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Escapade forestière

Chapitre 1

Hétéro
C’était il y a environ un an. Comme tous les samedis, j’allais à la gare chercher mon copain qui rentrait de l’armée. J’étais (et je le suis toujours) extrêmement amoureuse de lui et le revoir après une semaine sans lui me rendait toujours très heureuse et très pressée de le retrouver. Néanmoins, cette fois-là, j’étais pressée de le revoir pour une toute autre raison. Afin que vous compreniez mieux mon état, il faut que je vous explique ce qu’il se passa quelques jours avant....Comme chaque soir, je lui envoyai un message pour lui demander comment s’était passée sa journée et pour discuter un peu avec lui... Mais ses réponses étaient différentes de d’habitude... Il commença à me chauffer gentiment et, comme je suis de type nymphomane, je répondis à ses avances... Nous avons alors commencé à avoir une discussion enflammée durant laquelle ma main a très rapidement dérapé... Entouré d’autres soldats en permanence, il n’a pas eu la chance de se soulager de cette envie si forte et il me demanda de ne pas trop le chauffer, par peur d’être surpris en pleine érection. Ceci me donna l’envie d’être encore plus joueuse avec lui et je suis convaincue qu’il savait très bien ce qu’il faisait... Il m’encouragea à me faire du bien tandis que je lui racontais ce que je lui ferais quand il rentrerait... Je lui promis une de ces fellations dont j’ai le secret... Ça me plaît de le voir rouler ses yeux en arrière quand je goûte à sa queue avec gourmandise.... C’est donc dans cet état d’esprit que je me rendais à la gare et j’en tremblais presque....J’avais pensé à mette une robe ou une jupe pour lui rendre la tâche plus facile mais quelque chose en moi voulait le frustrer... J’avais donc pris soin de mettre des collants... En guise de petit obstacle. J’arrivai à la gare, un peu en avance... Mon cœur battait à 100 à l’heure et je sentais les pulsations jusqu’entre mes jambes... Quand je le vis, mon sang ne fit qu’un tour... Il souhaita la bonne journée à ses compatriotes et se dirigea vers moi...il m’embrasse fougueusement en me serrant très fort contre lui et je compris à son érection que lui aussi avait ressassé notre petite discussion dans sa tête. J’ai cependant agis avec la plus grande naïveté et je le pris par la main tandis que nous nous dirigions vers la voiture. Je conduisis ainsi pendant 5 minutes dans un silence parfait alors qu’il me reluquait, ne pouvant détacher ses yeux du décolleté que j’avais choisis exprès parce qu’il faisait ressortir mon immense poitrine. Je jouai l’indignée en rigolant et il glissa innocemment une main sur ma cuisse... La discussion s’entama alors et nous recommencions à parler de cette fameuse conversation. -Espèce de coquine, tu as failli me faire griller... Maintenant on va voir qui va devoir se contenir Il avança sa main entre mes cuisses jusqu’à toucher mon intimité à travers mes sous-vêtements... Il me caressait et je tentais tant bien que mal de rester concentrée sur la route... Il m’était impossible de fermer les jambes... C’était si bon.... Il se délectait de ce pouvoir qu’il avait sur moi et il guettait la moindre de me réaction... Nous arrivâmes bientôt à un feu rouge et le supplice fut tel... Je gémissais aussi doucement que possible... Après 20 minutes de routes qui semblaient durer des heures, nous sommes finalement arrivés chez lui... Nous avons presque couru le long du sentier qui menait à sa maison pour enfin se retrouver seuls dans sa chambre. Nous nous sommes regardés un instant et sous un élan de désir, il me plaqua contre le mur et glissa sa main à l’endroit précédent.... Pour être claire... Je ne voulais pas de préliminaires, je voulais sa queue, je voulais qu’il me baise comme jamais, je voulais qu’il me prenne toute entière... Il commença à retirer sa veste et je l’aidai à enlever son uniforme... A ce moment-là, ses parents sont arrivés à la maison et, malgré notre envie, nous avons dû nous retenir et aller les saluer... Nous étions si frustrés... Ils commencèrent à poser des questions sur notre semaine et la discussion, bien que nous essayâmes d’y couper court, dura une éternité... Nous ne pouvons détacher notre regard l’un de l’autre et ses yeux, brûlant de désir, rendaient la tâche encore plus difficile... Durant toute la journée, il fut impossible d’être seuls et nous essayions tant bien que mal de nous retenir. Le soir arriva et nous devions aller manger chez sa tante. Juste nous deux. Mon copain dit alors à ses parents que nous devions nous en aller... -C’est moi qui conduit, me dit-il, je connais mieux la route. Quelque chose sans sa voix me disait qu’il avait un plan. Mon envie reprit de plus belle, et je pris soin de prendre dans mon sac à main deux préservatifs dans le cas d’un éventuel rapport... 10 minutes plus tard nous repartions pour aller manger chez sa tante quand, tout à coup, il bifurqua brusquement à droite et emprunta un chemin de forêt. Arrivés dans une clairière, il éteint le moteur... Subitement, je compris pourquoi il avait changé l’heure de rendez-vous du souper... Nous nous sommes alors installés sur la banquette arrière. En deux temps trois mouvements, je défis sa ceinture ainsi que son pantalon et j’englobai son membre gonflé d’un seul coup, jusqu’au fond de la gorge... Je commençai des vas et viens, serrant sa queue d’une main, lui caressant ses boules de l’autre... Il ne tarda pas à jouir abondamment et après avoir nettoyé son foutre, je lui te dis une capote qu’il s’empressa de mettre... Je m’allongeai autant que possible mais à ma surprise, c’est ses doigts qu’il introduit en moi... Je n’en pouvais plus... Oh oui, c’est ça allez défonce-moi... -Avec plaisir Il entra en moi d’un coup... Je sentais mon plaisir monter tant qu’il devenait de plus en plus dur en moi. Je voulais qu’il jouisse, qu’il n’en puisse plus... Je me suis mise à faire des cercles avec mon bassin. Il remonta alors mes jambes sur ses épaules et m’assena de violents va et vient qui me firent perdre toute pudeur... Je criais de bonheur, je ne pouvais me retenir.... Il s’arrêta et me retourna pour me finir en levrette.... Je n’en pouvais plus, je sentais mon liquide couler entre mes jambes et je voulais qu’il vienne lui aussi... Il s’accrocha à mes seins qu’il malaxait... Il était très endurant et me fis jouir plusieurs fois mais il continuait, toujours aussi dur, toujours aussi fort... Après 10 bonnes minutes, il se vida en moi dans un râle de bonheur et nous nous somme affalés l’un sur l’autre quelques temps... Une fois avoir repris nos émotions, nous nous sommes rhabillés et nous sommes arrivés en retard chez sa tante... Ce ne fus pas notre unique fois en voiture mais certainement la plus mémorable... Nous recommençons aussi souvent que possible...
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