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L'escalier de la luxure...ou comment j'ai découvert que ma femme était une salope !

Chapitre 7

Cécile est devenue Numéro 10 !

SM / Fétichisme
La bouteille de Jack Daniel’s sur la table, le regard vitreux, une cigarette aux lèvres, je me remémorais la veille du départ de ma femme... Trois jours avaient passé !Certes, j’en avais pris plein la gueule, j’avais été humilié plus que de raison par Cécile, ma femme, ma mère et mon père... quoique lui était plutôt dans la position du suiveur ! Ma femme avait tout le temps évité mon regard à table... cela ne lui ressemblait pas le moins du monde ; mais moi je comprenais pourquoi... vu la petite séance à laquelle elle s’était livrée ce matin-là, avec ma mère, et la veille avec mon père, elle devait en concevoir une gêne bien compréhensible vis-à-vis de moi !
Dans la chambre, très ennuyée, elle m’avait dit qu’elle devait me parler.Ma femme était à côté de moi dans le lit, dans un noir absolu... situation idéale pour faire des confidences. Je m’étais demandé ce qu’elle avait à me dire.Je revivais le dialogue en "live", essayant de trouver une issue à cette catastrophe !

Pour l’essentiel, elle m’avait déclaré qu’elle se sentait mal dans sa peau avec moi, et qu’elle avait besoin de faire un break. Et comme ma mère, éprouvant de la compassion pour elle, et lui ayant accordé une oreille attentive, lui avait proposé de venir passer quelques jours chez eux... elle avait accepté.
J’avais reçu l’info comme un direct à l’estomac :
— Mais que vas-tu faire chez mes parents ? Je pensais que tous nos problèmes de couple provenaient de tes conflits avec ma mère ?— Je dois accompagner tes parents chez eux. Et justement, non seulement ce séjour à la campagne sera bon pour moi, mais en plus, je pourrai discuter franchement avec ta mère !— Tu es sûre de ton choix ? Mais elle va te...— Quoi ?!
J’étais resté coi, trop abasourdi par la nouvelle.
— T’exploiter sexuellement, te mettre en esclavage.
Cécile prit mon désarroi pour de l’angoisse, la peur de la perdre...Mais non, j’avais réellement peur pour elle, de la créature qu’ils allaient faire d’elle ! J’avais vu la transformation de N=° 9, qui était passée de jeune femme innocente et pure, à femme soumise, dévoyée, ouverte à toutes les perversions sexuelles, qui étaient devenues sa drogue, sa raison de vivre !
— Et si je dis non ?
— Il y a un problème Fabrice ?— Je ne veux pas que tu y ailles. Je t’ai expliqué que mes parents étaient un peu spéciaux... ma mère est une femme très dangereuse. Tu sais bien qu’ils peuvent être imprévisibles et parfois bizarres. Tu te souviens de ce que je t’ai raconté sur leurs fantaisies sexuelles ?— Attends... j’ai peur de comprendre ! Tu ne crois quand même pas que ta mère va me faire participer à leurs saloperies ?!— Ben...— Nooonnn... tu crois cela possible ? Que ma mère fasse de moi son esclave sexuelle... comme cette pauvre fille dont tu m’avais parlé ? Attends, c’était quoi déjà... numéro...— 9 !— Tu penses vraiment que ta mère deviendrait ma maîtresse et moi...— Numéro 10 !— Putain, mais tu le penses vraiment en plus, dit-elle avec un air goguenard.— Tu ne connais pas la force de persuasion de ma mère !— Voyons Fabrice, tu es son fils, je suis ta femme...— Qu’elle a toujours haï et jalousée !— J’irai quand même ! Voyons, tu n’oses quand même pas penser que si je vais avec eux, ils me feront de telles choses ? Je suis ta femme quand même ! Tu cherches à me faire peur pour me garder sous ta coupe ? Attends, tu penses que ta mère a toujours eu envie de te mettre dans son lit... et que sa vengeance serait de coucher avec moi, et de faire de moi son objet de plaisir.— Avec elle, rien n’est impossible. Je t’avoue que cette situation m’angoisse énormément !— C’est monstrueux que tu puisses penser cela de moi ! Me livrer à tes parents comme une chienne en chaleur ! Coucher avec eux deux, faire toutes les horreurs que tu m’as racontées ! Tu es complètement cinglé ! Tu es abject de penser cela de moi, ta femme qui a toujours été fidèle et pas du tout vicieuse ! "

