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L'esclavage, une pratique familiale dans la région

Chapitre 2

De grand projet

Trash
Emeline était à genoux devant sa mère. Elle regardait ses pieds, elle-même complètement nue, les jambes écartées.
— Je t’explique, un de mes projets est que l’on écarte ton cul au maximum. J’ai donc investi dans une collection de plugs de 6 à 15 centimètres. Le but est que tu portes cela de manière permanente, donc pour aller aux toilettes, tu devras me demander et c’est moi qui enlèverai ton plug à chaque fois. De plus, je t’ai concocté un programme spécial : plusieurs sodomies par semaines, fist anal tous les jeudis à 14:00 où que l’on soit, et je dis bien où que l’on soit ! Pas de dérogation à la règle. Commençons déjà par mettre le plus petit, je sais que tu n’as pris que 4 centimètres pour l’instant, mais le coffret coûtait plus cher pour un plug que l’on allait te mettre que très peu de temps. Allez, tu te penches, la tête sur le sol, le cul bien relevé et tu dis adieu à ton petit cul.
Emeline s’exécuta assez rapidement, elle posa sa tête sur le tapis et releva le postérieur. Elle se demandait si c’était réversible, mais rien qu’à l’explication de sa mère, elle était excitée. Elle sentait couler sur ses jambes la matérialisation physique de cette excitation Elle sentit d’abord un liquide froid arriver sur son anus, ce qu’il la fit trembler, puis un doigt s’invitant sans vergogne, elle avait l’habitude. Après un travail préliminaire, les doigts furent retirés, puis sa génitrice lui installa le plug, la taille crispa Emeline, qui pensait moins le sentir passer.
— Je suis fière de toi, pour la peine, tu as le droit de te masturber.— Oh, merci maîtresse !— Mais attends un peu, il te faut un petit truc avant...”
Béatrice prit sa fille par une laisse puis l’emmena dans les toilettes. Comme de coutume désormais, Emeline était toujours attachée au mur devant sa mère quand celle-ci urinait. Sauf que cette fois-ci, à la surprise de l’esclave, Béatrice garda sa culotte pendant ce moment. Après avoir souillé sa culotte, elle l’enleva puis intima à sa fille d’ouvrir la bouche :
— Ouvre la bouche ma petite chienne, dit-elle sèchement.— Non... pas ça...— Tu veux me désobéir ? Je ne suis pas d’une humeur très aimable aujourd’hui !— Pardonnez-moi maîtresse, répondit Emeline, la larme à l’œil.— Bien...”
Et elle la félicita de nouveau quand celle-ci eut sa culotte pleine d’urine totalement en bouche. Même si elle ne lui disait pas encore, le projet de Béatrice voulait que sa fille soit conditionnée à être bâillonnée pour jouir. Elle détacha Emeline, puis l’emmena dans le jardin. Elle fut mise debout, les jambes bien écartées, la légère brise de printemps lui courant dans les jambes, la faisait grelotter tout en l’excitant.
— Maintenant, tu te masturbes !— Merchi, Maîtreche, essaya de répondre Emeline au travers de son bâillon.
Même si le goût de l’urine n’était plus inconnu d’Emeline, elle ne l’aimait pas outre mesure, le goût amer l’humiliait, mais elle avait tellement peu l’occasion de jouir qu’elle s’exécuta sans broncher. Elle avait l’habitude, elle savait ce qu’elle devait caresser pour atteindre ce qu’elle voulait rapidement, car elle ne savait pas combien de temps sa mère la laisserait se masturber. Son nouveau plug encore un peu gros pour elle rajoutait au plaisir qu’elle éprouvait, le plaisir anal avait toujours fait parti de ses préférés.
Pendant sa masturbation, Emeline regardait sa mère. Celle-ci, munie simplement d’un t-shirt sans sous-vêtements, s’était assise sur une chaise en rotin qui composait le salon de jardin. Elle était accroupie sur la chaise, les jambes légèrement écartées, si bien qu’Emeline voyait l’entrejambe de sa mère. Même si elle était devenue une esclave, Emeline n’en était pas devenu stupide, elle comprenait que la position qu’avait adoptée sa mère la conduirait à venir la lécher pour son plaisir à elle. Après quelques minutes, Emeline arriva enfin à son plaisir, la rareté de ses orgasmes secoua Emeline qui faillit tomber en atteignant le plaisir désiré. Haletante, elle regarda sa mère, mère qui écarta simplement les jambes en indiquant son entrejambe avec son index. Emeline se mit à genoux, attendit que sa maîtresse lui ôta la culotte qui était dans sa bouche puis la lécha comme elle savait si bien le faire d’après ses anciennes petites amies.
