cécile venait d’avoir un second orgasme...visiblement le fantasme lui faisait de l’effet )
— Et y aura-t il des tiers ?
— C’est à dire ?
— Ben ...humm...je sais pas moi, des personnes à qui tu seras offerte sexuellement ? “

Ma femme avait repris un rythme de chevauchement assez déroutant. Je faisais tout mon possible pour ne pas jouir tout de suite moi aussi. En gémissant de plus belle, elle lâcha la bride à son imagination et sa parole se libéra...un peu trop même !
“ Mhummmm...oui, oui, continue, je la sens bien ta grosse queue! Je serai offerte à un groupe de trois blacks bien membrés...ta mère m’a dit qu’ils me sodomiseront, m’enculeront à fond avec leurs grosses queues ! Putain oui ! Ouiiiiii ! Je serai offerte lors de leurs orgies. Tout le monde pourra profiter de mes trous alors que je serai attachée !
— Ohhhh! Mon dieu ! Et ...et tu les laisseras faire ?
— Oui, oui, ouuuiiii ! Je serai la salope, la pute de ta mère et ça me fera trooopp de biennnn ! Ta ...taa … mère m’a dit qu’elle me donnerait à un chien ...ahh...anhh. Putain me faire prendre par un chien !!! Vas-y,  je viennnsss ! “

Cette fois-ci je ne pus me retenir plus longtemps, et nous jouîmes de concert. Nos corps étaient en sueur. Il y avait bien longtemps que nous n’avions pas baisé ainsi. Tout avait été très hard, le rythme de notre étreinte, de même que les fantasmes délirants de ma femme ! J’étais un peu abasourdi par tout ce qui avait été dit...mais je devais bien avouer que l’idée même de tous ces fantasmes avait décuplé mon énergie sexuelle, et ma jouissance. Il en était de même pour ma femme. Cette dernière se sépara de moi et tomba tout de suite dans un profond sommeil.
Je ne m’endormis pas tout de suite; je repensais à tout cela. De toute évidence Cécile était déjà psychologiquement sous une domination totale. Un peu amer, je me demandais ce que j’aurais pu faire pour obtenir un semblable résultat. En tout cas ma femme avait fait des “aveux complets”. Elle se délectait à l’avance de son statut d’objet sexuel, et elle était prête à aller très loin...trop peut être !

Le lendemain, à mon réveil ma femme n’était plus à côté de moi. Je la rejoignis dans la cuisine, et l’embrassai tendrement. Mes parents n’étaient pas encore arrivés. Son accueil fut glacial :
“ Tu me dégoûtes ! Je ne sais pas comment tu as pu m’écouter dire toutes ces horreurs hier ! Et tu en as joui. Tu es complétement désaxé sexuellement. Je ne veux plus rien avoir à faire avec toi. Pour le moment du moins. Cette séparation nous fera le plus grand bien !
— Mais... mais, c’est toi qui …
— Tais-toi, tu es un vicieux lubrique ! Je te conseille vivement de te faire soigner, si tu veux que nos relations retrouvent une sérénité à mon retour ! Je ne veux plus jamais évoquer ce qui s’est dit entre nous deux hier. Tu as profité de ma faiblesse ! “

Un peu estomaqué, je gardai le silence le reste de la matinée, c’était dimanche et mes parents, après avoir fait leurs bagages, de même que ma femme, me dirent au revoir.Ma mère me dit que j’avais eu raison de permettre à ma femme de les accompagner, et qu’ils s’occuperaient bien d’elle. Cela, je n’en avais aucun doute !
Je regardais la voiture s’éloigner avec ma femme à son bord, qui allait accomplir son destin. Pour le moment je n’avais pu esquisser la moindre défense, ni élaborer de stratagème pour la tirer de ce mauvais pas. “Ce que femme veut …”
Difficile de résister, j’avais tout le monde contre moi. Mais je savais que j’allais bientôt reprendre la main. Restait à trouver comment, mais pour le moment aussi profiter de la situation. Car je savais que, ou bien ma mère ou bien ma femme, l’une comme l’autre, ne pourraient s’empêcher de donner quelques détails, plus ou moins croustillants, sur les aventures sexuelles de Cécile…cela pour bien m’humilier un peu plus, et me faire comprendre que je ne contrôlais plus rien dans mon couple !

Néanmoins, pour l’avenir : “ souviens-toi du Vase de Soissons !”
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