La situation m’échappait complètement.Nu sous les draps à côté d’elle, habillée d’une nuisette relativement correcte... je ne savais plus quel ton adopter.La supplier de ne pas y aller ? Faire le mec indifférent ? Ou bien la mettre au défi... quelle était la bonne décision ? Au final, je fis peut-être un peu des trois à la fois...
— Ah ça, vicieuse, on peut dire que tu ne l’as jamais été... du moins avec moi !— Ça veut dire quoi ça ? Tu penses que je t’ai déjà trompé... ou tu penses que je suis une fille frigide qui n’aime pas le cul ?— Ce n’est pas ce que j’ai voulu dire...
Je m’enfonçais de plus en plus. Je pataugeais littéralement dans la semoule ! Et ma femme commençait à devenir hystérique ; sa bouche se tordait en un rictus de haine à mon égard, et sa voix était montée de 3 octaves !
" Putain, mais c’est ça ! Tu me prends pour une niaise, une conne frigide incapable de baiser avec qui ce soit et de jouir !Oui avec toi, j’ai jamais joui ! Comment veux-tu que je respecte un mari qui s’humilie toujours devant sa mère, qui ne défend pas sa femme quand elle se fait maltraiter par sa belle-mère ! Attention, Fabrice, tu prends des risques... tu sais quoi ?
— Non quoi ?— Et bien, c’est moi qui vais demander à devenir leur esclave sexuelle... ah ah ! Tu ris moins, là, maintenant ?— Pas du tout... t’imaginer à la place de “numéro 9” m’amuserait beaucoup, je dois bien l’avouer ! N’est-ce pas “numéro 10” ?— Mon Dieu, tu es aussi abject que ta mère ! Je suis sûre que m’imaginer en tenue de soubrette, à quatre pattes, un collier de chienne autour du cou, et tenue en laisse par ta mère te ferait bander ! TE fait bander salop ! (Cécile avait descendu sa main au niveau de mon entrejambe pour vérifier mon état d’excitation sexuelle.)
Je vais te prouver que je peux être une grosse chienne vicieuse, comme ce que, dans le fond, tu as toujours voulu que je sois, sans oser le dire vraiment pleutre !
— Et toi, ça te fait mouiller ! Salope ! (J’avais la main entre ses cuisses et elle était déjà tout humide.)— Baise-moi ! Baise-moi de façon crade, dis-moi des saloperies : dis-moi ce que tu voudrais que ta mère me fasse !— Chiche, espèce de petite traînée ! “

N’ayant rien à perdre, et voyant là une possibilité de reprendre la main, en plus de m’en payer une belle tranche, je m’étais placé sur le dos, attirant ma femme sur moi. Au moins, son agressivité à mon égard se changeait en désir sexuel inextinguible ! Au cours de nos ébats, Cécile m’avait sorti ses fantasmes... des trucs complètement fous ! Avec le recul, je comprenais maintenant qu’elle était irrécupérable !La séance de baise avait été sauvage, géniale, inaccoutumée dans mon couple. Alors j’avais tenté de la raisonner une dernière fois :
— Alors tu as vu, on peut faire des trucs géniaux tous les deux, pas besoin de mes parents... alors tu restes, dis ?— Je sais pas... fatiguée... on en reparle demain ! “
Cette dernière s’était séparée de moi, et avait sombré dans un profond sommeil.

Le lendemain, elle me redit qu’il n’était pas question pour elle de revenir sur sa décision... elle suivrait mes parents ! Dépité, je l’observais plus en détail...Ma femme s’était habillée différemment des autres fois... elle était très sexy ! Elle portait enfin les fringues excitantes que je lui avais toujours conseillé de porter... en pure perte ! Mais je compris, une boule dans la gorge que ce n’était pas pour me faire plaisir, après le petit échange très dur et surréaliste que nous venions d’avoir !
Un ensemble en jean noir, avec une petite jupe très haute sur les cuisses, et la veste assortie, sur un tee-shirt blanc au-dessus du nombril. Des collants noirs également, et des bottines en cuir noir. Bref, elle était somptueuse et trop bandante. En l’observant bien amener les affaires dans le coffre de mes parents, je compris avec stupéfaction qu’elle ne portait pas des collants, mais des bas, car en se penchant, la petite jupe de jean remonta, et je pus voir les jarretelles au-dessus de la lisière des bas. Mon père, ce gros porc, matait le cul de ma femme avec envie, une bosse déformait son pantalon !