Après un passage aux toilettes surveillé pour Emeline et une douche tout aussi surveillée, Béatrice dicta les tâches que l’esclave devait réaliser dans la journée, ménage, repassage, repas, elle était tout autant un esclave sexuel que domestique. Avant la réalisation de ses corvées, une barre d’écartement fut installée sur les jambes d’Emeline, rendant sa marche compliquée.
— Allez, je veux que ça soit nickel, nous avons deux invités qui viennent aujourd’hui et je veux que ma maison soit propre !”
Emeline acquiesça et se mit au travail.
Dring, dring, la sonnerie retentit deux fois. Béatrice ouvrit la porte et un couple apparut sur le porche.
— Bonjour Béatrice, commença la femme, comment vas-tu ?— Bonjour Eve-Anne, très bien, je suis contente de vous voir tous les deux, toujours aussi loquace, Charles.— Bonjour Béatrice, toujours effectivement.— Entrez, entrez, elle est déjà prête.
Les trois compères entrèrent dans le salon, Emeline y était attachée sur une table et sur le dos. Ses membres étaient fermement attachés, de sorte qu’elle était en croix. Une petite découpe sur la table permettait d’accéder à son entrambe directement sans être gêné par la table. Elle était bâillonnée, mais voyait les visiteurs entrer, elle se raidit fermement, tirant sur ses chaînes. Elle ne savait pas que des gens de l’extérieur la verraient dans cet état, elle savait, elle l’avait même demandé d’être humilié, mais c’est la première fois qu’elle était dans cette position. Eve-Anne s’approcha :
— Elle est superbe ton esclave ! Comment s’appelle-t-elle ?— Emeline, et en réalité il s’agit de ma propre fille.— Non ! s’étonna Eve-Anne, tu as transformé ta propre fille en esclave ?— A la base, je cherchais une esclave en ligne, et il se trouve que celle qui a répondu à mon annonce était ma fille. Au début, je me suis posé la question, me disant que ce n’était pas sain. Et finalement cela m’excitait tellement que je l’ai prise comme esclave.— Je comprends, mais n’est-il pas plus compliqué de dresser sa propre fille ? De la punir par exemple ?— Non, on s’y fait très vite, et c’est la meilleure lécheuse que j’ai connue, tu l’essaieras après le tatouage.”— Le tatouage”, Emeline entendit cela et comprit très vite ce qu’il allait se passer. Elle avait déjà pensé à se faire tatouer, mais n’avait jamais passé le pas. Elle se demandait ce que sa mère avait choisi. Sa mère s’approcha de son oreille :”Je pense que tu as compris, Charles ici présent est tatoueur, il est venu réaliser un tatouage que j’ai commandé. Tu me fais confiance pour le dessin ?”
Emeline acquiesça de la tête, comme si cela avait la moindre incidence sur les décisions qui étaient déjà prises. " Charles s’installa, sortit son matériel soigneusement emballé et demanda où il devait appliquer le tatouage. Béatrice lui répondit que la zone choisie était le pubis. Même si cela rebutait un peu Emeline, elle se dit qu’à l’extérieur, les gens ne le verraient pas s’il n’est pas très beau. Charles commença son office. Un tatouage, même pour ceux qui ne sont pas douillets reste un passage difficile, le corps encaisse un long moment une douleur lancinante, comme une brûlure perpétuelle. Au bout d’une heure, Charles avait fini le tatouage.
— C’est bon, j’ai terminé, qu’en dis-tu Béatrice ?— C’est parfait ! s’exclama de plaisir la commanditaire.”
On détacha Emeline, un peu tremblante de sa session, on lui donna de l’eau sans la laisser regarder son nouvel ornement. Conduite devant un miroir, elle put observer son tatouage. Le plaisir et la honte lui vinrent d’un seul coup, il était inscrit dans une calligraphie exagérée : “Propriété de Maîtresse Béatrice”, scellant ainsi le destin d’Emeline.
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