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D'esclave à héros (fantasy)

Chapitre 2

Divers
Après toutes ces émotions, je reprends mes esprits et je sors de la tente. Ako est en train de remettre son armure. Je commence à préparer le petit-déjeuner, rien de fou, juste de la viande séchée. Comme je n’ai pas beaucoup mangé la veille, je me venge sur le petit-déjeuner. Je suis encore légèrement troublé par la surprise de mon réveil. Je ne sais pas vraiment quoi penser d’elle. Par le passé, lorsque mes nuits étaient agitées au point de me faire crier, j’avais le droit à des coups de fouet le matin pour avoir réveillé les gardes. Là, je ne m’attendais pas à sortir de mon cauchemar le nez dans sa poitrine.
— Après ton repas, on commencera les cours sur l’Ordre et notre magie.— Sans vouloir vous manquer de respect, sans façon : cela ne m’intéresse pas.— Tu n’as pas vraiment le choix, mon jeune apprenti.
Je soupire. Un coup, je ne vais donc pas pouvoir y échapper. Après la fin de mon repas, elle commence donc à me faire un cours sur l’Ordre, de son origine et de comment elle a prospéré pour devenir le phare du pays humain. Mais pendant qu’elle me parle, je sens une chaleur qui tente de pénétrer mon corps, comme si on voulait me faire rentrer ce qu’elle dit dans la tête. Je commence à avoir mal à la tête comme si on me frappait avec un marteau. Je pose ma main sur ma tempe gauche. Et vu la grimace que je fais, elle s’arrête de parler.
— Quelque chose ne va pas ?— Ma... tête, qu’est-ce que vous me faites ?
Elle se rapproche de moi et pose une main sur mon front, je sens la douleur s’envoler. Mon regard croise le sien. Elle recule légèrement, un peu troublée, comme si j’avais quelque chose sur le visage.
— Merci, ça va mieux. Pourquoi vous me regardez comme ça ?
Elle reprend ses esprits.
— Pour rien, tout va bien. Dis-moi. Sais-tu pourquoi tu portes ce collier anti-magie ?— Car je suis un esclave. C’est pas sympa de me le rappeler. Ce truc m’empêche d’utiliser ou de ressentir la magie.— Humm je vois. Je comprends mieux. Tu as des souvenirs de ta vie avant de rejoindre l’Ordre ? — Vous voulez dire avant que l’Ordre ne détruise mon village et me capture ? Non, pas grand-chose, à part que mes parents qui étaient des mages avaient commencé à m’apprendre la magie. Peu de temps après, l’Ordre est arrivé.— D’accord. Bon, le cours est fini pour aujourd’hui. Nous allons reprendre la route.
Je replie le camp et nous nous mettons en route. Notre voyage reprend donc, toujours en direction du nord. Le petit village que nous devons rallier est vraiment le plus au nord. Il y en a pour un, voire deux mois de route, même à cheval. Par chance, il y a plusieurs villages et une ville avant qu’on y arrive. On aura donc la joie de s’arrêter dans des endroits plus civilisés pour nous reposer.
Deux semaines ont passé depuis notre départ du QG de l’Ordre. Une routine s’est installée depuis : deux heures d’entraînement pour renforcer mon corps, une heure de cours sur l’Ordre et la magie de la lumière. La deuxième partie me fait toujours autant souffrir. Il ne s’est pas passé grand-chose durant ces deux semaines de voyage. A part peut-être la fois où je l’ai vue toute nue, en train de prendre un bain dans la rivière. Étrangement, on aurait dit qu’elle ne me voyait pas, ou alors elle savait que j’étais là, à la regarder. Depuis lors, presque chaque nuit, je rêve d’elle comme si mes cauchemars avaient disparu.
On arrive enfin en fin d’après-midi à notre première escale, un petit village construit près d’une rivière. On ne dirait pas comme ça, mais la situation de ce village a l’air plutôt stable. Après deux semaines le cul assis sur un cheval, ça va me faire du bien de poser les fesses sur autre chose. Nous attachons les chevaux à l’entrée du village et faisons le reste du trajet à pied jusqu’à l’auberge.
On entre dans cette auberge tout à fait charmante. Ce n’est pas le grand luxe, mais ça reste un endroit convenable pour passer une nuit ou deux. La gérante est une magnifique femme, dans les 40 ans, un visage d’ange, les cheveux d’un roux flamboyant et une poitrine assez voluptueuse qui se dessine très bien sous sa robe. Elle sourit en nous voyant entrer.
