" Ça y est... je suis une chienne... au sens littéral du terme. J’ai réalisé un fantasme qui me dégoûtait encore, quelques semaines avant que les parents de mon mari ne viennent chez nous. Enfin, je dois avouer que je n’ai pas commis que cela. A partir du moment où je me suis offerte à mon beau-père, tout est parti de travers... ou à l’endroit, suivant l’optique que l’on peut saisir de la situation. Devant l’incapacité de mon mari... oui, je parle de toi, mon chéri, petit Fabrice, toujours inféodé à ses parents..."le petit toutou à sa maman" ! Et bien vois-tu, à présent, c’est moi qui suis la chienne de tes parents ! Tu m’as perdue pour toujours ! Tu ne peux imaginer ce que je ressens dans mon corps, ma tête et mon âme ! Les émotions toujours plus fortes, le dégoût mêlé à une excitation sans bornes. Un mélange de terreur et de luxure. Des choses qui me révulsaient il y a encore peu, et qui sont pour moi à présent, une source de vie, de jouissance et de pouvoir. Mon corps m’échappe, il est livré à des gens que je ne connais pas, que parfois je ne vois même pas. A des animaux... des insectes, ou de petits rongeurs qui se sont introduits dans mon vagin. Cela m’effraie, me dégoûte, et pourtant la tentation est toujours trop forte. Je cède à ce que l’on me demande. Je les vois guetter mes réactions, les expressions de mon visage, chaque parcelle de jouissance qui naît dans mon regard, dans les gémissements que je pousse, les hurlements quand je souffre ou je jouis. Au début, j’étais persuadée que je faisais tout cela pour ma maîtresse, ta mère, mon chéri, mais en définitive non. Je le fais pour moi, pour mon plaisir, mes extases. Le dégoût se transforme en plaisir, en joie, en désir toujours inassouvi. J’ai besoin d’aller de plus en plus loin. D’élargir le champ des possibles. Toujours plus loin, toujours plus fort, toujours plus trash, toujours plus abject ! Mon corps est livré aux caprices sexuels d’autres personnes, et pourtant je ne l’ai jamais autant senti vivant. Ma volonté s’est altérée, je suis une esclave, et pourtant je ne me suis jamais sentie aussi libre d’explorer tous mes fantasmes. En réalité la maîtresse c’est moi. Ta mère n’est que l’esclave de mon désir enfoui, le catalyseur de mon inconscient déchaîné ! Je vais te raconter comment je me suis fait saillir par un chien. Tu vas voir, tu vas adorer... et après tu verras les images ! Fin de ma confession du jour... — Numéro 10”, autrefois Cécile, épouse aimante. "
Ce ne fut que 3 jours après le dernier message que Fabrice reçut cette confession de sa femme, Cécile, "enlevée" par ses parents, dont la mère Josiane, devint la maîtresse inflexible ! Confession pour le moins troublante et tragique. Il attendit tout le reste de la journée que lui soit envoyée la vidéo de sa femme, en train de participer à une expérience zoophile... chose dont il avait toujours rêvé en secret. Ah si, au cours des trois jours précédant la confession de sa femme, il avait reçu une photo, le premier matin : un gros plan d’un phallus rouge vif enfoncé dans la vulve d’une femme... il fut bien en peine de savoir s’il s’agissait de la sienne ! Ses parents ayant eu de nombreuses soumises, avant sa propre femme ! Et puis le soir, une autre : le museau d’un énorme chien... enfin, c’est ce qu’il semblait, au vu de la grosseur de cette partie de la tête, qui posait ses babines humides sur le pubis complètement rasé d’une femme. Celle-ci semblait couchée, cuisses écartées, et on distinguait une jarretelle noire, sur la cuisse, ainsi que le liseré d’un bas. Encore ici, il lui fut impossible de dire s’il s’agissait bien de sa femme. D’autres photos lui furent envoyées, avec toujours très peu de détails... sauf des gros plans sur les sexes d’une femme et d’un chien. Alors il lui arriva quelque chose qu’il n’avait pas anticipé : il devint complètement accro à ces messages envoyés et à ces photos. Fébrilement, il restait assis devant son portable, à attendre l’improbable bip, qui annonçait un nouvel élément de la