Voici comment tout à commencer. Delphine esthéticienne de 40 ans, aimant la nature et la randonnée. Récit co-écrit avec mon mari ;)
J’étais partie me promener en montagne du côté de Manosque. La journée était au beau fixe, j’en avais profité pour pique-niquer devant une bastide à l’abandon ou nous avions l’habitude d’aller avec mon mari.
Après le repas, je m’étais assoupie sous un arbre dans l’herbe fraiche. Le coin était désert, aucun passage. Ce lieu est vraiment un coin tranquille, agréable, presque sauvage. Je fus réveillée, par la venue d’un beau chien, un épagneul. Sur le coup, je fus très surprise, un chien de chasseur qui s’était baladé et égaré peut-être.Je commençai à caresser le chien qui appréciait de plus en plus mes caresses, surtout celles situées sur son bas ventre. Cela avait pour effet de le faire bander un petit peu et c’est comme ça que je pris plaisir à observer la bite canine rouge du chien sortir de son fourreau. De plus en plus intéressée, à la vue de cette belle pine, mes caresses se prononçaient de plus en plus et délicatement mes doigts glissaient autour jusqu’à la caresser.Mon envie obscène alla plus loin, je me sentais désireuse. Mon rythme cardiaque avait sensiblement augmenté. Une envie de baiser comme une cochonne, de découvrir cette pine m’envahit. Je me mis à caresser la verge du cabot puis à le branler délicatement. La bite grossit.Je m’arrêtai tentant de reprendre mes esprits, mais le chien ne comptait pas en rester là, maintenant que sa verge avait atteint sa taille en érection et était sortie de son fourreau. Il avait sans doute senti la mouille de ma chatte se répandre humidifiant mon string. J’étais tout excitée et l’animal l’avait bien senti. Il essaya de me renifler l’entre-jambes, et surprise je le repoussais. Le chien était insistant, revenant entre mes cuisses pour me renifler. Mais cette situation ne dura que peu de temps. A la réflexion, je me dis que pourquoi ne pas se faire lécher la chatte par ce toutou. Il allait sans aucun doute me faire le plus grand bien. Inquiète, je regardais autour de moi avant de remonter ma robe pour mieux retirer mon string et j’écartais mes cuisses pour permettre au chien de venir au plus près de mon sexe. J’appelai le chien en tapotant sur ma chatte humide de cyprine. « Allez viens mon chien, ma chatte est à toi, viens me la lécher » Le chien ne se fit pas prier, il enfouit sa truffe sur mon vagin et je poussai soudain un cri de satisfaction. Après l’avoir bien respiré, le chien se recula et se délecta de cette mouille. Je dois confesser avoir pris un pied d’enfer, je regardais le chien entre mes cuisses qui me lécher la chatte avec sa longue et rugueuse langue. J’aimais ça, à vrai dire, le chien la léchait plutôt bien et la langue râpeuse était divine. La langue partait de mon anus, recueillant ainsi la mouille chaude abondante qui coulait dans ma raie pour remonter jusque sur mon clitoris. Parfois, la langue du chien entrait dans mon vagin et me faisait crier de plaisirs.
Aimant cela, chaque coup de langue du chien provoquait en moi une décharge électrique d’une rare intensité. Je finis par jouir sous les coups incessants de langue de l’animal. Mon envie de baise était encore belle et bien là et je décidai de ne pas en rester là, emporter par un désir interdit. Toujours dehors à l’air libre, la chatte et le cul à l’air, je me mis à me contorsionner laissant le chien me manger la vulve. Difficilement je trouvais la position que je souhaitais. Me voilà nez à nez avec la bite tendue du chien que je me mis à lécher du bout de ma langue. La grosse verge du chien était très humide, et maintenant ma langue montait et descendait le long de cette belle queue. Moi-même je mouillais fortement à faire ce 69 avec le chien. Puis tout naturellement, je me mis à le pomper, en prenant dans ma bouche la moitié de la bite du chien. La fellation commença et j’aimais ça. Je trouvais finalement cela très bon de sucer un chien, j’aimais la forme de cette bite et son gout était sans pareil. Je me sentais chienne et plus excitée que jamais, je me disais être une belle salope. J’étais en train de me faire lécher la chatte par un animal pendant que moi-même lui pomper la bite ; et tout ça dehors en pleine nature. Je savourais cette pine dans ma bouche. J’eus à ce moment-là une pensée pour mon mari, il manquait la scène mais nul doute qu’il aurait tous les détails ce soir. Les choses n’en restèrent pas là. Une envie encore plus cochonne m’envahit l’esprit.Cette question martelait mon esprit : « J’ai envie de me faire prendre par ce chien, serait-ce possible ?» L’idée de sentir cette bite me pénétrer me ravit. Je me suis surprise à dire à voix haute « Çà doit être très bon de sentir cette queue animale grosse et raide frétiller dans son vagin !» Je ne fis ni une ni deux et repoussa le chien pour se préparer à une position où il pourrait venir m’enfourner sa pine. Comment faire l’envie était un incongru ?M’allongeant sur le petit banc en pierre, et laissant mon cul dans le vide, j’écartai encore plus mes cuisses. Ma mouille ruisselait. Le chien s’avança vers moi, posa ces pattes supérieures sur le banc à côté de mes hanches et je sentais déjà la bite se frottait à moi, surtout sur mes cuisses au début Et je repris à voix haute :«Hum que c’est bon d’avoir un chien entre ces cuisses, c’est doux. Allez viens me baiser sale bête »J’aimais la douceur de ces poils sur moi. Attrapant à pleines mains le chien, je l’attirai un peu plus sur moi. Je sentis la verge s’enfonçait en moi. Ça y est, je me faisais baiser par le chien, je sentais la bite animale frétiller dans mon vagin. Quand le chien commença s’est allé venue dans mon trou chaud et humide, je me m’y à gémir de plus en plus fort. La pine canine entrait parfois entièrement en moi. Il donnait de grands coups. « Oh oui ouuuii baise-moi mon chien huuuumm, vas-y mon toutou » criais je Le soleil s’élevait de plus en plus haut dans le ciel sans nuage. Le temps passait. Cette scène cochonne continuait, faisant oublier toute notion d’heure. Je continuais à me faire limer par le cabot.Les yeux fermés je sentais le chien entre mes jambes me baiser, et sa queue gonflée en moi. J’avais sorti mes seins de ma robe et dans cette posture le chien me léchait parfois les tétons. Ah ce moment-là je ne contrôlais vraiment plus rien, et me laissais baiser par l’animal prenant un plaisir infini et imaginant mon mari se masturber en me regardant si avait été là. La chatte brûlante, les seins durs, ma bouche haletante de plaisir, je jouis sous les coups délicieux de la verge du cabot. Inondant de ma jouissance la bite et les poils de l’animal, je rouvris légèrement les yeux. Le chien continuait à me culbuter et sa bite glissa sur ma chatte et à ce moment il jouit longuement à son tour, inondant mon ventre et mon bas ventre de sperme. Soudain, je fus surprise par un bruissement de feuille et l’appel d’un homme cherchant son chien... à suivre ;)