Puis, prenant Cécile par les épaules, ma mère m’avait dit avec un grand sourire et une lueur très lubrique dans le regard :
"Alors elle est pas jolie ta petite femme comme ça ? Cécile, enfin je devrais plutôt dire Numéro 10, maintenant, m’a rapporté votre intéressante petite conversation d’ hier.Je ne savais pas que mon fils avait hérité des perversions de ses parents !Tu vois, quand on lui demande gentiment, elle porte les vêtements sexy que tu lui as achetés, n’est-ce pas ma chérie ? Toi, tu n’as jamais su y faire avec les femmes ! “
Et ma mère roula un patin à ma femme devant moi, tout en lui remontant la jupe au-dessus du bassin :
— Et regarde la petite surprise, juste pour moi ! “
Et sous mes yeux écarquillés, je vis le porte-jarretelles au-dessus du pubis de ma femme dénudé ! Ma mère lui avait certainement ordonné de ne pas mettre de culotte, cela évidemment pour avoir tout le temps accès à sa chatte de salope ! Elle mit d’ailleurs deux doigts sur le petit triangle blond et poursuivit la caresse jusqu’entre ses cuisses, sur la vulve.
— Elle est déjà toute mouillée ta salope de femme, dit-elle en lui plongeant ses doigts dans la bouche. (Et ma femme lécha avec avidité sa propre cyprine, événement improbable s’il en fut !)
Tu verras si on te la ramène, on peut toujours rêver, elle aura radicalement changé... pour mon plus grand plaisir ! Ah, au fait, on te donnera des nouvelles... j’ai compris que tu aimerais la voir dans ses débordements sexuels... je t’enverrai des photos et des films... ou pas ! “

Et alors que Cécile se dirigeait dans le petit chemin vers la voiture, la jupe encore relevée sur ses fesses, ma mère lui donna une grande fessée du plat de la main, Cécile couina et partit d’un grand rire...échec et mat !
— On y va Numéro 10 !”

Se dirigeant vers la voiture, ma mère avait ostensiblement mis sa main sur le cul dénudé de ma femme, qu’elle pelotait sans vergogne... de toute évidence, “elle marquait son territoire” !Je regardais la voiture s’éloigner avec ma femme à son bord... tout était resté gravé dans ma mémoire. Sur le coup, j’avais pensé pouvoir reprendre la main... mais après 3 jours sans aucune nouvelle, j’en étais beaucoup moins sûr ! Mais quel con j’avais été de la laisser partir comme ça, sous la coupe de ma mère, cette grosse salope ! Numéro 10, putain de salope !Et puis l’illumination ! Ça y est, j’avais trouvé une porte de sortie !Je pensais avoir une alliée toute trouvée sur les lieux, qui pourrait me donner un bon coup de main, car en définitive, si nous n’avions pas tout à fait les mêmes intérêts... du moins avions-nous les mêmes “ennemis” !Une vieille connaissance !
Je pris mon téléphone, et la voix légèrement pâteuse, parlais à la personne au bout du fil !

Et puis le lendemain, je reçus une confession écrite sur un réseau social éphémère... pas bête, ainsi je ne pouvais absolument garder aucune trace des activités plus que déroutantes de ma mère, à l’encontre de ma femme ! Le texte se déroulait ainsi :
— Avec la permission de ma Maîtresse, Madame Josiane, moi, Numéro 10, suis autorisée à raconter ce qui suit...