prise en main de sa femme par sa mère... et de sa dépravation, de sa chute continue dans un gouffre de luxure sans fond ! Ainsi celle-ci avait gagné : elle n’avait pas une, mais deux esclaves ! Sa femme et lui-même, à distance ! L’insupportable attente, qui se traduisait en une insupportable torture morale, dura ainsi trois jours de plus... avec des photos toujours plus salaces, d’un érotisme fielleux et diabolique. Il devait avouer que sa mère savait s’y prendre, pour créer un suspense redoutable, avec des prises de vues en photo, qui montraient l’essentiel de la dépravation d’une femme avec un animal... la sienne ? Il ne se résolvait toujours pas à pouvoir le penser ! A la fois, il le redoutait et il l’espérait : voir sa femme Cécile se faire saillir par un chien avait toujours été son fantasme secret, interdit, bouclé à triple tour dans un coin de son inconscient. Jamais il ne se serait permis, ne fût-ce que d’évoquer l’idée grotesque, devant elle, que sa femme ait un rapport sexuel avec un animal. Et pourtant il n’y pouvait rien, cette idée l’excitait à mort, en même temps qu’elle le dégoûtait de lui-même. Et puis voilà, par un bizarre concours de circonstances, sa mère avait soumis sa femme et allait la faire saillir par un chien... et il attendait ça avec impatience, nervosité, lubricité extrême. Il avait reçu deux très courts enregistrements sonores, durant lesquels on entendait une femme jouir à en perdre haleine, un chien japper, et les claquements grivois et morbides d’un corps canin, robuste à ce qu’il semblait, pénétrant de toute sa vigueur le sexe d’une femme. " La mienne... est-ce la mienne ? Ont-elles osé ? Est-ce Cécile que j’entends les gémissements rauques ? Cette bouche qui suce un pénis canin est- elle celle de mon épouse ? Aura-t-elle eu le cran de se livrer à cette abomination ? Est-ce que c’est sa chatte que je vois pénétrer par ce gland conique ?? Sont-ce ses bas ? Mon Dieu je veux savoir... c’est trop excitant ! Voir ma femme se faire baiser par un chien ! Cécile, ma Cécile, transformée en femme zoophile !! " Et à chaque réception de photo ou de message, il se masturbait frénétiquement... le plaisir affluait en lui comme une drogue. Drogué! Oui il l’était ! Pauvre camé, attendant son bip de portable comme un junkie attend sa dose ! Il en perdait le sommeil, fumait comme un sapeur, buvait trop d’alcool et n’arrêtait pas de visionner les photos, relire la confession de son épouse en cédant à chaque fois un peu plus à l’onanisme ! Il en avait même oublié son plan pour récupérer sa femme. Il lui fallait le film de Cécile baisant avec le chien ! Si tout cela, cette mise en scène, n’était tout simplement pas une imposture de sa mère pour le pousser à bout ! C’était devenu plus important que tout le reste : sa honte, son désir de vengeance et de revanche, sur sa femme et sa mère. Il en oubliait même tout ce qu’il avait imaginé faire à sa mère, si elle tombait entre ses mains ! Et puis son vœu fut exaucé : une pièce jointe de plusieurs méga-octets fut reçue par son téléphone...45 minutes de visionnage ! Et puis rien... du blanc... la vidéo "s’écroula" et disparut, alors qu’apparaissait sa femme, nue en porte-jarretelles noirs, un gros collier en cuir clouté autour du cou, et tenue en laisse par sa mère, en longue robe noire. Les deux femmes pénétrèrent dans une salle voûtée, avec une petite assemblée de personnes toutes masquées, qui attendaient le spectacle... et puis plus rien...0 octet ! Sa mère avait décidément un sens de l’humour déplorable ! Fabrice éclata alors dans une grande fureur ! Il brisa tout ce qui était à sa portée... sauf son portable, en poussant des hurlements de damné : — Les salopes, les putes, les immondes salopes... un jour vous serez toutes les deux enchaînées, nues, devant moi ! A ma merci... Et alors ... Il se rua sur son portable et recontacta quelqu’un... le zombie était revenu à la vie ! Et puis un nouveau SMS : "To be continued !" — Attends un peu maman, rira bien qui rira le dernier !
