Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 25 J'aime
  • 4 Commentaires

Escapade nocturne et équidés

Chapitre 1

Zoophilie
C’était une journée peu ordinaire, pour la première fois j’avais pris contact avec quelqu’un de zoophile, et nous avions partagé nos petites expériences, je n’avais jamais osé sortir la nuit, surtout que je vis chez mes parents, mais en discutant avec lui, cela m’avait motivé...
Le soir venu, la boule au ventre, j’avais décidé de sortir par ma fenêtre et de partir voir les ânes et les chevaux non loin d’ici, alors discrètement je sortis de ma chambre, sans aucun bruit… et ouf, j’étais enfin dehors, quel soulagement !
J’avais prévu dans les poches, plein de cubes de sucre pour les bestioles pour attirer leur attention et les mettre en confiance, j’arrive a l’endroit où il y a 2 ânes, et 3 Hongres de traits, séparés dans 2 terrains différents.Je me dirige en premier vers les ânes.
Ici débute réellement l’aventure, les 2 ânes sont curieux et s’approchent de moi, l’un est entier, et l’autre castré, je reste environ une heure sans m’en rendre compte, je les apprivoise petit à petit.Je me lance alors, je choisis d’abord l’âne entier, j’approche délicatement ma main vers son fourreau, il n’apprécie pas vraiment et me le fait vite comprendre, je passe alors à l’autre, lui ne dis rien, se laisse faire, je le branle, mais il ne veut pas bander, je franchis la clôture et m’approche plus de lui, je le longe avec ma main de la tête vers l’arrière jusqu’à son petit fion, tout rond et bien chaud, je me lèche les doigts, j’ai là bite bien dure, je fais des petits mouvement en cercle sur son anus, histoire de bien le mouiller, il a l’air d’apprécier et lève la queue ! Quelle surprise, j’arrête un instant pour sortir mon chibre, et nouvelle surprise, il tourne sa croupe vers moi! Je décide de lui faire plaisir, je lui mets quelques doigts, au début il est difficile de les insérer et très excité, je lui offre ma langue dans son trou, c’est loin d’être désagréable, j’essaye d’enfoncer ma langue le plus loin possible dans son trou, j’adore, je bave, son petit trou est trempé de bave, et il s’ouvre de plus en plus, je peux désormais passer facilement plusieurs doigts! Je me délecte de ce fion si doux et chaud ! Je décide alors de passer aux choses sérieuses, je n’ai jamais bandé aussi fort, je décide de l’enculer bien à fond, je prends ma bite en main, et la pose sur son fion, mmmmm, quelle douce chaleur au bout de mon gland, je glisse ma queue dans son trou bien chaud et humide sans difficultés, j’adore, mes mouvements de va-et-vient s’intensifient dans ce trou serré et chaud, lui ne bronche pas, la queue levée, il ne bouge pas, à l’air d’apprécier ce qu’il se passe en lui, jusqu’à ce que je jouisse tout en lui, quel bonheur et quelle sensation de jouir en lui!
Je le gratifie et je pars voir les énormes chevaux de traits 20 mètres plus loin.À ma grande surprise, il n’y a que des Hongres, ils sont magnifiques, et imposants, je reste autant de temps qu’avec les ânes, puis un grand Hongre blanc se montre amical, je fais alors pareil qu’avec l’âne, mais plus méfiant je reste derrière la clôture de barbelé qui n’est pas très haute.Je le carresse, puis glisse ma main vers son fourreau, il ne bronche pas du tout, je commence alors à le branler, son fourreau est doux et chaud, son gland énorme commence à en émerger, je continue et son énorme bite sors progressivement, j’arrête un petit instant pour sortir la mienne, et vite il débande, je passe alors mes doigts sur son fion, étonnement, lui aussi il lève la queue, j’y introduis quelque doigts, et se salaud se met à bander, je décide alors de lui faire un Anulingus bien baveux, je commence par faire des petits cercles avec ma langue sur sa rondelle, l’embrasse, et fini par y introduire ma langue, un trou plus large plus chaud que celui de l’âne, j’enfonce ma langue le plus loin possible, je me délecte de ses entrailles.Il bande dur, et moi aussi, je continue à lui trifouiller le fion et à le noyer de salive, son fion s’ouvre de plus en plus, j’y mets la main entière,c’est tellement doux et d’une chaleur intense! Malheureusement il est un peu trop grand, et sa bite est pleine de smegma, dommage, je ne peux ni l’enculer ni le sucer, je profite alors de son fion au maximum, et je décide de me branler en même temps, je largue tout dans ma main, et lui masse le fion avec mon foutre...
Je le gratifie de sa complicité et je pars, malheureusement comme l’hiver est arrivé, il fait froid et les bêtes ne sont plus dehors, reste à attendre le printemps, en prévoyant quelque chose pour enculer ce magnifique hongre blanc!
Diffuse en direct !
Regarder son live