Depuis 3 jours, j’ai eu l’immense honneur de devenir la chose de Madame Josiane ! Je suis désormais appelée Numéro 10. J’ai pour fonction de donner du plaisir à ma Maîtresse, ainsi qu’à Maître Franck, son mari, quand elle l’autorise.Il m’est rigoureusement interdit de prendre du plaisir en solitaire. Je n’ai le droit de jouir que si ma Maîtresse l’a formellement autorisé ! Et je dois avouer que ce n’est pas facile ! Car tout dans cette maison invite à la luxure !
Tout d’abord, je déambule dans les pièces, entièrement nue, devant mes Maîtres ou leurs invités. Cela me cause une excitation insatiable. Je ne porte qu’une chaîne en maillons de laiton, sur les hanches. Mes poignets et mes chevilles ont reçu un bracelet de prisonnier, fort épais. Autour de mon cou, j’ai un collier de chienne... ainsi ma Maîtresse peut me mettre une laisse et me promener comme un animal, de même qu’elle peut m’attacher facilement, grâce aux bracelets de mes membres. A part cela, je suis toujours entièrement nue, pour le plus grand plaisir de mes Maîtres, qui ont un accès total à tous mes orifices... et ils ne s’en privent pas !
Afin d’être sûre que je ne me livre pas en cachette à une quelconque activité masturbatoire, pour me satisfaire, Madame a recouvert mes mains d’un spray invisible avec un marqueur, détectable avec une lampe à UV. Ainsi si je me touche le sexe, ou les seins, Madame s’en rend compte immédiatement, et me procure le châtiment approprié !Et je sais que certains sont très vicieux...Je peux être fouettée, flagellée à l’aide d’un martinet, d’une cravache, d’un faisceau de brindilles, voire d’un véritable fouet en cuir, pour les cas les plus graves !
Mais il y a plus ingénieux... Madame m’a montré des vidéos, où certaines de ses anciennes soumises subissent des peines plus avilissantes, avec le concours d’insectes, de petits animaux, voire de gadgets électriques...En effet, Madame est entomologiste amatrice, et elle possède dans sa grande maison, des vivariums remplis d’insectes divers. Certains vivariums sont assez grands pour qu’une soumise désobéissante y soit maintenue attachée à genoux, ou couchée, les cuisses grandes ouvertes, la tête en dehors du vivarium passant par une planche opaque. La désobéissante ne sait ainsi pas ce qui rampe ou trottine sur ses cuisses, ses seins, son ventre... et parfois à l’intérieur de son sexe, quand la punition est suffisamment grave pour que la soumise ait l’entrée de son vagin maintenu ouvert...
Madame m’a montré l’un des films pris de sa soumise, avec une vue sur les expressions de son visage et ce qui se passe en dessous...J’avoue que quand j’ai vu les vers de terre grouiller sur ses cuisses et remontant vers sa vulve, escaladant même son ventre pour aller sur ses seins, mon ventre s’est tordu d’excitation ! J’avais le sexe en feu, je me voyais bien à la place de cette femme jouissant tout en gémissant de dégoût...Madame s’est rendu compte de mon excitation sexuelle... elle a passé sa main en coupelle sous ma vulve pour en recueillir une cyprine abondante. Très en colère, elle m’a giflé un sein, tout en me disant :
— Fais attention Numéro 10, tu n’as pas le droit de jouir sans ma permission... j’ai aussi d’autres vivariums, contenant des araignées ou des scolopendres...
Ce matin, j’ai eu l’insigne honneur de donner le bain à Madame, après avoir assisté, à genoux au pied du lit, les mains attachées dans le dos, au coït que mes Maîtres ont accompli devant moi... Madame s’est fait prendre par Maître Franck en levrette. Il l’a littéralement défoncée. Je pouvais voir ses beaux seins remuer d’avant en arrière, sous l’action des coups de boutoir de son amant... ainsi que les expressions de jouissance extatique sur son beau visage.Pendant qu’elle jouissait, elle avait son visage à peine à un mètre du mien, et je sais qu’elle se régalait de me voir souffrir des frustrations et de l’envie sexuelles qui tiraillaient mon ventre affamé de luxure...

Quand ils ont eu terminé leurs ébats, j’ai quand même eu le droit de nettoyer leurs sexes souillés par les sécrétions.Madame s’est approchée de moi, s’est placée au-dessus de mon visage, les cuisses écartées, le sexe à quelques centimètres de ma bouche. Sa vulve était entrouverte des assauts subis, et un filet de sperme s’en écoulait. Les muqueuses étaient luisantes de cyprine. Du bout de ma langue, j’ai commencé par titiller le clitoris, provoquant chez ma Maîtresse des spasmes de plaisir. Elle m’ordonna de lui "nettoyer la chatte", et de rentrer ma langue à l’intérieur... J’ai dû bien accomplir mon office, car après quelques minutes, elle partait dans des râles de plaisir et elle mouillait d’autant plus. J’avais l’impression qu’elle me pissait dans la bouche... tout le travail de nettoyage était à refaire...
Quant à mon Maître, après lui avoir nettoyé les résidus de sperme sur son gland gonflé, il se servit de ma bouche comme d’un vagin, me tenant par les cheveux, et éjacula très vite de nouveau... là encore double nettoyage...Madame déclara que je léchais très bien les sexes, pour une novice, et elle m’ordonna de lui donner son bain... en compagnie de Zeus, son Rottweiler, que j’allais aussi laver pour la première fois ! Rouge d’excitation à l’idée de nettoyer le bel animal, moi également nue dans l’eau, je me demandais si ma Maîtresse n’avait pas une idée derrière la tête ! Rien que cela me procura déjà un mini-orgasme ! "

La confession de Cécile, ma femme, subornée par ma mère était terminée. J’en avais des frissons. Comme toutes les autres avant elle, ma mère en avait fait sa chose... et ma femme prenait du plaisir à cela !La récupérer serait extrêmement difficile ! Cécile et ma mère étaient obsédées par le sexe et de surcroît zoophiles ! Ma femme n’avait donc pas exagéré lorsqu’elle avait évoqué ce fantasme ! Cécile prenait comme une récompense le fait de se faire saillir par ce chien ! Mon Dieu ! Je réalisai que j’avais fait la connerie de ma vie en la laissant partir ! Heureusement, il me restait un joker !
Sous le texte une mention annexe : "demain vidéo du bain..."
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