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L'esclavage, une pratique familiale dans la région

Chapitre 1

Marquage et début d'une vie d'esclave

Trash
Emeline avait un bâillon-mors dans la bouche, elle bavait abondamment, ce qui retombait sur sa petite poitrine. Elle avait encore les larmes aux yeux, son postérieur rouge écarlate la lançait régulièrement.
Lorsqu’elle avait dit à sa mère qu’elle voulait devenir une esclave sexuelle, elle ne s’était doutée pas un seul instant que c’était sa propre mère qui allait devenir sa maîtresse.
Dans sa position, elle ne voyait pas sa mère derrière elle, qui préparait son prochain supplice. Celle-ci surveillait un tison de marquage ; dans la pénombre, on devinait ses yeux brillants de désir, un sourire au coin des lèvres. Emeline était debout, attachée par des ceintures de cuir aux poignets, aux chevilles, au cou et à la taille. Ses jambes étaient largement écartées, et elle ne voyait que le mur gris de la cave, sur lequel était projetée son ombre. « Ma chérie, c’est l’heure d’officialiser ta position d’esclave. »
La suppliciée fut saisie de terreur. Elle ne savait pas encore ce que cela voulait dire, mais au regard des tourments qu’elle avait vécus ces derniers jours, cela allait encore être douloureux. Elle tremblait... fortement, pourtant elle se sentait incroyablement excitée.
Elle sentit la croix de bois à laquelle elle était reliée tourner sur elle-même. Après un demi-tour, elle vit enfin ce que sa tortionnaire avait entre les mains. La vision du tison rougeoyant fut un choc, elle comprit instantanément ce qu’il se passait, elle allait être marquée au fer rouge. Emeline commença à se débattre vigoureusement, au travers de son bâillon, elle essayait de crier, de la supplier d’arrêter. Sa génitrice s’approcha alors doucement de sa fille, le tison à la main, elle marchait lentement. Quand elle arriva au niveau de sa fille, elle l’embrassa sur le front, puis lui susurra à l’oreille : « ta nouvelle vie commence... » Et tandis qu’elle disait ces mots, elle apposa son sceau juste au-dessus du pubis de sa fille. Quand la prisonnière sentit le sceau brûlant sur sa peau, elle hurla de douleur, crispant tous ses muscles pour espérer enfin échapper à son supplice.
Béatrice continua d’appuyer sur sa fille avec le tison, jusqu’à ce que celle-ci s’évanouisse de douleur, non sans avoir bavé sur tout son corps.
Lorsque Emeline se réveilla, elle sentait son pubis brûler, même si elle ne voyait pas son état sous la couche qu’elle portait. Tout en émergeant du monde des rêves, elle commençait à voir où elle était. Elle ne pouvait pas se relever, maintenue aux chevilles et aux poignets par des chaînes. A part sa couche, elle ne portait aucun vêtement, tout autour d’elle, elle ne voyait que des barreaux de fer qui l’entouraient, elle était dans une cage. La porte s’ouvrit :
— Bonjour ma chérie, ou plutôt mon esclave, je t’ai apporté ton petit-déjeuner.
Les derniers jours avaient appris à Emeline à ne pas poser de question, question qu’elle aurait pu payer durement. Béatrice ouvrit la cage, fermée avec un gros cadenas en acier gris, puis détacha Emeline. Celle-ci, encore douloureuse de la veille, n’opposa aucune résistance quand sa mère la leva, puis la mit sur le canapé à côté. Sa tête fut mise sur les genoux de sa mère, et un biberon arriva dans sa bouche. Epuisée, elle commença à téter. Encore assommée de sa nuit, elle trouvait étrange le goût du liquide qui lui coulait dans la gorge, mais n’y prêta plus d’attention. Une fois fini, sa génitrice la posa sur le sol et lui dit : « Maintenant, on va aller te laver, tu vas me suivre gentiment à quatre pattes jusqu’à la salle de bain », et elles partirent toutes les deux en direction de la salle d’eau. A quatre pattes, la couche mouillée gênait vraiment l’esclave pour marcher, la taille de son lange la forçait à largement écarter les jambes.
Comme elle était nue, son corps frissonnait, peu habitué à cette nouvelle tenue d’Eve.

Arrivées à la salle de bain, Béatrice commença par enlever la couche pleine d’urine de sa fille, puis fit entrer Emeline dans la cabine. « Mets tes deux mains sur la paroi, face au mur, écarte les jambes, je vais te laver. A partir de maintenant, ce sera toujours moi qui vais te laver, tu peux oublier la notion d’intimité salope ». Emeline sentit le jet d’eau sur son corps, la chaleur était agréable sur ses muscles meurtris, sa mère commença à la savonner. La caresse des mains était agréable, alors que des mains passaient sur son corps, l’esclave commença à être excitée. Elle se laissa même écarter un peu plus les jambes et tendit bien son postérieur. En réponse, elle reçut une belle claque sur le cul, accompagnée d’un : « Tu vas pas prendre ton pied maintenant salope ! C’est moi qui décide de quand tu prends du plaisir ». Emeline se résigna et se laissa nettoyer pendant de longues minutes.
Une fois sa toilette terminée, elle fut emmenée dans les toilettes. Là, Emeline fut attachée par le cou au mur et à genoux. Béatrice posa sa culotte, seul vêtement qu’elle portait en plus de son t-shirt, s’assit sur la cuvette et commença à uriner. Tandis qu’elle se soulageait, elle regardait sa fille et lui posa cette question « Tu as aimé le biberon de ce matin ?
— Oui, même si j’ai trouvé le goût un peu bizarre, lui répondit avec stupeur sa fille.
— Tant mieux, comme ça tu es déjà prête. Elle se leva, puis approcha son entrejambe de la bouche d’Emeline. Allez, nettoie-moi esclave !
— Mais... mais c’est dégueulasse !— C’est pas ce que tu as dit ce matin en buvant mon urine ! »
A ces mots, Emeline eut un haut-le-cśur qu’elle eut du mal à réprimer. Elle comprenait enfin qu’elle avait bu tout un biberon d’urine, qui plus est, l’urine de sa mère. Une violente claque la ramena vite à la réalité, sa mère s’impatientait et lui colla son pubis dégoulinant d’urine sur le visage. Sa fille comprit tout de suite qu’elle devait s’activer à nettoyer sa génitrice, ses douleurs la lançant subitement, elle commença donc à la nettoyer avec sa langue. Malgré le dégoût qu’elle éprouvait, Emeline lécha sa mère avec application, la nettoyant du mieux qu’elle pouvait faire. « C’est bien, tu comprends comment ça marche maintenant, j’ordonne, tu obéis ».
Quand elle eut fini la toilette intime de sa mère, Emeline fut emmenée au salon. Sa nouvelle propriétaire la fit mettre à genoux devant la télévision, puis s’installa elle sur le canapé. « Bien, on va regarder ce qu’on t’a fait faire cette semaine, j’ai tout filmé. »
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