— Alors, qu’est-ce que ça sera pour la chevaleresse [S-E : c’est le féminin de chevalier] et son écuyer ?— Une chambre pour deux s’il vous plaît.— Très bien.
Elle lança une clé à Ako. Je suis très étonné de voir qu’elle nous a si bien analysés d’un simple coup d’œil. Elle a dû remarquer mon étonnement.
— Vous n’êtes pas les premiers que je vois, tu sais ? Ce village est une sorte de plaque tournante pour les chevaliers de l’Ordre. Il y en a un qui passe une à deux fois par semaine.— D’accord, je comprends mieux pourquoi un si petit village a l’air d’aussi bien se porter.— C’est ça. On commerce beaucoup avec l’Ordre, que ce soit pour les loger quand ils passent ou bien pour leur vendre des fournitures.
Notre conversation est interrompue par Ako qui me fait signe de la suivre à l’étage. Effectivement, cette auberge vit bien l’influence de l’Ordre. Il n’y a pas grand monde, mais la fréquentation des clients réguliers et de l’Ordre doit bien l’aider à tenir chaque mois. Nous déposons donc nos affaires dans notre chambre. C’est une magnifique petite chambre avec deux lits, un bureau, un canapé et une armoire, avec, en prime, vue sur le village.
Je pose mes affaires et me jette sur le lit, heureux de pouvoir enfin me détendre un peu. Lorsque je tourne mon regard vers Ako, je la vois en train de se déshabiller, les seins nus, et vêtue seulement d’un string. Je sens mon visage et je me retourne.
— Ne sois pas gêné, et puis tu m’as déjà vue nue plusieurs fois.
Elle rit un peu. Je reste le dos tourné. Décidément, cette fille n’a aucune pudeur. Je l’entends fouiller dans ses affaires. Je décide de sortir un peu.
— Je vais prendre un bain.
Je chope une serviette dans mes affaires et sors de la chambre. Je soupire un peu. Décidément, j’ai du mal à m’y faire. Je vais prendre un bain pouvoir me laver dans de l’eau chaude. Ça fait du bien. J’en oublierais presque mon statut d’esclave. Il faut dire aussi qu’avec elle, je n’ai pas l’impression d’en être un. Même si je déteste toujours autant l’Ordre, je dois reconnaître qu’Ako n’est pas si mal. Au final, peut-être que les chevaliers ne sont pas tous des connards qui aiment le massacre. Alors que je suis plongé dans mes pensées, je sens le niveau de l’eau du bain monter d’un coup. Je relève la tête. Me voilà nez à nez avec Ako qui m’a rejoint dans le bain. Elle a un grand sourire, et je ne peux pas m’empêcher de remarquer ses seins qui flottent à la surface de l’eau.
— Aaaahh... ça fait du bien un bon bain chaud !!! Tu as eu une bonne idée, mon petit Sora.— Qu’est-ce que vous faites là ?— Ça se voit, non ? Je prends un bain avec mon apprenti préféré.— Oui... enfin, non... Je veux dire, pourquoi m’avoir rejoint ?— Bein... je ne voulais pas te laisser seul. Et puis un bain à deux, c’est plus agréable. Ne fais pas le choqué. Tu m’as déjà vue nue de nombreuses fois. Et j’ai déjà vu certains de tes rêves. Il t’est arrivé de me faire des choses très excitantes.
Elle me dit tout cela d’une voix sensuelle. Elle se rapproche peu à peu de moi, assez pour que mon bras droit finisse entre ses seins.
— Vous avez lu dans mon esprit ? Pendant mon sommeil ?— Oui, de temps en temps. Et je dois dire que tu as l’imagination très fertile quand il s’agit de ma poitrine.
Elle se colle carrément à moi. Je sens sa lourde poitrine contre moi. Je ne sais plus quoi faire. Mon visage complètement rouge, je décide de sortir à toute vitesse du bain pour regagner la chambre en prenant mes affaires au passage. Je l’entends qui rit légèrement, comme si cela l’amusait. Je me rhabille. Peu après, elle arrive elle dans la chambre. Elle est vêtue d’un pantalon et d’une chemise qui lui colle à la peau, ce qui la rend terriblement sexy.
— Un bon bain... ça fait du bien après ce long voyage. Et si on allait manger un bout. — Je vous suis.
Nous descendons dans la salle principale de l’auberge pour commander notre repas. Il y a beaucoup plus de monde qu’à notre arrivée. Nous sommes rapidement servis. Le menu ne comportant qu’un plat unique, cela facilite les choses et permet un service rapide. Après notre repas, Ako se lance dans un concours de boisson avec les clients de l’auberge. Je n’ai jamais vu une femme boire autant en une soirée. Un à un, les clients tombent au sol, complètement bourrés alors qu’Ako semble encore plus ou moins fraîche. La soirée se poursuit. Bière et chansons animent l’auberge. Je crois que ma vision de la chevaleresse fière et sérieuse vient d’en prendre un coup. La voilà debout sur une table, une bière à la main, en train de chanter une chanson paillarde.
Je finis par la prendre par le bras. Je n’ai pas envie qu’elle fasse un malaise.
— Allez ! Vous avez assez bu pour la soirée.— Mais j’ai encore soif... hic, et puis, j’ai pas encore fini les tonneaux du fond.
Elle rit comme une enfant.
— C’est bien ce qui m’inquiète. Que vous vidiez les réserves d’alcool de l’auberge.
Pour toute réponse, elle se contente de rire comme une folle. Je la cale sur mon dos et je la traîne jusqu’à notre chambre. Mine de rien, les entraînements quotidiens commencent à porter leurs fruits. Une fois dans la chambre, je la couche sur son lit et je la borde.
— Tu vas en profiter pour me faire des choses sales pendant que je dors ? Hein ? Petit coquin. Hihihihihihi.— C’est pas mon genre. J’attendrai le jour où vous ne serez pas complètement bourrée.— Hummm, le petit coquin... Il veut me faire des choses.
Elle continue de rire. Je n’ai pas le temps de lui répondre qu’elle est déjà en train de dormir comme une bien heureuse. Avant d’aller me coucher, je décide d’aller faire un tour aux toilettes. Alors que je me dirige vers les toilettes, j’entends des bruits de forte respiration. Je décide de les suivre. Pendant que je m’occupais d’Ako, l’auberge s’est vidée et a fermé pour la nuit. Je me retrouve devant une porte légèrement entrouverte au rez-de-chaussée. Je jette un œil et vois l’aubergiste nue sur son lit, les jambes écartées en train de caresser son intimité d’une main, et la poitrine de l’autre. Je vois ses doigts aller et venir en elle. Tout son corps ondule au rythme des va-et-vient en elle. Je sens mon membre durcir dans mon pantalon, et en essayant de mieux voir, mon pied heurte la porte qui s’ouvre. L’aubergiste peut me voir en train de la regarder. Elle s’arrête et me regarde. Un grand sourire se dessine sur son visage et me fait signe d’entrer.
Je passe la porte que je ferme derrière moi, et je m’approche de son lit. Elle me rejoint à quatre pattes sur son lit. Un sourire d’envie se lit sur son visage. Elle défait mon pantalon pour en sortir mon membre en érection. Elle se lèche les lèvres et elle commence à porter des coups de langue sur mon pénis.
Elle me lèche de haut en bas et de bas en haut. Doucement, elle commence à me sucer. Je sens sa langue onduler sur mon membre. Petit à petit, elle accélère ses va-et-vient dans sa bouche. C’est une première pour moi. Je ne saurais dire si elle a de l’expérience, mais en tout cas, elle fait ça bien. Je sens mon membre fondre dans sa bouche. Et sans que je puisse me retenir, je jouis dans sa bouche. Je retire mon bâton de chair de sa bouche. Je la vois avaler tout mon foutre. Je trouve ça terriblement excitant.
Elle me fait un grand sourire. Elle se couche sur le dos, jambes écartées. Sa main se porte à son intimité qu’elle a écartée. Je pénètre doucement en elle. Une fois bien au fond, je commence de lents va-et-vient dans sa vulve dégoulinante de mouille. Je vois son visage changer. Elle prend du plaisir et laisse échapper des gémissements. Mes va-et-vient en elle se font plus puissants. Elle ne se retient pas de gémir. Pendant mes va-et-vient, je pose une main sur sa poitrine que je malaxe doucement.
Son corps ondule au rythme de mes coups de boutoir. Je sens mon membre palpiter en elle. Au moment où je me recule pour me retirer, elle passe ses jambes dans mon dos pour me faire aller tout au fond de sa chatte. Ce qui me fait jouir en elle. Je me laisse totalement aller en elle. Elle relâche son emprise sur moi et je me retire.
Une fois l’acte fini, je sors de sa chambre. Je ne sais pas trop quoi faire après ça. Je décide de prendre la fuite. Je regagne notre chambre où Ako dort profondément. Je suis partagé entre un sentiment de fierté, mais aussi de honte sur ce qui vient d’arriver. Le sommeil me gagne vite, et pour la première fois depuis longtemps, je m’endors en toute sérénité.
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